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n° 18641Fiche technique15060 caractères15060
Temps de lecture estimé : 11 mn
02/11/18
Résumé:  Il suffit qu'elles portent un lainage angora ou mohair pour qu'elles entraînent Patrick à faire ce qu'elles désirent.
Critères:  fh essayage caférestau noculotte fetiche hmast fellation pénétratio fdanus confession -vêtements
Auteur : Xuodid      Envoi mini-message
Où Patrick est entraîné par son fétichisme angora mohair

Avec Paula, nous avons vécu deux années merveilleuses.


Paula, c’était mon Amérique. Petite brune à l’esprit vif et frimousse coquine, elle mettait de l’enthousiasme en tout, y compris au lit. Elle trouvait « trop mignon » mon penchant fétichiste pour les douces laines angora ou mohair et se prêtait au jeu, l’attisant même en faisant quelques achats, voire des commandes sur internet. Elle mettait dans ses achats un goût esthétique certain ce qui est assez rare si l’on fait une recherche chez les tricoteuses d’internet. En dehors, d’une paire de jambières mohair, tout ce qu’elle achetait pouvait se porter en public sans choquer les bonnes mœurs. Elle ne se privait pas en certaines occasions de porter pulls, robe, veste ou écharpes douces et duveteuses afin de m’exciter en public pour rire de ma gêne provoquée par des érections difficiles à maîtriser tant elle m’excitait ainsi. Elle y trouvait son compte en satisfaisant ainsi son penchant pour les pratiques sexuelles en des endroits où à tout moment on peut être découvert, profitant pour cela de l’excitation que me provoquaient ses tenues.


Chaque achat était inauguré de la façon suivante : elle déballait le moment venu l’objet de mes fantasmes, le mettait et disait, « viens, on sort ! ». Ainsi le premier cardigan en angora blanc fut inauguré au restaurant où elle me masturba, la main sous la nappe, sous les regards suspicieux de la table voisine qui se doutait de quelque chose. Le gros pull d’hiver à col roulé en gros fils de mohair brossé noir me valut une fellation à peine cachée dans une pinède en bordure de piste de ski de fond. Beaucoup sont passés sans nous voir, mais deux ou trois, en voyant nos traces sortir des rails, se sont retournés…


Avec la robe soie et angora mousseux rouge descendant sous les genoux avec un grand col en V qu’elle pouvait mettre devant ou derrière elle m’entraîna dans la visite d’une cathédrale. Elle avait mis le V dans le dos caché par un foulard en soie. Elle ne portait rien d’autre. L’édifice était quasi désert, elle me poussa dans un confessionnal, ferma la porte, me tourna le dos en relevant la robe sur les hanches et pour bien libérer le passage mit le pied droit sur le petit banc. Elle ne portait aucun sous-vêtement. Il fallait prendre garde de ne pas faire craquer le bois de la guitoune durant cette confession…


Pour l’adorable pull jaune qu’elle avait assorti d’une jupe courte, l’inauguration eut lieu pour le repas des anciennes de son lycée. J’ai cru comprendre que trois ou quatre de ses proches étaient au courant de nos pratiques, car elles n’ont pas manqué d’insinuer en caressant le pull tout doux de Paula que visiblement ce soir cela allait être chaud pour certains tout en me regardant d’un air entendu. Les filles entre elles ne font guère de mystère sur leurs amants et Paula avait dû balancer sur mes tendances. (Quid des siennes ?) Nous sommes partis les premiers, il faisait nuit et sur le parking désert elle retroussa sa jupe, s’installa sur le capot de la voiture pour que je lui fasse minette. J’étais certain que l’on nous épiait.


Le matin même de sa réception, elle me masturba jusqu’à éjaculation avec la longue écharpe en mohair multicolore dans la cabine d’essayage d’un grand magasin où j’essayai un pantalon. Avez-vous essayé la douce caresse d’une laine très fine (ne pas se tromper en la choisissant) sur votre gland dénudé ? La subtile sensation sur cette peau délicate, sensible et tendue par l’érection ou même la douce chaleur lorsque cela passe en votre entrejambe ? Je n’ai pas résisté longtemps. Autant par excitation que par peur d’être découvert. J’ai voulu faire arrêter Paula avant éjaculation, mais elle a continué jusqu’à ce que mon sperme gicle en abondance dans la laine.


La vendeuse nous interpella à travers le rideau. Courroucée et suspicieuse, elle nous fit remarquer que nous avions été bien longs. Paula par provocation, après avoir réglé le prix du pantalon, arrangea l’écharpe afin que fussent visibles les douces mailles souillées de mon sperme, au grand effroi de la vendeuse stupéfaite de cette audace qui s’empressa de saisir l’interphone. Comme nous allions sortir sans demander notre reste, nous voici bloqués par un vigile maousse qui nous pria de le suivre sans résistance. Nous voilà dans les coulisses pris en charge par la chef du personnel qui nous conduisit dans son bureau. Belle femme dans la cinquantaine, l’air sévère avec son chignon. Nous voilà bien !



Réponse :



J’enlevai donc le pantalon.



Paula se baissa et attrapa mon sexe qui n’en menait pas large. Un peu d’ardeur, s’il vous plaît ! Le contact de l’écharpe me redonna du courage. La chef s’assit dans un fauteuil, releva son tailleur, baissa son string et commença sans fausse honte à se doigter, en nous matant.



Paula me fit signe de me magner et je finis par jouir à nouveau dans le doux lainage. Elle nous demanda l’écharpe, la renifla, la glissa entre ses jambes, se caressa la chatte vigoureusement avec la laine mêlée de mon sperme. Elle devint finalement toute rouge, on sentit l’orgasme monter et là, des giclées abondantes aspergèrent l’écharpe, elle coulait comme une fontaine. Stupéfaits, nous regardions cette femme-fontaine reprendre lentement ses esprits. Elle s’essuya avec l’écharpe, la jeta à la poubelle sous la table, se rhabilla et nous dit :




Au bout de deux ans, notre idylle s’émoussant, elle n’achetait plus rien, il fallait petit à petit que j’insiste pour que parfois les douces laines participent de nos jeux amoureux. Plus de plans tendancieux non plus. Elle se fit plus lointaine. S’absentant pour raisons diverses. Je soupçonnais une liaison. J’étais jaloux, non à l’idée de la partager avec un autre, mais du fait qu’elle me délaisse. Je lui fis une scène où elle s’énerva contre moi et mes perversions ridicules. Elle claqua la porte en me conseillant d’aller enculer ses pulls… Le lendemain en rentrant, je trouvai la poubelle remplie des pulls, robes et autres mêlés aux détritus. Elle avait pris toutes ses affaires et laissé les clés dans la boîte à lettres. Je fus blessé et déçu au fond de moi. Un mois de déprime s’ensuivit.



Ce samedi, on frappa à ma porte. J’ouvris, surpris et sans voix. Éva resplendissante et souriante en pull angora ras-du-cou bleu marine tout doux. Petit collier de perles. Jean et chaussures à talons. J’étais sidéré à sa vue. J’en restai comme un con, me demandant le pourquoi de sa visite en cette tenue. Elle me demanda si elle pouvait entrer. Éva ! Amie d’enfance de Paula, avec sa réputation sulfureuse. Paula m’avait expliqué qu’Éva, fille de soixante-huitards, avait vécu avec ses parents les bons côtés comme les affres du Peace and Love. Durant son enfance ballottée, elle avait vécu au milieu du libertinage et des gens à poils.


À trente ans, elle est mariée avec un quinquagénaire qui tient un studio photo en ville. Il vit de photos et vidéos de famille et, pour arrondir les fins de mois, a créé un site internet coquin où Éva pose nue. J’avais visionné les « previews ». Éva est très photogénique et les clichés sont de qualité, mais avec peu d’abonnés, ça vivotait. La majorité des internautes cherchent plus pimenté. Je fis entrer la belle playmate qui me frôla dans son nuage de douceur laineuse, un doux parfum exhalant de sa personne.


Elle était grande, avec un beau visage énigmatique, erratique même. Les cheveux châtains longs et soyeux, les yeux noisette, figés en un regard pénétrant. Un corps généreux, mais en finesse et souplesse qui la rendait désirable dès le premier coup d’œil. Un sourire aimable et une voix involontairement langoureuse qui me susurra effrontément en s’avançant vers moi :



Je la fixai du regard sans rien oser dire.



Je m’exécutai lentement sans cesser de la regarder. J’étais face à elle nu et en érection. Elle enleva son superbe pull en le retournant, me le tendit et me dit :



Je m’en saisis avec émotion, il est très, très doux. Je portai le col à mon visage pour sentir le doux parfum qui s’en dégageait. Le bas du pull effleurait mon gland dénudé par l’érection. Elle me regarda, mains sur les hanches, les mamelles arrogantes. Je m’avançai jusqu’à caresser ses seins avec l’angora dont le contact tout doux fit pointer les tétons. Elle ferma les yeux, j’avançai doucement pour l’embrasser dans le cou offert et la serrai dans mes bras en lâchant le pull coincé entre nous. Était-ce trop intime à ce stade ? Elle me repoussa gentiment, le pull tomba et resta accroché à mon sexe comme à un portemanteau. Ainsi enveloppé de douceur, elle saisit mon manche et le régala de caresses en jouant finement avec la ouate, puis s’agenouillant, à mains fermes, elle me masturba de façon plus rude, sa poitrine s’agitant à merveille au rythme de ses mouvements en recherchant, il me sembla, le contact de ses seins avec le doux pull.


Avant d’éjaculer précocement sous ses gentillesses, je relevai la belle, la poussai contre la table et à mon tour lui câlinai les nichons et les hanches. Je dégrafai le jean, passai les mains dans les manches du pull pour lui caresser le ventre et les cuisses. Je finis de la dénuder et remontai ses jambes en les embrassant. Me voici buvant son calice puis, au comble de l’excitation, je me redressai cherchant à la coucher sur la table pour la pénétrer, mais elle refusa.



19 h. Je rentrai dans le studio photo. Éva s’avança, me fit la bise, me prit par la main et me présenta à Antoine, vieux beau au teint pâle, de ceux qui souffrent d’une faiblesse de poitrine comme on disait dans le temps. Nous passons dans l’arrière-boutique qui est en fait l’habitation. L’apéritif a été préparé. Vodka cul sec et de la bonne, pas de l’essence pour Tupolev. Samoussas pour garnir l’estomac avant que l’alcool ne diffuse trop vite. Antoine prit la parole :



Je ne m’attendais pas à une telle proposition, j’objectai de ne pas être sûr que les amateurs comme moi soient nombreux.



J’étais si désireux d’elle que je me suis laissé entraîner. Nous passons dans une pièce équipée de tout le matériel photo, lumières, vidéo…



Sous la caméra d’Antoine, nous reprîmes à zéro et là enfin, je finis par la coucher sur la table et pénétrai son « place to be » appréciant sa volupté intime. Je la limais en profondeur. C’était doux, chaud et glissant là-dedans. Elle se caressa voluptueusement avec le pull, yeux mis clos, bouche entre-ouverte, gémissante et langoureuse. Antoine n’en manquait pas une miette avec sa caméra. Voyant que j’allais partir, Éva fit comme si elle jouissait elle aussi et m’ordonna de lui éjaculer sur le ventre. Mes giclées se répandirent sur elle. Elle passa un doigt sur le sperme, le porta avec malice à la bouche et me dit :



Lorsque ce fut terminé, elle fit signe à son mari qui, de son pantalon, sortit un sexe tout modeste qui peina à s’ériger. Elle s’en saisit et le suça de son mieux sans grand résultat alors que le mien en redemandait. Patiemment, elle lui redonna un peu de vie, mais Antoine sut que la cause était perdue. Aussi proposa-t-il de refaire des scènes de manière à prendre quelques clichés. Il fallut reprendre la pose. Antoine donna les indications, régla les éclairages. Éva était à l’aise, habituée à prendre la pose. Je l’étais moins. J’étais très excité à la vue et au contact de cette belle femme voluptueuse qui faisait comme si elle prenait un plaisir infini au doux contact des mailles d’angora. Malgré la statique des poses, mon plaisir était intense.


Antoine m’expliqua qu’il allait prendre mes giclées en mode rafale. Alors sous les encouragements d’Éva, je me branlai jusqu’à ce que ça sorte et se répande à nouveau sur son ventre. Pendant que nous prenons une douche, Antoine transféra sur ordinateur vidéos et photos. Nous les visionnâmes plutôt satisfaits de nous. Éva y est très sensuelle, sublimée par son doux pull. Antoine fera un peu de montage avant de diffuser sur le site. Il me donna quelques photos sur USB dans le but que je rameute sur les divers forums et sites d’échanges de photos dédiés aux sexaddicts de mon genre…


Le lendemain, les retours étaient bons, ils en redemandaient, faisant des propositions. Le nombre d’abonnements grimpa. Tous les week-ends, nous faisions de nouvelles prises. On nous demanda évidemment beaucoup de fellations, de léchouilles, de levrettes face à la caméra, de missionnaires, caméra fixée à mon front… Nous incitions les abonnés les plus chauds à nous envoyer des tricotages que nous leur retournions après usage.


Au bout de trois ans, nous perdîmes cependant du terrain et pour relancer la machine, nous envisageâmes la sodomie. Éva prenait plaisir et nous avions eu un grand succès avec anulingus et de brefs fingerings, mais une vraie sodo, elle trouvait cela trop douloureux.


Nous imaginâmes donc un scénario avec caresses du petit rond avec des gants angoras en gros plan puis caméra face à elle, un doggyside où elle ferait croire par des grimaces douloureuses que je lui défonçais l’anus alors que je serais un étage plus bas. Elle porterait un pull très décolleté pour que l’on voie bien ses seins ballotter, et le tour serait joué. Gros succès du film ! En plus, la nouvelle caméra d’Antoine permettait de faire des arrêts sur images très nets, c’est un plus indéniable. Les internautes n’y ont vu que du feu et Éva… « Même pas mal ! »