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n° 18643Fiche technique18872 caractères18872
Temps de lecture estimé : 11 mn
03/11/18
corrigé 06/06/21
Résumé:  Ma mère m'avait prévenue : quand on dépasse la cinquantaine, des tas de problème de santé vous tombent sur le coin de la figure et du corps !
Critères:  fh couple cunnilingu coprolalie -couple
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Mal de dos - bis


Réécriture du texte 18583, suite à une remarque d’Eulalie, suivie de Carla. Moore et de Charlie67. Ce petit texte n’est pas trop érotique, bien que légèrement inspiré de la vie quotidienne…

Ne pas confondre narratrice et auteur :)





Ma chère maman m’avait prévenue : quand on dépasse la cinquantaine, des tas de problèmes de santé vous tombent sur le coin de la figure et du corps. Hélas pour moi, cette prédiction s’est révélée exacte, et depuis quelques mois, j’ai droit à des tas de maladies diverses affectant mon beau corps de sirène qui s’avachit doucement, mais sûrement sous ces assauts conjugués. Grandeur et décadence ! Et aujourd’hui, c’est le bas de ma colonne vertébrale qui fait des siennes !



Là, c’est mon homme qui vient de parler, celui qui partage ma vie depuis bien des années, bientôt un quart de siècle ! Esquissant une grimace, je lui réponds :



Pour une fois, mon mari ne dit pas que des conneries. Péniblement, je pars donc dans la chambre en embarquant un bouquin au passage. Je vais en profiter pour le lire, ça va faire deux mois que j’ai déniché cette méthode d’égyptien ancien sur une braderie, fin septembre, une rareté sur laquelle je me suis jetée et que j’ai eue à un prix dérisoire. D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une passion pour la haute antiquité, alors dénicher un bouquin qui explique comment lire les hiéroglyphes, je ne pouvais pas ne pas le prendre !


Ce jour-là, quand mon mari a découvert le titre de ma nouvelle acquisition, il a levé illico les yeux au ciel, en s’exclamant :



Zieuter d’autres femmes que moi ? Pas question ! Et le remercier de ça ? Pas question non plus ! Je rétorque :



Et nous en sommes restés là. À chacun son truc pour s’évader…


Je me mets à l’aise avant de me coucher. Allongée sur le dos, seulement habillée d’un T-shirt, sous la couette, la tête bien calée, je feuillette le premier chapitre de cet ouvrage, puis le suivant. Comme déjà dit, j’ai toujours eu un faible pour les civilisations antiques. Depuis quelques pages, je suis en train de lire des choses que je connais déjà. Mais ci et là, je découvre des nouveautés, tout au moins, des points de détails inconnus. Je constate avec un relatif plaisir que, malgré mon âge, je n’ai pas tout désappris, diverses choses me remontent en mémoire.


Je me surprends à penser à voix haute :



Je me suis toujours demandé pourquoi les anciens Égyptiens n’avaient pas accédé à une écriture plus simple alors qu’ils étaient capables avec moins de trente de leurs signes de noter leur langue, d’autant qu’ils ne précisaient pas les voyelles. La tradition qui était trop pesante et ancrée ? Le fait que les scribes étaient jaloux de leurs connaissances en la matière ? Un peu des deux ?


Petit à petit, le soleil décline, je dois allumer la lumière afin de continuer à lire. Mon dos me fait moins souffrir, mais je sens que je n’ai pas trop intérêt à me lever pour gambader. Quelques minutes et quelques pages passent, puis j’entends du bruit dans le couloir. Peu après, la porte de la chambre s’ouvre sur mon homme qui vient m’annoncer :



Je jette un coup d’œil sur le radioréveil : en effet, c’est presque l’heure du repas. Faisant la moue, je réponds :



Je m’étonne du faible choix :



En général, quand je suis malade, je mange nettement moins. Mais si maintenant je devais manger quelque chose, ce serait mon homme ! Il n’a peut-être pas inventé l’eau chaude, mais ce petit salopard s’entretient, et il reste toujours aussi craquant qu’à notre première rencontre, et ce, malgré les années qui passent ! De plus, monsieur est lui aussi en T-shirt, mais plutôt moulant, sans parler de son caleçon un peu élimé qui laisse entrevoir bien des choses privées ! D’ailleurs quelque chose, au bas de mon ventre, frémit, me donnant des coups de chaud et d’humidité. Non, je n’arrive pas à me lasser de ma mâle moitié malgré les années ! Mais hélas, aujourd’hui, vu mon dos, je ne peux pas sauter sur mon chippendale favori, comme il m’arrive souvent de le faire en temps normal.


Il s’avance un peu dans notre chambre, je distingue mieux ses formes, ses muscles, sa tranquille puissance. Se penchant légèrement sur moi, il me demande :



Je proposerais bien quelque chose, mais, moins salace, mon innocente bouche répond :



Une fois, soit, mais deux fois, c’est tenter le diable ! Pour toute réponse, je découvre la couverture, révélant un sexe bien pêchu et fendu. Hochant de la tête, mon homme sourit :



Vicieuse, j’écarte ostensiblement les jambes. Je désigne mon pubis et ce qui se niche en dessous :



Il râle pour la forme, ce qui ne l’empêche pas de poser ses lèvres chaudes sur mon pubis qui frémit sous ce double contact. Après quelques taquineries sur mon petit mont dodu, une langue agile s’insinue vicieusement dans ma fente déjà un peu humide, et commence une douce et longue caresse comme elle sait si bien le faire. Et j’adore qu’on vienne titiller mon clitoris ! Ça dure environ deux bonnes minutes, puis mon homme se redresse, me demandant :



Je me demande bien ce qu’il fera avec cette nouvelle trousse, sachant que des outils, il en possède déjà plein à la cave et au garage, mais bon, si ça l’amuse, et de plus, ça peut toujours servir… Calmement, il s’assied sur le bord du lit, puis il me regarde droit dans les yeux :



Son air narquois et supérieur m’excite encore plus. Sans parler du fait qu’il vient de parler de gigolo… Alors, vicieusement, je poursuis dans cette voie :



Il ne répond rien, mais je vois une certaine lueur dans ses yeux. Je continue :



Prenant mon ton le plus affirmatif, je le questionne :



Mon mari semble vouloir jouer le jeu. J’accentue :



Le son de sa voix me fait frémir, je souris :



Et il s’exécute, enfouissant d’un seul coup sa langue soyeuse dans ma fente qui n’attendait que ça. Elle glisse entre mes lèvres, les caressant voluptueusement de l’intérieur, cueillant au passage ma cyprine qui commence à ruisseler. Puis il s’attaque à mon capuchon, débusquant mon clitoris qui frémit de plaisir sous cette attache humide, et ça me fait un sacré effet ! Il s’applique, sans chichis, spontanément, comme si ma chatte était son usuel terrain de jeu. Ça me fait vraiment plaisir de voir un homme, mon homme, s’occuper de ma foufoune sans faire la moue, et non par obligation.


Car j’ai lu qu’il existait quand même plein de bonshommes qui ne daignent pas léchouiller leur(s) compagne(s), mais qui exigent néanmoins une fellation. Rien que des cons, ou plutôt, rien que des abrutis de première catégorie !



Il sait y faire, mon gros cochon ! Parfois je me demande si d’autres femmes bénéficient de ses talents buccaux. Il est vrai que je ne sais pas ce qu’il peut se passer à son boulot, d’autant qu’il y a beaucoup femelles en manque sur place. Un peu de trop, d’ailleurs… De plus, comme monsieur s’entretient, il va souvent à la salle de muscu, et là aussi, il peut se passer bien des choses ! Peut-être se fait-il la main ou plutôt la bouche sur d’autres femmes que moi… D’autant qu’un cunni, ça ne demande pas trois plombes, et ça ne laisse pas de trace, si on suce ensuite un bonbon à la menthe…



Il relève légèrement le menton pour répondre :



Il replonge aussitôt dans la fente liquide. Peut-être aussi que je me fais des idées. Peut-être que je fantasme inutilement. Peut-être que mon mari m’est sans doute fidèle. Je ne sais pas. Peut-être qu’il s’entraîne ailleurs… Tout ce que je sais, et ça, je le sais parfaitement, c’est que ses lèvres savent me procurer un divin plaisir et que c’est le septième ciel !



Sa langue de gigolo est si suave, si chaude, si humide que c’est très difficile de résister ! Son organe agile et torride taquine, lèche, caresse ma fente dégoulinante et mon clitoris en feu. Comment un simple contact peut-il procurer tant de sensations, de plaisirs ? J’essaye de juguler le flot qui monte en moi, qui vrille mon ventre, mais c’est difficile, très difficile, trop difficile !



Puis n’en pouvant plus, dans un long râle, je jouis, m’abandonnant complètement ! Partie ailleurs, j’inonde cette bouche si vorace qui me fait tant de bien ! Je submerge ces lèvres brûlantes de toute ma cyprine, je me lâche, je me vide, tandis qu’il me boit. J’adore quand mon homme se comporte en léchouilleur, quand il me fait tant de bien, et que je me permets de le traiter de tous les noms, en moins que rien, en péquenot baveur, en pourceau salivant, et j’en passe !



Ce que fait ce gros chacal sans se forcer. Fiévreuse, j’imagine toute cette cyprine chaude et visqueuse dans sa bouche, sur sa langue, puis qui descend au fond de sa gorge, dans son œsophage, pour aller le nourrir, le remplir. J’imagine même celle-ci se perdre dans ses intestins… Plus besoin de lui faire la cuisine, il viendra me déguster comme ça tous les jours !



Clignant des yeux, je secoue la tête, je suis en train d’imaginer des trucs bizarres ! Non, ça ne me vaut rien d’être malade ! Bien que… quoi que…


Dans un dernier cri de jouissance, je sens ma chatte en folie tournoyer, je me sens à la fois comblée, vide, sereine et apaisée… Mon trouduc s’applique toujours un peu autour de mes lèvres intimes, agaçant un clitoris en éruption. Je tente de le repousser, mais il s’accroche à ma chatte comme un morbac ! Un dernier coup de langue, puis il me délaisse. Je gis sur le lit, épuisée, les yeux clos. Un brin hautain et cynique, il me demande :



J’ouvre les yeux pour répliquer :



Assez étonné, il se gratte la tête quelques instants, puis répond, avec un sourire lumineux sur les lèvres :



Songeur, il attend trois secondes avant de rétorquer :



Puis sans attendre ma réponse, me tournant le dos, il se lève puis quitte la chambre. Tandis qu’il s’éloigne, je me laisse aller, béate, planante. Se faire lécher, c’est franchement génial, ça vaut mieux un coït classique, sans parler du côté un peu dominateur de la chose. Je ne suis pas contre le fait de me faire pénétrer, mais pour moi, ce n’est pas la panacée. Je rêve parfois d’un docile soumis qui viendrait me lécher de sa langue à ma dévotion, toutes les fois que je claquerais des doigts. Peu importe le lieu, il serait là entre mes jambes pour me soulager, me boire et me faire tant de bien !


Sans parler du fait de dire des gros mots, ça m’excite grave ! Suis-je normale, docteur ? Les hommes ne se gênent pas pour nous traiter de salope ou de pute, même s’ils disent que c’est affectif…


En revenant à ma lope baveuse imaginaire, je crois même que je me laisserai lécher devant les copines, histoire de faire voir que je sais profiter de la vie. Mais je crains qu’elles ne veuillent ensuite me piquer mon joujou vivant…


Parfois, mon homme m’offre ce petit luxe pas toujours très innocent, mais si excitant… Il ne le fait pas tous les jours, loin s’en faut, car souvent après, il exige d’aller se vider en moi. Néanmoins, il m’accorde cette fantaisie sans pénétration selon les circonstances, comme par exemple, pour me réconforter comme quand je suis malade…


Oui, parfois, il y a du bon à être malade…