n° 18642 | Fiche technique | 33757 caractères | 33757Temps de lecture estimé : 20 mn | 03/11/18 |
Résumé: Sophie et Jean découvrent les joies d'une partie à plusieurs. | ||||
Critères: fh ff fhh ffh jeunes couplus vacances voir fellation pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : Hagenragnard Envoi mini-message |
Je m’appelle Sophie et je suis une jeune femme qui n’a pas encore atteint la trentaine. On me dit mignonne, même si je ne le crois pas vraiment. Je vous laisse plutôt juger. Je mesure 1,65 m pour 55 kg, j’ai les cheveux châtains, qui ondulent naturellement, et que je porte mi-longs. Mes yeux noisette sont, paraît-il, expressifs. Ma poitrine s’enorgueillit d’un ravissant 85B et j’ai la taille plutôt fine. Mon vrai handicap, ce sont mes fesses que je juge trop grosses, même si mon homme est toujours à dire que j’ai un vrai p’tit cul d’amour. Mais bon, il m’aime et il n’est donc pas garant d’une réelle objectivité. Il me trouve belle et me désire à chaque instant. Vous l’aurez compris, c’est un véritable obsédé.
Parlons de lui justement. C’est un très bel homme cultivé. Il a de beaux yeux bleus. D’ailleurs, quand il plonge son regard dans le mien, je deviens toute chose (mais chut… il ne faut pas le dire !). Pour moi, il est bien comme il est. C’est-à-dire pas trop grand et pas trop petit, ni trop gros ni trop mince… bref, il est parfait !
Nous pratiquions une certaine forme de libertinage depuis quelque temps déjà. Sans aller dans l’extrême, nous avions déjà eu quelques expériences s’apparentant à du flirt poussé, allant même quelques fois jusqu’à l’échangisme.
Un soir d’été, nous étions invités chez un couple qui passait des vacances à proximité de notre lieu de villégiature. Nous avions sympathisé et avions convenu de passer la soirée chez eux, dans leur location. Nous avons été très bien accueillis, et avons eu droit à un petit tour du propriétaire. Sans être à couper le souffle, l’habitation était pleine de charme. Isolée par de hauts murs qui cachaient la vue sur l’extérieur, une grande terrasse s’ornant d’une piscine et d’un bain à remous. La maison en elle-même était de taille modeste, puisqu’elle ne se composait que d’un salon avec un coin cuisine, une salle de bain et deux chambres.
Nos hôtes, Alain et Hélène, nous accueillirent à bras ouverts, mais nous avons senti dès le début que quelque chose n’allait pas. Ce n’est qu’installés sur la terrasse, après avoir été servis d’un cocktail rafraîchissant, qu’Alain nous informa du problème qui les embarrassait. Hélène était en effet atteinte d’une légère insolation qui l’empêchait d’être pleinement des nôtres. Elle espérait aller mieux le lendemain, tout en ajoutant qu’ils devaient absolument s’absenter pour la journée. Ils nous proposèrent néanmoins de passer la soirée avec eux, Hélène allant se coucher rapidement, et de profiter des installations de la maison. Nous pourrions alors pleinement apprendre à nous connaître et passer une soirée qui s’annonçait prometteuse.
J’interrogeai Jean du regard, et il me fit signe qu’il n’y voyait pas d’inconvénient. Lorsque j’exposai le fait que nous n’avions aucun vêtement de rechange, Hélène s’empressa de me rassurer en m’indiquant qu’il y avait tout le nécessaire de toilette et qu’ils avaient pour habitude de vivre nus. Je convins donc de rester, et Hélène nous pria de l’excuser pour aller se reposer. La soirée se déroula sous les meilleurs auspices, à l’ombre de bons vins, ce qui augurait du meilleur pour le lendemain.
Vers 23 heures, nous prîmes congé de notre hôte pour aller nous coucher. C’est à ce moment-là que débarqua Thipaine, la fille de la maison. Cette blonde, à l’air sportif et élancé, portait une petite robe d’été rouge clair, mouchetée de points blancs, qui lui arrivait à mi-cuisses et laissait à découvert ses épaules et le haut de sa gorge pigeonnante. Elle n’avait manifestement pas de soutien-gorge, et je ne pus m’empêcher de remarquer, lorsqu’elle bougeait ses hanches amples et fermes, qu’elle ne portait vraisemblablement pas de culotte non plus.
Elle était accompagnée d’une jeune fille qui devait avoir à peu près le même âge. Brune aux cheveux longs relevés en queue de cheval, elle exhibait fièrement sa petite poitrine recouverte d’un simple bandeau, laissant à nu un ventre plat. Un short miniature, lui moulant les fesses qu’on devinait fermes, mettait en valeur ses longues jambes, fines et halées. Ses yeux bleu très clair, et son visage rehaussé de légères taches de rousseur, lui donnait un air de coquine effrontée. Elle se présenta comme étant Chloé.
Le jeune homme qui les suivait, Christophe, était plus grand. Il était vêtu d’un tee-shirt ample et d’un bermuda, mais, à bien le regarder, je devinais un corps svelte et bien dessiné. Ses yeux clairs exprimaient plus de fatigue qu’autre chose, et je m’amusais à l’idée qu’il devait faire des efforts pour ne pas dévoiler l’état alcoolisé dans lequel il se trouvait.
Nous fûmes surpris d’apprendre, tout comme notre hôte, que Thipaine allait passer la nuit dans la maison avec ses deux amis. Un problème se posait, puisqu’il avait été convenu que nous occuperions la chambre qui lui était dévolue, Jean et moi. Cela ne semblait pas la gêner outre mesure et elle décida que, la chambre étant spacieuse, elle dormirait sur un matelas à même le sol avec son amie. Le jeune homme, lui, occuperait une sorte de canapé confortable. Le lit nous était réservé. Elle demanda à la cantonade si sa proposition convenait à chacun et, n’ayant reçu aucune objection, elle nous fit un grand sourire.
Galamment, ils nous laissèrent occuper la salle de bain en premier, et après une rapide toilette, nous gagnâmes la chambre tous les deux. Alors que j’hésitai encore à garder ou enlever mes sous-vêtements, Jean, déjà nu, vint se lover contre moi, dans mon dos. Ses mains se posèrent sur ma taille, et remontèrent en une lente caresse vers ma gorge. Je sentis son érection contre mes fesses, et son souffle chaud sur mon cou. Une de ses mains vint empaumer un de mes seins, tandis que l’autre se glissait vers la fourche de mes cuisses. Je laissai ma tête reposer sur son épaule, et offrit mon cou aux caresses de ses lèvres. Ses doigts pressaient gentiment mon mamelon et, alors que je le sentis s’insinuer sous l’élastique de ma petite culotte, je tentai de m’écarter. Non, mais quel obsédé ! Il me retint avec sa main et m’attira à nouveau contre lui. Je n’eus pas le temps de réagir que déjà, il avait fait sauter l’agrafe de mon soutien-gorge et s’emparait de mon vêtement, le faisant tournoyer autour de son doigt avant de l’envoyer à l’autre bout de la pièce.
C’est à ce moment que la porte de la chambre s’ouvrit, laissant le passage aux deux filles. Je me mis au lit, l’air de rien, avec tout le naturel que je pus trouver, et laissai Jean et son érection à la vue de tous. Loin de s’offusquer, Thipaine et Chloé entrèrent, poussées par Christophe. Je remarquai néanmoins que notre petite brune ne lâchait pas du regard le sexe de mon mari, et qu’elle l’accompagna des yeux le temps qu’il vienne me rejoindre sous les draps.
Thipaine demanda si elle pouvait éteindre la lumière et, aucun de nous n’ayant formulé d’objection, elle fit pivoter le commutateur, nous plongeant dans la pénombre. La fenêtre n’ayant pas de volet laissait passer le clair de lune qui nous offrit un bien agréable spectacle d’ombres chinoises. Devant nous, les deux filles se déshabillèrent mutuellement. Les deux corps se faisaient face, à se frôler. Je pus apercevoir Thipaine faire glisser le petit top de son amie vers le haut, dévoilant une poitrine aux petits seins bien dessinés. Les gestes étaient lents et langoureux, et je sentis une légère tension érotique sourdre dans mon bas-ventre. Je crus entendre leurs sourires, mais Jean s’étant collé à moi et ayant posé sa main sur mon ventre, mon attention fut quelque peu perturbée.
Je ne quittais pas des yeux les deux corps devant moi et me délectais du spectacle. Chloé avait maintenant dégagé les épaules de Thipaine, et accompagnait la robe légère vers le bas, laissant bientôt à nu une poitrine aux tétons dressés. La situation m’excitait, et lorsque la main de Jean s’insinua entre mes cuisses, je les ouvris largement pour recevoir ses caresses. Maintenant nues, les deux filles se tenaient mutuellement aux hanches, s’effleuraient légèrement l’une l’autre, et laissaient pointer à tour de rôle une langue venant taquiner les lèvres qui lui faisaient face. Elles gloussèrent doucement lorsqu’elles entendirent le soupir qui s’exhala de ma bouche, après que Jean eut atteint mon clitoris. Elles disparurent alors de ma vue pour certainement se coucher sur le matelas. J’étais très excitée et les doigts de mon chéri me faisaient un bien fou.
C’est le moment que prit Jean pour me glisser à l’oreille :
Et là, sa main abandonna aussitôt la douce moiteur de mon intimité. Alors que je tentai de la retenir pour qu’elle me dispense à nouveau ses bienfaits, il ajouta sur un ton presque narquois :
Le cochon ! J’étais très excitée et il ne voulait pas calmer mon ardeur. Il sait qu’en plus, je ne me procure pas de plaisir solitaire lorsqu’il est avec moi. Il aurait quand même pu faire un effort ! Bon, j’avoue qu’à sentir sa queue qui tressautait sur ma cuisse, il devait être lui aussi diablement énervé… Mais ce n’est pas une raison !
De dépit, je me suis tournée sur le côté, lui présentant mon dos. Comme à son habitude, je l’ai senti venir se couler contre moi et placer son sexe durci entre mes fesses. Un petit coup de reins pour lui montrer mon mécontentement ; ça lui apprendra !
Lorsque je me suis réveillée au matin, la chambrée était encore plongée dans le silence, seulement troublé par les respirations lentes et profondes des dormeurs. Un mince rayon de soleil filtrait par la fenêtre, baignant la pièce d’une douce lumière diaphane.
Je me suis redressée et j’ai regardé Jean qui dormait encore. Les draps avaient glissé sur ses jambes, laissant son sexe fièrement dressé à nu. Du bout des doigts, j’ai remonté la hampe, des testicules jusqu’au gland, laissant ma paume caresser ce bâton de chair que je convoitais. Mon désir de la veille, insatisfait, revenait au galop.
Je taquinais le méat. J’avais une folle envie d’y déposer un baiser, de sentir ce gland sur mes lèvres. Je sais qu’il adore ça. Je jetai un œil furtif sur nos compagnons de la nuit. Thipaine et Chloé dormaient l’une contre l’autre, entièrement nues. L’une me présentait une poitrine suggestive tandis que l’autre m’offrait une vision de ses fesses parfaites. Elles étaient belles ainsi, alanguies. Un peu plus loin, Christophe se reposait sur la méridienne, son visage aux traits reposés tourné vers moi. Je détaillai son corps mince, et m’arrêtai sur le caleçon qu’il avait gardé et qui masquait à ma vue ses attributs. Il devait lui aussi être en érection, mais je ne pouvais rien voir que ce morceau de tissu tendu par sa virilité très certainement gorgée de sang. Je me suis sentie frustrée et je regardai à nouveau mon homme qui n’avait pas bougé, son sexe plein de vie emplissant ma main. Je cajolai cet objet de désir, avide de pouvoir le goûter sur ma langue, désireuse de le sentir emplir ma chatte. Mais Jean ne bougeait pas. Il est si beau quand il dort. Je le laissai à regret à ses rêves qui, je l’espérai, faisaient de moi son héroïne. Je délaissai doucement le sexe adoré et me levai sans faire de bruit.
En sortant de la chambre, j’abandonnai ma petite culotte qui avait subi les outrages de mes désirs et m’emparai d’un paréo qui traînait là pour voiler ma nudité.
Le coin cuisine était déjà occupé par nos hôtes, et je leur fis signe que tout le monde dormait encore. Je m’approchai d’eux pour les saluer, et acceptai la tasse de thé qu’ils me tendirent. Ils s’excusèrent de ne pouvoir rester avec moi, renouvelèrent leur invitation à profiter de la maison, et me laissèrent là à ma tasse brûlante.
Je profitai de leur départ pour sortir, et me laissai bercer par les rayons du soleil qui venaient agréablement chauffer ma peau. Cette journée d’été s’annonçait des plus prometteuses. Ma déambulation prit fin lorsque je m’adossai à une colonne qui soutenait la treille abritant une partie de la terrasse. Face à l’astre du jour, je fermai les yeux et profitai pleinement de ce moment de quiétude, seulement distraite par l’infusion que j’avalais à petites gorgées. Je laissais mes pensées vagabonder, réalisant bientôt que Jean et son sexe gonflé venaient hanter mes songes. Je me surpris à imaginer aussi les corps de Thipaine et Chloé s’entrelaçant, à fantasmer sur la queue de Christophe que je n’avais pu voir. La chaleur qui irradiait entre mes cuisses et le poids lourd du désir qui me lancinait m’arrachèrent à mes rêveries. Il me fallait mon homme, tout de suite.
Je rentrai dans la maison, bien décidée à sortir Jean du lit pour qu’il satisfasse à mon désir. Arrivée devant la porte de la chambre, et alors que j’allais me saisir de la poignée pour ouvrir sans faire de bruit, j’entendis des gémissements. J’arrêtai tout mouvement pour mieux écouter. Oui, cela ne pouvait faire de doute, j’entendais bel et bien les onomatopées du langage du sexe derrière cette porte. Ma première pensée fut pour mon homme. Non ! Ce n’était pas possible ! Il ne pouvait pas me faire ça ! Je ne l’avais laissé que quelques minutes et déjà, il avait sauté sur ces deux salopes en chaleur ! Une colère sourde m’envahit. Folle de rage, j’eus quand même la présence d’esprit d’ouvrir la porte sans faire de bruit. Et bien m’en prit.
Dévoilant la pièce, l’ouverture que j’avais créée me permit de voir Jean allongé seul, sur le lit. Il était sur le côté, accoudé et se masturbait lentement. Il dut sentir ma présence, puisque, sans arrêter ses gestes, il tourna son visage vers moi et me fit un grand sourire. Lâchant sa queue, il me fit signe de me taire et de venir le rejoindre. D’un signe de tête, il me désigna ce qu’il regardait et, ne pouvant détacher les yeux, toute à la vision qu’il venait de me dévoiler, je vins le rejoindre et m’asseoir à côté de lui sur le lit.
Toute ma fureur s’était envolée, et nous nous regardâmes tous les deux en souriant. Nous portâmes en même temps nos yeux sur la couche qui se trouvait devant notre lit, et c’est tout naturellement que ma main vint s’emparer de la queue dressée de mon époux. Par des mouvements amples et très lents, je masturbais mon homme tandis qu’il se repaissait des deux filles qui se donnaient du plaisir devant nous. Je jetai un rapide coup d’œil sur Christophe, mais il dormait toujours. Les soupirs de Thipaine et Chloé ne l’avaient pas réveillé.
Debout sur ses genoux, Thipaine caressait la nuque de Chloé qui lui suçait les seins. La passion et le désir se lisaient sur leurs visages, empreints de plaisir. Leurs mains virevoltaient sur leurs corps, en de longues et sensuelles caresses. La jolie brune se laissa glisser sur la couche, emmenant avec elle la fille de la maison. Thipaine en profita pour insinuer son genou entre les cuisses ouvertes de Chloé qui, par de légères rotations du bassin, caressa sa vulve dessus. Leurs bouches se rejoignirent, leurs cheveux s’emmêlèrent et nous n’entendîmes plus que murmures de plaisir et baisers mouillés. Les corps ondulaient sous le plaisir, et les mains ne cessaient leur ballet sensuel. Chloé pivota pour venir placer son sexe au-dessus de la bouche de son amie. Elle redressa le buste et la tête lorsqu’elle sentit la langue prendre possession de ses lèvres intimes, et poussa un feulement assourdi de plaisir. Elle ouvrit les yeux, nous aperçut, fixa ma main qui continuait son ascension et sa descente sur le sexe durci de Jean, nous sourit et plongea entre les cuisses qui lui étaient offertes.
Je regardai Jean qui me fit un sourire long de promesses. Sa queue gonflait démesurément dans ma main et j’eus très envie de la recevoir en moi, dans ma bouche, dans ma chatte, dans mon cul. Voir Thipaine et Chloé me faisait mouiller abondamment ; Jean était très excité ; il fallait calmer le feu qui nous dévorait.
Tout à leur plaisir et à leurs gémissements, les deux filles ne remarquèrent même pas que nous avions quitté la pièce. Dans le couloir, et après avoir refermé la porte sans faire de bruit, je me jetai sur les lèvres de mon homme, écrasant mon corps nu contre le sien.
Et sans lui laisser le temps de me répondre, je me saisis de son sexe pour le tirer à ma suite et l’emmener dans la chambre de nos hôtes. Un grand lit nous attendait et nous nous jetâmes dessus. Nous nous embrassâmes frénétiquement, avidement, grognant et se cherchant l’un l’autre. Nos langues s’enlaçaient pour mieux se repousser, nos bouches s’ouvraient désespérément à la recherche de celle de l’autre, nos lèvres s’écrasaient et se refermaient en de puissants baisers. C’était une étreinte bestiale, primaire, celle de deux corps assoiffés l’un de l’autre. Jean martyrisait mes fesses, son sexe poussait sur mon ventre, tandis que j’étreignais sa tête à deux mains, l’enveloppant de mes bras. Il saisit soudain mes cheveux pour les tirer vers l’arrière, arrachant ma bouche de ses lèvres si douces.
C’était plus un ordre qu’une supplique.
Sans un mot, Jean se redressa légèrement pour se caler sur les oreillers. D’une main, il amena mon visage au niveau de son bassin tandis que l’autre guidait son sexe turgescent vers mes lèvres.
Devant cette belle queue bandée, je ne pus m’empêcher d’émettre un grognement de satisfaction et me précipitai sur ce sexe qui me faisait tant envie. Je me jetai dessus et l’enfournai voracement, faisant aller et venir mes lèvres serrées à grande vitesse. Puis, m’installant à quatre pattes au-dessus d’une de ses cuisses, je fis remonter ma langue tout doucement, de ses couilles au gland, en le regardant dans les yeux. Je lus le désir chez mon homme, et me positionnant confortablement, je me mis à déguster son bâton de plaisir. Saisissant sa queue à deux mains, je tirai vers le bas pour dégager au maximum le gland violacé où perlait une gouttelette de plaisir que je vins recueillir du bout de la langue. Je remontai légèrement puis fit glisser mon poing complètement à la base. Je regardai à nouveau le gros gland pendant plusieurs secondes, admirant une nouvelle goutte de pré-sperme perlant du méat. Je baissais la tête, puis, amoureusement, lentement, sensuellement, je pris son gland entre mes lèvres pour l’embrasser, le lécher, le suçoter. Quel plaisir ! Je dardai ma langue et léchai ardemment le jus savoureux de cette queue luisante.
Seuls mes grognements de volupté lui répondirent. J’en fermai les yeux de plaisir. Graduellement, je laissai mes lèvres glisser sur la queue de mon homme, absorbant centimètre après centimètre cette trique palpitante. Les yeux toujours fermés, je commençai à sucer cette bonne bite extrêmement dure, m’émerveillant comme à chaque fois sur sa rigidité. Je pompais cette queue savoureuse, qui devenait de plus en plus dure. J’y mettais tout mon amour et tout mon désir, avançant mes lèvres au plus près de la base, mourant d’envie de prendre en bouche toute cette colonne de chair, qui semblait encore grossir en taille et en raideur. Son gland était devenu énorme et emplissait ma bouche.
Mes grognements répondaient aux gémissements de Jean. Nous n’étions que râles et succion. C’est alors que je sentis une présence et, ouvrant les yeux, je remarquais Chloé qui nous avait rejoints. Elle était allongée à côté de nous, son visage à quelques centimètres du mien, ses lèvres gorgées de désir, ses yeux bleus plein d’envie fixés sur la queue luisante de mon mari. Elle me sourit et j’arrêtai ma fellation pour lui rendre son sourire. Un coup d’œil vers Jean, qui répondit à mon sourire gourmand en caressant mes cheveux. Sa main était déjà partie caresser les fesses de notre petite brune qui avait maintenant planté ses prunelles pénétrantes dans les miennes, comme pour me supplier de lui prêter mon jouet.
Doucement, je tendis le sexe luisant de Jean vers les lèvres humides de Chloé. Elle déposa des baisers de plus en plus appuyés sur le gland gonflé avant de fermer les yeux de plaisir, émettant un gémissement assourdi lorsqu’elle le prit dans sa bouche. Ravie, je me réinstallai, me trouvant maintenant perpendiculaire à Jean, face à Chloé. Je regardai à nouveau mon homme et lus dans son regard toute la puissance érotique que je dégageais. À quatre pattes, mes seins frôlant sa jambe, je m’étais cambrée au maximum en écartant les cuisses pour relever au plus haut mes fesses et me donner une allure de femme désireuse de se faire mettre. L’effet était réussi, et laissant Chloé se délecter avec gourmandise du gland qui lui avait envahi la bouche, je me mis à lécher avec passion les couilles durcies de Jean.
Les bruits obscènes de succion et nos gémissements de contentement étaient devenus très forts et emplissaient la chambre à coucher. Je vis Chloé commencer fébrilement à hocher la tête de haut en bas, baisant sa bouche avec la grosse queue de mon mari, ses joues gonflées par l’épaisseur et la raideur de la trique. Mes doigts serrés sur la base du membre, je me suis mis à le branler pendant qu’elle en suçait l’extrémité, faisant tourner sa langue autour du gland, l’arrosant de salive, l’aspirant quand elle le sentait ruisseler.
Cette vision exacerba mes sens et, alors que ma bouche rejoignait celle de Chloé qui glissait sur le gland lustré, Jean vint me saisir le sein pour le presser, déclenchant dans mon ventre une nouvelle envie furieuse. Je gémis et envoyai ma main sur mon clitoris que je découvris étonnamment gonflé. Je le comprimai sous mes doigts, déclenchant un bien-être immédiat, me faisant mouiller comme une folle. Et c’est en haletant de plaisir que ma langue vint s’enrouler autour de celle de Chloé pour se lancer dans un ballet humide, tournoyant et virevoltant au-dessus et sur la queue de Jean qui continuait à recevoir nos hommages. Ses lèvres rivalisaient de douceur avec le gland tendu et j’alternai mes caresses buccales, avide de posséder l’un et les autres.
Mon corps était en feu ; ils m’avaient hyper excitée. Une main vint se poser sur mes fesses pour débuter une lente et sensuelle caresse. Les doigts allaient et venaient, frôlant mon anus palpitant, me rendant avide de plaisir. Du bout de la langue, je me mis à caresser les lèvres de notre compagne, allant chercher les gouttes du plaisir de mon homme pour les étaler sur sa bouche pulpeuse. Mes fesses cherchaient la caresse, se relevant toujours plus haut, s’offrant de manière impudique.
Je ne pus m’empêcher de crier de plaisir et de surprise lorsqu’un sexe masculin, écartant les parois lubrifiées de mon vagin, me pénétra de toute sa longueur. Je sentis ce nouveau gland prendre possession de mon puits d’amour puis se retirer. Deux mains agrippèrent mes hanches et, m’attirant vers l’arrière, la queue inconnue se propulsa à nouveau vers l’avant, emplissant ma chatte complètement. Un nouveau cri s’échappa de mes lèvres et je lâchai la bite que j’avais en main pour me donner pleinement aux coups de boutoir qui me faisaient chavirer. À chaque claquement de bassin sur mes fesses répondait un cri. La queue qui me pourfendait me procurait un bien fou.
Vibrante sous les assauts virils, je jouis une première fois très rapidement. Les palpitations de ma chatte en fusion firent ralentir le mouvement de piston de la queue qui me possédait, et j’en profitai pour regarder derrière moi. Debout, les doigts crispés sur mes hanches, Christophe s’activait à me donner du plaisir. Je croisai ses yeux et un nouveau cri s’échappa de ma gorge. Je regardai Jean qui me parut se réjouir du spectacle que j’offrais. Je lus le consentement et le plaisir dans ses yeux et, rassurée, sur un nouveau feulement, je jouis une seconde fois en saisissant à nouveau la queue de mon homme.
Chloé s’était déplacée et me caressait maintenant le dos et les seins. Christophe avait ralenti sa cadence, semblant vouloir savourer pleinement sa possession. Je pus reprendre en bouche la bite bien aimée et m’appliquer à une fellation des plus savoureuses. Putain, ce que c’était bon ! Une queue dans la bouche, une autre dans la chatte ! J’étais comblée. Je suçais avec délice ; je me faisais mettre et j’aimais ça.
Une main sur ses couilles, l’autre caressant toujours la base de sa queue, j’extirpai son membre d’entre mes lèvres et réussis à articuler, entre deux pénétrations :
Je n’en pouvais plus. Je me caressais le visage avec la bite de mon homme pendant que celle de Christophe s’activait dans mon vagin. J’étais brûlante d’envie, avide de profiter au maximum de ces sexes que je recevais en moi, folle de jouissance.
Je sentis Christophe se retirer et Jean s’éloigner de moi. Une intense frustration s’empara de mon corps qui n’était pas rassasié. J’avais encore envie de me faire mettre, d’être remplie. Mais avant d’avoir pu dire le moindre mot, Jean m’avait fait allonger sur le dos et s’était installé entre mes cuisses. Je pris mes seins à pleines mains pour les presser tant la tension qui m’habitait était forte.
Chloé, qui devait nous regarder, vint m’embrasser. Sa langue, mutine et fraîche, glissait sur mes lèvres et cherchait à pénétrer doucement ma bouche. Je la pris tendrement pour la sucer, comme je l’aurais fait d’un sexe d’homme.
Dans le même temps, Jean s’était installé entre mes cuisses, qu’il avait remontées bien haut. Il frottait son gland sur ma chatte, caressant mon clitoris, me faisant me tortiller de plaisir. Je sentais son gland se branler entre mes lèvres intimes, comme pour mieux s’humecter du nectar qui coulait de ma chatte affamée. Je voulais qu’il me prenne, j’avais envie de sa queue en moi, et je me mis à gémir de frustration, comme pour l’appeler. Les frottements sur mon clitoris hyper sensible me firent partir à nouveau au septième ciel et il me fallut un moment pour que les spasmes ne s’apaisent. Je ressentais pourtant encore dans mon ventre un besoin, une envie, que je n’avais jamais éprouvée aussi fortement qu’aujourd’hui. Il me fallait absolument sentir la bonne bite, la grosse colonne de chair de mon mari dans ma petite chatte ruisselante aussi rapidement qu’il pourrait me l’enfiler.
Sa pénétration fut rapide, profonde, et me coupa le souffle. J’étais empalée sur sa bite ; il m’avait remplie entièrement, d’une seule poussée. Sa queue était diablement grosse, preuve de l’excitation dans laquelle il se trouvait. Je me remis à gémir, mordant ma lèvre inférieure en sentant sa grosse queue écarter les parois de ma petite chatte. Les cuisses largement ouvertes et relevées, la chatte béante, Jean se mit à me limer, poussant toujours plus loin son sexe en moi. Sa queue frottait et distendait les parois de mon vagin, ce qui me fit hurler de plaisir. Chloé, qui s’était légèrement reculée, se masturbait frénétiquement, m’offrant le spectacle de sa petite chatte luisante coulant sous ses doigts. Alors que je tendais la main vers elle, entre deux assauts de Jean, pour venir la caresser, Christophe prit ma tête dans une de ses mains pour la tourner vers lui. Je me trouvais face à son sexe luisant et palpitant, gonflé d’envie. Il attira mon visage vers sa queue, et lorsque mes lèvres touchèrent son gland, ma bouche s’entrouvrit instinctivement. Il en profita pour donner un coup de bassin vers l’avant, sa bite forçant le passage de mes lèvres pour venir dans ma bouche.
Je me trouvais à nouveau investie par deux queues. C’était vraiment très bon. Deux bonnes bites pour moi… J’agitais mon cul, poussant ma chatte palpitante à la rencontre du sexe de Jean. Ma chatte se contractait de façon incontrôlable, se serrant constamment autour de la rigidité énorme qui occupait tout mon ventre.
Je tentai de me tourner légèrement sur le côté, sans succès. Christophe s’était installé au-dessus de moi, et me baisait maintenant la bouche. Ses pénétrations, lentes et contrôlées, étaient calquées sur le rythme que m’imposait Jean. Je saisis son sexe avec ma main, pour mieux en contrôler les entrées et sorties dans ma bouche. C’était fantastique : quand la queue de Jean sortait de ma chatte, celle de Christophe investissait ma bouche et inversement. La situation était telle que je jouis une fois de plus, manquant m’étouffer avec le sexe qui gonflait lui aussi entre mes lèvres. Je devinai qu’il allait venir et j’avais hâte de sentir la décharge dans ma bouche. Moi qui d’habitude ne suis pas friande de cette liqueur, là, j’avais envie d’avaler tout le sperme que pourrait dégorger sa queue.
Il me saisit alors la tête, pour la bloquer contre son bas-ventre, poussant sur ses hanches pour enfoncer un peu plus sa tige épaisse. Mes talents de suceuse allaient être récompensés à leur juste mesure et j’eus hâte de sentir la première décharge sur ma langue. Un jet énorme de sperme jaillit du gland gonflé et se répandit dans ma gorge. J’avalai avec délectation et me mis à téter avec application et gourmandise, laissant le trop-plein couler sur mes lèvres et mon menton. Après avoir consciencieusement nettoyé l’organe qui venait de m’offrir le jus de son plaisir, je relâchai Christophe qui s’écroula à mes côtés.
Jean en profita pour laisser ma chatte repue et me présenter son sexe luisant de nos sécrétions intimes. Je m’emparai de la queue bien-aimée et me mis à la branler, la secouant et la suçant en même temps, avide d’obtenir ma récompense. Chloé s’était avancée, gémissante, la langue tirée vers le gland gonflé. Elle aussi voulait sa part. Le premier jet fusa et vint s’écraser sur son palais. Je me précipitai alors pour emboucher la bite jaillissante et me régaler de son nectar. Plusieurs salves épaisses vinrent emplir ma bouche, et je les gardais précieusement.
Vidé, Jean se retira de ma bouche et me sourit. Quant à moi, repue de plaisir et de sperme, je me laissais enfin aller sur les oreillers et attirais Chloé pour l’embrasser, pour partager avec elle la semence de mon homme.