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03/12/18
Résumé:  La calèche s'immobilise devant une grande bâtisse près des quais. Avec précaution, j'en descends, puis du bout de ma canne, je toque contre la lourde porte.
Critères:  fh fhhh hplusag inconnu grossexe bizarre fsoumise humilié(e) lingerie facial fellation double sandwich fsodo partouze sm fouetfesse
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
L'achat


En lisant l’histoire qui suit, n’oubliez pas que la mentalité d’un siècle passé n’est pas la nôtre.


Bonne lecture :)





Maquignonnage



La calèche s’immobilise devant une grande bâtisse près des quais. Avec précaution, j’en descends, puis du bout de ma canne, je toque contre la lourde porte. Un regard inquisiteur me scrute à travers une petite grille. J’entre.


Ce n’est pas la première fois que je viens ici, mais aujourd’hui, ma demande sera plus spécifique. Je n’apprécie pas beaucoup le maître des lieux, une sorte de cloporte obséquieux, mais il est le seul à pouvoir satisfaire ma demande, je dois donc faire avec. Dans le couloir, je croise la belle reproduction d’une statue grecque, je suis étonné que tant de beauté soit dans cet antre de perdition. Je suis à peine entré dans le bureau aux lourdes tentures qu’un valet me désigne que retentit une petite voix aigre et éraillée que je connais :



Je m’assieds dans le fauteuil qui fait face au bureau. À moitié plié en deux, mon interlocuteur me demande onctueusement :



Il agite par deux fois une sonnette d’argent. Aussitôt, une femme d’une bonne trentaine d’années, vêtue à la dernière mode, mais sans ostentation, entre. Elle me fait une brève révérence puis se tient immobile à côté du bureau, attendant la suite. Son employeur me la présente :



On dirait qu’ici aussi, les murs ou les portes ont des oreilles. Mais je comprends les motivations de mon interlocuteur. Les minutes suivantes, je réponds aux diverses questions de cette collaboratrice qui est en effet particulièrement efficace, sachant à merveille diriger la conversation. De plus, elle n’est pas trop mal de sa personne. Mister Harbow est peut-être un nabot obséquieux et parfois malsain, mais il a toujours su s’entourer et prendre ses précautions.


Quand Miss Gladys prend congé de nous, je glisse à son employeur :



Puis je repars chez moi, me demandant ce que ce nabot dénichera comme diamant…




Proposition



En ce début d’après-midi, alors que je m’attendais à une simple missive, je vois entrer dans mon bureau l’assistante de mon fournisseur. Je m’en étonne :



Elle sourit tout en me répondant :



Miss Gladys se tient toute droite face à moi puis m’annonce calmement :



Je hausse les sourcils, je ne m’attendais pas à ça :



Toujours droite comme un i, flegmatiquement, elle développe :



Dodinant de la tête, je plaisante :



Cette belle femme est décidément très pragmatique. Je m’approche d’elle :



Tout en la jaugeant, je tourne à présent autour d’elle :



Assez perplexe, je m’assieds à demi sur un dossier de chaise :



Tout en riant, je me redresse puis je campe à deux pieds d’elle :



Elle me regarde dans les yeux :



Elle s’exécute sans état d’âme…




Entre nos murs



Deux mois plus tard, Miss Gladys fait partie des meubles, si je puis dire.


Quand j’ai décidé de garder Miss Gladys, j’ai été en personne le notifier à son ex-employeur. Il a été surpris de me voir chez lui. Nous avons eu une discussion très serrée. Au final, il a perdu une bonne collaboratrice que j’ai récupérée, mais il a eu droit à une large compensation. « Je vois que j’ai affaire à un vrai gentleman » avait-il alors dit en me raccompagnant. Signe que tout était apaisé. Car malgré ma haute et solide position, Mister Harbow n’est pas à négliger. Certains, et pas des moindres, l’ont appris cuisamment à leurs dépens.


Comme le disait son ex-employeur, elle est diablement efficace dans tous les domaines, une véritable perle rare. Je pense que je vais faire mon possible pour me la garder exclusivement, car une telle femme fait plus partie du monde des rêves que celui de la réalité. J’ai bien compris aussi qu’elle n’hésiterait pas à aller chercher ailleurs sa soumission, si jamais je ne me montrais pas à la hauteur. J’en viens à me demander qui est le Maître dans tout ceci…


Elle est justement à côté de moi, attendant que j’aie fini de consulter le dossier qu’elle vient de me remettre. Je parcours les feuillets, rien à dire, c’est impeccable, comme toujours avec elle. Je referme le dossier que je lui tends ensuite :



Je me tourne vers elle, ajustant mes lorgnons :



Avec flegme, elle m’assène sa réponse :



Je me contente de la regarder. J’aime la contempler, elle, ce mélange de glace et de feu…


Quelques instants suspendus passent. Je me ressaisis, je me demande si l’âge ne me rend pas de plus en plus sujet à revenir dans le passé, dans les souvenirs. Il est vrai que ma vie est nettement plus derrière moi que devant moi. Néanmoins, je n’arrive pas tout à fait à m’arracher de ma rêverie ; à voix haute, j’évoque :



Dossier en main, elle reste dignement plantée face à moi, impassible telle une belle statue de marbre, mais je ne suis pas dupe, je la scrute :



Elle vient peut-être de dire « Ooh », ce qui ne l’empêche pas de poser le dossier sur la table, puis de reculer un peu pour mieux me faire admirer la suite. Puis elle me regarde dans les yeux :



Alors, comme il y a deux mois, elle s’exécute sans état d’âme.


Ce sont ses seins qu’elle dévoile en premier, beaux, fermes et blancs, ni trop peu, ni trop. Deux mignonnes framboises trônent sur leur double masse albâtre, deux framboises percées chacune d’un anneau torsadé. J’ai appris à connaître, à tâter, à déguster ce duo de dessert. Aujourd’hui, je me contente de regarder.


Sa robe choit, suit un jupon puis un second. Peu après, comme il y a deux mois, elle est presque nue, ayant gardé ses bas sombres et son corset violet, corset qui m’offre en plateau ses seins mûrs et qui encadre deux fesses qui appellent à la fois les mains et les lèvres. Son pubis est glabre, comme il se doit de toute soumise, et ses lèvres intimes sont décorées chacune de deux anneaux, un grand et un plus petit. Ma collaboratrice n’est pas une néophyte en la matière, c’est incontestable.


Pour son âge, Miss Gladys dépasse bien des jeunettes n’ayant même pas vingt printemps. Sans parler de son expérience en la matière, ce qui la rend encore plus désirable et convoitée.


Ayant organisé, il y a peu, deux soirées spéciales avec d’autres adeptes de nos jeux spéciaux, plusieurs fois, certaines personnes assez impressionnées m’ont carrément proposé de me racheter ou de me louer ma soumise. Je me suis senti flatté, mais Miss Gladys est mon jouet, et je ne prête pas mon meilleur jouet comme ça.



Comme la toute première fois, je lui demande de me faire une démonstration de ses aptitudes buccales. Sans aucune hésitation, elle s’agenouille devant moi, s’occupant de mon pantalon, pour en faire jaillir un sexe prêt à l’emploi, car la situation m’excite.


Comme à chaque fois, Miss Gladys sait choyer ma verge avec délicatesse et suavité, sa langue sachant faire des merveilles pour venir lécher ma hampe veinée et jouer avec les différents creux et reliefs. Elle dépose divers baisers bien sentis avant d’engloutir dans la chaleur de sa bouche mon gland frémissant. Il ne m’avait pas fallu dix secondes pour comprendre qu’elle n’était certainement pas néophyte en la matière. Mais je n’ai jamais su où et quand elle avait pu apprendre son art de la fellation. Elle m’a simplement demandé de ne pas en savoir plus qu’elle ne m’en dirait sur son passé.


J’ai accepté son marché, et depuis, je ne le regrette pas du tout !


Miss Gladys est une déesse de la fellation, et je sais de quoi je parle. Je ne m’étendrai pas sur le pourquoi du comment que je puis être si affirmatif. Croyez-moi sur parole. Sa bouche et ses doigts savent me transporter au paradis, me faire planer par-dessus les nuages, survoler les mers, les montagnes. Entre ses lèvres, je me sens volcan écarlate, fleuve rugissant, mon corps frémit de toutes ses fibres, c’est indescriptible, à la limite parfois de la crise cardiaque, le crime parfait.


Oui, le crime parfait… Parfois, dans le secret de mon bureau, parmi mes dossiers opaques, je songe sérieusement à envoyer ma collaboratrice exercer son art envers un élément gênant. Ce serait une belle mort, nettement plus jouissive que de succomber à une canne-épée ou à un poison versé dans un alcool quelconque. Miss Gladys, l’arme fatale parfaite !


Je redescends sur terre, je sens que je ne vais plus tenir longtemps. Une fois, Miss Gladys m’a fait comprendre à demi-mot que je suis parmi ceux qui savent lui résister le plus longtemps. Il ne faut pas demander d’où elle tire cette affirmation…


Alors que je ne suis plus très loin de l’explosion, je repousse délicatement ma collaboratrice :



Elle se relève tandis que je récupère mes esprits comme je peux. Après quelques instants, ayant repris le plein contrôle de mes sens, je lui désigne mon grand bureau de travail :



Elle se poste devant le bureau, puis pose son ventre et ses seins sur le plateau vert en bure, me présentant deux belles fesses rondes et un peu plus bas, une fente juteuse comme je les apprécie, surtout quand elles sont décorées de quatre anneaux, ce qui ajoute un attrait indéniable. Sans évoquer le fait de sentir le métal de cette décoration sur sa verge quand on entre en elle…


C’est justement ce contact singulier que mon vit est en train de connaître tandis que je m’enfonce avec délectation dans sa fente offerte. J’agrippe fermement ses hanches et je la fourrage comme si elle était ma monture. Ah ces longues cavalcades que j’ai pu faire antan, à travers les plaines et les lits ! À nos juments, à nos femmes, et à ceux qui les montent ! Toute une époque !


Qu’il est bon de coulisser dans cette grotte ! C’est un plaisir divin ! Tellement divin que j’ai du mal à me contenir et un premier jet arrose l’intérieur de cet antre si suave. Un second suit aussitôt, j’ai du mal à résister à cette femelle, même s’il paraît que je fais partie de ceux qui savent mieux se refréner. Je suppose que certains éjaculent à sa simple vue, connaissant d’avance sa latente perversité…



Ce que je fais de mon mieux ! J’aimerais être un fleuve impétueux ! Un volcan en éruption ! Mais je sais que je ne suis qu’un homme. Mais je sais aussi que je suis un homme chanceux.


Très chanceux…


Après un temps de repos, je m’assieds sur une robuste chaise en bois ornée d’un coussin. Ses cuisses souillées de mon sperme qui s’échappent de sa vulve, Miss Gladys sourit, elle connaît déjà la suite à donner. Néanmoins, elle joue le jeu :



Taquine, elle me fait remarquer :



Puis changeant de tonalité, je poursuis :



Docile, elle s’exécute. Je sens d’abord ses deux belles fesses toutes douces enrober mon gland. Celui-ci cogne contre une cuvette évasée dans laquelle il s’enfonce peu à peu, tant cette entrée a été visitée. Mon vit force juste un peu le passage, je ressens ce petit écartèlement jusqu’au plus profond de mon être.


J’essaye d’imaginer ce que peut être la vue dans pareille introduction, de pouvoir découvrir le sombre tunnel dans lequel mon membre s’engage… Peut-être serais-je déçu… Peut-être c’est nettement mieux en imaginant…


Toujours est-il que mon braquemart s’enfonce voluptueusement, j’en ressens chaque quart de pouce de terrain que je conquiers de la sorte. Plus j’avance, plus le chemin se rétrécit, ma peau de ma verge en perçoit les moindres cannelures.


C’est lent, c’est long, c’est langoureux…


Puis j’arrive trop vite à mon goût en fin fond. Malgré moi, je soupire d’aise. J’aime la bouche de cette femme, j’aime sa vulve, j’aime son cul. J’aime y être planté, enfoncé, m’y empaler sans vergogne, par pur plaisir, par domination, par excitation.


Tandis que mon sexe est totalement enfoui au plus profond de ses sombres entrailles, j’attrape les deux anneaux rivés dans ses tétons et je le tire vers le haut pour faire léviter ses seins lourds et moelleux. Quel double plaisir d’être l’empaleur d’une femme dont on martyrise les seins ! Quelle sensation étrange de puissance ! Pourtant, à mon poste et à mon rang, j’ai pragmatiquement plus de pouvoir dans l’Empire que je n’en ai réellement sur cette simple femme qui n’est même pas de haute condition. Mais, ce n’est pas comparable, non, pas du tout. Je ne saurais l’expliquer…


Toujours est-il que je n’ai aucun remords de me vider en elle, de faire jaillir mon sperme pour qu’il remplisse tous les sombres recoins de ses entrailles, marquant ainsi de ma semence le plus beau jouet de ma vie ! Tel le jeune homme que je ne suis plus, j’expulse des tas de jets puissants et chauds dans ce ténébreux tunnel, comme si c’était la dernière fois que je pouvais le faire.


Mais je sais très bien que je recommencerai plusieurs fois ces prochains jours, cette catin de soumise étant mon élixir de jeunesse !




Père et fils



Aujourd’hui, Oliver, mon fils aîné, est venu me rendre visite comme il le fait presque chaque semaine. Je constate très vite qu’il est un peu différent des autres fois. Il m’énonce des banalités, je sais très bien qu’il souhaite me dire quelque chose, mais il ne sait pas comment se lancer. Du coup, il pérore :



Je vois que mon fils est bien dans l’air du temps, apporter une soi-disant civilisation éclairée aux autres peuples dont certains ont sur nous une avance culturelle de plusieurs millénaires, c’est presque risible. Mais la création d’un empire ne se fait pas en faisant preuve de compréhension et de compassion. Je suis bien placé pour le savoir. Que sommes-nous, nous-mêmes, face aux Grecs de l’Antiquité ? Et que dire de la civilisation indienne qui plonge ses racines dans des millénaires ?


Comme cette conversation m’ennuie, je décide de passer à un tout autre sujet, peu importe si je mets délibérément les pieds dans le plat :



J’ai particulièrement réussi mon effet, mon fils est comme figé, telle une statue de sel. Il déglutit :



Il ne répond rien, il sait parfaitement que j’ai raison. Il pense donc que je ne suis pas au parfum de ce qu’il se passe dans le monde, aussi bien du côté du beau linge que des bas-fonds ? Que je suis dépassé ? Qu’il ne se fasse pas d’illusion, on trouve plus facilement de l’honneur et de l’honnêteté dans le caniveau que dans les salons huppés ! Je continue sur ma lancée :



Comme un gamin contrarié, mon fils fait la moue, il se défend mollement, tentant de se monter passionné et passionnel, mais la chaleur manque à l’appel…



Un certain silence s’installe. Je vois bien que, depuis le début de notre conversation, mon fils essaye d’aborder un certain sujet, mais qu’il ne sait pas par où commencer. Je décide de lui tendre la perche et de le lui demander sans circonvolution :



Mon fils semble gêné, mais ça ne l’empêche pas de continuer :



Je secoue la tête, je savais qu’il fallait un beau jour clarifier les choses :



Sourire en coin, mon fils soupire :



Oliver soupire, il sait que ses amis sont étroitement surveillés par leurs familles, car étant de beaux partis, il ne conviendrait pas de galvauder leurs valeurs marchandes et ruiner de fructueuses alliances… Quant à Henry, il est de loin le plus à plaindre, son acariâtre femme ne le quittant pas d’un seul pouce, il n’a même pas le luxe de s’offrir une maîtresse pour se changer les idées !



Fronçant des sourcils, je m’approche :



Mon fils ne répond rien. Je poursuis :



Je pose ma main sur son épaule :



Mon fils a un frisson. Changeant de sujet, nous discutions encore un peu puis il s’en va rejoindre sa petite famille, du moins, je le suppose. Sa danseuse, ce sera pour plus tard. Par contre, pour moi, Miss Gladys, c’est pour tout de suite !




Achat bien exploité



S’il y a bien une des choses que je ne regrette pas, c’est l’achat de Miss Gladys. Est-ce normal d’acheter un être humain ? Certains moralistes vous répondront que non. Mais les siècles passés ont eu leurs cohortes d’esclaves, de serfs, et maintenant, on les appelle ouvriers. Juste une autre étiquette.


La nature de mes relations avec Miss Gladys est assez particulière et éclectique, et je ne regrette nullement mon acquisition. Miss Gladys est à moi, elle m’appartient. De plus, cerise sur le gâteau, elle se donne à moi, parce qu’elle le veut bien. Je sais que si un jour, l’alchimie entre nous deux ne fonctionne plus, elle ira sans doute voir ailleurs, à moins qu’elle ne me prenne en pitié. Mais je préfère éviter cette dernière option.



Elle est attachée complètement nue à une croix de Saint-André, exception faite de ses bas noirs attachés par des rubans rouge sang. Elle présente ses blanches fesses rebondies à ma vue, puis bientôt à ma cravache. Deux poids lourds sont accrochés aux anneaux de ses lèvres intimes. Je cingle l’air avec mon instrument, le sifflement la fait frémir. J’aime cet instant suspendu, celui de l’attente avant l’action.



Ses blanches fesses se couvrent de striures rouges. Elle résiste bien à cette flagellation. Jusqu’où est-elle capable d’aller ? Je ne sais pas, et je ne cherche pas à le savoir, j’ai quand même peur de casser le plus beau jouet qu’il me soit donné d’avoir. Je sais m’arrêter juste à la frontière, et par sécurité, un pas avant.


Quand j’estime que la sentence a été assez appliquée, je change d’instrument afin de m’occuper de son dos, de ses épaules et de ses bras. Avec les années, j’ai le bon coup de main pour que ce soit à la fois une piquante douleur et un brûlant plaisir.


Du bout des doigts, je caresse les diverses zébrures que je viens de dessiner sur ce corps offert à mes turpitudes. Elle frémit. J’aime ces dessins abstraits, ces marques de mon emprise.



Oui, ce ne serait pas une mauvaise idée que de l’écorcher vive, petit à petit, lentement. Mais si je le fais, retrouverai-je par la suite une autre Miss Gladys ? Je ne le pense pas. Et puis, les zébrures rouges s’estomperaient, me privant du spectacle attendu. Quand c’est ainsi, diverses idées incongrues ou horribles peuvent vous traverser l’esprit, ça fait partie du jeu. Mais les concrétiser, c’est autre chose, bien que certaines personnes osent franchir le pas.


Je continue à fouetter ce corps si doux, ma soumise se tord sous les morsures que je lui inflige. Parfois, elle pousse des petits cris qui me procurent de délicieux frissons. Puis je décide d’arrêter, toutes les bonnes choses ont une fin.


Après un léger temps de repos, je jette un baquet d’eau sur son corps endolori. De surprise, elle crie. Elle se redresse aussitôt sur la morsure de l’eau froide et celle aussi du sel contenu dans l’eau. Elle se secoue, s’ébroue, telle une chienne mouillée.



Je m’approche d’elle, la saisissant par les cheveux, puis je lui demande d’une voix sourde :



Je la relâche, une idée perverse vient de traverser mon esprit. Et je pense qu’elle devrait plaire à ma dépravée de collaboratrice. Je m’empare de la boîte qui contient diverses aiguilles à grosse tête ronde. Avec soin et méthode, je les désinfecte toutes, tandis que ma soumise récupère petit à petit.


Ceci terminé, je m’approche de ma prisonnière, puis je plante dans sa fesse gauche une première aiguille à moitié dans sa chair. Elle frémit juste un peu. Elle ne frémit pas beaucoup plus quand les autres aiguilles percent sa peau, s’enfonçant toujours à moitié.


Maintenant, toutes mes aiguilles sont plantées, j’admire le cul constellé de fines tiges d’acier, un cul déjà bien rouge de mes coups de fouet. Curieux, mais jouissif spectacle pour qui sait l’apprécier. D’une voix ferme, j’annonce :



Je souris, déballant à présent mes attributs virils :



Elle pivote la tête et peut remarquer que je suis déjà au garde-à-vous. Je ne suis plus de première jeunesse, je le sais, mais certains spectacles me donnent irrésistiblement des envies bien masculines !



Je m’approche d’elle et je viens me plaquer contre ses fesses, quelques aiguilles s’enfoncent plus loin. Elle crie. J’en profite pour capturer ses seins que je tords sous mes doigts avides :



Sans ménagement, j’écarte ses fesses meurtries, et je positionne mon gland écarlate à l’orée de son anus. J’ai envie de la pénétrer à sec, sans égard, tel un Maître impérieux qui aurait tous les droits sur sa chienne. Je sais que je n’aurais pas trop de souci à m’enfoncer en elle, car son rectum est visité depuis bien des années, mais à sec, ce n’est pas toujours une sinécure. Elle frémit :



Je ne doutais pas de sa réaction. Je change un peu mon angle d’attaque, car il ne convient pas que ça se passe mal pour moi. Une fois que je pense l’avoir trouvé, je force le passage. Comme je m’y attendais, je rentre assez facilement, même si ça frotte quand même un peu, les lieux n’étant pas vraiment prévus pour servir d’entrée. Néanmoins, ma soumise m’aide en tendant son postérieur meurtri. Mon bas-ventre cogne contre quelques têtes d’épingle. Je poursuis ma trajectoire dans son sombre tunnel. D’autres têtes cognent ma peau, mais je continue. Elle gémit, elle crie, elle se tord sous cette multiple agression.


Arrivé à mi-chemin, je marque une petite pause. Puis je me positionne un peu différemment. Entre-temps, elle soupire, se détendant un peu.


Puis d’un profond coup de reins, je m’enfonce en elle encore plus loin, presque jusqu’au bout de ce que je peux, les épingles s’enfoncent totalement dans ses chairs rougies, seules les larges têtes rondes les empêchent de s’enfouir complètement. Elle se débat tandis que je la pistonne cruellement, elle crie tandis que ma verge d’airain écarte ses délicates chairs internes, elle couine tandis que mon bas-ventre cogne sans relâche contre les aiguilles qui la torturent.


Ses hoquets de souffrance se teintent petit à petit d’une autre nuance que je connais bien à présent. Je sais que douleur et plaisir vont bientôt se mélanger en elle et qu’elle va exploser sous cette double attaque. Quant à moi, je ne sais pas si je vais encore résister longtemps à ce traitement !


J’essaye de tenir encore un peu, et éviter de me vider trop vite dans ses entrailles. Et si je ne résiste pas assez à mon goût, je trouverais bien une façon odieuse de me venger du fait que ma soumise me fait trop d’effets ! Le pire, c’est qu’elle risque d’aimer ma punition !




Pour qui mène la danse



Comme je le redoutais, la danseuse de mon fils lui a réservé un sale tour. De plus, c’est arrivé aux oreilles de ma bru. Bref, Oliver est plongé dans les problèmes jusqu’au cou ! Voire à la limite de son nez, parce que, justement, il n’a pas su voir plus loin que celui-ci. Il est assis sur une chaise, là devant moi, totalement effondré :



Pour l’instant, il gémit, c’est tout ce qu’il sait faire. Miss Gladys nous apporte un remontant à tous les deux. Tandis qu’elle quitte la pièce, mon fils la suit du regard. Puis une fois qu’elle est sortie, il lâche :



Je regarde longuement la porte avant de répondre :



Mon fils hésite à poursuivre. Je le relance :



Je pense avoir deviné la source initiale du problème, j’insiste :



Voilà donc le cœur du problème. Rien de bien méchant, mais s’ils en avaient un peu discuté entre eux, nous n’en serions pas arrivés à cette extrémité. Ah le manque de communication entre hommes et femmes ! Moi, j’ai eu la chance de pouvoir m’ouvrir de bien des choses avec ma regrettée femme. Elle avait une culture assez faible, une éducation bâclée, mais une redoutable dose de bon sens.


Je pose ma main sur l’épaule de mon fils qui sursaute sous le contact. Je lui ordonne :



Il m’obéit sans discuter. Il me suit, les épaules voûtées, comme s’il portait toute la misère du monde. On voit bien qu’il n’a jamais eu à affronter des vraies situations désastreuses ! Bien que l’éventualité de la ruine de son mariage ne soit pas une simple amusette, je le lui concède.




Eugenia



Même si ma bru est très remontée contre mon fils, je sais que je lui en impose assez pour qu’elle accepte de me recevoir. J’entre dans le salon où elle se tient. Après les formules de politesse usuelles, j’attaque dans le vif du sujet :



Interdite, ma bru me regarde, les yeux grands écarquillés. Elle bafouille :



Je m’assieds dans un fauteuil, le privilège de mon âge :



Eugenia me regarde, les yeux tels ceux d’un hibou sous belladone, comme si j’étais un éléphant en train de danser le menuet dans son salon :



Se tordant les mains, elle rougit. Puis dans un souffle, elle confesse :



Ma bru devient cramoisie, elle bafouille :



Et je m’arrête là, histoire de voir si le message est passé. Ma bru s’anime :



Là, elle ne sait plus quoi répondre. Je me lève et je m’approche d’elle :



Ma bru se braque un peu :



Elle ne répond rien, je m’approche de la porte, faisant sciemment une fausse sortie. Toute cette hypocrisie de nos mœurs me lasse, elle pourrit même les meilleurs fruits, et j’en sais quelque chose, car combien de fois ai-je dû réparer les dégâts pour ceux et celles qui se sont laissé découvrir dans les deux sens du terme. Arrivé à trois pas du seuil, je me retourne :



Elle ne répond rien, lèvres pincées. Je reviens un peu sur mes pas, puis je poursuis :



Prenant un air entendu, Eugenia change singulièrement de sujet :



Impassible, je la regarde fixement, elle change d’expression, telle une écolière prise ma main dans le sac, ayant raté son maigre effet. Cruel, je rétorque :



Un air étrange se peint sur son visage. Changeant de tactique, elle s’approche de moi, toute douce :



Le terrain est glissant, et ma bru montre une facette que je ne pensais pas lui connaître. C’est elle qui continue :



Je ne m’attendais pas à pareille confession. Mais il m’en faut plus pour m’ébranler :



Les yeux brillants, elle s’approche un peu plus :



Je m’appuie sur ma canne, mon visage peut-être un peu trop proche du sien :



Ma bru rougit :



Je m’amuse à lui répondre aussitôt :



Elle ne répond rien, restant raide comme une statue grecque, comme celles qui ornent les jardins de ma demeure. La brève image de ma bru trônant nue et figée au milieu des fleurs fuse dans mon esprit. Je me redresse un peu plus :



Je croyais qu’elle se souciait du fait que les gens allaient jaser d’une simple séparation, et là, elle me suggère carrément l’étape suivante et même plus loin que ça ! J’étais venu résoudre le gros problème de mon fils, et je suis en train d’en récupérer un autre encore plus gros ! Eugenia est une belle femme, c’est incontestable. Elle est aussi assez douée dans divers domaines, mais elle n’arrive pas à la cheville de Miss Gladys. Et en plus, il s’agit de ma bru.



Je reconnais que ce n’est pas tout à fait l’image que j’avais en tête, mais comme nous sommes dans le beau monde, il y a des choses à ne pas dire. Eugenia sourit :



À ma grande surprise, elle tend la main. Après un certain flottement, je la serre :



Puis je quitte la pièce pour aller chercher mon fils. Quelque part, je le plains, j’espère qu’il se montrera à la hauteur de nos attentes. Mais c’est lui qui a joué avec le feu en s’amourachant de sa danseuse. S’il avait gardé sa petite couturière, je pense qu’il n’aurait pas eu de problème. En parlant de cette dernière, d’après mes sources, elle et son amant de peintre filaient le parfait amour. Tant mieux pour eux. Et tant pis pour mon crétin de fils !


J’ouvre la porte du fiacre. Oliver me dévisage avec anxiété. Je lui dis simplement :



Mon fils me regarde étrangement, puis il sort du fiacre, me lance un rapide « merci pour tout » avant de s’engouffrer en courant dans sa demeure. Je repars chez moi. Maintenant c’est à eux de résoudre leurs différends. Moi, je reviens vers Miss Gladys.




Relations diverses



De retour chez moi, j’explique à ma collaboratrice ma visite auprès de la bru, sans oublier le moindre détail, ma mémoire étant encore très bonne. Miss Gladys reste silencieuse un moment puis déclare :



Je la regarde, elle n’a pas tort. Je lui réponds :



Je m’assieds dans le sofa. Puis la regardant me surplomber, je poursuis :



Elle ne répond pas. Un long silence s’installe. C’est elle qui le rompt :



Je fais un petit geste de la main comme pour me débarrasser d’une mouche agaçante :



Et elle s’agenouille pour baiser ma main. Ce geste me surprend un peu. Puis elle se redresse pour me confier à mi-voix :



Elle fait la moue, telle une gamine qu’elle n’est plus depuis longtemps :



Quelque chose s’éveille en moi, je n’aime pas trop le ton qu’elle vient d’employer. De par mes fonctions, je n’ai pas toujours été un parangon de vertu et d’angélisme. La conduite d’un Empire ne repose pas sur les bons sentiments et parfois, j’ai dû accomplir des choses que je n’aurais pas dû faire, donner des directives contraires à mes propres convictions. Mais c’était pour le bien suprême de notre glorieuse Nation.


En attendant, je biaise, ne sachant pas vers quel chemin m’entraîne ma collaboratrice :



Bien droite, ses seins mis en évidence, elle me sourit espièglement :



Tout ceci m’a donné envie, alors je la fais mettre à genoux, ce qu’elle fait aussitôt. Lui faisant face, je présente devant ses lèvres mon vit bien arqué qu’elle connaît bien à présent. Celui-ci est dressé vers le ciel, raide et dur. Lentement, je l’approche de ses lèvres. Docile, elle ouvre une bouche consentante pour accueillir mon membre. Elle me suce avec passion, faisant courir sa langue sur mon gland qui palpite sous cette caresse.


Je sens qu’un orgasme monte en moi, alors je me retire prestement. À peine sorti, j’expulse un premier jet de sperme gluant qui s’écrase mollement sur le visage de ma soumise. Celle-ci ouvre la bouche, cherchant à me boire. Ce n’est pas le but que je recherche, mais je ne dis rien. Je veux souiller ce fier visage, je veux qu’il dégouline de foutre, de mon foutre, qu’elle soit mon objet, ma chose, car tel est mon plaisir.


Elle reste immobile sous les giclées qui s’enchaînent les unes après les autres, vigoureuses, puissantes, visqueuses. Son visage est maculé, poisseux ; de longues traînées s’écoulent le long de son cou, s’aplatissant ensuite sur sa poitrine et ses vêtements.


Jusqu’à ce que je sois tari, mais victorieux, exigeant qu’elle reste souillée ainsi jusqu’au soir.




Renouveau & puissance



Alors qu’il faisait preuve d’un indéniable activisme pour repousser encore plus loin les limites de l’Empire, ayant à nouveau des ailes, aidé par une harmonie retrouvée dans son foyer, mon fils a été victime d’un attentat qui a anéanti les locaux de son club, faisant en même temps une vingtaine de morts, parmi lesquels divers grands noms. Oliver a été décoré à titre posthume. Ce fut une belle cérémonie à la fois émouvante et guindée, avec une foule venue par curiosité et par chauvinisme admirer les glorieux morts au nom de notre Empire éternel, mais finalement si fragile. Quel gâchis !


Le jour de l’enterrement privé de mon fils, il pleut, comme il pleut en moi. Que tout ceci est stupide ! Juste au moment où ça s’arrangeait pour lui et sa femme, son couple était à nouveau uni et heureux. Décidément, Dieu là-haut, doit avoir un étrange sens de l’humour.


Après ce triste jour, j’ai décidé de quitter mon pays natal et d’aller me réfugier au loin, par-delà les mers, sur une île grecque éloignée du tumulte du monde. J’ai souhaité retourner aux sources de notre civilisation, côtoyer la terre ancestrale des statues que j’admire tant depuis mon enfance. J’ai proposé à ma bru de nous accompagner, elle et ses enfants, mais elle a préféré rester. J’ai respecté son choix.


Pendant tout ce temps, le soutien sans faille de Miss Gladys m’a été d’un grand secours. C’est elle qui m’a fait reprendre des couleurs, fait voir que la vie peut être finalement plus forte. De plus, je reprends goût à nos petits jeux, mais de façon plus légère. Je suis lassé de ce sadomasochisme pur et dur, j’aspire à autre chose, plus aérien, plus subtil. Et il me semble bien que ma collaboratrice et maîtresse soit du même avis que moi. Sinon, elle m’aurait quitté. Et je ne pense pas qu’elle soit restée avec moi par pure charité.


Quand je suis arrivé en Grèce, j’ai décidé de ne pas cacher la situation : Miss Gladys est, au vu et au su de tous, la maîtresse de maison, et ma maîtresse tout court. Même si elle n’est pas d’accord, arguant notre différence sociale, j’envisage de l’épouser, pas pour une question de réputation, ce dont je me contrefiche, mais surtout pour lui garantir quelque chose si je venais à mourir subitement ; je ne tiens pas à ce que pareille femme retombe dans les bas-fonds. En attendant, j’ai rédigé un testament afin de ne pas la léser. Souvent, je me réveille dans le même lit qu’elle, ce qui me rajeunit, alors que je suis nettement plus près de la tombe que du berceau.


Oui, je reprends goût à la vie et à nos petits jeux, de façon plus légère, loin des turpitudes de la capitale et des morales étriquées et hypocrites. D’ailleurs, certaines personnes bien placées furent très contentes de savoir que j’avais mis une très grande distance entre elles et moi.


Il n’est pas rare que Miss Gladys s’habille à l’antique, comme les anciennes femmes grecques. Je dois reconnaître que ça lui va très bien, cette tenue magnifie ses formes, sans parler des jeux de lumière et de transparence. De plus, elle pousse la ressemblance à adopter le même type de chignon qu’on voit sur les cariatides et sur divers vases. J’ai ainsi à demeure une statue vivante, bien vivante.


Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’avoir à nouveau sous les yeux une Grecque des temps antiques. Elle arrive vers moi, j’admire le spectacle qu’elle m’offre et je la félicite :



Elle ne répond rien, mais je sais qu’elle apprécie mes félicitations. Je me plais à songer à une certaine hypothèse : avoir rencontré cette femme des années plus tôt. Mais le destin en a décidé autrement. Mais il vaut mieux tard que pas du tout.


Sa tunique blanche est maintenue par divers rubans sombres formant une croix de Saint-André entre ses seins, ce qui les met encore plus en relief et en valeur. Je peux distinguer ses tétons et leurs anneaux sous le tissu, et aussi ses tendres masses quand elle bouge.


Elle sait que je l’observe et que je l’admire. De ce fait, elle prend plus ou moins la pose comme si elle était mon modèle et moi le peintre ou le sculpteur. Miss Gladys, ma splendide statue vivante et de chair.


Soudain, un serviteur vient m’arracher à ma contemplation. Il me glisse une courte phrase à l’oreille. Je le remercie. Je me tourne vers ma collaboratrice :



Nous nous dirigeons vers une chambre d’amis nichée dans une aile latérale. Deux jeunes hommes nus nous y attendent. Miss Gladys pousse un petit cri de stupéfaction. Je fais rapidement les présentations :



Je claque des mains, et un nouvel homme, nu lui aussi, sort de l’ombre pour venir se placer face à nous. Je constate avec amusement que ma collaboratrice a écarquillé ses beaux yeux. Il faut dire que cet homme est un sacré morceau dans tous les sens du terme. On dirait même la réincarnation d’Héraclès : grand, massif, puissant, un vrai taureau humain. Sans parler de ses attributs. J’espère bien que Miss Gladys criera grâce sous l’assaut conjugué de ces trois vigoureux mâles !


J’ai étudié le grec ancien dans ma jeunesse, j’ai lu Platon, Eschyle, Aristote et bien d’autres dans le texte, il ne m’a pas fallu trop de temps pour me mettre au grec contemporain. Je désigne ma soumise aux trois hommes :



Les trois hommes s’approchent de ma statue grecque vivante. Ils l’entourent Livia, comme pour l’empêcher de fuir, mais c’est une précaution inutile dans le cas de Miss Gladys. Celle-ci sait qu’elle va devoir donner beaucoup de sa personne, mais je vois à son expression que le défi lui plaît. Debout au milieu des trois mâles en rut, elle resplendit, telle une déesse.



Avec lenteur, elle ôte ses vêtements qui choient un à un au sol ; elle n’est plus habillée que de ses anneaux qui percent ses chairs voluptueuses. Elle me demande :



Après avoir pivoté sur elle-même pour faire un rapide tour d’horizon, elle fait signe au simili-Héraclès de s’allonger au sol, celui qui a le membre le plus volumineux, celui qu’elle chevauchera et qui remplira sa vulve. Le membre fin et long d’un autre homme est désigné pour lui perforer l’anus. Quant au dernier homme, il aura droit à sa bouche.


Va-t-elle soutenir leur triple assaut ? Cédera-t-elle avant eux au plaisir ?


En gémissant, elle s’empale sur l’énorme sexe de l’Héraclès allongé. Je vois bien que cette colonne monstrueuse de chair lui pose quelques soucis, mais finalement, celle-ci est engloutie dans les profondeurs dilatées de ma soumise. Victorieuse de cette première manche, se redressant pour me montrer sa détermination, elle se tourne vers moi et prononce simplement :



Puis elle se penche pour mieux présenter ses fesses au second intrus. L’homme se positionne et taquine l’anus offert du bout de son long vit qu’il vient de couvrir de salive. Après m’avoir regardé pour demander son assentiment muet, avec une pointe de sadisme, celui-ci s’enfonce en elle d’un seul coup, la faisant mugir. Sans prendre garde à ses cris, il continue son implacable progression en elle jusqu’à ce que toute sa longueur ait disparu dans le cul meurtri. Après avoir longuement soupiré, les traits un peu crispés, ma soumise me dit :



Les deux hommes commencent à bouger en elle, cherchant leur repère. Puis sans aucun égard, ils accélèrent le mouvement. Doublement prise, ma chienne semble être devenue une simple poupée de chiffon secouée dans tous les sens. Elle ne peut pas s’empêcher de gémir et de crier sous cette redoutable attaque. Le troisième homme force sa bouche comme pour la bâillonner. Elle l’accepte néanmoins en elle. C’est lui qui se tourne vers moi et me dit avec un certain sourire :



Les trois Grecs la besognent brutalement, cruellement, plongeant en elle sans relâche, malaxant ses seins exquis, tirant sur ses anneaux, étirant les tétons. J’ai donné pour consigne qu’ils y aillent fermement, je suis largement obéi ! Je sais que ma soumise prend aussi sa jouissance dans l’humiliation, dans la déchéance, étant le vulgaire objet d’hommes frustes. Elle est assurément servie !


En tant que spectateur, je suis impressionné par la scène qui se déroule devant mes yeux : un vit incroyable écartèle la vulve de ma soumise, un autre ultra-long plonge dans ses entrailles, sans doute jusqu’au milieu de son ventre, tandis qu’un dernier braquemart explore carrément la gorge de ma chienne triplement comblée. C’est de la démesure, de la vicieuse démesure, mais je sais pertinemment que nous sommes tous les cinq à y trouver notre compte !


Grisé par cette ambiance corrompue et débauchée, j’éructe :



Elle ne répond pas, sa bouche martyrisée étant trop occupée et encombrée, mais son regard brillant parle pour elle.


Jusqu’à tard dans la soirée, ces trois hommes insatiables jouiront plusieurs fois en elle, la remplissant de leur semence impure ; ils s’échangeront leur place afin de goûter à toutes les entrées de ma soumise. Elle sera leur jouet pendant tout ce temps, longtemps ; elle finira par jouir elle aussi, de ce trop-plein de sourde douleur, d’humiliation, de dégradation, en vraie masochiste qu’elle sait être, parce que c’est ma soumise, ma chienne, mon esclave.


Et je lui offrirai cette décadence des sens et des corps au moins une fois par mois… voire plus…




Bleu immaculé



Un an et demi plus tard, peu après Noël, une missive me parvient, Eugenia se propose de venir me rendre visite entre printemps et été. Je réponds favorablement, une visite me fera du bien. Je n’ai pas rompu les liens avec ma bru, nous conversons souvent épistolairement. J’ai ainsi des nouvelles de mes petits-enfants et parfois aussi du reste de la famille.


Alors que je vérifiais les derniers préparatifs de la venue de ma bru et de mes petits-enfants, c’est avec surprise qu’un domestique vient me prévenir qu’Eugenia vient juste d’arriver. Elle a deux jours d’avance sur la date prévue, et elle est venue sans ses enfants. Je l’accueille comme il se doit, je suis content qu’elle soit là, mais assez intrigué par cette avance et par l’absence des plus jeunes. Elle devance ma question :



Je lui propose d’aller dans mon bureau aux larges fenêtres. La vue y est fort belle, la mer d’azur aux vagues blanches clapote à perte de vue, c’est reposant, je me perds souvent dans la contemplation de ce bleu immaculé. À peine arrivée dans mon bureau, elle aussi semble se perdre dans l’immensité de ce bleu pur.



Eugenia est devant moi, altière, rayonnante. Elle ne perd pas de temps :



Je me méfie de la suite. Je demande néanmoins :



Terrain glissant, très glissant. Je fais un pas de côté :




Elle se contente de sourire faiblement :




Elle sourit plus franchement, puis s’approche un peu :



Elle se tait, restant droite, fière, altière, et aussi terriblement belle. Je m’inquiète de la tournure des événements, je constate que nous nous dirigeons dans une direction que je n’ai pas anticipée. Néanmoins, je laisse venir :



Forçant le trait, je tente d’enfoncer le clou :



Dans un geste élégant, elle met ses mains derrière son dos, et à ma grande stupéfaction, sa robe légère choit au sol, la révélant totalement nue, sauf des bas maintenus par des rubans noirs autour de ses cuisses ! Pas même un corset sur elle !



Décidément, malgré mon expérience des êtres humains, l’âme féminine m’étonnera toujours !