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n° 18652Fiche technique20985 caractères20985
Temps de lecture estimé : 13 mn
07/11/18
Résumé:  Notre première soirée avec ce couple échangiste. Quelle soirée !
Critères:  ff 2couples couplus fellation cunnilingu pénétratio fsodo échange -entrecoup
Auteur : Isa13450            Envoi mini-message
Rencontre avec Nathalie et Denis

Cela fait vingt ans, vingt ans que mon mari et moi évoquons régulièrement l’idée de faire participer d’autres partenaires à nos ébats sexuels. Quel fantasme !


Dans le but de rapprocher ce fantasme au plus près de la réalité, c’est sur un site internet échangiste que David a fait la connaissance de Nathalie et Denis. Un couple de notre âge qui a l’avantage d’avoir une certaine expérience de la chose et qui habite à seulement une quarantaine de kilomètres de chez nous. Après quelques soirées virtuelles coquines en webcam, nous avons accepté leur invitation d’un petit dîner chez eux.


Sous-entendus érotiques et discussions coquines ont animé un repas léger après un apéritif qui lui avait été plutôt chargé en boissons alcoolisées. Excités par ces discussions d’ambiances, nous sommes tous les quatre impatients de passer aux choses sérieuses et c’est notre maîtresse de maison qui décide d’ouvrir le bal.


Là, au beau milieu du séjour, sans aucune retenue, Nathalie se déshabille devant nous. Mon regard se fixe sur sa poitrine que j’avais devinée nue sous sa robe. La coquine, elle ne porte aucun dessous, son sexe est parfaitement épilé. Sachant mon désir d’une relation lesbienne, elle s’installe à côté de moi, sur le grand canapé. Elle plaque ses mains derrière ma nuque et m’embrasse à pleine bouche. Je réponds à ses avances. Elle découvre une langue qui n’a pas oublié la bataille d’un premier baiser, celui qui signe un abandon, un accord qu’un partenaire accorde à un autre. Nos langues se mêlent avec frénésie. J’embrasse, je mordille et je suce ses grosses lèvres pulpeuses, je goûte ce magnifique fruit qui me fait tant envie.


Je tremble, mais elle me guide. Elle déboutonne mon chemisier pour toucher ma peau. Elle a les mains chaudes ; son souffle dans mon cou est humide, sensuel. Elle me mordille une oreille avant de dégrafer mon soutien-gorge et de prendre mes seins à pleines mains en se frottant contre moi. Elle fait glisser ma jupe sous mes fesses pour la retirer, et le contact de sa main sur ma culotte me fait sursauter. Nous nous retrouvons nues l’une contre l’autre et nous reprenons nos baisers.


Les garçons sont restés habillés et se sont assis chacun dans un fauteuil, face à nous, les yeux écarquillés, prêts à ne pas perdre une miette de ce qu’ils s’apprêtaient à observer.


Qu’est-ce qu’elle est belle, je la désire ! Elle poursuit ses caresses tout en m’embrassant langoureusement. Nos souffles se croisent et nos mains courent sur nos corps souples et chauds de leurs ardeurs dénudées. Elle me pelote un sein, elle me suce délicatement un téton et une main se dirige vers l’antre du plaisir. Sa main glisse, ses doigts fébriles caressent doucement en surface mes lèvres déjà mouillées. Des soupirs se pâment. Nos regards se perdent.


Puis, les doigts glissent allègrement entre les deux lèvres ; ils ne pénètrent pas mais remontent jusqu’au clitoris. Un geste de va-et-vient se crée, et lubrifie de mouille mon clito qui se gonfle et se durcit. Sous l’action rythmée des doigts de ma partenaire, je me perds en soupirs sonores. Maintenant, ses doigts branlent parfaitement ; ils glissent efficacement mais, stop ! Pas trop vite ! Elle ne veut pas me faire jouir tout de suite.


Elle me fait m’allonger sur le dos. Mon corps est maintenant entièrement nu et pleinement offert à ma partenaire. Elle m’observe, tout comme une tigresse se léchant les babines à l’idée du festin. Elle m’écarte les jambes. De sa langue gourmande, elle descend le long de ma cuisse en la léchant jusqu’à l’orée de ma chatte. La belle allongée, en proie que je suis à cette prédatrice à la langue experte, frissonne. Puis, de ses deux mains, elle écarte un peu plus mes cuisses et voit apparaitre le rose vif de ma chatte entrouverte. Ma chatte, si appétissante, brille de mille feux par la mouille étoilée. Alors, par petites touches, du bout de la langue, elle lèche avec application mon clito. Mes gémissements se font entendre. Sa langue se fait plus pressante, elle martèle avec sa salive mon clito qui semble se déployer à l’infini.


Écartelée, je tremble de tout mon corps. Elle me voit monter. Non, pas tout de suite. Elle arrête de me lécher et enchaîne en m’enfonçant l’index et le majeur dans le vagin. Ses doigts, si bien accueillis par ma chatte gourmande, se mettent à me branler activement en profondeur tout en exerçant une pression vers le haut. Stimulation du point G. Sous l’effet mécanique de sa main, je suis pleinement offerte, ne peux retenir mes cris. Elle me branle tant et si bien que ma chatte explose et gicle puissamment en inondant tout autour d’elle. Tout est trempé.


Mais je n’ai toujours pas joui du clito, et Nathalie le sait bien. Alors, sa langue gourmande reprend son ouvrage. Cette fois-ci, c’est sa bouche qui me suce, tout en branlant doucement avec sa main. Mon clito gonfle de plus belle ; il est rouge et brûlant, prêt à exploser en jouissance. Sa bouche, comme une sangsue, se colle et se gorge avidement de ma mouille salée. Ses doigts branlent savamment et stimulent efficacement ma montée orgasmique.


Je monte sous le regard émerveillé de Nathalie et nos deux hommes. Je monte et me perds dans des cris. Par palier, je m’achemine progressivement vers un orgasme pharaonique. Ma chatte est inondée de mouille. Tout trempe, tout glisse et coule en une source miraculeuse. Soudain, un cri puissant sort de ma bouche. Je jouis. Mon clito, comme un cœur palpitant, se contracte en secousses. Mon anus, que l’on entrevoit sous la mousse vulvaire, s’ouvre et se ferme. C’est alors que Nathalie, toute excitée, y enfonce un doigt. Elle sent mes convulsions s’enchaîner dans un rythme effréné. Puis, comme une mort programmée, le cœur palpitant, elle finit par s’arrêter. Je repose maintenant dans une torpeur extatique, sous le regard émerveillé de mon mari et de ce couple de nouveaux amis.


Juste le temps nécessaire pour reprendre mes esprits, les garçons se redressent et se rapprochent de nous. Nathalie prend David par la main pour l’entraîner dans une autre pièce hors de notre vue. Je me retrouve maintenant seule sur le canapé à côté de Denis qui vient de s’allonger près de moi en posant sa main sur ma cuisse.


Je regarde la bosse qui se prononce au niveau de son entrecuisse. Il bande comme un salaud ! Je la touche légèrement de ma main. Hum… comme c’est dur ! Mon Dieu ! Comme cette bandaison est prometteuse ! Alors, là, je n’hésite pas. Je la pelote copieusement de toute ma main, de ma paume et de mes cinq doigts. Sa bite, sous l’étoffe de son pantalon, est dure comme de la pierre. Je la caresse de plus en plus avec instance. J’en suis tout excitée ; et lui aussi, bien sûr. Il est maintenant dans tous ses états. Chaud comme de la braise. Il est en surchauffe. On dirait qu’il va exploser.


Il faut faire quelque chose ! Alors, tout doucement, je baisse la fermeture éclair de son pantalon. Ma main, taquine, vient s’immiscer dans cette fente ouverte qui me donne libre accès à la douceur du tissu de son boxer. Je sens sous ma main les formes avantageuses de cette queue prometteuse et bien gonflée. Il faut la libérer ! Je défais la ceinture et puis le bouton du pantalon. Je baisse le tout. Et puis, d’un geste, je libère sa queue. Comme un diable sortant de sa boîte, elle me saute à la figure. Quelle queue ! Énorme ! Son gland est turgescent et quelques gouttes nacrées s’en échappent. Quelle merveille ! Je n’y résiste pas. Maintenant, je la goûte par petites touches de ma langue gourmande. Hum… comme c’est bon ! C’est salé ! C’est du miel chaud qui coule dans ma bouche. Sa queue est nourrissante. Elle m’excite à outrance.


Je sens tout mon corps s’embraser. Je suis chaude comme une chatte avide de son p’tit lait, et je le lape goulûment avec délectation. Passons aux choses sérieuses. J’engouffre sa queue en m’écartelant la bouche. Elle est si grosse ! Quelle érection ! Je n’en avale que la moitié. Alors, du plat de ma langue, je le surprends en lui titillant les boules ; ça le fait gémir doucement. Ces couilles frétillent sous la pression de ma langue. Ben, mon coquin ! Il aime ça. Puis, je lui prends la queue d’une main, et de l’autre, je lui caresse doucement le gland du bout de mes doigts, après l’avoir bien humecté de ma salive. Petit jeu de bave, de mouille et de glisse. Je sens sous mes doigts la douceur sublime de cette queue gonflée à l’extrême qui s’offre à moi. La vision de ce gland brillant et la chaleur de sa bite dans ma main attisent tous mes sens. Je mouille. Je trempe. J’ai envie de me toucher la chatte, mais je suis tout à cette queue. Alors, je me mets à le branler doucement. Il coule encore. Je le lèche avec application. Sa mouille est bonne ; elle est onctueuse et salée. J’aimerais qu’il me gicle dans la bouche. Comme ça ! Tout prendre de lui. Cette idée me submerge et déchaîne ma passion.


Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m’enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J’en bave ; et plus bas, j’en mouille de plus belle. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l’enfonce jusqu’à l’étouffement. Elle m’excite ; ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit mais ne jouit toujours pas. Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C’est ça que je veux. Alors, je prends mes deux mains ; l’une branlant sur toute la longueur de la bite, l’autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m’active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste pas. Il lâche un long cri sonore et décharge dans ma bouche.


Une giclée d’une pression inouïe m’inonde l’arrière-gorge. Je tousse. Je pleure, mais de joie. Animé de spasmes, il n’en finit pas d’inonder par saccades mon gosier. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle et m’enflamme. Il faut que j’avale tout de lui. C’est mon premier amant et je veux tout de lui. Il me regarde stupéfait par la vision de ce spectacle et voit disparaître peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Il me brûle. Hum… comme tu es bon, Denis !


Deux petites minutes auront suffi pour qu’il reprenne toute sa vigueur. Contre toute attente, il n’est pas décidé à me prendre par la chatte, et comme promis lors de nos échanges sur skype, il s’apprête à me faire découvrir le bonheur d’une bonne sodomie.

Je suis curieuse de tenter cette expérience, mais cela me fait peur, il y a de quoi ! Il est vrai qu’une telle entreprise peut paraître périlleuse. Mon petit trou, sauvage et rebelle, offre toujours de la résistance. Il faut savoir le vaincre pour franchir le Rubicon.


Introduire quoi que ce soit dans cet antre délicat est une prouesse ; mais il faut l’avouer, c’est cela qui m’excite. Il me demande de m’installer à genoux sur le canapé, les fesses en l’air, la tête en bas. D’une main, il appuie sur mon dos pour me cambrer au possible. La position est indécente. En effet, À quatre pattes ! Croupe offerte ! Dans cette position, mon cul est une belle offrande. Rien qu’à le regarder, il bande sacrément. Mon cul est quant à lui bien ouvert et prêt à s’offrir. Il faut qu’il prenne de la couleur. Il y met tout son cœur. Aïe ! Je crie à chaque claque. Comme c’est excitant ! Il est prêt à se payer une belle enculade. Fin de la fessée. On peut voir les traces de mains qui se dessinent sur ce cul devenu vanille fraise. Hum…


Il ne reste plus qu’à lubrifier et détendre ce petit trou. Il me tartine de gel et mon anus tente de se défendre à chaque pénétration de son doigt. Pourtant, il faudra bien que ce cul s’ouvre. Il devra céder sans encombre au passage d’une queue bien déterminée à lui en faire voir de toutes les couleurs. Il enfonce maintenant plusieurs doigts. Le trou se détend progressivement. Je commence à ressentir les effets de ce curieux massage. Je n’ai pas mal, bien au contraire, ça devient bon. Je commence même à soupirer. Hum… mon étalon, avec sa queue gonflée à bloc, commence à s’impatienter sérieusement.


Maintenant, passons aux choses sérieuses. Il se saisit de sa queue. Il la tient fermement et présente le gland. Oh ! Mon cul se ferme. Il est bien farouche ! Il faut que cette croupe s’offre totalement. Il m’ordonne. Cambre-toi ! Écarte ton cul ! Je m’exécute. C’est alors que le gland amorce une lente pénétration, centimètre par centimètre. La rondelle n’a pas d’autre choix que de céder. Je serre les dents sans broncher. Et même si j’ai peur, j’ai très envie de goûter à ce plaisir méconnu. Ouf ! La queue est enfin maintenant arrivée au fond de mon cul. Alors, le Maître-Queux amorce un lent va-et-vient. Mon cul s’ouvre un peu plus, à chaque coup. Denis sent maintenant son gland frotter aisément. Hum… c’est si bon !


Sa queue coulisse de plus en plus vite. Je m’ouvre à la jouissance. Je soupire fortement. Oh ! Que sa queue est grosse ! Denis reprend l’option d’une fessée supplémentaire. Pendant qu’elle claque vigoureusement sur mes belles fesses rebondies, le gland fait son chemin. Sa queue s’enfonce inexorablement. L’action conjuguée de la douleur des claques et du gros calibre qui progresse au fond de mon cul commence à faire son effet. Le cul finit par céder totalement. Maintenant, la queue peut agir librement. Il cesse de battre mon cul. Sa queue se met à pilonner sérieusement. Je passe des soupirs aux cris. Je le ressens au plus profond de moi-même, une jouissance explosive arrive.


David et Nathalie réapparaissent nus dans le séjour. Au goût de la Maîtresse de maison, je fais beaucoup trop de bruit. Il faut me faire taire ! En plus d’une bite dans le cul, il me faut une bite dans la bouche. La Maîtresse s’empare de la queue de David et la fourre dans ma bouche. Oh, c’est merveilleux, ce fantasme tant de fois rêvé ! Je suis superbement bien baisée comme cela ; avec une bite qui s’active dans le cul et une autre dans le gosier. Pendant qu’à l’arrière je me fais défoncer sérieusement l’ognon, à l’avant, j’en bave. En effet, le Maître-Queux de devant me fourre gaillardement le fond du gosier, de sa bite vigoureuse. Les cris de jouissance qui sortaient de sa bouche se sont changés en glougloutements de l’arrière-gorge. Quant au Maître-Queux de l’arrière, il ne manque pas de redoubler d’ardeur en me défonçant vaillamment l’arrière-train. Hum… c’est si bon ! Et si on changeait ? La queue de derrière à l’avant et celle de devant à l’arrière.


Ainsi, je me retrouve bouche écartelée à l’avant, et queue baladeuse à l’arrière. En effet, dans un cul bien dilaté, la queue plus fine de mon mari peut varier aisément ses angles d’attaque. Et c’est si bon ! Les deux gaillards me liment sérieusement. À ce rythme-là, ils ne vont pas tarder à décharger. Aussi, ils se retirent. Chacun d’eux choisit une bouche accueillante pour décharger leur foutre. Eh oui, la Maîtresse de maison a bien dirigé, elle a droit, elle aussi, à sa part de gâteau. Nathalie et moi nous retrouvons ainsi à genoux, bouche ouverte et langue tendue. Nous sommes prêtes à recueillir le foutre juteux de ces queues bien rougies et gonflées à bloc. Ils astiquent vigoureusement leur chibre. Et paf ! Distribution de friandise. Dans un spasme, Ils aspergent copieusement les bouches de leurs deux gourmandes qui avalent tout le foutre sans sourciller et se lèchent les babines pour ne rien perdre. Hum… c’est bon ! C’est chaud !


Après quelques minutes de répit, nos amants semblent ne pas être rassasiés. Nous remettons le couvert.


Mais là ! Je les bénis, car sans le savoir, ils m’offrent alors un spectacle divinement érotique : Nathalie est venue s’empaler sur David, les fesses ainsi tournées vers moi et elle se lance dans une cavalcade effrénée sur la queue dressée de mon mari. Quelle vue, mes amis ! Je vous ai déjà dit qu’elle était belle ? Mais oui, bien sûr, mais je tiens à préciser que son cul, aussi, est l’une des plus belles choses qu’il m’ait été donné de contempler.


Et là, coulissant sur ce sexe imposant, son cul me nargue, l’œillet marron de son anus semble n’attendre que Denis pour une double pénétration. D’ailleurs, Denis, d’une main directive, astreint Nathalie à des mouvements plus réguliers et de plus grande ampleur. Aurait-il comme secrète intention l’idée de les rejoindre ?


Et moi, pendant ce temps, je suis une chienne prise sur le canapé dans ce séjour par mon amant, juste à côté de mon mari qui s’envoie en l’air. Il annonce qu’il va jouir et sa maîtresse qui l’encourage à se retenir encore un peu le temps de…


À mon grand étonnement, Denis ne les rejoint pas et reste en moi tout en observant ce couple en action à nos côtés. Nathalie se cambre, rejetant ses magnifiques cheveux en arrière. Elle gémit intensément maintenant. Je sais, par expérience, que ces miaulements sont annonciateurs d’un orgasme imminent. David semble vouloir la rejoindre et accélère à nouveau le rythme de ses pénétrations, en parfaite synchronisation avec les mouvements verticaux de Nathalie. Et enfin, de manière remarquablement synchronisée, ils sont tous deux balayés par la jouissance. David pousse de longs cris rauques, accompagnant, je le devine, chaque jet de sperme dans la matrice de sa maîtresse. Elle hurle de concert son plaisir, puis s’effondre sur le torse de son amant.


Denis stoppe son agitation et s’extrait de mon vagin. Il me regarde, il ne fait rien, je lui fais signe de venir, moi aussi j’ai encore envie, moi aussi j’ai envie de jouir comme la maîtresse de maison.


Il avance. Mes cuisses s’ouvrent encore plus sous la pression de ses hanches. Son sexe est là. Il entre. Cambré, il me laisse la vision de sa queue qui disparaît en moi. Je vois, comme au ralenti, son ventre venir au contact du mien. Il est tout en moi. Je le sens palpiter, un instant, son bâton brûlant ne bouge plus.

Doucement. Tout doucement mon amant me possède. On dirait qu’il déguste chaque instant, avançant, reculant, laissant ma fente entrouverte pour l’accueillir à nouveau.



Moi aussi, lentement je sens monter mon plaisir. Il doit le sentir à mes soupirs et au fait que je me tortille pour encore mieux le sentir. Alors, et alors seulement, son regard rivé au mien, il accélère. Le séjour se remplit de nos ébats. Floc ! Floc ! sa queue brasse mes sucs, j’ai envie de hurler, de parler comme la salope qui était tout à l’heure sur mon mari. Je voudrais lui dire combien c’est bon. Qu’il me baise, me bourre, m’utilise comme une pute. Mais un reste de lucidité me retient. Je mords mes lèvres au sang afin de ne rien révéler au couple qui est à quelques pas. C’est bon. Si bon. Il coulisse en moi. Je suis humide. Je suis chaude. Réceptive. Abandonnée. Et puis, je sens la chaleur monter encore. Je transpire. Je jouis. Oui, je jouis. Un orgasme. Une vague terrible. Un tsunami. Plus rien ne compte que cette joie. La porte du paradis est franchie. C’est la seule qui compte


À son tour mon amant jouit, il crache sa semence en moi, au fond, tout au fond de ma grotte. Chaque giclée est accompagnée par une poussée. C’est bon. J’ai la fulgurance de penser qu’heureusement que je prends la pilule. J’étais nue, pleine de sperme, allongée avec cet amant qui venait de me donner du plaisir.


Quelle soirée inoubliable !