n° 18680 | Fiche technique | 15382 caractères | 15382 2757 Temps de lecture estimé : 12 mn |
25/11/18 |
Résumé: Ma belle-soeur me séduit. | ||||
Critères: ff fbi vacances revede voir intermast cunnilingu -initiat -mast | ||||
Auteur : Misti Gris (Aimant l'érotisme) Envoi mini-message |
Je fais partie d’une fratrie de quatre enfants. J’ai deux frères et une sœur. Mon prénom est Patricia, j’ai 35 ans, je travaille dans une boîte de pub à Paris et suis mariée à Gilles qui est ingénieur en aéronautique. Nous avons deux enfants. J’ai une vie active mais simple et je me sens très bien avec mon mari, aucun nuage de part et d’autre. Juste qu’il part souvent à Toulouse pour son travail et me laisse seule avec les enfants, mais c’est un choix.
Mon frère François est marié avec Nelly, 36 ans, et ils ont trois enfants. Je suis très proche de mes frères et de ma sœur, souvent nous partons en week-ends ou en vacances ensemble. Il y a trois ans, nous sommes partis avec mon frère et sa famille en vacances pour trois semaines. Nous avions loué une maison à Saint-Jean-de-Luz.
— x X x —
Comme d’habitude, les journées sont ordonnées, les femmes font les courses et les repas et les hommes la vaisselle. Après les repas, les enfants font la sieste et, un jour sur deux, soit les femmes, soit les maris, gardent les enfants, pendant que les autres vont à la plage. Après la fin de la sieste, tout le monde se retrouve à la plage.
Je mesure 1,70 m, je suis châtain, j’ai une belle poitrine sans pour autant avoir de gros seins. Nelly, elle, est un peu plus petite que moi, mais possède une poitrine plus importante que la mienne, sûrement due à ses trois grossesses et l’allaitement de ses enfants. Je m’entends très bien avec elle et je suis toujours ravie de la voir. Et c’est réciproque.
Un matin au début de notre séjour, nous sommes allées, Nelly et moi, faire les courses, et pour neuf personnes, ce n’est pas simple. Dans les rayons du supermarché, le téléphone de Nelly a sonné : en décrochant et en disant bonjour à son correspondant, j’ai senti Nelly gênée. Elle s’est écartée de moi et je la voyais rire avec un visage joyeux. Continuant les courses, je me suis approchée d’elle et je l’ai entendu dire « Je t’embrasse, moi aussi j’ai envie d’être avec toi ». J’ai été très étonnée car François était à la maison avec Gilles et les enfants.
Le reste de l’après-midi s’est passé normalement. Ce n’est qu’en préparant le repas du soir que j’ai trouvé Nelly bizarre avec moi. Elle était rieuse, gaie, joyeuse, frivole, ce qui ne lui correspondait pas complètement. Dans la cuisine en faisant à manger, je la sentais qui me frôlait, qui me souriait, et au bout d’un moment, j’ai remarqué qu’elle avait dégrafé un bouton de plus de son corsage, laissant voir la naissance de sa poitrine.
En passant à table, je remarquai qu’elle avait changé de place avec son mari et était juste en face de moi. Au bout d’un moment en levant les yeux, je m’aperçus que Nelly me regardait toujours avec un petit sourire au coin de ses lèvres. J’étais gênée. Le reste du repas fut agréable, Nelly était souvent hilare et nous faisait rire.
J’allai coucher les enfants et montai dans la salle de bains. Quelques instants après, j’entendis :
Et tout de suite après :
J’ai bien senti qu’elle voulait changer de conversation, et Nelly s’est déplacée vers la douche en me frôlant très nettement. J’étais face à la glace en train de me démaquiller et j’ai vu Nelly venir derrière moi et mettre ses deux mains sur mes épaules. Je la voyais dans la glace qui me regardait fixement, puis elle s’est collée à moi, sans pour autant me quitter des yeux. Je sentais ses seins contre mon dos, son bassin collé au mien. Ses mains sont descendues le long de mon corps, puis sont remontées lentement sur mon ventre pour arriver sous mes seins. Je n’arrivais pas à me détacher de ses yeux. Là, j’ai senti son souffle dans ma nuque, puis ses lèvres dans mon cou et ses mains prendre doucement et lentement mes seins.
Elle fit glisser les bretelles de ma nuisette sur mes bras, la faisant tomber à mes pieds : je me trouvais toute nue. Elle fit de même avec la sienne et j’ai senti son corps contre le mien, ses seins chauds contre mon dos. Elle continuait à me faire des bisous dans le cou. J’aurais pu lui demander d’arrêter, mais je ne bougeais plus, j’étais dans un autre monde, un autre moment cérébral et pourtant très réel. C’est moi qui me suis retournée pour être face à elle. Très rapidement, elle s’est collée à moi, je sentais ses seins conte les miens, son pubis aussi, j’étais ailleurs. Puis elle s’est penchée et m’a fait un baiser sur les lèvres, et là j’ai réagi.
Elle remit sa nuisette et en partant, me fit une bise juste au coin de ma bouche. Puis elle me dit :
J’étais toute abasourdie par cette révélation. Après son départ, j’étais toute chose, surprise, fébrile, me demandant pourquoi je n’avais rien dit. Surprise de m’être laissée faire et d’en avoir ressenti un trouble et aussi, un certain plaisir. Ma nuit fut agitée, je pensais aux caresses de Nelly, et juste avant de m’endormir, je me trouvais presque convaincue que j’aurais aimé, moi aussi, la caresser.
Le lendemain matin au petit déjeuner, je retrouvai la smala et découvris que Nelly était assez fermée et presque revêche. J’essayais de lui sourire, mais elle tournait ostensiblement la tête. Après le repas, comme c’étaient nos maris qui gardaient les enfants pour la sieste, Nelly et moi sommes allées à la plage. Allongée sur sa serviette, je regardais Nelly avec d’autres yeux : elle était vraiment jolie, un très beau corps et une poitrine bien galbée. Jamais je ne l’avais regardée avec de tels yeux, je m’en étonnais moi-même. Nelly me tendit son téléphone et me dit :
Je découvris une jeune femme très jolie avec de grands yeux. Puis elle enchaîna :
Le fait est qu’elle me plaisait bien. Ce qui me fit regarder les autres femmes autour de nous et je fus surprise de prendre un certain plaisir en contemplant leurs corps, en évaluant leurs poitrines. Nelly, elle, restait assez distante.
Fin d’après-midi et repas du soir, Nelly encore en face de moi. Je la regardais avec un nouveau regard, mon émotion montait et sans vraiment réfléchir, tout en la regardant, j’allongeai ma jambe et lui caressai le mollet. Elle me regarda fixement et esquissa un sourire, que je pris pour un assentiment et je continuai à lui caresser la jambe. Le résultat fut immédiat, elle retrouva son sourire, sa gaieté, ce qui me fit très plaisir et m’excita.
Après le repas, j’attendais fébrilement que Nelly aille dans la salle de bains. Je me dépêchai d’aller dans ma chambre pour mettre une super nuisette et montai dans la salle de bains.
Elle avait un déshabillé de nuit transparent, je ne voyais que ses seins et ses mamelons, puis en baissant mes yeux, son pubis et sa toison ; j’en eu la chair de poule et sentis mon ventre se crisper. Je ne sais comment je me suis retrouvée dans ses bras, collée à elle. Nous nous sommes regardées et j’ai senti ses lèvres sur les miennes : doucement, lentement, sa langue a touché mes lèvres que j’ai ouvertes un peu pour accepter son baiser. C’était doux, sensuel, langoureux, je sentais sa poitrine contre moi. Je n’ai pas résisté, je lui ai caressé les seins. J’y trouvais une douceur et une excitation jamais connues, surtout pendant que Nelly m’embrassait.
Comme j’y avais pensé dans la nuit, j’avais envie de la caresser. J’ai glissé ma main le long de son corps pour arriver à son bas-ventre. Là, j’ai senti qu’elle écartait les jambes pour donner plus d’espace à ma main. Mon doigt a effleuré son clito humide, j’ai glissé mon doigt dessus. Quel plaisir ! En même temps, j’ai senti la main de Nelly dans mon sexe, elle commença à me masturber lentement. Je sentais mon sexe très humide, comme je ne l’avais jamais connu.
Nelly, retirant ses doigts de mon sexe, les approcha de la bouche en me disant :
Je gobai ses doigts et découvris un goût un peu âpre, mais doux ; c’était mon sexe ! Je me penchai et pris entre mes lèvres un de ses tétons. De la main, je lui caressai l’autre sein pendant que Nelly continuait à me masturber doucement et très lentement. Ce fut pour moi un moment qui me trouble encore en y repensant.
C’est Nelly qui me dit :
Et juste à ce moment, nous avons d’ailleurs entendu :
C’était Gilles, mon mari. Vite, nous nous sommes réajustées et je lui ai répondu :
Me regardant, Nelly me glissa :
Nelly se mit à rire et m’embrassa doucement, je m’étais collée à elle, j’étais très excitée. Nelly a ouvert la porte et crié :
J’ai filé dans ma chambre. Je tremblais, heureuse, jamais je n’avais été dans cet état. Était-ce le fait de m’être livrée à une femme, ma belle-sœur de plus, je ne saurais dire, mais je descendis ma main et commençai à me masturber lentement en pensant aux baisers de Nelly, j’avais le sexe tout humide, j’étais très excitée. Reprenant mes esprits, je me suis bien essuyée le sexe pour ne pas éveiller les soupçons de mon mari.
Je me suis mise au lit, et Gilles est arrivé, s’est glissé dans le lit et a commencé à me caresser : j’ai pratiquement tout de suite émis un petit cri, de surprise mais surtout d’excitation, étant déjà à la limite du plaisir. Assez rapidement, Gilles m’a pénétrée, j’ai pris un énorme orgasme, mais c’était en pensant à Nelly, à son sexe et non à mon mari et à son va-et-vient. J’ai joui en pensant à Nelly, à ses seins, son sexe, son baiser, sa langue, le goût de mon sexe et je finis presque par crier, ce qui surprit mon mari. Je me suis retournée et je m’endormis en pensant à elle.
Le lendemain matin, les maris, les enfants, le petit-déjeuner. Nelly était gaie et très séduisante, mais peut-être que mon jugement n’était pas impartial, et pour cause. Aujourd’hui, les femmes garderaient les enfants… et j’en étais toute retournée, car j’allais me retrouver seule avec Nelly, les enfants faisant la sieste.
Les hommes sont partis à la plage. Dans ma chambre, je mis un teeshirt à même la peau et un petit short, puis les enfants couchés, j’allai vers la chambre de Nelly. Je la trouvai en petite tenue, allongée sur le lit. Je m’approchai, m’allongeai et me blottis contre elle. Rapidement, j’ai senti ses mains me caresser. Le bonheur pour moi ! J’ai tourné la tête et posé mes lèvres sur les siennes. C’est moi qui ai ouvert ses lèvres avec ma langue : quel plaisir de sentir ses lèvres s’ouvrir et sentir sa langue contre la mienne !
Elle a cessé de m’embrasser et a commencé à me sucer les seins puis le ventre. Je ne bougeais plus, j’étais dans un autre monde, puis j’ai senti ses baisers sur mon ventre et… Allait-elle le faire ? Oui, j’ai senti ses cheveux contre mes cuisses, et oui, très vite, sa bouche contre mon sexe, sa langue qui parcourait son intégralité. J’écartai un peu plus les cuisses : quel plaisir doux et chaud, j’étais de plus en plus humide et sa langue glissait le long de mes lèvres. Je fus surprise quand Nelly me dit :
Et sans réfléchir car j’en avais envie, je lui répondis :
Elle s’était levée puis retournée, j’avais devant moi son bassin et son sexe, de belles lèvres brunes avec une petite toison. Jamais je n’aurais pu penser un jour me retrouver dans cette situation. La vue de ce sexe, auquel je rêvais depuis quelques jours, me fit fondre. J’approchai mes lèvres doucement, j’en éprouvai une énorme excitation, et léchai son sexe. Puis délicatement, avec ma langue, j’écartai ses grosses lèvres et je ressentis le goût de son sexe, un goût un peu âpre, mais doux. J’aspirai ses lèvres dans ma bouche, mais le paradoxe, c’est que pendant que je prenais du plaisir à la lécher, je n’appréciai pas que Nelly me lèche en même temps. Je le lui dis :
Je m’allongeai sur le lit et elle vint continuer à me lécher. J’écartai de plus en plus les cuisses pour lui donner entièrement mon sexe, ce qu’elle fit complètement. Elle remonta et m’embrassa pleine bouche et je sentis le goût de mon sexe. Nous avons continué à nous caresser, puis nous nous sommes aperçues qu’il était temps de réveiller les enfants. Nous les avons réveillés et sommes tous partis à la plage.
La suite de nos vacances fut féérique. Nous passions, Nelly et moi un après-midi sur deux dans sa chambre ou dans la mienne, les plaisirs partagés furent nombreux. Je prenais de plus en plus de sensations, tant en la caressant qu’en me faisant caresser. Nous nous ingéniions chacune à faire plaisir à l’autre. Jamais je n’aurais pensé, déjà, avoir une aventure avec une femme, mais de plus, y prendre autant d’émotion, d’étonnement, de sensibilité et de sensations.
Nous avons quitté St-Jean-de-Luz et avons réintégré nos cercles familiaux. Les jours suivants passèrent très rapidement, j’en oubliais Nelly, entre lavage, repassage et reprise de mon activité. C’est Nelly qui me remit dans la vie actuelle en me téléphonant.
En fonction de nos emplois du temps, nous nous rencontrions le plus souvent possible et j’en éprouvais toujours autant de plaisir et d’excitation. Cela m’enlevait le sentiment de gêne, de trouble, de confusion que j’avais après avoir eu une relation avec une femme. Au fil des jours, cela m’a libérée et j’assumais complètement ma bisexualité.
Lors de nos rendez-vous, Nelly se moquait de moi et de ma toison toujours aussi fournie. Elle me donna le téléphone de Sonia, son esthéticienne. Quelque temps plus tard, j’ai pris un rendez-vous avec Sonia pour me faire le maillot.
C’était une jeune fille de 25 ans, très séduisante et craquante, j’ai passé un bon moment sous ses doigts doux, mais c’est une autre histoire…