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n° 18668Fiche technique25067 caractères25067
Temps de lecture estimé : 15 mn
19/11/18
Résumé:  Jérôme et Marion sont sur la même longueur d'onde. Ils aiment s'exhiber et aiment observer. Ils se connaissent et pourtant ils vont se découvrir sous plusieurs angles. Un récit adapté mais vécu.
Critères:  fh copains poilu(e)s campagne telnet amour voir exhib miroir fmast hmast fellation pénétratio -amiamour
Auteur : Lapinlapine            Envoi mini-message
La Belle Noiseuse

Tout a commencé le jour de mon vingt-septième anniversaire. Après une soirée entre amis, je rentrais le soir dans mon appartement et comme tous les soirs depuis trois ans, je me connectais à mon site de rencontre favori. Les avis de passages sur ma fiche étaient très nombreux. Dame nature avait été particulièrement généreuse avec moi et j’avais pas mal de succès. Je m’en servais et avais sélectionné un petit cercle de contacts de femmes avec qui je discutais de façon très assidue. Hormis quelques rares soirs, j’entretenais des discussions qui pouvaient durer des heures. Mon sujet favori était le sexe et au fil des discussions, j’arrivais à cerner si la fille était réceptive ou non. Si elle l’était, l’objectif était de relever le curseur de l’excitation un peu plus haut par des échanges de photos, discussions coquines et scénarios.


Trois d’entre elles m’avaient tapé dans l’œil au niveau physique. Leurs photos les montraient dans des situations banales de poses devant la tour Eiffel, tantôt accompagnées d’amis ou allongées à côté d’un chien ; mais une retenait vraiment mon attention.


Marion avait 26 ans et nous avions des discussions très longues sur n’importe quel sujet. Célibataire tout comme moi, elle n’avait pas l’air de se prendre au sérieux et pouvait parler de tout sans aucune retenue. Les cinq photos qu’elle avait postées sur sa fiche montraient une jolie brunette aux cheveux mi-longs, une silhouette plutôt fine. Cette sage présentation qu’elle se faisait cachait en réalité une demoiselle tout aussi délurée que moi. Au fur et à mesure des discussions, elle aimait m’envoyer des photos dans lesquelles elle s’affichait dans de nouvelles tenues : résultats d’achats qu’elle faisait. Elle m’envoyait systématiquement une nouvelle photo chaque semaine et cela devenait un jeu dans lequel je lui donnais mon avis. Mon cœur battait la chamade à chaque fois que je cliquais sur une nouvelle photo espérant découvrir un détail sur son anatomie. J’avais l’impression d’être un voyeur pervers, mais que la sensation était bonne à chaque fois.


Elle ne portait pas systématiquement de soutien-gorge et c’est surtout ce détail-là qui attirait mon regard. Une fois, elle m’avait envoyé une photo sur laquelle elle portait un body marron clair qui se nouait derrière le cou. Le décolleté lui dévoilait le creux de ses jolis seins ronds qui n’étaient pas cachés sous un soutien-gorge et dont les tétons arrondis étaient particulièrement visibles et sur le devant, l’échancrure remontait bien haut sur les hanches. On a échangé des quantités de phrases sur cette tenue et elle n’était pas la dernière à plaisanter sur ses formes partiellement visibles.



Forcément, pris par ces échanges originaux et parfois très excitants, je me prêtais aussi au jeu et sachant qu’elle aimait particulièrement les boxers, caleçons et maillots de bain, à chaque fois que je tombais sur un de ces vêtements en magasin je l’achetais juste pour poser avec, tout comme elle le faisait. C’était du coup une excellente façon de mieux se connaître et faire accentuer l’attirance physique. Certains boxers en tissu de type acrylique étaient suffisamment légers, dont un en particulier que j’avais trouvé dans un magasin de discount, certainement fabriqué en Chine, tissu de piètre qualité de couleur blanche, avait des bandes plus ou moins transparentes et ne pouvant donc pas cacher la forme, mais aussi la couleur de la peau de mon sexe tout entier. Je lui envoyais cette photo après hésitation.



Ces échanges ont duré plusieurs mois. Un jour, Marion m’envoie un message me demandant si je voulais bien venir l’accompagner à Manosque pour aller nettoyer la maison de ses grands-parents dont elle avait hérité quelques semaines auparavant, en vue de la revendre. Cela ferait occasion de se rencontrer enfin en vrai. Et étant donné que je lui avais révélé que je bricolais pas mal à mes heures perdues, pourquoi pas mêler l’utile et l’agréable !


J’avais un de ces tracs le jour où je suis allé la prendre chez elle. Nous n’habitions finalement qu’à une petite vingtaine de kilomètres l’un de l’autre. Elle habitait dans un petit lotissement dans lequel toutes les maisons jumelées se ressemblaient toutes. J’arrivais avec un peu d’avance sur l’heure fixée au départ. Je sonnais et quelques secondes après, Marion se tenait derrière le chambranle, en peignoir, les cheveux entortillés dans une serviette.



Je remarquais son joli décolleté se former au fur et à mesure que la ceinture du peignoir libérait son étreinte sur sa taille. Elle remarqua mes regards pourtant discrets sur elle et sourit.



Elle revint quelques minutes après vêtue d’un jean et d’un débardeur puis nous partîmes dans la foulée.


Nous avions fait la route d’une traite le matin même et étions arrivés dans l’après-midi. La maison était de style provençal avec des tuiles bombées et un joli terrain, mais tout sec. Un gros olivier trônait au milieu de ce terrain qui donnait sur un paysage très vallonné vierge de toute vie. L’été avait déjà débuté depuis quelques jours et les fortes chaleurs avaient déjà grillé toute végétation. La maison était assez ancienne, le genre de maison qui ressemblait à la bâtisse provençale dans le film « La gloire de mon père », de Marcel Pagnol. La fraîcheur à l’intérieur était très agréable. Il y régnait une atmosphère d’une autre époque. Ici le temps s’était arrêté. Les meubles rustiques, la vieille comtoise, la grande cheminée en pierre, les lits métalliques, seule la télévision moderne dénotait dans ce tableau.


L’après-midi fut consacré au nettoyage des chambres afin de pouvoir les utiliser dès le premier soir. Je réparai un tiroir d’une commode, je graissai tous les gonds des portes, je changeai même un joint sous le lavabo de la salle de bain. Puis, le soir venu, et après avoir mangé un truc simple le soir sur la terrasse, je vis Marion commencer à souffrir de la chaleur moite et à piquer du nez.



J’entendais couler l’eau de la salle de bain de l’étage pendant que je finissais ma corvée de vaisselle. Mon tee-shirt n’avait pas fière allure et j’avais moi aussi un besoin urgent de me rafraîchir. Je rêvais aussi d’une douche fraîche. Je repensais à cette première journée en compagnie de Marion qui vraiment me plaisait de plus en plus dans son attitude. Puis j’entendis Marion sortir de la salle de bain et m’indiquer que la douche était libre. Elle entra dans sa chambre et ferma sa porte de chambre. Je montai et décidai de ne prendre que mon peignoir que j’affectionne particulièrement après une bonne douche réparatrice. Je pris ma douche et sortis vêtu uniquement de ce peignoir, nu dessous, pensant que Marion serait déjà dans les bras de Morphée. J’avais l’intention d’aller profiter une dernière fois de la douceur de l’air du soir, en allant marcher dans le terrain éclairé par l’unique ampoule de la terrasse et par la même occasion en profiter pour m’exhiber un peu.


Repensant au peignoir que Marion portait ce matin, je ne resserrais pas la ceinture qui aussi, commençait à se relâcher petit à petit sous mes pas. Je sentais mon sexe rebondir librement, ainsi que mes boules pendantes se balancer. Je m’imaginais marcher ainsi, aux côtés de Marion vêtue de son peignoir se détachant lui aussi.


Puis soudain, m’enfonçant plus loin dans le terrain, j’entendis un bruit à quelques mètres de moi. Mon cœur s’emballa aussitôt puis découvrant qu’un chaton se trouvait à me regarder avec ses petits yeux reflétant l’ampoule de la terrasse, je soufflai de soulagement.


Je m’accroupis et lui tendis ma main



Il s’approcha sans aucune crainte et je le pris dans mes bras. La manœuvre fit s’ouvrir un peu plus mon peignoir qui devenait le cadet de mes soucis. Lui parlant comme on le ferait à un enfant blessé, je revins sur mes pas et ne me rendis pas compte que Marion se tenait devant moi sur la terrasse. Elle portait un long tee-shirt bleu très ample sur le devant et sous les bras, lui arrivant à mi-cuisses. Mes yeux aiguisés ne remarquaient pas de soutien-gorge, mais je ne pourrais pas préciser si elle portait un shorty ou un genre de tanga noir dessous. Le noir du tissu se révélant par légère transparence.



C’est à ce moment-là que je compris ce qui se passait dans le regard de Marion. Je vis tout de suite ses joues s’empourprer et ayant le chaton dans les bras, je ne pus remettre mon peignoir en place tout de suite. J’essayais alors de réagir le mieux possible pour rendre la situation le plus cocasse possible.



Je lâchai le chaton qui resta planté là à mes pieds, et refermai le peignoir.


La terrasse était équipée d’une balancelle très ancienne, mais vraiment très confortable. Je m’avachis dans la balancelle, je me laissais me balancer légèrement en écoutant les cigales jouer leur concert nocturne. Marion s’était installée sur un fauteuil qui me faisait face de trois quarts, et avec le jeu de lumière, j’arrivais à apercevoir de façon très furtive la couleur de ses mamelons foncés à travers le tissu de son haut.


Marion lisait le programme télé de la semaine.



Je me redressai et me penchai vers elle afin de regarder avec elle la page des programmes, ne me souciant plus de mon peignoir qui s’ouvrait peu à peu entre mes cuisses.



***



Marion détacha ses yeux de la page des programmes, attirée par le mouvement de Jérôme vers elle. Elle vit le peignoir s’ouvrir entre ses cuisses écartées, malgré le fait que la ceinture semblait bien être serrée. Elle ne se souvenait plus quand remontait la dernière fois qu’elle avait vu un pénis autrement qu’en photo sur internet. Là, cela faisait la deuxième fois en quelques minutes. Tout à l’heure, il était à plusieurs mètres, mais là, il était tout à côté d’elle et surtout très bien éclairé par la puissante ampoule de la terrasse. Son cœur battait de plus en plus fort lorsqu’elle vit parfaitement les boules rondes se poser puis se déformer au contact appuyé contre le coussin de la balancelle, et surtout le pénis ramolli, pendouillant vers le sol, qu’elle estima mesurer une douzaine de centimètres, et remarqua le prépuce pas totalement fermé sur le bout du gland qui était visible. Elle voulut que le temps s’arrête pour continuer à admirer le spectacle qui s’offrait à elle. Ses tétons ne mirent pas longtemps à se durcir et devenaient visibles à travers le tissu de son long tee-shirt.



Jérôme se leva en premier, et prit la télécommande de la télé en passant. Il alluma la bonne chaîne, pendant que Marion se dirigeait vers la cuisine en lui demandant :



Elle profita d’être seule dans la cuisine pour reprendre ses esprits et repensant au voyeurisme caractérisé dont elle avait fait preuve et qui franchement l’avait pas mal émoustillée, cette situation l’inspirait et elle voulait continuer. Elle profita de ce que le micro-ondes fonctionnait pour se rapprocher doucement du grand miroir de l’entrée et regarder sa tenue, et vérifia qu’elle put en jouer elle aussi. Malheureusement, elle portait un tanga et ne pouvait le retirer. Elle voyait bien que le tissu noir était visible sous son tee-shirt. Il l’avait forcément remarqué. Elle se rendit compte aussi que les cercles sombres que formaient ses mamelons étaient plutôt visibles sous cet angle de lumière. Jérôme les avait-il remarqués ? Sans doute. Qu’en avait-il pensé ? Elle se tourna légèrement de côté et vit que l’amplitude de son échancrure sous ses bras pouvait laisser entrevoir largement le côté de ses flancs et donc le côté de ses seins. Elle se pencha en avant et vit que là aussi, la large échancrure du devant bâillait largement et laissait apparaître ses deux seins moyens pendouillant librement et les rendait encore plus souples ainsi. Elle fut contente d’avoir elle aussi quelques atouts à faire valoir.


Elle revint dans le salon avec les deux tasses, Jérôme installé dos à elle dans le canapé, déjà absorbé par les dialogues de Michel Piccoli envers Emmanuelle Béart qui semblait être la cible d’une négociation au sujet d’une peinture à reproduire par ce même Michel Piccoli.

Marion contourna le canapé et fit presque face à Jérôme lorsqu’elle se pencha en avant pour poser sa tasse, puis lui tendre la sienne. Elle vit immédiatement son regard sur ses seins qui pendaient et qu’elle sentait ballotter légèrement. Elle fut satisfaite par la mise en bouche.



Elle vit le trouble que le décolleté lui avait procuré, mais elle fit mine de rien. Elle s’installa à l’autre bout du canapé et replia ses pieds sur le coussin d’assise. Elle fit exprès de s’installer ainsi de façon à faire entrebâiller le tee-shirt sous ses bras et faire dévoiler l’intégralité des côtés de son sein visible. Jérôme, lui, était assis de façon normale, mais petit à petit, il s’avachissait sans s’en rendre compte, absorbé par le film. Le peignoir devenait de moins en moins serré au fur et à mesure de ses changements de position. Elle repensait à la vision de la queue de Jérôme tout à l’heure. La position qu’il avait maintenant devait être magnifique si elle s’était positionnée devant. Et ce fut le chaton qui vint l’aider. Il s’amusait avec un fil électrique sous le meuble télé. Marion se redressa, se mit à genoux et se déplaça comme ça jusqu’à sa cible. Elle prit le chat dans ses bras et tout en restant à genoux, elle pivota vers le canapé et vit ce qu’elle pensait parfaitement. Le rétroéclairage de la télévision rendait parfaitement visible le pénis de Jérôme qu’elle trouva plus long que tout à l’heure puisque le gland lui semblait un peu plus visible, signe que la peau du prépuce s’était tendue. Malgré tout, il pendait tout autant et derrière, les boules en faisaient tout autant.


Elle se rassit avec le chat sur le ventre qui s’amusait avec le tissu du long tee-shirt.


Dans le film, Emmanuelle Béart s’apprêtait à se dévêtir. Là aussi elle portait un peignoir et commençait à le retirer progressivement devant un Michel Piccoli très attentif. Elle se mit toute nue de face. On pouvait voir ses seins apparemment refaits et assez ronds et généreux, ainsi que la touffe brune de sa chatte qu’elle avait dû épiler sur les côtés, car ressemblant à un gros ticket de métro. Elle était très fournie malgré tout. C’est Marion qui intervint la première :



Marion observa du coin de l’œil le peignoir de Jérôme et particulièrement son entrejambe. Elle savait qu’en général, la vision d’une fille nue provoque chez un mec une réaction souvent instantanée. Le chat posé sur son ventre tendait le tissu du tee-shirt, rendant encore plus visibles les tétons de Marion.


Après plusieurs minutes à se faire peindre dans diverses positions, Marion remarqua à présent que le pénis de Jérôme semblait avoir pris une tout autre forme et semblait commencer à déformer le tissu du peignoir. Elle sourit intérieurement. Aidée par le chat, elle se pencha sur le côté pour jouer avec lui, accentuant encore plus le décolleté, et fit en sorte qu’un sein tout entier soit visible dans l’échancrure. Jérôme le vit du coin de l’œil. À présent, Emmanuelle Béart se trouvait nue de dos en train d’admirer plusieurs essais du peintre accrochés au mur. On lui voyait ses fesses complètement et parfois en gros plan. Marion réagit.



À ce moment précis, le chat changea de cible et vint sauter sur le ventre de Jérôme et le peignoir s’entrouvrit assez largement, libérant le pénis complètement décalotté de Jérôme qui fit un bond en l’air. Il était prisonnier et en appui jusqu’à cet instant. Jérôme ne réagit pas tout de suite, préoccupé par le chat qui l’avait surpris. Marion sourit franchement en regardant le spectacle.



Il se confondit en excuses pendant qu’il essayait de se couvrir, mais Marion dédramatisa la situation.



Marion se leva et retira son tee-shirt, puis son tanga. Elle se rassit toute nue aux côtés de Jérôme qui ne fixait plus le grand écran. Elle écarta les cuisses largement, qu’elle posa en appui sur le bord du canapé, puis posa sa main droite sur son pubis. Elle caressa ses poils fins puis les doigts arrivèrent rapidement sur sa vulve. Elle les passa plusieurs fois sur sa fente qu’elle sentait toute trempée. Son autre main était posée sur son sein gauche et jouait avec le téton durci. Jérôme détaillait les seins et la chatte taillée en petit ticket de métro tout fin. Il s’approcha d’elle, la queue dans la main droite. Il regardait les manœuvres de Marion sur son corps pendant qu’il faisait aller et venir son pénis dans sa main. Il était tellement engorgé qu’il devenait d’une couleur pourpre.


Marion changea de main, elle mit la gauche sur son sexe, pendant que la droite attrapa la queue de son complice. Les doigts passèrent directement sur le gland et tirèrent encore plus sur la peau pour le découvrir encore plus et tirant sur le frein. Elle l’astiqua de plus en plus vite puis se pencha vers lui et le mit en bouche totalement. Elle l’enfonça profondément dans sa bouche, le suça avec sa langue tout en le branlant vigoureusement. Jérôme enfonça deux doigts dans la chatte de sa partenaire et lui fit à son tour des va-et-vient de plus en plus rapides. Marion changea de position. Elle se mise à quatre pattes sur le canapé, les fesses ouvertes. Jérôme se positionna derrière elle puis lui pénétra le vagin de toute sa longueur. Il fit claquer son ventre contre les magnifiques fesses de Marion et sentit ses boules taper contre la chatte. Il se pencha en avant et prit les deux seins dans ses mains et les malaxa. Après quelques minutes très intenses, il sentit la jouissance arriver et ne put se retenir plus longtemps. Marion gémit à son tour, trouvant elle aussi la libération.


Il se retira et s’avachit sur le canapé. Marion en fit tout autant et se mit à côté de lui. Leur corps luisait de transpiration. Le chat, lui, avait d’abord été surpris par leur manège, mais prit la poudre d’escampette rapidement.


Ils restèrent ainsi une bonne partie de la nuit, sous les yeux d’un Michel Piccoli toujours aussi attentif.