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n° 18616Fiche technique11304 caractères11304
Temps de lecture estimé : 7 mn
23/10/18
Résumé:  Mes nouveaux voisins me proposent une soirée spéciale. Madame désire se faire prendre devant son mari.
Critères:  fplusag hsoumis fdomine hdanus -extraconj
Auteur : Andrea380      Envoi mini-message
Ma voisine et son mari candauliste

Je venais de passer le quart de siècle et cet anniversaire coïncidait avec mon premier CDI, suivi de mon premier bail de location.


La sensation d’indépendance était extraordinaire. Célibataire, un salaire mensuel confortable et un appartement (certes de taille réduite), l’avenir semblait prometteur.

Enclin à goûter aux plaisirs d’une vie sociale tumultueuse, mon appartement devint immédiatement le refuge de soirées animées et bruyantes.


Un dimanche matin, à 11 heures, encore en plein sommeil, la sonnerie de ma porte d’entrée retentit plusieurs fois, de manières nerveuse et régulière.

Le cerveau encore englué, je mis un certain temps à émerger de mon sommeil et à comprendre qu’il s’agissait de la sonnerie de ma porte et que la personne qui s’y trouvait derrière semblait décidée à être reçue. J’étais seul, complètement nu. J’enfilai un slip et ouvris.


Je fus d’abord surpris par la silhouette qui s’imposait à moi. Une grande femme, la cinquantaine, vêtue de noir de la tête aux pieds. Un pull moulant laissant deviner une généreuse poitrine, un pantalon en simili cuir dessinant de très jolies jambes et des escarpins avec des talons assez hauts pour lui permettre de me dépasser malgré mes 180 cm.


Deux traits d’eye-liner épais et un rouge à lèvres contrastaient avec son teint presque blafard. Je fus d’abord décontenancé par son style apprêté assez incongru pour un dimanche matin.

Elle ne me laissa pas le temps de parler :



Pris complètement au dépourvu, je bredouillais quelques plates excuses. Et pendant que je lui promettais une plus grande attention de ma part, son visage se rasséréna rapidement.

Je vis son regard embrasser mon torse et descendre jusqu’à mes pieds. Elle ne semblait pas insensible à mes muscles saillants, résultat de quinze ans de compétition de natation. Elle enchaîna immédiatement.



J’acceptai et repartis me coucher.

À 17 h 30, je pris une douche et me rendis à 18 h pile au rendez-vous.

Justine ouvrit la porte, elle semblait radieuse. Vêtue d’une très jolie robe offrant un décolleté audacieux. Elle avait certainement le double de mon âge, mais je ne pouvais pas rester insensible à son charisme.


Son mari me fut présenté. Très courtois, grand et bel homme, il semblait cependant beaucoup moins à l’aise que sa femme, mais surtout complètement neutre et effacé.

Justine me servit à boire, elle menait la conversation en lançant quelques injonctions à son mari afin que ce dernier assure mieux le service.


Elle fit ensuite une brève présentation de leur couple. Tout transpirait la normalité. Ils avaient deux enfants, rentrés dans la vie active, habitant sur Paris. Elle s’enquit de ma situation familiale et sembla satisfaite de découvrir que je n’avais pas de petite amie.

Elle rebondit sur le thème des relations de couple et avec une aisance toute naturelle et me fit une confidence surprenante :



Je feignais d’apprendre cette confession avec le plus de décontraction et de recul possible, mais la franchise de Justine et la teneur de la nouvelle me sidérèrent :



La proposition était on ne peut plus claire, je regardai son décolleté … ses jambes … elle était belle et désirable.



Elle ordonna à son mari de préparer la chambre. Ce dernier obéit tranquillement en baissant le regard.

Elle posa son verre, s’approcha de moi et langoureusement posa sa main sur mon épaule droite. Avec une grande douceur, sa main se balada sur tout mon torse. Son visage dégageait une grande sérénité, du désir aussi. Je me sentis mal à l’aise, mais l’excitation vint tout effacer. Elle me fit un doux baiser dans le cou puis me prit par la main pour m’emmener dans sa chambre. Elle me déposa debout, dos au lit conjugal et pas une légère poussette me fit tomber sur le lit. Je m’avouai vaincu.

Doucement elle se mit à genoux, déboutonna ma braguette et avec une grande sensualité sortit ma queue. Elle l’observa un instant, sembla agréablement surprise devant ma superbe érection.


Elle approcha son visage et commença par effleurer mon gland avec sa langue pour faire d’abord connaissance avec l’animal. Après une salve de baisers, elle entrouvrit ses superbes lèvres pulpeuses et m’engloutit le membre dans son entièreté, ce qu’aucune de mes précédentes conquêtes n’avait réussi.


La sensation de chaleur et d’abandon à cette bouche gourmande était sensationnelle. Pendant qu’elle s’activait sur ma queue, mon regard se posa sur le cadre accroché sur le mur d’en face. La photo, en noir et blanc, était celle d’une femme de profil, debout, habillée juste de cuissardes et d’un corset. Avec sa main droite, elle pointait un index tendu vers le sol comme pour exprimer une injonction à une silhouette, celle d’un homme accroupi devant elle. Bien que perturbé par le plaisir, et après quelques secondes de doute, je reconnus le visage, de la femme qui était en train de me sucer. L’homme accroupi semblait être son mari.



Cette question me détourna du tableau et me fit revenir à l’instant présent. J’inclinai la tête et fermai les yeux en guise de réponse. Ses lèvres charnues vinrent par la suite caresser mes testicules. Doucement elle prit dans sa bouche gourmande d’abord un puis les deux testicules.


Elle semblait connaître à la perfection l’anatomie du plaisir masculin. Puis sa main droite devint baladeuse, elle se dirigea de mes boules vers mes fesses. Délicatement son index caressa mon anus en dessinant de petits cercles ; puis avec beaucoup d’assurance son doigt s’enfonça dans mon anus. Jamais une fille n’avait porté de l’intérêt à cette partie intime de mon corps.


D’abord troublé, cette intrusion me contracta. Elle le sentit. Elle me sourit alors pour me signifier de me détendre et de profiter de cet instant unique. Elle reprit ma queue entièrement dans sa bouche tout en continuant à explorer avec son index ma cavité anale.


J’étais bien. Trop bien, car je sentis soudain que ma sève allait déborder. Elle arrêta tout. Elle avait deviné que je ne pouvais plus résister. Elle était une véritable experte du plaisir humain. Son timing avait été suffisamment précis pour m’empêcher d’éjaculer.

Elle me prit par la main et m’emmena dans le salon en laissant la pièce dans la pénombre. Elle s’arrêta devant une table, posa ses deux mains dessus tout en se penchant légèrement en avant.



Son invitation libéra mes pulsions les plus intenses. Je l’empoignai par les hanches et la pénétrai violemment. J’étais déchaîné, un animal prêt à la faire jouir sans sommation. Ses gémissements se transformèrent en petits cris étouffés. Elle semblait aimer.



Face à son injonction, je l’attrapai instinctivement par les cheveux tout en continuant à exercer d’intenses va-et-vient avec mon bassin. L’osmose entre nos deux corps et surtout nos deux esprits était totale. Totalement désinhibé, je commençai à lui parler en employant les mots les plus crus. Je me surpris aussi à l’insulter.


Soudainement ma jouissance fut extraordinaire. Je retirai ma queue et lui projetai des jets puissants de sperme tout le long de sa raie des fesses. Elle avait le cul et la chatte souillés. Anéanti par l’effort et l’intensité de la jouissance, je me laissai tomber sur le canapé. Tandis que je reprenais doucement mes esprits, elle alluma une lumière tamisée et se positionna debout devant moi.



Elle secoua une petite clochette posée sur la table basse, ce qui provoqua l’arrivée immédiate de son mari dans la pièce. Celui était complètement nu. Je remarquai d’abord la saillance de ses muscles. C’était un homme très bien conservé. Je remarquai cependant que son sexe était enfermé dans une espèce de petite cage métallique. C’était la première fois que je voyais un tel objet. Cela semblait contenir toute éventuelle érection. Il se plaça devant sa femme. Cette dernière lui caressa le torse, puis lui attrapa doucement les testicules.



Le mari se mit à genoux et commença à lécher et avaler tout le sperme qui maculait le corps de sa femme. Il le faisait avec une grande attention et avec beaucoup de douceur aussi. Je ressentis d’abord une sensation de dégoût mêlée à de la honte. Puis, sans vraiment comprendre pourquoi, je pris un certain plaisir à observer cette scène. La dévotion du mari pour sa femme et le plaisir que le couple semblait en tirer me fascina.


Quand il jugea que son travail était terminé, le mari se retira de la pièce. Sa femme m’offrit un verre de vin rouge puis je rejoignis mon appartement. La soirée avait été extraordinaire. Ma nuit fut agitée.

Depuis je croise régulièrement mes voisins, nos rapports sont cordiaux, mais jamais n’est évoquée cette soirée.