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Un après-midi d'été

Le départ

Voilà, enfin, les vacances peuvent commencer, après des semaines folles de travail, je les mérite. J’ai décidé de partir en bord de mer pour pratiquer ma passion et profiter du soleil et de ce que la nature a à offrir.

Me voilà sur la route, après quelques heures de voiture, j’arrive sur la côte méditerranéenne. Oliviers, pins et cigales, pas de doute, je suis en Provence. Je trouve ma chambre que je loue chez l’habitant tout au fond d’un chemin bordé d’oliviers et qui donne sur une somptueuse demeure contemporaine en pierres et baies vitrées. Les propriétaires m’accueillent chaleureusement et me fond faire le tour de la maison.

Ma chambre est en bas.

Elle donne directement sur le jardin qui lui-même donne sur un ponton posé sur une mer d’un bleu magnifique.

Étant arrivé en fin d’après-midi, je suis épuisé par mon trajet. Je profiterai demain, après une bonne nuit de sommeil.

Le lendemain

La chaleur des rayons de soleil me réveille à travers les volets, j’ouvre la fenêtre, il faut chaud et ça sent bon la mer. Les cigales donnent déjà de la voix.

La table du petit déjeuner est mise dans le jardin et est bien fournie par mes hôtes.

Du coin de l’œil, j’aperçois une paire de valises devant la baie vitrée collée à la mienne, un nouvel arrivant peut-être ? Mon petit déjeuner fini, je m’empresse d’aller chercher mon sac de plongée et me dirige vers le ponton.

En train de m’équiper sur le ponton pour partir plonger, j’aperçois ma nouvelle voisine, une femme brune, plutôt fine, de ce que je peux en voir de cette distance. Je finis de me préparer et je sens que l’on m’observe, de derrière la baie vitrée, car je devine sa silhouette immobile fixant la mer.

Je me jette à l’eau, quelle sensation de bonheur et d’apaisement ! Le calme, le bleu, les roches et les poissons, et après un peu plus d’une heure de plongée, je reviens vers le ponton. Ma dernière apnée me fait arriver au pied du ponton et, quand je lève la tête, j’aperçois une femme qui me regarde remonter lentement. Une fois sortie la tête de l’eau, je vois une femme particulièrement belle : j’en suis troublé et esquisse un sourire pour dire bonjour. Elle me salue à son tour et me demande si j’avais besoin de quelque chose, je lui tends mes palmes qu’elle dépose sur mon sac.

• — Je m’appelle Nina, je vous observais, j’espère que cela nous vous dérange pas trop ?

J’ai eu le temps de la regarder le temps que je remonte sur le ponton : une femme brune, tatouée et avec des jolies formes. Elle est dans un maillot qui met en valeur sa poitrine, elle est belle et elle le sait. Je lui donne à peine la quarantaine, des lèvres pulpeuses qui donnent envie d’y goûter. Un magnifique cerf tatoué sur sa chute de reins donne envie de voir le bas du tatouage. Bref, je lui réponds :

• — Enchanté, moi c’est David, cela ne me dérange point du tout !

Nous avons passé quelques minutes à échanger au bord de l’eau jusqu’à que son téléphone, laissé sur la table du jardin, l’éloigne de moi. J’ai une sensation bizarre, cette femme me plaît, j’ai envie de la découvrir, elle m’a fait vibrer et je pense qu’elle aussi a apprécié ce moment.

Le repas de midi pris dans le jardin, seul face à la mer, me donne l’envie d’aller m’allonger. Après tout, les vacances, c’est fait pour ça, une bonne sieste.

En me dirigeant vers ma chambre, j’aperçois la baie vitrée de Nina entrouverte mais rideaux tirés : sûrement à la sieste elle aussi, épuisée de son voyage. Je ne peux m’empêcher de toquer à la fenêtre : pas de réponse.

Je décale le rideau et glisse ma tête, et la vois allongée sur le ventre avec juste pour vêtement, un string blanc décoré d’une chaînette dorée. Je l’observe quelques secondes, les courbes de son corps, la tête de cerf enfin visible. Je m’imagine parcourant sa peau avec mes lèvres. Elle bouge, la panique m’envahit et je m’échappe vite vers ma chambre.

Mais que se passe-t-il ? Mon corps tremble, je quitte mon t-shirt et mon short et me surprend à avoir une grosse érection. Je la sais juste derrière ce mur, allongée nue. Je laisse ma main se saisir de mon sexe et commence à me masturber en imaginant le galbe de ses seins, son ventre et pour finir, son entrecuisse qui laisse apparaître une douce chatte épilée ; du moins dans mon imagination… L’excitation est telle que je ne peux me contrôler, je sens que je vais jouir.

Je suis debout et mon sperme se retrouve sur le carrelage anthracite de ma chambre. Après cela je me couche, détendu, pour ma sieste…

Le jour suivant

Au réveil, j’aperçois Nina à travers la baie vitrée, allongée au pied du ponton sur un transat. Je m’approche pour aller la voir et une belle surprise m’attend : elle est topless avec un petit bas de maillot jaune fluo très moulant. Elle voit ma réaction à la vue de ses seins, ce qui lui fait plaisir visiblement puisqu’elle me demande de plonger avec elle.

Pendant trente minutes, je l’ai observée nager autour de moi, voyant ses fesses et ses seins onduler. Puis, elle me fait un signe, pour qu’on aille dans une petite crique juste à côté du ponton.

Une fois sur celle-ci, elle me dit :

• — Merci pour cette expérience, j’aimerais partager autre chose avec toi

À la fin de cette phrase, elle a sa main sur ma cuisse et la fait remonter jusqu’à mon membre qui est déjà dur rien que de la voir, sa poitrine vers moi, et ses lèvres se mordillant de désir. Elle m’enlève mon maillot et saisit ma bite dans sa main. Elle commence un mouvement de va-et-vient tout en me regardant droit dans les yeux, puis elle pose ses lèvres sur mon gland pour me sucer goulûment. Je sens mon sexe dans sa bouche, je sens sa langue qui le lèche. Une bonne grosse pipe comme je les aime, je devine les lèvres de sa chatte qui gonflent au travers de son maillot, j’ai envie de voir, de toucher, de caresser cette partie d’elle quand soudain on entend du bruit : des kayakistes arrivent. Elle me rhabille et nous retournons dans nos chambres.

Plus de nouvelles ensuite.

Dernier jour

Le matin, elle est déjà partie quand je me lève.

Ce matin, je suis parti en ville faire le marché et manger avec un ami de longue date.

À mon retour, je vois que la baie de Nina est entrouverte comme la dernière fois. Restant sur les bonnes choses non terminées d’hier, je pousse le rideau à nouveau et la découvre nue sortant de la douche. Elle me fait signe d’entrer, elle s’allonge sur le ventre, me laissant en tête-à-tête avec son tatouage. Je m’avance vers elle avec une bite de béton dans mon caleçon, elle ne dit rien. Je me penche sur elle et lui donne des baisers sur les épaules pendant que ma main remonte le long de ses jambes. J’arrive au niveau de ses fesses, elle fait un mouvement de jambes pour me laisser de la place, je glisse doucement le long de sa colonne avec ma langue jusqu’à arriver en haut de son sillon. Ma langue continue sa route elle s’enfonce et descend. Je regarde et aperçois enfin sa fente : elle est bien gonflée et quelques gouttes de cyprine y perlent. Mes mains sur ses hanches, elle comprend vite que j’ai envie de la lécher et se retourne sur le dos. Je lui relève les jambes, ce qui me permet d’avoir accès à l’intégralité de sa chatte. Je me lance, je la lèche, elle gémit et se prend les seins dans les mains !

J’adore procurer du plaisir comme cela ! Ma langue va-et-vient le long de ses lèvres et de son clito, j’ai de la cyprine partout et j’aime ça ! Je remonte et m’arrête sur ses seins, je les mordille, les palpe pendant que mes mains exerce une pression sur son petit cou. Mon sexe est à l’entrée de sa chatte. Elle me demande de la pénétrer. Je m’exécute. Aucune résistance, je rentre facile jusqu’au fond et marque un temps d’arrêt, le temps que son vagin s’habitue à mon pilon bien dur. Elle a l’air d’apprécier. Je commence des mouvements de va-et-vient plus ou moins rapides, nos respirations s’accélèrent. Elle me demande de la baiser comme une salope ! Je la retourne et enfonce ma bite luisante dans sa chatte grande ouverte. Je la défonce en levrette, je lui mets des fessées et elle en redemande. Je sens sa chatte se contracter autour de ma bite, elle va jouir, elle se touche en même temps. Ma bite sort de sa chatte et elle se masturbe avec. Je lui dis que je vais jouir et elle me dit de ne pas me retenir, nous allons jouir ensemble. Ma bite se gonfle et laisse sortir mon sperme chaud sur sa chatte, ce qui lui déclenche un orgasme énorme ! Elle est toute contractée et m’inonde de son nectar. Je découvre que c’est une femme fontaine. Nous finissons tous les deux sur le dos à reprendre notre respiration avec un sourire en coin.

Quelle bonne partie de baise !