n° 18648 | Fiche technique | 32196 caractères | 32196Temps de lecture estimé : 19 mn | 06/11/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Damien passe une semaine de vacances chez sa tante pour bosser ses cours. Il est loin de s'imaginer qu'il va perdre son pucelage lors de son séjour. | ||||
Critères: h fh fplusag jeunes oncletante vacances douche voir exhib miroir fellation cunnilingu init -prememois | ||||
Auteur : Gaia Envoi mini-message |
Damien
Vendredi soir : mon train se met à ralentir, j’approche enfin de ma destination. La chaleur de juillet est étouffante, surtout dans un compartiment de vieux train non climatisé !
J’ai décidé de laisser Paris et de me rendre une semaine chez mon oncle et ma tante qui vivent dans le Perche. Mon but est de travailler un peu mes cours au calme (je suis en fac de droit) avant de partir vraiment en vacances avec mes potes au mois d’août. Je songe déjà aux super vacances à venir où j’espère bien développer ma sexualité. Car pour l’instant, je dois l’avouer, elle se résume surtout à une activité manuelle et personnelle. En bref, j’ai dix-neuf ans et je suis encore puceau ! Je compte bien sur ces vacances pour perdre ma virginité ! Mais en attendant, une semaine chez tata pour bien bosser.
Camille, tante de Damien :
,Mais où est-il donc mon cher neveu ? Impossible de le voir avec ce monde… En plus, j’espère le reconnaître facilement, car ça fait bien dix-huit mois que je ne l’ai pas vu.
Ah ! Le voici. Effectivement, il a bien changé et ma foi, plutôt en bien ! J’ai devant moi un beau jeune homme de 1,85 m, châtain clair et avec une belle carrure d’athlète. Rien à voir avec l’ado que j’ai quitté la dernière fois.
Eh bien, gonflé le neveu ! Je note que, là aussi, il y a du changement…
Damien :
Le trajet sur la route qui nous ramène chez ma tante n’est pas très long. Sur le chemin, ma tante m’apprend que mon oncle rentre ce soir d’une semaine de déplacement professionnel et qu’elle a hâte de le retrouver.
S’ensuit une discussion banale consécutive à nos retrouvailles après plusieurs mois. Au fil de la discussion, mon regard n’a de cesse d’être attiré par ses jambes dénudées. Par cette chaleur, la tenue de ma tante est très décontractée. Sa jupe, plutôt courte, dévoile une bonne partie de ses cuisses, ce qui ne me laisse pas indifférent ! Jusqu’à aujourd’hui, je n’avais jamais vu ou voulu voir ma tante comme une femme, mais plus comme une parente. Ce soir, je dois avouer que ma tante me trouble un peu.
Camille :
À peine arrivé, je décide d’aller directement montrer à mon neveu ses appartements pour la semaine.
Damien :
Après que mon oncle nous a rejoints, nous avons dîné puis regardé un film. La soirée ne s’est pas éternisée, car mon oncle montrait des signes de fatigue de sa semaine. Je me retrouve donc rapidement seul dans la chambre de ma cousine. Un peu tôt pour aller se coucher, me dis-je.
Je m’allonge sur le lit et commence à repenser aux belles jambes de ma tante dans la voiture. Mon imagination va bon train et je mets à me souvenir des jeux d’enfants auxquels j’ai pu m’adonner avec ma cousine. Quelques scènes de « touche-pipi », quelques visions de sexes prépubères et cela commence à m’exciter un peu. Ma cousine doit bien cacher « quelques objets » qui pourraient bien prolonger mon excitation, me dis-je. Commence alors une fouille minutieuse de sa chambre jusqu’à tomber sur la commode de sous-vêtements. Que du banal, me diriez-vous, mais à cet instant cela suffit à décupler mon excitation. Bon, ça va finir en branlette classique dans le lit. Avant de me coucher, je descends dans la cuisine me chercher un verre d’eau.
En remontant de la cuisine, je passe devant la chambre de ma tante et entends quelques bruits. Ils doivent dormir à cette heure-là, pensai-je naïvement. Je me rapproche un peu et là pas de doute : mon oncle et ma tante baisent !
Je reste un moment figé comme hésitant à violer leur intimité, mais ma curiosité prend le dessus et je colle mon oreille à la porte. Outre des petits cris étouffés et des petits râles, je distingue nettement la voix de mon oncle :
Et ma tante de répliquer :
Mon érection a doublé à l’écoute de ces paroles. Mon sexe ne tient plus trop dans mon boxer. Je décide de le sortir et commence à me caresser doucement, l’oreille toujours collée à la porte.
Tout à coup, plus de bruit ! Suis-je démasqué ? J’entends mon oncle :
Et ma tante de répliquer :
Ces paroles me font imaginer la scène. J’imagine ma tante nue, la croupe en l’air, les bras sur l’oreiller, cambrant ses reins en attendant d’être pénétrée… L’activité reprend de plus belle. Leur rythme s’accélère. Je me surprends en train de synchroniser le mouvement de ma main sur mon sexe en fonction de leur rythme.
J’entends ma tante de plus en plus expressive :
Avant de terminer par un râle si fort que je me précipite dans ma chambre de peur qu’on me surprenne. Je n’en reviens pas de ce que je viens d’entendre. Ma tante, si distinguée, limite BCBG, parler comme ça ! L’imagination de la scène me revient sans cesse et il ne faut pas longtemps que j’explose à mon tour dans le lit de ma cousine.
Camille :
Putain que la nuit fut bonne ! Rien de tel qu’une bonne baise pour bien dormir. Cela faisait bien longtemps que je n’avais pas joui de la sorte avec mon Paulo. Certes, ça fait quelque temps que nous n’avions pas fait l’amour, mais quand même. J’espère que mon neveu n’a rien entendu…
Il fait beau ce matin et je suis levée de bonne heure. Je laisse Paul dormir et je descends dans la cuisine. À ma grande surprise, mon neveu est déjà là, assis à la table en train de prendre son petit déjeuner. Je m’approche et me penche vers lui pour l’embrasser. J’entame la conservation sur des banalités lorsque je remarque que mon Damien est troublé. Je mets quelques instants à réaliser que ma tenue est assez légère, dirait-on. Je ne porte en effet qu’une simple nuisette, d’été bien sûr, sans rien dessous, évidemment ! Sans être transparente, elle est légère, remonte haut sur les cuisses et ma poitrine assez libre n’est soutenue que légèrement par la nuisette. Deux petites bretelles maintiennent le tout sur les épaules.
Damien :
L’arrivée de ma tante dans la cuisine à cette heure matinale me surprend et a priori, elle aussi. Elle se dirige vers le café. Elle est en simple nuisette et ça n’a pas l’air de la gêner. Je suis bien content d’être assis, car j’ai un début d’érection et je ne suis qu’en boxer.
Lorsqu’elle se penche vers moi pour m’embrasser, une vue plongeante sur sa poitrine apparaît sous mes yeux, avec une tache sombre vers son bas-ventre. Là, tout se bouscule dans ma tête. Je crois que je viens d’apercevoir la chatte de ma tante ! Du coup, les images sonores de la nuit dernière reviennent et mon érection s’amplifie. Je me sens mal à l’aise à l’idée que ma tante s’en aperçoive !
Peu de chance que mon excitation retombe à la vue de ma tante qui se tient debout contre le plan de travail avec le soleil levant en contre-jour. La lumière arrière accentue la transparence de la nuisette et dessine au mieux sa belle silhouette.
Je n’ai pas encore décrit ma tante : elle doit mesurer 1,70 m, brune, peau bien blanche, une poitrine généreuse, mais pas trop grosse et un corps plus que bien conservé pour sa petite quarantaine.
Camille :
Pas de doute, je le trouble. Le problème, c’est que ça m’excite un peu. Je ne peux pas m’empêcher de tourner autour de lui pour voir ses réactions. À la vue de la bosse dans son boxer, pas de doute, je lui fais de l’effet ! Je dois dire que ce n’est pas désagréable pour une femme de mon âge de savoir qu’un jeune minot réagit de la sorte.
La morale voudrait que je m’arrête là. Je ne sais pas si c’est la suite de la nuit dernière, mais j’ai envie d’un peu plus… Un scénario commence à s’écrire dans ma tête : je vais offrir à mon neveu un petit cadeau dont il se souviendra toute sa vie !
J’espère que ce nigaud va me suivre !
Damien :
Ouf, elle est partie ! Je ne savais plus comment faire pour dissimuler mon érection. J’entreprends de débarrasser la table et commence à faire un peu de vaisselle. Soudain, ses dernières paroles me reviennent :
Je file à l’étage et, à pas de chaton, me glisse jusqu’à la porte entrouverte de la salle de bain. Je me plaque contre le mur et décroche un œil dans l’embrasure de la porte. Ma position est satisfaisante, j’aperçois ma tante de côté, à deux mètres de moi en train de se passer une crème sur le visage, sa nuisette encore sur elle. Le soleil matinal inonde la salle de bain et le couloir dans la pénombre facilite mon espionnage. Je n’ai qu’une seule crainte, le réveil de mon oncle qui dort à côté.
Camille :
Ça y est, il doit être là, j’ai entendu la troisième latte du parquet après l’escalier, celle qui fait toujours du bruit. Je me demande bien ce que je suis en train de faire, est-ce bien moral ? C’est mon neveu quand même. Le désir me pousse à continuer. Je décide de lui tourner le dos et commence à retirer délicatement ma nuisette. Je lève les bras et fais remonter doucement cette dernière. Mes mouvements sont lents, sensuels. Afin d’accentuer le spectacle, je me penche doucement vers l’avant, sans trop plier les jambes, pour ramasser ma nuisette maintenant à terre. Je suis en train d’imaginer la tête de mon voyeur face à cette vue imprenable sur mes fesses et sans doute un peu plus… Je me dirige vers la baignoire/douche sans me retourner et disparais derrière les portes amovibles de celle-ci. J’entame ma douche et me rends compte que cette scène m’a fait beaucoup d’effet. En fait, je mouille comme une jeune pucelle !
Damien :
Je n’en crois pas mes yeux, ma tante est devant moi, complètement nue. Je pourrais presque la toucher ! Ses courbes sont magnifiques et ce cul ! Je ne peux m’empêcher de quitter du regard cette croupe splendide que j’ai fortement envie de caresser, embrasser… et, bien sûr, de défoncer ! Mais je crois que mon cœur s’est arrêté de battre un instant quand elle s’est baissée. J’ai alors pu entrevoir son petit abricot et cette vision ne me quittera jamais !
Camille :
Il faut maintenant que je sorte de cette douche et nul doute que mon voyeur de neveu est encore à son poste d’observation. Après tout, c’est moi qui l’ai voulu. Cette fois, je dois sortir face à lui et pour aller chercher ma serviette. Je décide de lui donner un dernier spectacle : j’enroule ma serviette autour de la tête afin de sécher mes cheveux et je mets face à la porte. Ainsi, mon espion ne peut pas perdre une miette de mon corps. Cette situation est très érotique, car j’ai ainsi les yeux bandés et je m’expose complètement devant lui… C’est la première fois que je ressens cette sensation.
J’entends peu après mon mari qui se lève et cela coupe tous mes désirs. J’espère que mon voyeur ne s’est pas fait choper.
Damien :
Quelle sortie de douche ! Je découvre maintenant cette jolie toison brune que j’ai entraperçue au petit déjeuner. Je suis bouche bée et bande comme un taureau. Qu’elle est belle ! Je n’ai qu’une envie, c’est d’entrer et de l’embrasser partout !
Mais je dois vite rejoindre ma chambre, car j’entends mon oncle se lever. La branlette qui s’en suit est magique, intense…
Camille :
La journée de samedi se passe normalement. Damien nous aide pour les travaux et nous ne nous voyons pas beaucoup le soir. Et pour cause, les évènements du matin m’ont quelque peu émoustillée. Je me suis découvert une passion pour l’exhibitionnisme. Dès ma rentrée dans le lit conjugal, je saute sur mon mari, assez surpris de mon état d’excitation.
Pourquoi dit-il ça ? A-t-il compris ? Non, je ne crois pas, mais ce qui est sûr c’est que j’ai très envie de sentir son sexe en moi et je lui fais bien comprendre. Je me surprends en train d’imaginer la bite de neveu : grande ? petite ? grosse ?
Je prends les choses en main et me mets en amazone sur lui. Je suis maîtresse de mes mouvements en imprimant mon rythme. Mon mari n’est peut-être pas le meilleur coup du monde, mais il a pour lui de durer suffisant longtemps avant d’éjaculer, ce qui me laisse généralement le temps jouir.
J’accélère la cadence et commence à donner dans le vulgaire :
Je crois qu’il n’aurait pas dû me dire ça ! J’imagine du coup mon neveu en train d’écouter et mon ardeur n’en est que décuplée. Je lui dis :
Tout en accélérant le mouvement de mon bassin sur son sexe. Mes soupirs, mes petits cris sont de plus en plus forts et je laisse échapper un énorme « Ahhh ! » lors de l’orgasme qui s‘en suit. Pas de doute que mon neveu l’a entendu…
Damien :
Comment ne pas entendre mon oncle et ma tante ! Ma tante, surtout. Je me suis remis en poste dans le couloir et ne perds pas une miette de leurs ébats ! Décidément, je n’aurais pas cru cela d’elle. Je retourne dans mon lit, prends deux oreillers pour les mettre en sandwichs et introduis ma verge entre les deux. Je m’imagine alors à la place de mon oncle et parviens assez rapidement à la jouissance.
La journée de dimanche se passe normalement entre études et travaux.
Le lundi matin, mon oncle repart travailler. Ma tante, qui est prof, ne travaille pas en cette fin juillet. Nous nous occupons de la mise en marche du jacuzzi.
Camille :
Je crois que nous avons fini le jacuzzi. Il me vient alors une nouvelle idée dont j’ai honte, mais qui encore une fois me fait beaucoup de choses dans le bas du ventre.
Là, je l’ai scotché ! Plus de son, il ne sait plus où se mettre. Je dois vite reprendre la situation en main, sinon, je vais le perdre.
Damien :
K.O. ! Je suis K.O. Ma tante, sur laquelle je me suis branlé tout le week-end, est en train de me proposer de prendre un jacuzzi avec elle et de surcroît tout nu ! Mais cette fois, mon instinct bestial me dit de foncer et d’oublier ma pudeur.
Je me précipite dans le jacuzzi avant qu’elle ne revienne. L’eau est bien chaude. Je pianote sur les touches pour voir toutes les fonctions lorsque ma tante rentre dans la pièce. Elle porte un superbe maillot de bain deux-pièces noir, très classe, avec des petites boucles dorées. Elle le porte à merveille.
Et merde ! Comment reprendre ça sans s’embourber…
Je sombre complètement et tente de disparaître sous l’eau… Ma tante fait comme si rien n’était et entre dans le jacuzzi. Je ne sais quoi dire ou quoi faire. En revanche, sous l’eau et derrière les bulles se cache une putain d’érection.
Camille :
Toi mon coco, tu ne partiras pas de chez moi sans que j’aie pu voir ton sexe en érection. Je vais devoir le stimuler un peu.
Bon, en gros, je commence à comprendre qu’il est encore puceau. Mais quel gâchis ! Il va falloir que tatie Camille s’emploie pour changer cela, mais avec tact !
Damien :
Je ne sais plus où me mettre. Je bande à fond, heureusement sous l’eau, et elle ne le voit pas. Je suis dans un jacuzzi avec une femme que je trouve de plus en plus sublime et mon regard n’a de cesse de mater sa jolie poitrine soutenue par ce magnifique maillot de bain. J’ai tellement envie de changer de sujet que je me mets à lui parler d’autres choses.
Je n’en crois pas mes oreilles ! Ma tante me demande de la déshabiller. Bon, cette fois s’en est trop, j’arrête d’être un gamin et je compte bien saisir cette chance.
Je commence par me mettre à côté d’elle, passe ma main dans son dos et tente de décrocher le haut de son maillot. Après quatre ou cinq tentatives, je dois me rendre à l’évidence que je n’arrive pas !
Le haut retiré, ma tante se retourne vers moi instantanément laissant apparaître une magnifique paire de seins.
Et là, contre toute attente, ma tante se met debout face à moi, se rapproche de sorte que le bas de son maillot soit à dix centimètres de mon visage et me dit :
Je m’exécute et fais doucement glisser sa culotte vers le bas. Le spectacle qui m’est offert dépasse tout ce que j’avais pu imaginer. Je suis devant une superbe chatte brune, soigneusement épilée et je peux entrevoir ses lèvres supérieures légèrement entrouvertes. Je m’enhardis et commence à poser mes deux mains sur ses hanches en les caressant légèrement. Elle met sa tête en arrière et ses mains se posent sur ma tête. Elle ne bouge plus et me laisse observer le spectacle.
Camille :
Mon dieu, que suis-je en train de faire ? Je commence à mouiller sérieusement et les pointes de mes tétons se durcissent au contact de ses mains sur mes hanches. Je n’ai plus qu’une envie, c’est de mettre sa tête entre mes cuisses et de sentir sa langue sur ma chatte brûlante. Pas de précipitation, je risque de le perdre.
Damien :
Je commence à me désinhiber. Je me redresse alors, tandis qu’elle se rassoit. Maintenant debout, j’expose mon sexe en érection devant son visage et de la même façon lui propose de fermer mes yeux.
Camille :
Putain ! Quelle belle bite ! Jamais vu cela. Elle n’est pas énorme, mais très bien proportionnée. Et quelle vitalité, vive la jeunesse ! Je me retrouve donc nez à nez avec une super bite en érection. Impossible de ne pas aller plus loin.
Bon, là, sa timidité est tombée d’un coup. Sans coup frémir, je me mets à le décalotter d’une main et lui caresser les testicules de l’autre. L’instant d’après, je n’hésite pas à le prendre en bouche.
Je ne suis pas une grande adepte de la fellation. Je la pratique de temps à autre, surtout pour faire plaisir à mon mari, mais je n’en tire que peu de satisfaction. Mais là, allez savoir pourquoi, je mets à le sucer comme rarement je l’ai fait.
Damien :
Incroyable ! Ma tante est en train d’avaler ma queue et de mastiquer frénétiquement. Quelle sensation extraordinaire, je suis encore debout et j’en profite pour lui caresser les cheveux comme j’ai pu voir dans de nombreux films pornos.
Cette situation ne pouvait pas durer très longtemps, mon excitation est telle que la jouissance se rapproche à grands pas. Le problème c’est que je ne contrôle rien du tout et que je ne peux pas retenir mon éjaculation. Dans cette précipitation, je ne pense pas à prévenir ma pauvre tante.
Camille :
Mais quel con ! J’ai dû avaler ses deux premières giclées, surprise par cette décharge si rapide. Il va falloir que je lui explique deux trois choses à mon puceau de neveu ! Par contre, le reste de son éjaculation mérite le respect. Il m’en a mis partout et certaines giclées sont même sorties du jacuzzi !
Bon, ce n’est pas tout, mais moi j’ai la minette en feu. Je m’assois sur le bord du jacuzzi, écarte un peu les jambes et lui demande de me rendre la pareille, chose qu’il ne rechigne pas à faire.
Là aussi, on voit le débutant. Il me bouffe littéralement la chatte, mais sans trop de délicatesse et surtout sans trop savoir sur quelle zone insister. De plus ma position n’est pas très confortable. Aussi, je lui propose d’aller ailleurs. Mais où ? Le lit conjugal ? pas question. Le lit de ma fille ? Non plus. Salle de bain, toilettes, cuisine… bref, rien de bien romantique pour une première fois.
Nous sortons du jacuzzi, nous nous séchons rapidement et regagnons le couloir lorsqu’il m’arrête et me dit :
Il me montre le bout du couloir avec son doigt. C’est vrai que nous avons installé dans un petit recoin du couloir un gros fauteuil bien confortable pour lire ou faire la sieste. Un gros tapis bien épais recouvre le sol et un grand miroir se tient derrière le fauteuil.
À vos ordres, mon neveu ! Je dois avouer que de me laisser diriger de la sorte n’est pas trop courant pour moi. C’est plutôt moi qui dirige d’habitude. Mais là, ça m’excite. Ma position où je lui offre mon cul grand ouvert face à lui m’excite encore davantage. En plus, il ajoute maintenant à son cunnilingus, des caresses sur mes deux seins. Il alterne les prises à pleine main et les petits roulements de mes tétons entre ces doigts. C’est divin ! Il a dû apprendre ça sur internet !
Je commence vraiment à prendre mon pied, bien que ses gestes ne soient pas encore trop experts. Mais mon orgasme ne viendra pas comme cela ! J’ai clairement besoin de sa bite en moi. Je commence à réfléchir à la meilleure situation pour déniaiser mon neveu. Pour sa première, il faut tout un cérémonial.
Je suis alors dans cette pensée quand soudain je ressens une forte pression sur mon sexe. Je pense alors qu’il cherche à introduire un doigt, mais non ! Il commence à introduire sa bite dans mon vagin, sans rien me dire et d’une façon plutôt brutale ! Cela dit, il trouve vite le chemin. Commence alors un va-et-vient frénétique, facilité je dois dire par la quantité de mouille que je sécrète depuis tout à l’heure.
Bon sang, il y va fort, je commence déjà à partir, pourvu qu’il tienne…
Damien :
Je n’ai pas pu résister à ce cul offert devant moi. Le nez dans sa chatte ne me suffisait pas. J’ai suivi mon instinct bestial et l’ai prise sauvagement. Je me vois maintenant en train de buriner ma tante en levrette et aperçois de temps à autre son regard se perdant à travers le miroir en face de moi. Quelle sensation extraordinaire de sentir son sexe dans son antre, tout chaud et tout doux ! Je voudrais rester des heures comme cela, mais ma sève commence à monter. Du coup, je freine un peu et lui demande :
Elle est bien bonne celle-là ! Penser à ma mère ! Et pourquoi pas à mon oncle aussi ? Cela dit, cette phrase a eu le mérite de faire retomber la pression et j’en profite pour redoubler d’efforts pour satisfaire ma tante. J’en conclus que c’est efficace, car ma tante commence à pousser des petits cris et des « oui… vas-y… plus fort… » qui ne font qu’accroître ma motivation.
Je me déchaîne maintenant comme jamais je n’aurais cru l’imaginer. Ma tante me lance des « putain c’est bon !… défonce-moi le cul ! ». Je donne tout ce que j’ai et l’instant d’après, elle se crispe, se dandine et émet un râle profond et long. Aahhhaahh… C’est aussi à ce moment qu’une décharge électrique se produit dans tout mon corps jusqu’à mes orteils. Je me vide littéralement et violemment au plus profond de ses entrailles. Je reste crispé en elle. Je la maintiens encore fermement par mes mains sur ses hanches, ma queue encore en elle. Enfin, je retombe sur son dos avant que nous chavirions ensemble sur le fauteuil… Nous restons un long instant l’un contre l’autre. Ces minutes resteront les plus belles de ma vie.