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n° 18653Fiche technique9754 caractères9754
Temps de lecture estimé : 7 mn
07/11/18
Résumé:  Un homme est envoûté par le parfum de la chatte de sa femme.
Critères:  fh fépilée revede fgode
Auteur : Martin      
La chatte parfumée d'Adeline

Les Bleus mènent par un but d’écart contre la Belgique et ses Diables Rouges. Je ne tiens plus en place et commente bruyamment chaque phase de jeu. Adeline lit calmement dans son fauteuil, mais au bout d’un moment, elle se lève, sans doute agacée par le bruit, vient vers moi sa liseuse à la main, pose tendrement ses lèvres sur les miennes en massant mon épaule de ses seins provocateurs.



Je ne la vois même pas, quasi nue sous sa nuisette blanche au décolleté profond et dont la transparence est manifeste. Pas même ses jolis seins quand elle s’est penchée pour m’embrasser. Je ne vois pas sa silhouette mince et élancée, avec de belles formes aux endroits où on les attend d’ordinaire. Je ne vois pas le balancement sensuel de ses hanches au sortir de la pièce. Le foot me rend sexuellement aveugle. La plus belle femme du monde peut danser nue devant moi, que je lui demanderais de ne pas s’interposer entre l’écran et mes yeux !


Le match terminé, je cours vers le réfrigérateur me prendre une dernière bière, belge évidemment – je leur dois bien ça –, répondant au nom très pertinent de Duvel, qui signifie « diable » en flamand, m’a-t-on dit. Le diable a très bon goût.


Trente-trois centilitres plus tard, mes nerfs se relâchent enfin et la fatigue s’installe. Il est temps de monter me coucher. Adeline est certainement déjà bien lovée dans les bras de Morphée, me dis-je, et c’est avec d’infinies précautions que je grimpe l’escalier pour me rendre à la salle de bain.

La porte de la chambre est entrouverte et j’y glisse discrètement un œil pour m’assurer que ma douce est bien endormie. Elle ne l’est manifestement pas !


Ma femme est allongée sur le dos, complètement nue, sa nuisette et son slip gisant sur mon oreiller. La pièce n’est éclairée que par un rayon de lune qui traverse les minces rideaux. Sous cette faible lumière, son corps me subjugue : ses seins sont magnifiques, ni trop gros, ni trop petits et surtout bien fermes. D’ailleurs, je ne me lasse jamais du regard des hommes sur sa poitrine généralement bien mise en valeur par un joli décolleté.


Ses mains caressent voluptueusement son corps et ses longs doigts serrent délicatement ses mamelons dressés par l’excitation. Mes yeux s’habituent progressivement à l’obscurité. Je vois qu’elle ouvre la bouche et lèche ses lèvres tour à tour du bout de la langue. Je retiens mon souffle. J’ai l’impression de rêver, je dois avoir le regard de l’adolescent découvrant le corps féminin. Sa main droite commence à cheminer sur son ventre lisse et gracieux. Adeline tourne lentement la tête sur le côté, de mon côté. Elle a oublié le monde extérieur pour se concentrer exclusivement sur elle-même. Sans discerner ses yeux, je sens qu’ils me regardent sans me voir dans la pénombre et un gémissement passionné s’échappe de sa poitrine. Je ne bouge toujours pas. Les doigts de ma douce, une fois leur but atteint, ont ralenti leur mouvement et seul l’index est allé plus profondément entre ses lèvres intimes enflées par le plaisir. Son bassin s’est mis à onduler langoureusement au contact de sa main. Sa respiration est plus rapide et saccadée. Gage d’un plaisir charnel intense. Ses genoux s’écartent davantage et sa main se prélasse sur sa chatte soigneusement rasée.


Pendant que la dextre d’Adeline s’affaire sur son intimité, sa main gauche semble chercher quelque chose sous l’oreiller. À ma grande surprise, elle en sort un phallus en caoutchouc, certes pas trop énorme, mais tout de même de taille légèrement supérieure à celle de mon propre organe reproducteur au sommet de sa forme. Son doigt ne lui suffit donc plus à lui procurer le plaisir désiré. Elle veut se pénétrer avec sa queue artificielle !


Moi, je suis consterné : après plus de quarante ans de vie commune, je n’ai jamais vu ma femme se masturber seule et j’ignorais totalement la présence d’un quelconque sextoy sous mon toit. Mais, volontairement ou non, ma femme m’offre un tableau très sexy, très impudique même, mais c’est justement dans l’exhibition et le voyeurisme que loge la jouissance érotique.


Adeline, après avoir soigneusement humidifié la tête de son amant en latex, en enclenche le vibrateur et le dirige vers ses tétons déjà bien excités, exécute quelques tours d’aréoles et descend bourdonnant vers sa chatte qui, déjà, déborde d’amour jusqu’à ce que ce prodige artificiel soit bientôt en elle.


S’étendant de tout son long sur le lit conjugal, Adeline pousse son petit jouet et commence à se l’enfoncer dans le corps. La seconde main serre plus sa poitrine et pince un mamelon. Elle se mord la lèvre inférieure et son « amoureux » la pénètre presque jusqu’au bout. Ses genoux se sont rapprochés, et son dos s’est cambré. Elle accompagne son geste de petits gémissements de plaisir qui ne font qu’intensifier mon excitation.


Appuyé contre le mur, je sens mon membre dressé comme un pieu. Ma femme a introduit le jouet en elle jusqu’à la garde et a commencé, vigoureusement et profondément, à baiser bruyamment avec elle-même. Les vagues de plaisir sont de plus en plus fortes et se suivent.


Je me redresse et pousse la porte de la chambre. Adeline ne semble pas s’en apercevoir et continue à se caresser frénétiquement. Je m’agenouille au pied du lit et avance la tête entre ses jambes, totalement fasciné : à quelques centimètres de moi, un grand membre en caoutchouc pénètre dans le vagin de ma femme et en ressort tout humide. Quel spectacle ! Le parfum de sa fente bien rasée et excitée m’enivre. Je m’approche de ses lèvres. Ma femme sort le jouet de son antre et je le lubrifie avec ma salive. Oh ! comme je la désire maintenant, je veux lui offrir la même joie, le même bonheur que son amant artificiel. Mais ma belle écarte encore plus les jambes et les pose ensuite sur mes épaules. Je vois son vagin étiré par le sextoy, tout brillant de ses sécrétions intimes. Je la veux ! Ma bouche tombe doucement sur ses lèvres inférieures gonflées. Elle recule légèrement et appuie mon visage contre son bassin. Je perds complètement la tête, j’essaie de la pénétrer aussi profondément que possible avec ma langue. Son odeur euphorise et son goût rend fou. J’essaie de la sucer, de goûter son arôme. Elle s’offre généreusement. Je lèche et suce tout ce que je peux et je sens se rapprocher le moment où mon sperme va tremper mon slip tendu.


Je pose amoureusement mes lèvres sur le sein droit de ma femme, puis enroule mes bras autour de ses hanches, essayant de presser mon visage dans son entrejambe. Ma langue est déjà dans son vagin, aussi profond que possible. Ma femme gémit et place ses doigts sous mes lèvres, comme pour en prendre le relais. Avec ma langue, je sens ses doigts minces jouer avec son clitoris. Celui-ci est maintenant à point, bien enflé et rougissant de plaisir, les lèvres sont devenues humides et chaudes. Ma femme serre ma tête contre son mont de Vénus et commence à jouir dans ma bouche. Je sais qu’elle prend son pied, car elle se met à prononcer des paroles totalement incompréhensibles et vides de sens pour moi. Je ne peux plus me retenir, un seul mouvement de son bassin et mon sperme chaud se déverse dans mon caleçon. Tout en éjaculant, je suce son clitoris en feu. Son gémissement se fige et ses cuisses se resserrent. Je sens à nouveau sa mouille. Très savoureuse, copieuse, odorante, je m’en abreuve avec délice.


Les jambes de ma femme s’étalent mollement et nous nous calmons enfin, éreintés, labourés, dévastés par la jouissance. Au bout de quelques minutes, nous reprenons notre souffle et revenons à la vie.

Nous bavardons un moment.


Finalement, je me lève, vais à la douche et y enlève mon slip maculé de sperme. Sous le jet d’eau, notre conversation d’après l’amour tourne invariablement dans ma tête : je repense à l’aveu de ma femme et à quel point elle était excitée quand, ce soir, elle a rêvé… de la façon dont elle serait un jour offerte en ma présence à un inconnu. Et moi, je lui ai déclaré qu’au même moment, j’imaginais comment la grosse bite d’un Apollon très bien monté, étirant son vagin à l’extrême, lui procurait un orgasme royal sous mes yeux.


Mon érection refuse de rendre les armes durant mes ablutions et, une fois séché, j’ai bien du mal à la dissimuler dans mon boxer.


Tout émoustillé par cette idée de candaulisme partagé, je prends la décision de battre le fer tant qu’il est chaud et d’en reparler tout de suite avec Adeline.


Quand j’entre dans la chambre, je trouve ma femme endormie sur le ventre, le cul nu et accueillant. Mais ce n’est que lorsque mes yeux se sont réhabitués à la pénombre que j’aperçois le tout petit bijou brillant qui garnit son anus. Était-il déjà là il y a seulement quelques minutes ? Je l’ignore, mais mon excitation a repris de plus belle. La paume de ma main effleure tendrement les fesses d’Adeline et les écartant un peu, pour mieux admirer son second sextoy. Il me fait terriblement fantasmer. Malheureusement, Adeline dort déjà profondément et ne réagit plus à mes caresses.


Demain matin, peut-être…