n° 18659 | Fiche technique | 22650 caractères | 22650Temps de lecture estimé : 14 mn | 15/11/18 |
Résumé: Un jeune homme arrondit ses fins de mois en posant pour des photos pornos. | ||||
Critères: hhh hagé jeunes hsoumis exhib photofilm facial fellation hdanus hsodo init -inithh | ||||
Auteur : Historchris (Quinqua) |
À 22 ans, j’emménageais dans un studio pour poursuivre mes études à l’université de Nantes. Cela faisait quelques semaines que j’étais installé quand je fis la connaissance de mon voisin de pallier, un vieil homme de 55 ans. Maintenant que j’ai atteint cet âge à mon tour, je ne dis plus vieil homme mais homme mûr.
Un soir, il m’invita à prendre un verre chez lui. Il était vraiment sympathique et cultivé. Nous parlâmes de choses et d’autres et je crois que dès cette soirée, s’installa entre nous ce que l’on peut appeler de l’amitié. Le temps passant, je lui demandais même parfois des conseils pour mes études car il était très instruit. Et je dois avouer qu’en plus je le trouvais très beau. Ma sexualité était alors… changeante, et les hommes, surtout mûrs, m’attiraient.
J’avais remarqué sa passion pour la photographie car les murs de son appartement étaient tapissés de clichés splendides pour la plupart. Ces clichés en noir et blanc ne montraient que des visages, parfois des corps dénudés mais rien de porno ! Il m’expliqua qu’il avait fait une belle carrière de photographe de presse, puis artistique avec un goût prononcé pour le nu.
Voyant que je m’y intéressais, il me donna quelques albums photos à admirer. J’y découvris des corps en ombre et lumière. Des corps d’hommes et plus j’avançais dans la contemplation de ces merveilles, plus les corps s’offraient, plus les sexes étaient visibles, plus les poses étaient érotiques. Parfois, il avait immortalisé deux hommes sur le même cliché, posant ou faisant l’amour. Je ne dis rien mais cette lecture m’avait émoustillé.
Je pensais immédiatement à mes fins de mois difficiles et aux restrictions sévères que je devais m’imposer faute de moyens.
Il avait déjà son appareil à la main et il le braqua vers moi et j’entendis le déclic.
Je souris et lui souhaitai une bonne soirée avant de regagner mon studio.
Je ne parvins pas à travailler car je ne cessais de repenser aux photos que j’avais vues de ces hommes en pleine action. Le photographe n’avait rien manqué. Je bandais en m’imaginant poser pour lui en compagnie d’un autre modèle. Je dus me libérer de cette tension en me masturbant assis à mon bureau. L’éjaculation me libéra de cette tension insoutenable.
Le lendemain, je trouvais, glissée sous ma porte, une enveloppe avec la photo prise la veille. Au dos, il avait écrit : "Quand tu veux, ce sera avec plaisir". Cette pensée me hanta des jours jusqu’à un dimanche après-midi où il frappa à ma porte et m’invita à prendre un café avec un de ses amis.
Je le suivis chez lui (lui n’avait pas un studio mais un vaste appartement). Je découvris un jeune homme, de mon âge, allongé dans le sofa. Il ne portait qu’un boxer blanc et ne sembla absolument pas gêné que je le découvre ainsi. Voyant ma surprise, mon voisin, Armand, sourit et me dit qu’avec le temps, les modèles perdaient toute pudeur.
Hubert se laissa prendre en photo. Il prenait des poses de plus en plus lascives et je vis que son boxer se tendait de plus en plus. Au bout d’un moment, il sortit carrément son sexe. Un beau sexe, élégant, circoncis, sans poils comme le reste de son corps d’athlète. Un sexe bandé, triomphant. Armand s’extasia devant cette virilité qu’Hubert affichait sans la moindre gêne. Je sentis mon excitation croître. Hubert s’offrait avec talent à l’objectif. Armand ne cessait de déclencher et moi je bandais. Armand sembla se souvenir de ma présence et me dit :
Hubert tapota le canapé à côté de lui, m’invitant à venir m’asseoir.
Je pris donc place à côté de lui, à côté de cet éphèbe bandé. Il s’approcha, posa sa main sur mon épaule. Armand était aux anges et se réjouissait déjà des clichés réalisés. Je vis qu’Hubert se tenait le sexe et même qu’il se caressait. Il posa un doux baiser sur ma joue. Sa respiration puissante trahissait son désir, tout autant que sa hampe raide. Je ne savais que faire.
Hubert était maintenant à genoux sur le canapé, très près de moi. En fait, il se branlait sous mes yeux. Je bandais moi aussi mais n’osais rien. Au bout de quelques longues minutes, Hubert gémit et je vis sa semence jaillir. Il soupira, la main crispée sur sa hampe, le gland gonflé et trempé. Sa semence coula sur ma cuisse et tacha mon jean. Armand ne manqua rien. Hubert, tout sourire, se releva et remis son boxer.
Hubert se rhabilla prestement, m’embrassa sur la joue et s’éclipsa. Je restais sans mot dire, ému par ce que je venais de vivre. Même si j’avais déjà eu des relations homosexuelles, cela ne s’était jamais passé ainsi et cette expérience était vraiment nouvelle et vraiment excitante. Je décidai de rentrer chez moi et prétextant du travail, je quittai Armand.
À peine rentré chez moi, je m’adossai à la porte tout juste refermée et me branlai avec passion, déterminé à évacuer la tension insoutenable qui me tenaillait le ventre.
Pendant cette nuit-là, je dormis mal. Je ne cessais de penser à ça. Aux 200 francs gagnés par Hubert, à sa queue giclant sous mes yeux, devant l’objectif. Je réalisai soudain que j’étais sur la photo. Je dus me branler une nouvelle fois tellement cette pensée m’excita.
Un soir en rentrant, je trouvai une enveloppe kraft devant ma porte. Je l’ouvris et en sortis une revue. C’était une revue gay. En guise de marque-pages, un billet de 50 francs. J’ouvris et découvris une page des photos de ce jour-là. Hubert seul et une avec moi. Armand avait choisi la photo où mon regard était fixé sur la queue d’Hubert, giclant devant moi. Un post-it indiquait que, dévêtu, ce serait mieux payé. La photo était vraiment réussie.
Armand se fit discret quelque temps et un vendredi soir vint m’inviter à boire un verre chez lui. J’acceptai car je le trouvais sympathique et, malgré notre différence d’âge, je m’entendais bien avec lui et lui confiais pas mal de choses. Il me servit un généreux whisky.
Ce verre me détendit. Armand vint s’installer à côté de moi. Tout en discutant, il posa sa main sur ma cuisse. Je ne fis rien. L’alcool m’avait désinhibé. Puis il posa sa main sur mon épaule et petit à petit, la glissa sous ma chemise jusqu’à atteindre mon sein. Ses doigts jouaient avec mon téton. Mes rares amants, sans doute trop jeunes, n’avait jamais fait cette caresse. Les pincements se firent un peu plus forts. Armand m’observait, je le laissais faire. Soudain, il me pinça plus fort et je ne pus réprimer un gémissement. Son autre main glissant à l’intérieur de ma cuisse remontait sur mon jean, jusqu’à toucher mon entrejambe.
Je ne répondis pas. La main abandonna mon entrejambe, en glissant sur la bosse que faisait mon sexe et remonta sur mon ventre pour dégrafer ma chemise. Il commença alors à me pincer les deux tétons en même temps. Je commençais à onduler un peu car mon excitation croissait au fur et à mesure que sa caresse s’amplifiait. Soudain, il s’agenouilla devant moi. Il m’obligea à ôter ma chemise et dégrafa ma ceinture et me retira mon pantalon. J’étais nu, le sexe tendu.
Brusquement, il écarta mes cuisses et je vis son regard scruter mes fesses.
Il dirigea son majeur vers la raie ouverte de mes fesses et effleura mon œillet. Cette caresse me fit frémir.
Il se leva et se saisit de son appareil photo. Je ne quittais pas la position indécente dans laquelle il m’avait mis. Il commença à me prendre en photo. Le bruit de son appareil m’excitait car il allait figer mon corps sur la pellicule et d’autres pourraient le voir.
Presque malgré moi, j’avais pris ma queue en main et me caressais. Je regardais l’objectif.
Ma main allait et venait sur mon membre gonflé, raide comme dans les plus grands moments d’excitation. Au bout de mon gland luisait une grosse goutte de désir. Armand évoluait autour de moi sans cesser de me murmurer des mots de plus en plus crus.
Je m’affalai sur le canapé commençant à me concentrer sur ma caresse face à l’œil noir de l’objectif. Je glissai ma main derrière mes fesses et les écartai pour que l’indécence soit totale. Pour que la photo me montre ainsi offrant mon cul à celui qui voulait le voir et le prendre.
Soudain, je sentis que mon plaisir n’allait pas tarder. D’autant plus qu’Armand, très excité aussi, avait sorti son sexe et se touchait entre chaque cliché.
Sans attendre ma réponse, il vint se placer debout entre mes cuisses écartées et se mit à se branler avec fougue. Je regardai vers lui, lui offrant mon ventre pour se répandre. Il grognait en murmurant des mots crus et me traitait de petite salope. Soudain il gicla. Une belle traînée de sperme qui fendit l’air et finit sa course sur mon ventre lisse. Rapidement, il me photographia avec cette semence sur ma peau.
Je traînais mes doigts dans sa semence et pris ma queue en main. Ainsi lubrifiée ma main coulissait parfaitement sur ma hampe et il ne me fallut pas longtemps pour jouir à mon tour. Je finis par gicler sur mon ventre, sous le regard d’Armand et de son appareil.
Il me tendit un billet de 200 francs, alors que je n’avais même pas encore essuyé le mélange de sperme qui coulait sur moi. Recevoir ce billet me fit encore beaucoup d’effet. Ma prestation avait été payée. Cette nuit-là, je pensais à ma photo en page centrale d’un magazine et je pris un nouveau plaisir.
Mes études se poursuivaient. Tout allait bien. Je posais régulièrement pour mes 200 francs. Mais un jour, je trouvai un homme en compagnie d’Armand. Dans les mêmes âges que lui. Armand fit les présentations. Me voyant hésiter, il me dit que les temps changeaient et que les lecteurs voulaient du neuf. L’homme me regardait intensément et une étrange lueur illuminait son regard. Armand me demanda de me mettre nu sans attendre car les lecteurs n’étaient pas intéressés par les effeuillages de jeunes éphèbes dans mon genre, ils voulaient de la nudité. J’obéis donc, quittant mes vêtements sous le regard de mes deux observateurs.
L’homme debout me toisait. Je m’approchai donc de lui et posai ma tête sur son épaule.
Petit à petit, je descendis jusqu’à me retrouver à genoux. L’homme posa sa main sur ma tête. Puis il prit place dans un fauteuil de cuir style anglais. Je le suivis, toujours m’agenouillant à ses pieds et prenant un air ingénu. Les deux hommes matures appréciaient, tant le photographe que le modèle. Il me passa la main dans les cheveux et je posai ma tête sur sa cuisse. Je me voyais dans le grand miroir qui occupait tout le mur. La vue me plaisait. Surtout le sourire et le regard de mon partenaire. Ma main remonta entre ses cuisses. Il bougea un peu. Armand matait sans photographier. Je sentis sur le dos de ma main la bosse de son sexe. J’étais tout en haut de sa cuisse. Je pris la bosse en main, déclenchant chez Luc un soupir de plaisir. Il était bien raide. Je massais doucement, parfois serrant un peu.
Je sentais que l’homme s’excitait. Il respirait comme un soufflet de forge et sa main se faisait de plus en plus lourde sur ma tête. Je jouai avec les boutons de sa braguette et glissai mon doigt entre deux. Il ne portait pas de sous-vêtement. Cette découverte m’excita. Je défis un bouton et tentait d’extraire cette colonne de chair. Un deuxième bouton et enfin elle surgit. Sans lever ma tête, je me tournai pour juste passer ma langue sous le gland qui déjà coulait.
Mon coup de langue poussa Armand à reprendre les photos. Je l’agaçais juste de la pointe de la langue et il s’agitait de plus en plus. Jusqu’au moment où, prenant sa queue en main, ma tête dans la seconde, il me rapprocha et m’obligea du geste et de la parole à le prendre en bouche.
J’obéis, satisfait de l’avoir amené à cet état. Je me retrouvai à quatre pattes devant lui, le visage entre ses cuisses, son gland en bouche. Sa main passa sur mon dos et descendit jusqu’à mes fesses. Comme il ne pouvait atteindre son but, il me fit mettre de trois-quarts et je sentis qu’il voulait visiter mes fesses. Ses doigts parcoururent la raie et effleurèrent mon œillet. Cette caresse me fit gémir.
Son doigt jouait à l’entrée de mon cul et j’ondulais pour lui faire savoir que j’aimais ça. Armand s’approcha et lui tendit un flacon.
Je sentis une pâte couler entre mes fesses. Du gel sans doute, qu’il étala entre mes fesses. Soudain, son doigt commença à me baiser. Sans violence mais sans pause, il me l’enfonça totalement. Je m’activais de plus en plus sur sa queue qui me prenait toute la bouche. Il me força à arrêter la fellation.
Je me retrouvais toujours à quatre pattes devant lui. Il continuait à me baiser avec son doigt. Il en ajouta un second. Je n’avais pas mal car j’avais déjà pas mal pratiqué la sodomie seul, dans ma chambre.
J’aimais sa douceur décidée et ses mots. Je lui offrais mes reins et il en disposait. Ses deux doigts faisaient tout pour m’ouvrir et je sentais mon corps s’élargir. Trois doigts me baisaient, maintenant. Armand, comme à son habitude, avait sorti sa queue. Il ne put résister à venir me la présenter pendant que son ami me baisait. Je le pris pour la première fois en bouche. Quelques allers-retours et il reprit ses clichés. Il photographiait mon cul occupé par les doigts de son ami.
Je tournai la tête vers l’objectif et gémis. Armand aimait me voir comme ça, en salope comme il disait. Luc bougea et me dit qu’il allait me baiser maintenant. Je le sentis se placer et son gland vint à l’entrée de mes reins. Je lui retirai l’initiative en me reculant pour m’empaler moi-même sur son pieu que j’avais eu en bouche. Armand s’excitait de plus en plus. Luc me laissait faire, laissant juste ses mains sur mes hanches. Je creusais les reins pour accentuer mon plaisir, ce plaisir que j’avais à en donner avec ostentation.
Bientôt, toute la queue de Luc disparut en moi. Je lui laissais le temps et goûtais moi-même la simple et délicieuse présence en moi de cette belle queue. Armand revint devant moi, juste pour se faire avaler. J’aimais ça ! Dès que j’eus sa queue en bouche, je bougeai d’avant en arrière pour leur donner du plaisir en même temps. Mes deux amants étaient très endurants et savaient doser leur désir de jouissance. Luc alternait coups rapides et lents, pénétrations courtes et profondes. C’était divin. Je leur avouai mon plaisir à voix haute. Je délaissai la queue d’Armand et levant les yeux vers lui, demandant de me prendre à son tour.
Luc lui laissa la place et j’avalai entre mes fesses le sexe d’Armand avec bonheur, les reins creusés encore par le plaisir. Ses mains robustes me tenaient aux hanches et il me besognait avec ardeur en grognant. Luc regardait, les doigts enroulés autour de sa bite puis vint à son tour se mettre à genoux devant moi pour que je le suce. C’était bon, terriblement bon.
Soudain Armand se retira et me demanda de me mettre sur le dos. Aussitôt en place, je relevai les cuisses pour qu’il puisse encore me baiser. Luc m’offrit encore sa queue à sucer. Armand se saisit de ma bite tendue et coulante et me caressa tout en me sodomisant. C’était divin. Mais je ne voulais pas jouir, je voulais que mes amants matures jouissent, qu’ils jouissent de moi, sur moi, en moi, grâce à moi. Je retirai sa main.
Soudain Armand se crispa et je sentis en moi sa queue se raidir et enfin, il se répandit abondamment au fond de mon ventre. Tétanisé, il resta immobile un instant et Luc que je continuais à sucer lui demanda la place. Cette fois, Luc me baisa avec une énergie et une fougue qui me fit crier de bonheur. Ses coups de reins, violents, faisaient buter son gland au fond de ma gaine et claquer son ventre sur mes fesses lisses. Il me poussait et mes reins ne touchaient plus le sol. Il était dans une vraie position de domination, les mains posées au sol, son visage baissé vers le mien. J’entendais ses ahanements de plaisir, d’animalité. Je sentis le plaisir monter chez moi car son gland massait ce que je ne connaissais pas à l’époque, ma prostate. Je devinai qu’Armand, qui avait repris ses photos, allait être heureux de cette séance torride.
Finalement c’est moi qui me sentis fondre en premier et ma semence, rendue étonnamment abondante par ce massage prostatique, s’échappa doucement de mon sexe et se répandit sur le haut de ma poitrine, presque sur mon menton. Une pensée me traversa l’esprit : j’aurais aimé jouir dans ma bouche. Mais le dernier coup de reins libérateur de Luc me fit crier et avançant encore au-dessus de moi, me faisant prendre une position de contorsionniste que mon jeune âge me permettait, plaça son sexe au-dessus de mon visage et gicla sur mon visage.
Il me libéra et je me retrouvai, haletant, allongé plus confortablement. Armand fit des clichés, me demanda d’écarter mes fesses, puis fit un gros plan sur mon visage tâché.
Le regard fixé sur l’objectif, je sortis ma langue pour récupérer la semence de Luc, puis avec le doigt, je terminai de la ramener à ma bouche pour ensuite récupérer mon propre plaisir et le faire disparaître de la même façon.