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Temps de lecture estimé : 8 mn
01/11/18
Résumé:  Un couple de retraités rencontre sa nouvelle voisine.
Critères:  ffh fbi couplus voisins exhib noculotte fellation fdanus fsodo gifle -couple+f
Auteur : Martin      
Ma vie à trois



J’ignore si nos pratiques sexuelles actuelles relèvent vraiment de l’extraordinaire, mais je sais avec certitude qu’elles rendent des personnes concernées particulièrement heureuses, et ce, depuis plusieurs années.


Je m’explique : nos enfants s’étant envolés pour construire leurs propres nids aux quatre coins du monde, notre villa est devenue bien trop grande pour le couple de tourtereaux qu’Adeline, ma femme, et moi, Martin, formons depuis plus de quarante ans.

Lors d’un week-end à la côte, nous avons flashé sur le projet d’un grand constructeur immobilier : un très luxueux penthouse de 140 mètres carrés plus grande terrasse, situé au dernier étage du plus haut immeuble sur la digue.


Très vite, nous vendons la villa et, avec l’aide d’un héritage récent, quinze mois et trois jours plus tard, nous prenons possession de notre bien à la mer.


À la fin du printemps, quand le soleil invite les femmes à se découvrir encore un peu plus, Adeline et moi sommes au paradis sur notre immense terrasse avec vue imprenable sur la mer, la digue et même sur un petit port de plaisance. Nous pouvons nous y balader dans le plus simple appareil sans que personne ne puisse nous voir. Même notre extérieur est parfaitement séparé de celui de l’appart voisin. Adeline profite pleinement de cette liberté et n’enfile de vêtements que pour sortir de chez nous.


Ce matin-là, je l’observe avec délice fouillant nue dans le dressing à la recherche d’une jolie robe pour se rendre au marché hebdomadaire. Elle en décroche une à petites fleurs, très légère et, la tenant devant elle :



Question superflue, car nous l’avons choisie ensemble dans la boutique. J’aime son décolleté profond qui souligne ses seins bien fermes. Et le bas, ample et assez court n’attend que le bon vouloir d’Éole pour être soulevé.



Je crois la robe suffisamment longue pour rester décente, du moins tant qu’Adeline ne se penche pas de trop vers l’avant. Je sais aussi qu’elle aime beaucoup la sensation de liberté qui se dégage en dessous en ne portant rien d’autre et qu’elle attend la confirmation de la réponse qu’elle espère.



Elle ne saisit pas la boutade dans ma réponse, mais elle me remercie par un doux baiser, enfile la robe, ajuste le haut et se précipite, les pieds nus, vers l’avant de la terrasse pour juger de l’effet du vent. Éole, mon vieux complice, se faufile rapidement sous la robe légère et caresse les fines jambes, les fesses et le sexe soigneusement épilé de ma femme visiblement ravie. Celle-ci se retourne vers moi :



Un petit mensonge qui ne fait de mal à personne, me dis-je. Et Adeline se rend au marché, son petit panier sous son bras et fière de sa belle robe…

À son retour, deux bonnes heures plus tard, elle me raconte avoir été un peu gênée par les coups de vent intempestifs sous son unique vêtement et que de nombreuses personnes ont certainement dû apercevoir son intimité.



Elle me fixe d’un air étonné et, après une courte pause, m’avoue presque timidement avoir adoré cette situation.



Par ailleurs, aucune allusion à ses seins, pourtant bien visibles dès qu’elle se penche un tant soit peu…



Un mois après notre déménagement, nous constatons des allées et venues dans le penthouse voisin, identique au nôtre. Adeline, un peu curieuse de nature, n’a pu s’empêcher d’aller sonner à la porte de l’unique autre appartement de l’étage pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux voisins. Elle est ravie de voir apparaître une très jolie dame, coquette et souriante, et de surcroît de notre génération, ce qui ne gâche rien, bien au contraire. Elle apprend rapidement que notre voisine, Hélène de son prénom, est veuve depuis bientôt deux ans et que son mari et elle n’avaient pas eu d’enfants. Elle vivra dans penthouse pour lequel elle aussi a eu un coup de foudre, malgré qu’il soit bien trop grand pour une personne seule.


Au bout de quelques jours, les deux femmes ont noué des liens d’amitié si forts qu’elles paraissent se connaître depuis le bac à sable. Elles sont devenues inséparables. Comme j’adore les longues promenades solitaires sur la plage, elles profitent de mon absence pour faire du shopping, prendre un petit café sur la terrasse ou essayer des vêtements entre filles. Adeline était heureuse. Tout en marchant, je les imagine riant et blaguant en petite tenue, car tant Adeline qu’Hélène ont cette beauté, ce charme et cette sensualité que les hommes aiment chez les femmes mûres. Je les trouve belles et sexy, « bandantes » aurait dit un plus jeune. Et je bande souvent depuis que nous vivons là…


Un soir, au lit, Adeline vient se blottir dans mes bras, comme elle le fait chaque soir. Mais ce soir-là, son calme et son silence inhabituels en disent long et je sens bien qu’elle a quelque aveu à me faire. En effet, elle me raconte qu’Hélène et elle ont fait des essayages de maillots de bain ce matin-là, histoire de se préparer pour un après-midi à la plage. Tout en s’amusant comme des folles, les mains d’Hélène se sont fortuitement égarées sur la poitrine d’Adeline. Un peu plus tard, sur ses fesses, puis sur l’entièreté de son corps. Les caresses sont devenues plus appuyées et Adeline a, dans un premier temps, laissé faire son amie, par peur d’une dispute indésirée, certes, mais pas seulement.


Progressivement, elle lui a rendu ses caresses et toutes deux ont découvert que faire l’amour entre femmes comportait aussi beaucoup de plaisir. Hélène a parlé à Adeline de sa bisexualité, fortement réprouvée par son défunt mari, trop coincé en matière de sexe. Quant à Adeline, elle a découvert avec son amie des sensations inconnues jusqu’alors, sensations différentes de celles qu’elle connaît avec moi. Elle culpabilise même un peu.


Étonné par cette révélation, mais content que ma femme m’en parle si rapidement, je mets tout de suite Adeline à l’aise en approuvant cette relation particulière avec Hélène, pour autant qu’elle soit heureuse. Sa réaction est immédiate en plongeant sous les draps pour me faire une fellation, car elle a bien remarqué mon érection pendant sa révélation. Très vite, j’écarte le drap de lit et guide ma femme pour un 69. Elle sait que la simple vue, le parfum et le goût de sa croupe ont sur moi un effet envoûtant, surtout si elle la presse sur mon visage. Quelques ondulations sensuelles du popotin de sa part et j’éjacule dans sa bouche. Jamais je ne vois une goutte de mon sperme, car Adeline a tout avalé soigneusement avant de relâcher la pression de ses lèvres.


Petit à petit, les habitudes se prennent : bien que nos ébats en couple restent des meilleurs et très fréquents, Adeline et Hélène connaissent elles aussi leurs moments d’intimité. Jusqu’au jour où, en dînant ensemble à la maison, Adeline et Hélène se mettent à me draguer ouvertement avec une idée sans équivoque derrière la tête.

Pendant que je sirote mon verre de cognac au salon, Adeline met une musique de circonstance sur son smartphone et j’ai droit à un sublime strip-tease en duo, manifestement étudié à mon intention, au rythme de l’incontournable « You can leave your hat on ». Mon regard passe inlassablement de l’une à l’autre.


Je vois Hélène nue pour la première fois. Un corps encore svelte et ferme, que bien des jeunes trouveraient à leur goût. J’éprouve beaucoup de mal à décrocher mon regard de ses seins magnifiques qui bougent à chaque mouvement du massage sensuel de ses mains ou de celles d’Adeline. Mon attention descend un peu, parcourt le ventre plat et le mont de Vénus, parfaitement lisse et légèrement rebondi. Je suis subjugué par les langoureuses ondulations de ses hanches.


Adeline, s’effaçant un peu derrière son amie, est déjà nue, offerte, prête à bondir, à s’allonger sur le canapé, à venir entre mes cuisses goûter à ce qu’une autre femme ne peut lui offrir. Mais, elle attend, se laisse admirer en dansant voluptueusement, tournant le dos pour montrer ses fesses rebondies, les écarter des mains et exposer son anus quémandeur.


Hélène y pose un index et joue avec le petit orifice de ma femme, le pénètre délicatement d’un doigt, puis de deux. La respiration et les gémissements d’Adeline l’encouragent à entrer le troisième doigt. Puis elle retire sa main et masse l’anus en des mouvements circulaires. L’autre main caresse le clitoris et Adeline part dans une onde de plaisirs incontrôlables. Comme c’est fascinant de regarder son épouse jouir des caresses d’une autre personne. Les images défilent devant mes yeux exorbités. Je l’imagine sodomisée devant moi par un grand black au sexe gigantesque, Hélène lui titillant le clitoris de sa langue experte et Adeline hurlant sa jouissance. Mais la réalité me fait redescendre quelque peu sur terre, ou, plus exactement, au septième ciel, quand Hélène me présente sa croupe à hauteur de visage.



Si je veux ? Mais je n’attends que ça, ma belle ! me dis-je en approchant ma langue de son anus frétillant. Mais soudain, elle se retira et tout en se retournant :



Hélène me prend par le bras et me tire du canapé pour me conduire à Adeline, déjà allongée sur le ventre sur la table du salon. Notre amie prend un coussin et le place sous le bassin de ma femme. Les mains d’Hélène écartent les fesses pour faciliter l’accès à la rondelle d’Adeline.


Dans un premier temps, je regarde ce magnifique cul offert et ondulant d’impatience. Mon doux massage d’un doigt le fait frémir davantage, puis j’y mets la langue et la tourne délicatement dans l’orifice. Les gémissements de plus en plus bruyants m’encouragent et m’excitent.


Les mains de ma femme ont pris le relais de celles d’Hélène pour maintenir ses fesses écartées. Notre amie me déshabille pendant que je lèche Adeline, me masturbe le pénis, les testicules et même l’anus. Je pense que si elle avait un strapon sous la main, elle me sodomiserait aussi sec, pour mon plus grand bonheur, d’ailleurs !


Hélène mène mon sexe vers l’anus d’Adeline et très rapidement, il s’enfonce sans difficulté jusqu’à la garde. Hélène me massant toujours les testicules et l’anus, me supplie de lui gifler les seins tandis qu’Adeline lui triture le clitoris. Mes va-et-vient puissants provoquent une déferlante d’orgasmes tant chez Adeline que chez moi, et même chez Hélène. Celle-ci s’affale, la poitrine rougie par mon slapping, épuisée, sur le dos de ma femme. Nous restons ainsi un bon moment, haletants. Puis nous nous relevons et nous serrons tous les trois dans les bras, nus, dégoulinant de sueur, mais heureux comme jamais.


Je raconte à Hélène que jamais auparavant je n’ai frappé une femme, mais que j’y ai pris beaucoup de plaisir dès que j’ai réalisé le bonheur qu’elle en retirait. Ses « encore » annihilant tout doute en moi. Cette jolie petite femme mature au sourire si doux me raconte alors être masochiste sexuelle et qu’elle apprécie d’être giflée et fessée fortement en faisant l’amour avec un homme. Il y a quelques mois, elle s’est même rendue dans un club SM, mais malgré une agréablement douloureuse séance de martinet sur son corps dénudé et attaché à la croix de Saint-André, elle n’a pas apprécié la vulgarité de certains clients et n’y est pas retournée.

Sur ce point-là non plus, son mari n’a rien compris.


Quelques semaines et plaisirs sexuels plus tard, Hélène nous émet le désir de venir vivre avec nous, proposition qu’Adeline et moi acceptons de tout cœur. Hélène met donc son penthouse en location à la nuit, ce qui lui permet de récupérer facilement son bien au cas où… et vient s’installer chez nous. Heureusement, nous avons un lit king size dans lequel je me sens comme un coq en pâte entouré de ses poulettes qui ne demandent qu’à être saillies.


Nous avons équipé une chambre du matériel nécessaire au bonheur de notre masochiste. Adeline et moi y avons progressivement pris goût également, avec modération toutefois.


Depuis, les rires sont devenus monnaie courante chez nous, sans parler de notre vie sexuelle qui doit faire bien des envieux.