n° 18687 | Fiche technique | 27882 caractères | 27882Temps de lecture estimé : 15 mn | 29/11/18 |
Résumé: Lorsque Alexandra plongea dans le bassin olympique, elle était loin de se douter que sa soirée allait être... mouvementée. | ||||
Critères: fh ff grp extraoffre inconnu grossexe piscine fellation cunnilingu pénétratio fsodo hdanus -totalsexe | ||||
Auteur : MonsieurDE Envoi mini-message |
Alexandra effectua encore deux longueurs de bassin puis elle rejoignit les douches. En cette heure tardive la piscine était quasiment déserte. Elle ôta son maillot puis s’apprêta à se glisser sous le jet chaud lorsqu’elle remarqua qu’une femme s’y trouvait déjà.
L’affirmation de la jeune femme décida Alexandra. Elle se laissa longuement asperger avant de prendre un peu de mousse au creux de la main. Elle jeta un regard furtif à sa voisine qui se savonnait généreusement et éprouva un léger malaise. Elle ne s’était plus trouvée dans une pareille situation depuis le pensionnat, il y avait plus de vingt ans de cela. Elle ferma les yeux pour dissiper le malaise puis laissa l’eau ruisseler sur son visage. Lorsqu’elle ouvrit enfin les paupières son regard se porta aussitôt sur le jeune corps d’albâtre.
Alexandra avait déjà refermé les yeux pour tenter d’échapper à l’assaut des pensées érotiques qui commençait à se dessiner à l’ombre de sa morale. Les chasser ? En avait-elle envie ? Vraiment ? Elle prit une profonde inspiration.
Lentement, Alexandra ouvrit les yeux
Alexandra sentit bientôt le regard d’Annie caresser son corps bronzé.
Compatissante, Alexandra posa sa main sur les omoplates saillantes.
Annie laissa échapper un grand éclat de rire dans lequel Alexandra la rejoignit.
Annie prit un gros nuage de mousse au creux de la main et commença à caresser le dos d’Alexandra. La main de la jeune femme descendit au creux des reins puis s’aventura sur les fesses rondes et fermes. Alexandra laissa le frisson glisser délicieusement sur sa peau. La main douce d’Annie remonta lentement sur son flanc droit, jusqu’au sein au téton tendu, sur lequel elle se referma. Alexandra ne bougea pas lorsqu’Annie la pelota généreusement. Elle se laissa gagner par la sensation nouvelle, inconnue, de cette caresse féminine. La main vagabonde abandonna le globe généreux, descendit sur le ventre plat, glissa sur le haut de la cuisse, caressa la fesse et s’insinua entre les cuisses.
Alors, Alexandra, d’un mouvement lent, effectué en toute inconscience, glissa légèrement la jambe sur le côté. Annie profita de la voie ouverte pour explorer la vulve où l’eau déjà se mêlait à la liqueur intime d’Alexandra. De son majeur, elle chercha le clitoris qui répondit aussitôt à la sollicitation. La respiration d’Alexandra s’accéléra. De faibles gémissements franchirent la barrière de ses lèvres ourlées. Annie abandonna sa caresse un court instant pour changer de position. Elle vint face à Alexandra puis reprit son exploration intime. Les deux corps, maintenant, échangeaient leur chaleur. La bouche d’Annie se posa sur les lèvres brûlantes d’Alexandra. Sa langue chercha sa langue et le baiser fut long et doux. Les doigts d’Annie n’avaient pas abandonné le bouton d’amour et bientôt Alexandra explosa dans un cri étouffé par la bouche de sa compagne. Tremblante, elle se laissa ensuite glisser le long de la paroi en mosaïque, et continua de frémir sur le sol.
Annie ne lui offrit pas de répit. Elle plongea la tête entre ses cuisses, et de sa langue raviva le clitoris heureux. Alexandra sentit aussitôt la chaleur revenir gonfler son désir et elle referma ses mains sur la nuque d’Annie. Celle-ci lécha consciencieusement la chatte brûlante, puis elle pivota pour venir poser sa vulve impatiente sur la bouche d’Alexandra, qui, un peu maladroitement entama le premier cunnilingus de sa vie. Les deux femmes se firent ainsi jouir mutuellement plusieurs fois de suite. Sur le sol toujours tiédi par l’eau, le corps d’Alexandra tremblait. Elle n’avait pas froid, elle s’abandonnait simplement aux réminiscences du plaisir, aux répliques orgasmiques. Les bruits lui parvenaient, filtrés par l’univers cotonneux dont elle ne voulait pas s’extraire. Un bruit surtout. La voix d’un homme qui appelait :
Et une voix de femme qui répondait :
L’homme apparut. Grand, athlétique. Alexandra l’aperçut, loin, très loin dans le brouillard, mais ne réagit pas. Bien au chaud dans sa bulle sensuelle, elle était indifférente au monde extérieur.
L’homme prit un air sévère :
Sur ces mots, elle s’approcha de l’homme, fit glisser son slip de bain et déposa un baiser sur son sexe qui commençait à gonfler. D’un geste habile elle décalotta le gland et commença à le masturber. L’homme, dont la respiration trahissait déjà le plaisir montant, ne quittait pas Alexandra des yeux.
Pour toute réponse Annie sortit un bout de langue qu’elle agita dans tous les sens.
L’homme vit les tremblements qui animaient encore le corps d’Alexandra. Il s’approcha lentement, ne put résister au plaisir de caresser les seins lourds puis s’agenouilla. Alexandra pivota aussitôt sur le côté pour engloutir sa queue au plus profond de sa gorge. Elle se mit aussitôt à pomper l’homme fébrilement. Celui-ci se retira brusquement :
L’homme prit un air ahuri :
Annie allait lui répondre lorsqu’Alexandra bougea. Elle se retourna doucement et se mit à quatre pattes. Annie sourit.
L’homme s’approcha mais lorsqu’il voulut pénétrer la chatte d’Alexandra, celle-ci murmura :
L’homme retrouva sa tête d’ahuri :
Annie murmura à l’oreille de son homme :
Sans se faire prier d’avantage, l’homme appuya son gland et l’anus d’Alexandra s’ouvrit pour recevoir la queue gorgée de sang. Il commença à la limer doucement sans éveiller la moindre réaction. Annie intervint :
L’homme intensifia alors ses mouvements et le bassin d’Alexandra commença à onduler. Il se mit alors à lui parler de plus en plus crûment et les mots attisèrent le plaisir. Alexandra, à son tour prononça des paroles qu’elles n’avaient encore jamais dites à ses amants. Parfois, l’homme se retirait complètement du fourreau intime et lorsqu’il y replongeait jusqu’à la garde Alexandra poussait un cri aigu qui résonnait de son plaisir durant de longues secondes. Elle jouit une première fois, puis, l’homme ralentissant son pilonnage sans jamais l’interrompre, un second orgasme l’emporta quelques minutes plus tard. Annie s’était adossée au mur et elle regardait son homme. Elle avait toujours aimé le voir donner du plaisir à une autre femme, sachant que dans les heures qui suivaient il était pour elle un amant insatiable, capable de la prendre cinq fois dans la nuit. Le plaisir était alors magnifique, incroyable, inouï, car il était capable de se retenir très longtemps avant de jouir et de lui offrir ainsi de multiples orgasmes, comme il en offrait maintenant à Alexandra. Heureuse de ce qui l’attendait, Annie se masturba doucement en regardant son homme défoncer sa partenaire. Ses mouvements de reins devenaient violents et elle voyait qu’Alexandra recherchait cette bestialité en poussant ses hanches vers lui à chaque coup de boutoir. Alexandra jouit pour la troisième fois et l’homme exprima un râle rauque en se retirant pour décharger sur les fesses rondes. Annie attrapa aussitôt son homme par les cheveux pour amener sa tête entre ses cuisses. Elle jouit au premier coup de langue. L’homme dont le sexe était toujours fier, tenta de la pénétrer.
L’homme n’insista pas. Vingt minutes plus tard Alexandra rejoignit, en titubant, l’arrêt du 18. Elle s’apprêtait à monter dans le bus pour rentrer chez elle lorsqu’un flot de cyprine inonda sa culotte, réveillant le feu dans son ventre. Elle eut soudain une envie terrible… irrépressible, d’être prise par un homme qui la chevaucherait bestialement. Elle respira profondément pour tenter de se calmer ; en vain. Elle décida de rentrer à pied, certaine que la fraîcheur du soir étoufferait le feu. Mais les images revenaient, délicieuses, obsédantes. La jeune femme qui la caressait… Sa langue qui goûtait le sexe d’une femme pour la première fois… Et puis… Après… Les images n’étaient que furtives. Elle avait vaguement conscience de la présence d’un homme mais le souvenir s’arrêtait là. L’avait-il vraiment possédée ? Son souvenir était flou, dilué dans la mémoire du plaisir, dans les séismes orgasmiques, tellement puissants, trop souvent espérés, que sa conscience avait délicieusement basculés dans le néant… quelques secondes ? Quelques minutes ? Une éternité ?
La puissante Porche Cayenne ralentit. La passagère baissa sa vitre.
Alexandra sursauta.
Sans répondre Alexandra continua son cheminement sur le trottoir qu’éclairaient timidement de maigres réverbères. La voiture frôlait le caniveau.
En d’autres circonstances, Alexandra aurait refusé fermement. Mais ce soir, le feu de l’envie et du désir la consumait. Elle ne comprenait pas pourquoi ses sens la tourmentaient ainsi, avec une telle violence. Elle devait rentrer chez elle, prendre un bain glacé et dormir. Il ne fallait pas que cette femme insiste. Elle n’aurait pas la force de résister. D’ailleurs elle se sentait faiblir à chaque pas. Si la porte arrière de la Porche s’ouvrait elle se précipiterait à l’intérieur de la voiture. Elle ne pourrait pas se soustraire à la tentation, tellement violente, tellement impérieuse ! Elle prit une profonde inspiration pour tenter de reprendre des forces… Mais… la porte s’ouvrit, et un homme lui tendit la main.
Alexandra poussa un profond soupir puis elle s’installa à bord. Elle remarqua aussitôt que la femme était maintenant au volant. L’homme, assis à sa droite, avait un visage d’ange. La cinquantaine, peut-être. Il semblait svelte et ses yeux reflétaient le désir. La conductrice leva les yeux sur le rétroviseur.
Le compagnon tout à fait charmant, d’un geste ample et maîtrisé, caressa la nuque d’Alexandra puis se pencha pour saisir ses lèvres avec gourmandise. Alexandra, une nouvelle fois, mouilla sa culotte. La voiture s’arrêta devant les marches du perron.
Le trio s’installa dans l’immense canapé du salon. Le sol était recouvert au trois quart par un tapis bouclé particulièrement moelleux. Guy débouchait une bouteille de champagne millésimé lorsque Didier fit son apparition.
Didier claqua une bise sonnante sur la joue de la jeune femme qui n’osa pas trop le dévisager, mais remarqua néanmoins sa beauté. La trentaine sans doute, avec un sourire malicieux accroché aux lèvres. Gaëlle cru bon de préciser :
Les deux femmes se levèrent de concert et, arrivée sur le pas de la porte, Gaëlle se retourna :
Elles réapparurent, une dizaine de minutes plus tard, vêtues toutes deux d’une nuisette transparente. Gaëlle sourit à Alexandra :
Alexandra vira au vermillon en constatant la nudité des deux hommes. Gaëlle, d’un pas assuré, alla s’asseoir sur les genoux de son mari.
Toujours rouge comme un coquelicot, Alexandra s’approcha lentement et vit que le sexe de Didier, de taille très modeste, commençait à frémir. À chaque bout du canapé, les patins se roulèrent, puis Guy, relevant délicatement sa femme par les hanches remplit une nouvelle fois les coupes que chacun, peu ou prou intimidé par les circonstances, vida d’un trait. Guy vint déposer un baiser sur les lèvres de sa femme puis déclara :
Gaëlle répliqua aussitôt :
Guy afficha un large sourire malicieux.
Gaëlle se mit à rire.
Gaëlle entraîna Alexandra au centre de la pièce. Guy appuya sur le bouton de la chaîne et une musique douce et lascive s’échappa des hauts parleurs.
Gaëlle saisit le bas de sa nuisette, dans la seconde imitée par Alexandra. Doucement, en prenant soin d’accorder leurs mouvements, elles remontèrent le vêtement dévoilant leurs cuisses, leur ventre, leurs seins. Bientôt, de concert, elles lancèrent leurs nuisettes en direction des hommes qui se mirent à rire. Guy adressa un clin d’œil à sa femme et celle— ci se rapprocha d’Alexandra pour déposer un baiser aux coins de ses lèvres, puis, très vite, elle la prit à pleine bouche. Excitée par ce baiser, fougueusement rendu, Gaëlle saisit le sein droit d’Alexandra et le caressa doucement avant d’emprisonner le téton entre le pouce et l’index. Elle serra de plus en plus fort jusqu’à obtenir un cri. Alexandra ne se déroba pas. La petite douleur ressentie était descendue jusqu’à son bas— ventre, intensifiant la lubrification de son intimité. Gaëlle abandonna la bouche de sa partenaire pour porter ses lèvres sur le téton endolori qu’elle se mit à sucer. Les deux hommes en profitèrent pour s’approcher. Guy se colla contre le dos d’Alexandra, et Didier plaqua son buste, puissant et glabre contre celui de Gaëlle. Tandis que les deux femmes étaient revenues à un baiser fiévreux, les hommes pelotèrent leurs seins sans retenue. Alexandra sentit le sexe de Guy contre ses fesses. Gaëlle abandonna la bouche de la jeune femme pour attraper un pouf qu’elle tira vers Alexandra.
Alexandra se laissa guider. Le pouf, composé de microbilles, était particulièrement confortable. Ondulant des fesses, elle obtint une assise stable. Les hommes, lentement se rapprochèrent et Gaëlle murmura à l’oreille de la jeune femme :
Alexandra ne se fit pas prier. Elle avança la main pour saisir le sexe de Didier et le prendre en bouche. Lorsque sa paume droite rencontra celui de Guy, elle marqua une pause tant il lui sembla… impressionnant ! Elle abandonna même un instant sa fellation pour évaluer l’ampleur de la chose. Certes elle avait eu, jusqu’ici, un grand nombre d’amants mais aucun d’entre eux ne disposait d’un si bel attribut. Gaëlle s’amusa de la surprise :
Alexandra ne répondit pas mais referma les doigts autour de la queue gonflée qu’elle commença à décalotter, tout en reprenant sa fellation interrompue. Elle ne voulait pas frustrer Guy ; pourtant elle n’eut bientôt qu’une envie, qui devint, de seconde en seconde, obsédante et irrépressible : goûter ce sexe démesuré. Le sentir dans son ventre, dans son… non ! Ça elle ne pourrait pas. Il ne rentrerait pas. Elle continua, néanmoins, consciencieusement à sucer Didier, puis lorsqu’elle n’y tint plus, elle posa ses lèvres sur le gland de Guy. Il était rose, chaud et humide. Il avait le goût du plaisir. Elle sentit un flot de liqueur inonder ses cuisses. Elle laissa sa langue glisser le long du frein, puis elle lécha consciencieusement les grosses bourses gonflées et fit mine de les gober, ce qui arracha un cri de plaisir à son partenaire. Elle descendit ensuite agacer le scrotum puis remonta lentement sucer le gland. Guy ferma les yeux lorsqu’Alexandra le prit à pleine bouche. Gaëlle l’encouragea :
Gaëlle, pour sa part, s’activait sur le sexe de Didier, mais ne pouvait s’empêcher de regarder Alexandra dont la tête allait et venait sur la queue de son homme. Elle adorait le voir se faire sucer par une autre. Elle aimait aussi autre chose. Didier le savait. Il commença à se branler devant elle, au— dessus de sa poitrine et Gaëlle sentit son ventre chauffer de plus en plus. Bientôt elle allait voir le jet se répandre sur ses seins. Elle ignorait pourquoi, mais elle adorait - selon elle, le mot était faible - regarder un homme se masturber et recevoir le jus sur ses mamelles tendues par l’excitation. Didier la contenta bientôt, puis il vint caresser le dos et les fesses d’Alexandra qui, maintenant, se trouvait à genoux. Gaëlle profita de cette position pour venir glisser sa tête entre les cuisses de la jeune femme pour lui prodiguer un cunnilingus, dont paraît-il, elle avait le secret. Entre les jambes de la jeune femme Gaëlle murmura, suffisamment fort tout de même pour être entendue :
Les mots résonnèrent comme un encouragement et Alexandra s’activa sur la bite en béton. Les coups de langue de Gaëlle lui brûlaient la chatte. Alors les sensations revinrent avec une fulgurance surprenante… Encore plus fortes qu’à la piscine. Elle savait que bien vite elle serait ce que Gaëlle espérait : une salope qui aime sucer cette queue superbe… Une salope qui adore se faire bouffer la chatte par une femme… une salope qui attend d’être baisée comme une salope. Depuis la piscine elle n’avait plus de morale, plus de pudeur, plus de honte. Elle ne voulait que recevoir du plaisir. En recevoir et en donner… Beaucoup ! Du plaisir cochon… Des caresses perverses… Elle voulait plonger dans le stupre jusqu’à en boire la tasse ! C’est tellement bon, tellement nouveau, tellement grisant !
Que d’années perdues dans ses rapports « vanille ». Elle adorait ça, bien sûr. Mais c’était avant… Avant la piscine… Avant les caresses d’Annie… Avant son tout premier baiser sur une chatte chaude, ruisselante, offerte. Elle ne voulait plus que la morale vienne brider ses élans. Elle voulait jouir et faire jouir jusqu’à se damner. On lui avait souvent dit qu’elle était une bonne suceuse et Guy allait s’en apercevoir. Quand elle abandonnait le gourdin c’était pour lécher les couilles qu’elle voulait vider comme une artiste. Elle les palpait, les massait lorsque sa bouche s’activait sur la queue, une queue qu’elle dut pourtant abandonner un instant lorsque Gaëlle la fit jouir mais que Guy lui pria de reprendre en lui appuyant sur la nuque. Quand elle voulut le faire jouir, elle glissa le majeur dans son anus pour lui masser la prostate. Guy éjacula alors aussitôt dans un cri puissant. Elle le garda dans la bouche pour recueillir son abondante semence et Guy ne résista pas au plaisir de la complimenter :
Alexandra lui aurait bien répondu que oui, mais sa maman lui avait appris à ne pas parler la bouche pleine. Quand elle abandonna le sexe de Guy la fièvre était toujours en elle. Elle hésita, encore et encore, puis voyant que la belle queue était toujours prête à l’emploi elle regarda Guy dans les yeux et lui dit d’une voix qui n’était plus tout à fait la sienne :
Il sourit.
Guy croisa le regard de sa femme. Alexandra se positionna à quatre pattes, et Guy vint derrière elle pour s’enfoncer d’un coup dans la chatte gourmande. Alexandra était tellement mouillée que des bruits de succions se firent entendre. Il lui sembla qu’un pieu énorme la transperçait. La sensation était délicieuse, inconnue, déroutante… Tellement agréable que le manque s’installait dès qu’il se retirait. Mais quand il s’enfonçait à nouveau, jusqu’à la garde, il lui semblait que cette queue puissante lui arrachait les entrailles, provoquant de mini orgasmes, silencieux… sournois… mais tellement désirés.
Elle en vint à espérer qu’il ne se retirerait pas au moment d’éjaculer et qu’il l’inonderait de son sperme pour goûter le plaisir jusqu’à la lie. C’est à cela qu’elle pensait lorsqu’un premier orgasme l’emporta. Guy stoppa son pilonnage pour lui laisser le temps d’apprécier. Un second orgasme survint quelques secondes plus tard. Alexandra ne bougeait pas mais elle tremblait. Guy interrogea sa femme du regard. Elle lui sourit. Doucement, il se retira au moment ou un troisième orgasme, moins puissant, secouait le corps d’Alexandra. Guy n’avait pas encore jouit. Gaëlle devina ses intentions :
Guy recueillit un peu de liqueur sur la chatte d’Alexandra pour humidifier son anus puis il la pénétra délicatement. Il la sodomisa longuement en de doux mouvements amples tandis que sa femme succombait aux assauts de Didier. Alexandra regardait le couple et ne perdait rien du dialogue très cru que les partenaires échangeaient. Gaëlle le comprit-elle ? Elle croisa le regard de son mari et lui dit d’une voix cassée par le plaisir :
Guy tenta alors quelques mots murmurés, puis très vite, en constatant l’effet produit il nourrit son vocabulaire jusqu’à installer un dialogue, puissamment érotique avec sa partenaire. Alexandra était galvanisée par les mots qu’elle accueillait par des râles ou de légers cris. Elle se cambra encore davantage, pensant qu’ainsi cette bite fabuleuse pourrait entrer plus profond, plus fort. Elle voulait que Guy la défonce comme jamais elle ne l’avait été. Elle voulait ne plus pouvoir s’asseoir pendant une semaine… un mois… même une année pour que cette douleur lui rappelle, encore et encore, du plus profond de ses entrailles, l’intensité de son plaisir.
Alexandra ouvrit les yeux lorsqu’elle entendit Gaëlle crier. Elle la vit s’accrocher au cou de Didier qui donna un dernier coup de reins pour libérer sa semence. Les amants jouirent ensemble dans un concert de râles. C’est à cet instant précis que Guy donna le coup de gourdin qui déclencha le séisme chez sa partenaire qui reçut avec un contentement sonore la semence, si abondante, qu’elle la pensa peut-être trop longtemps contenues dans les lourdes bourses qu’elle s’était plu à palper.
Repus de plaisir, les amants se regardèrent heureux, un peu ébahis, et fabuleusement détendus. Ils se rassasièrent d’une petite collation, puis, comme Alexandra et Didier étaient conviés dormir sur place, chacun dans sa chambre, pour que la morale soit sauve, Gaëlle leur proposa de ne pas verrouiller leur porte.