n° 18629 | Fiche technique | 21906 caractères | 21906Temps de lecture estimé : 14 mn | 29/10/18 |
Résumé: Un jeune homme retrouve un ami avec qui il va évoquer des souvenirs. Comment jalousie, désir et amour perdu vous font mal au cul. | ||||
Critères: h hh jeunes jalousie vidéox hmast intermast fellation | ||||
Auteur : Clef d'Ut |
C’est probablement la phrase à l’origine du fait que je sois, maintenant, assis sur les chiottes, en train de forcer, pour expulser du sperme du fond de mon cul. Mais il va falloir que je vous explique comment il y est arrivé au fond de mon cul, ce sperme. Enfin, tout du moins pourquoi, car pour le comment, j’imagine que vous avez votre petite idée.
Étrangement, c’est à cause d’une fille. J’ai connu Sabine à la fin du lycée, c’était l’une des plus jolies filles du bahut. Le genre de gonzesse que tous les mecs rêvaient de mettre dans leur lit, et dont peu pouvaient se vanter d’y être parvenus.
Moi malheureusement, je suis au milieu. Nous sommes sortis ensemble deux semaines. Deux semaines de bonheur à être proche d’elle, à goûter à ses baisers, deux semaines de fierté de l’avoir à mon bras, sur mon épaule. Mais aussi, deux semaines d’attente de la suite des chastes bisous, deux semaines de frustration après chaque soirée où rien d’autre de plus sérieux ne venait.
Puis j’ai dû déménager, suivre à grands regrets mes parents, mutés à la capitale. Nous avons bien tentés de continuer notre relation, à distance, mais je ne suis pas fort au jeu de la tentation et je succombe très vite… Je le lui ai avoué, elle m’a quitté, CQFD.
Je suis resté le temps de finir mes études et, une fois mon diplôme en poche, j’ai cherché un poste dans ma région natale. J’étais content de quitter Paris, sa météo, sa circulation et son métro. Les seuls bons souvenirs que j’en garderai, c’est, entre autres, la liberté sexuelle que l’on peut y trouver. Des coquines, pour ne pas dire salopes, qui ne vous font pas poireauter 15 jours avant de vous tailler une pipe ou vous offrir leur cul. Une belle gueule, une soirée ambiance, quelques verres, et vous rentrez accompagnés.
Comme cette fois, magique, où, en sortie de boîte, le galant gentilhomme que je suis s’est proposé de ramener deux copines esseulées en vue de tenir compagnie à la plus belle. Eh bien, c’est au milieu des deux que je me suis réveillé, dans une atmosphère où les effluves sexuels trahissaient les heures torrides passées avec elles.
Mais jamais je n’ai pu retrouver une fille aussi jolie, aussi excitante que Sabine. En fait, je ne l’ai jamais vraiment oubliée, jamais je ne m’en suis désintoxiqué. Même si, Dieu sait qu’entre-temps je me suis rattrapé, j’avais comme un goût de trop peu, d’un travail pas fini, d’un fantasme inassouvi. Je croyais tout ça loin derrière moi, quand le spectre de son cul me revint en pleine face d’une bien étrange façon…
Nous sommes un jeudi. Comme chaque semaine, je m’apprête à aller à la salle de sport. C’est une des rares salles encore mixtes sur la côte et qui garde bonne réputation auprès de ces dames. On va pas se mentir, ce n’est pas pour les machines que j’y vais mais pour les p’tits culs qui sont assis dessus.
Je suis faussement en train de faire des étirements quand j’entends derrière moi qu’on me salue :
Je me retourne et reste bouche bée : C’est Sylvain, mon meilleur pote de l’époque !
On a tout fait ensemble, les premières conneries, les premières tricheries en classe, la première clope, et même nos premières branlettes d’ailleurs.
Nous parlons de tout et de rien, de nos vies, nos tafs, d’où nous en sommes après tant d’années. Lui est dans une grande boîte de consultants où il occupe un poste dont je n’ai même pas compris l’intitulé et à peine la fonction. Après le bar où commençait une soirée foot – ce que nous exécrons lui comme moi –, nous décidons d’aller chez lui se faire livrer des pizzas et désencombrer son frigo de quelques bières.
Sylvain habite un bel appart, vue sur mer d’un côté, vue moche de l’autre.
Du coup on parle meuf, plan cul… Je crois me vanter en lui parlant de mon dernier trip à trois improvisé quand lui, m’annonce tout bonnement avoir récupéré Sabine après qu’elle m’aie plaqué et être resté un an avec elle !
Lui, cette tête de bite, ce mec que j’ai vu chialer devant une araignée, lui qui faisait le suce-boules avec les profs, lui, ce con, il avait baisé avec Sabine ?! J’arrivais pas à le croire. Devant ma tête incrédule, il me demande ce qui ne va pas, si je lui en veux ?
Et cette enflure se met à me raconter quelle cochonne Sabine est au lit, et comment elle aime jouir, et comment elle sait faire juter un mec en trois minutes.
À ce moment-là, j’ai les boules ! Grave ! Dire qu’à ce grand con, elle a fait les pires saloperies et que moi rien, nada, à part me filer la gaule pour du vent, je suis dégoûté.
Je suis en train de m’apercevoir avec le peu de lucidité qu’il me reste après toutes ces bières, que j’ai la bouche pâteuse et que l’alcool me fait dire des choses méchantes, je voudrais quand même pas faire de la peine à Sylvain.
Lui n’est pas en reste non plus, il accroche sur des mots et a le regard un peu vague. D’un coup, il se lève et me dit que je n’aurais pas tout perdu, que je vais le remercier. Il revient avec son PC, ouvert, avec une photo de Sabine qui pose complètement nue, en plein écran.
J’ai une grosse boule dans la gorge, et une autre se forme entre mes jambes.
Elle était vraiment belle, et terriblement excitante dans cette posture où, tout en cachant son sexe, elle exhibait ses magnifiques seins. Si j’avais déjà pu les caresser, je ne les avais jamais vus réellement. Une belle poitrine, très bien portée, des aréoles claires et des tétons qui pointent.
Il se rapproche de l’ordi et passe à la suivante. Puis une autre, et encore une autre. Au fur et à mesure défilent devant mes yeux des photos de Sabine plus que suggestives. Si si, une photo de gonzesse semblant se tortiller de plaisir avec sa main dans le string, c’est suggestif.
Une fois à quatre pattes, quelquefois sur le ventre, à genoux un doigt sur la bouche, il l’avait prise – en photo – dans toutes les positions. Jamais de plan « porno » mais plutôt érotique. Tout était suggéré et vraiment artistique. Je le lui fais remarquer.
Je devais avoir les yeux exorbités et la bouche grande ouverte tant j’étais surpris, excité et jaloux.
Et ainsi peut être allais-je enfin être désintoxiqué de cette fille, j’allais enfin la voir à poil et offerte, certes pas à moi, mais la vidéo étant tourné en « Point Of View », je n’aurais aucun mal à me l’imaginer.
Sylvain avait casté l’image sur son grand écran plat, de sorte à pas se casser les yeux sur son PC 10’’.
Putain le pied ! Enfin non, c’était sa chatte, et je n’en avais jamais vu une en si gros plan ! Et c’est celle de Sabine en plus ! Glabre, sûrement douce et luisante. La caméra faisait des allers-retours en zoom sur chacune des parties intéressantes de son corps de déesse. Elle, elle minaudait et se la jouait actrice X, complètement prise au jeu. Lui, il lui disait des mots cochons, lui demandant ce qu’elle voulait et lui dévoilant ce qu’elle allait prendre. Zoom avant sur sa bouche, zoom arrière et une bite apparaît, une belle tige au gland violacé.
Je jetais un discret coup d’œil à mon pote, il en faisait de même. Je respectais notre pacte et ne dis mot. Et si d’aventure j’avais dit quelque chose, ça ne pouvait être qu’un compliment, car il semblait assez bien monté.
J’avais déjà eu l’occasion de voir sa bite en érection, et lui la mienne, lorsqu’on s’était masturbé ensemble devant un mauvais porno enregistré en douce sur Canal. Mais c’était il y a longtemps, et depuis on avait tous bien grandi.
Les images s’enchaînent, sur l’écran comme dans ma tête, je vois la bouche de Sabine englober sa queue, la sucer avidement, lâcher le chibre pour lécher les couilles. Il semble avoir à l’image une érection de fou, dur comme du bois, et… moi aussi. Je me tortille sur le canapé, tentant tant bien que mal de remettre mon paquet en place. Syl me regarde en rigolant et me demande si ça me plaît.
Je lui réponds que s’il voyait ma bite, il poserait pas de question conne.
Je plaque alors mon jogg sur mon entrejambe et apparaît une déformation sans équivoque.
Je m’en tiens à cette démonstration mais au fond de moi, je n’ai qu’une envie, celle de libérer le monstre et de le purger de son trop-plein, pote ou pas pote à côté, l’alcool m’a complètement désinhibé, sans pour autant me faire perdre ma gaule, chose rare chez moi.
Mais l’action à l’écran y est pour beaucoup, toujours filmé à la première personne, Sabine est maintenant en train de se faire sauvagement pénétrer en levrette. Le mandrin tendu à mort la pilonne sans relâche et on entend cette petite salope couiner et ahaner. Je continue de taire mon ressenti mais je suis excité à en crever. L’air de rien, je pince et tripote ma bite par-dessus mon vêtement. Je n’ose y aller trop franchement, d’abord par pudeur, puis parce que je serais bien capable d’éjaculer comme ça, dans mon calbute.
Sylvain quant à lui, peut-être pour me décomplexer, passe sa main directement dans son caleçon, fait quelques mouvements puis, levant les fesses, passe son jean sur ses cuisses et sort son membre par la braguette du caleçon.
Je vais pas me faire prier plus longtemps, je prends une gorgée de picon-bière et zou, j’ai le falzar sur les chevilles et la queue dans la main.
Et on ne peut s’empêcher de se regarder et de rire : à moitié bourrés, en train de se palucher comme des gamins, le tout devant la vidéo d’une ex commune qui se fait tringler. Car c’était bien le terme approprié, un tringlage en règle. Sa petite chatte béante était chauffée à en être rouge.
Et il part d’un rire gras ! Effectivement, elle accueille sans mal la bite de Sylvain dans son rectum, une noix de gel y aidant quand même.
Je tente de faire durer le plaisir et me branle lentement, mais je sens la sauce monter dangereusement. Du coin de l’œil, j’observe mon pote qui en fait autant. Sylvain finit par franchement tourner la tête vers moi, enfin plutôt vers ma bite qu’il fixe, et accélère son mouvement de poignet.
Il ralentit, lève ses yeux vers moi, un regard lourd de vapeurs éthyliques et, sans se départir, me demande franco si j’ai déjà eu l’occasion de toucher la bite d’un autre. Je ne m’attendais absolument pas à entendre ça de sa bouche, et j’ai sûrement eu l’air très con durant un instant.
Ne souhaitant pas le vexer et curieux de la suite je tente de le rassurer.
Je le regarde : lui aussi, il rougit. Je me déplace vers lui, lâche ma queue et tend la main vers son sexe. Il fait de même et je sens ses doigts se refermer sur ma bite. Quelle drôle de sensation ! Bien sûr, je me suis déjà fait branler par des femmes, mais ici la sensation est toute autre. C’est plus ferme, plus franc, moins doux. Plus viril quoi. Nulle baisse de forme comme j’aurais pu redouter subir, non au contraire, j’y ressens du plaisir. Il entame un lent va-et-vient, il appuie et sert où il faut, ralentit, reprend, il connaît, sait comment faire.
Je souris légèrement, un peu gêné tout de même, juste assez pour lui faire comprendre qu’il peut continuer. C’est bien, c’est bon, c’est très différent de la petite main douce et fine d’une femme, c’est… c’est… ouais, en fait, c’est mieux !
Sa bite, bien raide, est animée de soubresauts, comme pour réclamer qu’on s’occupe d’elle. J’ai envie mais n’ose pas. Lui a osé, mon pote est en train de me branler et j’aime ça.
Alors, ne serait-ce que par équité… ma main poursuit son avancée en terrain homosexuel et mes doigts touchent sa queue. Je la flatte d’abord tout du long, comme j’aime que l’on me fasse, puis je me décide à l’empoigner. Le sang qui la gorge la fait palpiter dans ma main et je sens que la mienne en fait autant dans la sienne. Je regarde cette bite qui dépasse de plusieurs centimètres de ma main et jette instinctivement un œil à la télé. Mon regard va de la bite de Sylvain à l’écran, comme pour m’assurer que oui, c’est bien la même que je suis en train de branler en vrai et qui à l’écran sodomise Sabine dans d’abjects bruits de ventouses.
Je réalise pleinement à cet instant que Sabine est au second plan, et que le sexe de Sylvain m’obnubile désormais. J’ai même envie de le sentir sur ma langue et dans ma bouche. Le sentir palpiter entre mes lèvres plutôt que mes doigts, le faire coulisser sur ma langue plutôt que ma paume et le faire juter dans ma bouche plutôt que dans ma main. Je suis pris d’une irrésistible envie de pomper une queue.
Mais on est des mecs, bien virils, purs – ou presque ! – hétéros et bien cons de pas oser faire ce que l’on a envie.
Je continue donc de seulement le branler, énergiquement, et je sens passer sous mes doigts ses veines gonflées, son prépuce humidifié et la base sèche et râpeuse de son gland.
Coïncidences, retrouvailles, alcool, sextape… secrets avoués, actes osés et honte refoulée… sont autant d’éléments hasardeux qui ont contribué à créer la situation présente.
Alors tant pis, merde ! Au diable les conventions, on mettra tout ça sur le dos de l’alcool… Sans la lâcher, je me penche vers sa bite et, d’un coup, l’englobe entre mes lèvres et l’aspire, la suçote tout en continuant à le branler. Je lèche toute la longueur de sa queue, jusqu’à sa base, où ses poils me chatouillent le nez.
De par ma position, lui a plus de mal à continuer à me masturber, alors j’imprime des mouvements de bassin, pousse avec ma bite pour la faire gonfler entre ses doigts.
Mais ce n’est pas assez, je veux le sentir plus loin dans ma bouche, pouvoir le pomper à fond, je veux qu’il crache son foutre dans ma gorge comme il l’a craché dans celle de Sabine. J’ai envie de connaître ça, faire gicler un mec.
Je me déplace et m’agenouille devant lui, poussant la table basse et manquant d’y renverser nos verres. J’ai une érection si forte qu’elle me fait mal. Mais je ne veux pas jouir, pas tout de suite. Je sais qu’une fois avoir joui, je n’aurai plus cet entrain, ni ce culot.
À genoux entre ses jambes, je reprends ma pipe de plus belle tout en m’astiquant tout seul de l’autre main. Lui a les yeux fermés, tout à la gâterie que je lui prodigue, et moi, dos à la télé, occupé sur son manche, si bien que, ni lui ni moi, ne remarquons que la vidéo est finie, figée sur sa dernière image, exhibant une Sabine au sourire radieux, le visage marbré du sperme de Sylvain.
Dans ma branlette folle accompagnée de ma langue qui racle son frein et tourne autour de son gland, soudain il se tend, sa queue enfle et se durcit encore et dans un râle, m’envoie dans la bouche de puissants jets de sperme épais et au goût affreux. Je sens cette texture incomparable engluer ma langue et acidifier mes papilles, s’étaler sur mes dents et me couler dans la gorge, la piquant au passage.
C’est cette dernière sensation – me dire que je suis en train d’avaler du foutre – qui très paradoxalement, me fait jouir à mon tour, constellant de semence le bas de son canapé, et finissant d’avaler ce que j’ai en bouche.
C’est pas très bon, non… mais qu’est-ce que c’était… bon !
J’ai joui, lui aussi, et c’était notre première vraie expérience homosexuelle. Toujours penché et sa bite dans ma bouche, il va bien falloir que je me lève, qu’on se regarde, qu’on se parle… ou pas.
Sylvain est affalé contre le dossier, les yeux clos et reprend son souffle comme après un marathon, il semble avoir kiffé. Dans cette communion de plaisir, nous avons un point commun, on débande à peine, comme si notre excitation était supérieure à notre jouissance.
Je sens sa main se poser sous mon menton d’où coule un peu de son sperme, et il me force à relever mon visage vers lui.
Il prend une inspiration et me demande :