Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/

Ma femme se libère pendant nos vacances

C’est cet après-midi-là que tout a basculé…

Nous sommes en vacances, dans le golfe de Porto-Vecchio, en Corse. Nous sommes un couple dans la quarantaine, sans histoire, mariés depuis quinze ans. Sans être un top model, ma femme est plutôt jolie, brune aux yeux noisette, 1,70 m, bien faite, même si elle n’a plus ses vingt ans. De jolies jambes, et surtout des seins qui sont restés bien fermes et galbés, et que j’aime beaucoup. Elle a su se garder en forme et conserver un corps très agréable à regarder.

Elle s’habille de manière décontractée, sport, ou classique, selon les circonstances. Parfois un peu sexy à certaines occasions, trop rarement à mon goût. Pour le réveillon, une robe un peu échancrée et sans soutien-gorge ou, dans la rue parfois, une jupe assez courte ou, en été une saharienne déboutonnée très haut, qui permet d’admirer ses jolies jambes.

Je termine ma virée en planche à voile et je reviens sur la plage. Christine, de son côté, était allée faire un tour en pédalo. Je la retrouve allongée sur sa serviette, en string et seins nus, comme d’habitude. Elle est trop belle ainsi…

Je me repose et profite du soleil. À ce moment, Christine me dit, tout doucement, sans me regarder :

• — Tu sais, je me suis mise nue sur le pédalo. Un planchiste est venu tourner autour de moi, il est passé plusieurs fois…

J’encaisse la nouvelle. À la fois un peu estomaqué, et aussi excité quelque part d’imaginer la scène. Il faut dire que depuis deux ans, nous avons opté pour le nudisme sur la plage. Mais toujours ensemble. Là, elle était seule sur son pédalo. Elle s’est mise nue toute seule. Une première…

Je réfléchis à ce que je dois répondre. Soit je la réprimande de s’être mise nue toute seule sans qu’elle m’en ait parlé auparavant, soit je surfe sur l’occasion, pour en profiter… Je choisis la seconde option :

• — Et cela t’a plu ?

Silence… puis :

• — Oui, j’avoue que je me suis sentie bien !

Waouh… Incroyable. On reste silencieux un moment.

Des films passent dans ma tête. Je l’imagine nue sur son pédalo, sa fente exposée, un homme qui passe et repasse pour l’admirer. Et elle qui ne dit pas non à ses regards. Je m’enhardis à lui demander :

• — Si cela t’a plu, tu voudrais le refaire ?
• — Comment ça, le refaire ?
• — Tu pourrais relouer un pédalo. Te mettre nue à nouveau. C’est juste un jeu entre nous. Tu sais que je t’aime. Mais j’aime bien cette idée que tu sois nue sur un pédalo et qu’un homme te regarde. Moi, je reste sur la plage et j’observe ce qui se passe…

Gros silence…

Puis elle se tourne vers moi en souriant :

• — Tu es un gros pervers. Mais j’aime bien l’idée. Alors, avec ton accord, je vais le refaire. Comme tu dis, c’est juste un jeu ! Je t’aime aussi.

Je la vois réfléchir.

• — Mais s’il s’approche trop, qu’est-ce que je fais ?

Temps d’attente…

• — Si tu veux, tu peux discuter un peu avec lui, mais pas plus !

Elle me sourit :

• — Je t’aime. Je te dirai !

Et sans plus attendre, elle se lève, en string avec ses jolies fesses et seins nus, pour reprendre un pédalo. Je la regarde relouer un pédalo, toujours seins nus et en string. Je vois que le jeune homme qui s’occupe des pédalos apprécie beaucoup sa tenue. Elle est repartie. Elle va se remettre nue.

Très vite, je vois qu’un planchiste tourne autour d’elle. Peut-être le même qu’avant, ou un autre. Le planchiste s’arrête près du pédalo. Visiblement ils se parlent. Il quitte sa planche pour monter dans le pédalo avec elle ! Mon cœur bat. De longs moments se passent. Je ne sais quoi imaginer. Puis il reprend sa planche et s’en va. Je suis anxieux de savoir ce qu’il en est.

Christine revient sur sa serviette. Je la laisse tranquille. J’attends qu’elle me parle. Au bout d’un long moment, elle se décide :

• — Il est venu sur le pédalo.
• — Oui, j’ai bien vu, et alors ?

Silence…

Puis elle se tourne vers moi, un air un peu coupable :

• — Il m’a d’abord caressé les seins, je me suis laissé faire, j’avais trop envie. Après il m’a caressée en bas. Là aussi, je n’ai pas pu l’empêcher !
• — Et ?
• — Et je n’ai pas pu m’empêcher de prendre son sexe dans ma main. Je l’ai fait jouir, et lui aussi m’a fait jouir. Mais c’est tout, je ne suis pas allée plus loin, il n’y a pas eu de pénétration. Je te demande vraiment pardon. D’un autre côté, tu m’y as poussée, c’est un peu de ta faute. Et puis la situation était irrésistible, toute seule et nue avec un homme, c’était inévitable…

Je suis abasourdi. Ma femme s’est laissé caresser dans son intimité, et a caressé le sexe d’un autre homme que moi. Mais je pense que quelque part, je l’ai voulu et que, malgré ma jalousie, cela me plaît énormément. Je l’embrasse tendrement.

• — Ne t’en fais pas, je t’aime, c’est tout ce qui compte. Et puis, quelque part, c’est inédit et un peu excitant.

Elle me sourit :

• — Merci, je t’aime aussi !

Un autre jour, pendant ces mêmes vacances, nous profitons du soleil, tous deux nus sur la plage. Tout d’un coup, quelqu’un nous interpelle :

• — Coucou, Christine !

Je ne connais pas cet homme. Christine me présente Rheda, son prof de danse de Modern Jazz. Cours auxquels elle va chaque semaine. Il semble enjoué. Nous essayons d’attraper nos maillots de bain pour nous revêtir.

• — Ne vous embêtez pas, vous pouvez rester comme cela, cela ne me gêne pas. Au contraire, je me mets nu moi-même sur la plage, cela ne vous gêne pas si je me mets nu aussi ?

Sans attendre notre réponse, il baisse son maillot et se met nu comme nous. Du coup nous restons nus face à lui. Christine m’a dit qu’il est homo, et donc je devrais rien avoir à m’inquiéter qu’il soit nu face à elle, nue aussi, mais peut-être qu’il est bi, auquel cas la situation serait différente.

Son sexe est très fin et très long. Il n’est pas complètement au repos. On discute et il fait face à Christine, avec sa fente bien exposée devant lui. Ils discutent. Elle a les jambes très ouvertes face à lui, je ne sais pas si elle le fait exprès ou si c’est par hasard. Peut-être qu’elle se sent en confiance avec lui. Toujours est-il qu’il a une vue imprenable sur la chatte nue de ma femme. Et qu’il lui fait face, avec son sexe à moitié dressé à moins de deux mètres de sa chatte. Situation très érotique…

Il nous propose de sortir prendre un verre au village ce soir avec deux amies à lui. On est d’accord. On se quitte et on rentre à notre camping.

Christine s’habille avec un chemisier blanc et jupe kaki. Elle n’a pas mis de soutien-gorge. Ses tétons se dessinent très bien à travers le tissu. Son chemisier est ouvert jusqu’à la raie des seins. J’ai trop envie qu’elle soit hyper sexy. Je m’approche d’elle et je dégrafe deux boutons supplémentaires de son chemisier. Ce qui fait qu’on peut apercevoir ses seins nus sous le chemisier quand on la regarde de côté. Elle me sourit et me dit « OK », « Que cela lui va ». Cela m’encourage, et je déboutonne sa jupe jusqu’à la limite de son string. Elle me sourit de nouveau :

• — Tu es un vrai coquin. Mais j’aime bien.

Elle m’embrasse… Nous sortons.

Nous sommes au restaurant. Rheda est là avec ses deux amies, Laure et Jasmine. On discute. Christine a les jambes nues, sa jupe est ouverte, elle semble ne pas s’en apercevoir. Rheda est assis à côté d’elle. Je sais que, placé comme cela, il a forcément vue sur un de ses seins découverts. Et Christine doit forcément en être consciente. Mais cela ne semble pas l’embarrasser. Dans la conversation, Rheda se tourne à un moment vers elle :

• — Tu es très sexy comme ça, la jupe fendue et ton chemisier ouvert.

Laure renchérit :

• — Oui, c’est vrai, j’ai remarqué aussi. Tu as une tenue, disons… très décontractée, bravo à toi, et à ton mari aussi, il semble que vous entendiez bien sur ce plan-là !

Christine ne répond pas, mais elle me regarde, me sourit, et ne referme pas pour autant sa jupe ni son chemisier. Je vois qu’elle se sent à l’aise comme cela.

Rheda et ses amies nous proposent de continuer la soirée en boîte. En boîte « gay ». Comme quoi cela se confirme, et cela me rassure en repensant au sexe nu de Christine devant lui cet après-midi.

Nous déclinons, nous n’avons pas envie d’aller en boîte. Après les avoir quittés, nous allons prendre un verre à la terrasse d’un bar au village. Nous restons silencieux un moment, la fatigue de la journée, le soleil, la mer, besoin d’un peu de repos.

À une table en face de nous, un homme seul, la cinquantaine… Il semble fixer Christine. Il faut dire qu’elle a toujours la jupe ouverte et les seins nus sous son chemisier dégrafé, pas étonnant…

Cela me donne des idées… Je la regarde, elle est vraiment trop belle. De côté, je vois un sein nu sous son chemisier. Mais j’en veux toujours plus. Je me tourne vers elle et je défais encore un bouton supplémentaire. Et j’ouvre encore un peu son chemisier, afin de laisser apparaître la naissance d’un téton. Christine se laisse faire. Après tout, nous sommes en vacances, il n’y a pas de mal à cela. Le serveur nous apporte nos verres. Je vois son regard plonger dans son chemisier ouvert, sur ses seins nus. Il s’attarde un peu, puis me regarde en souriant :

• — Madame est vraiment très jolie. C’est un plaisir de vous servir…

Tout d’un coup, Christine se tourne vers moi et me regarde intensément :

• — J’ai envie de sexe…

Je ne sais pas quoi répondre, je suis un peu abasourdi. Pas prévu cette situation. Ma tête mouline pour savoir comment réagir. Tout d’un coup, je trouve !

• — Tu vois l’homme à la table en face ?
• — Oui, et alors ?

Je prends une profonde respiration avant de me lancer :

• — Il te mate depuis qu’on est là. Tu vas aux toilettes et tu enlèves ton string. Et après tu reviens.

Je n’en reviens pas d’avoir parlé ainsi. Peut-être ai-je commis une grosse gaffe ! Silence entre nous deux. Puis Christine se lève, sans plus me parler. Elle revient cinq minutes plus tard. Pas un mot. Je la pense fâchée. Je m’en veux. Et puis, surprise, elle me met un bout de tissu dans la main. C’est son string. Donc sa chatte est nue. Mon cœur repart à vive allure.

Elle semble détachée, un peu dans les nuages… Je m’enhardis à entrouvrir ses jambes. Je relève un peu sa jupe. Son minou est exposé. L’homme en face n’en perd pas une miette, il mate. Je lui ouvre un peu plus les cuisses, pour qu’il puisse bien voir. Nous restons un long moment ainsi, elle, le sexe exposé. Elle ouvre encore un peu plus ses cuisses. Elle lui montre tout. Elle me murmure qu’elle adore cette situation. On se regarde et on s’embrasse.

Après, nous partons. On a longuement fait l’amour cette nuit-là… Le lendemain, de nouveaux voisins se sont installés devant notre caravane. Un peu stupéfait, je vois la nouvelle voisine pendre son linge, seins nus et son short un peu entrouvert. Elle est très jolie, de petits seins, mais très agréables. Je ne savais pas que le camping acceptait les seins nus. Peut-être qu’ils tolèrent. Toujours est-il que cela m’excite et me donne des idées. Christine se réveille. Elle vient me rejoindre.

• — Alors, tu aimes notre nouvelle voisine ?
• — Mais non ! Par contre, tu pourrais faire comme elle ?

Christine me sourit :

• — Oui, si c’est cela que tu veux…

En une seconde, elle se met seins nus avec un short. Elle va sortir pour discuter avec notre nouvelle voisine, mais je l’arrête.

• — Attends, tu as vu ? Elle a son short déboutonné ! Tu ne veux pas faire pareil ?

Christine me regarde en souriant :

• — Si tu veux !

Elle dégrafe deux boutons de son short. Limite de son minou. Elle me sourit, puis elle sort. Notre voisine se prénomme Jennifer. Je les observe. Trop bandant de voir ces deux jolies femmes discuter ensemble topless, shorts ouverts.

• — Ils nous invitent à dîner ce soir, qu’en penses-tu ?
• — Ça me va bien.

L’après-midi nous allons faire du shopping en ville. Christine flashe sur un top « Sideboob ». Ce qui veut dire les seins nus sur le côté. J’hésite, elle insiste. J’accepte. Ce soir, c’est ce qu’elle porte pour notre invitation chez les voisins. Elle est trop belle ainsi, mais je me demande si cela ne va pas les choquer. Mais non, je suis rassuré, car Jennifer porte elle-même un chemisier très transparent, sans sous-tif. Elle a vraiment de jolis seins. On parle de diverses choses. Notamment du nudisme, qu’ils disent pratiquer. On leur indique que nous aussi. Ils nous disent qu’ils ont un petit bateau et peuvent nous emmener demain pour découvrir une crique. Je regarde Christine. On accepte.

Rentrés chez nous, Christine me dit que c’est peut-être un couple d’échangistes. Je la regarde :

• — Je ne sais pas. Toujours est-il qu’ils vont certainement nous proposer de nous mettre nus avec eux. Tu te sens prête à passer la journée nue avec eux ?

Elle hésite :

• — Je suppose que oui. Mais cela me fait bizarre d’y penser.

Je me laisse emporter par mon imagination… Christine nue toute la journée demain, avec un autre couple nu. C’est trop excitant, j’ai du mal à réaliser !

Le lendemain, on part avec eux dans leur bateau. On démarre, c’est parti. À peine sortis du port, Jennifer enlève son T-shirt et se met seins nus, très naturellement. Retire son short, string ficelle dessous. Elle est vraiment très jolie, de jolis seins, petits, mais bien galbés. Je regarde Christine. Elle me sourit et en me regardant, elle enlève aussi son top. Seins nus également. Son short tombe. String aussi.

Je vois que Nicolas la contemple intensément. Nos deux femmes ont les seins nus toutes les deux, fesses nues, elles sont vraiment trop belles. Elles discutent à l’avant du bateau. Hervé semble avoir eu les mêmes pensées, car il me dit :

• — Tu ne trouves pas que nos deux femmes sont trop belles ainsi ?
• — Oui, c’est vrai, je suis bien d’accord.

Je n’arrête pas de penser au fait qu’ils pratiquent le nudisme. Pour l’instant, ils ne semblent pas vouloir le mettre en application. Nous arrivons à la crique dont ils nous ont parlé. C’est vrai que c’est un petit coin de paradis, une eau turquoise, transparente. On jette l’ancre. Je sens que si nudisme il doit y avoir aujourd’hui, c’est maintenant. Ou alors pas du tout.

Jennifer se lève, elle a un sourire radieux. Je ne me suis pas trompé, elle est nue.

• — Ce n’est pas merveilleux ici ? Vous allez voir comment l’eau est bonne.

Et elle plonge sans plus attendre. Je ne sais pas comment elle a fait, elle a dû ôter son slip avant, sans que l’on s’en aperçoive. J’ai le cœur qui bat. Christine n’est pas obligée de se mettre nue elle aussi. J’attends de voir ce qu’elle va faire.

Jennifer dans l’eau :

• — Tu viens ?

Christine se lève. Dénoue son string. Elle plonge. Nue. Les femmes rient dans l’eau. Voilà, je suis fixé maintenant. Reste notre situation, Hervé et moi. Je sens de l’hésitation de part et d’autre. C’est encore une fois Jennifer qui décide :

• — Allez, pas de chichis, mettez-vous à l’aise, on ne vous regarde pas.

Je n’en crois pas un mot, mais elle nous a aidés et en deux secondes, on plonge, nus, nous aussi. La suite de l’après-midi est un vrai bonheur. On nage, on se pose sur la plage, on retourne dans l’eau. Pas de gêne, on est deux couples nus, et c’est bien comme cela.

Au bout d’un moment, on sent la fatigue. Le soleil, la mer… Je suis contre Christine, sur notre serviette. Hervé et Jennifer font pareil. On se repose. Mais pas totalement, semble-t-il. J’entends de petits bruits. Des soupirs. Je réalise qu’Hervé et Jennifer se font du bien, un petit câlin.

Je prends le sexe de Christine. Elle est mouillée, réceptive. Je vais plus loin, deux doigts. Elle gémit un peu, se tourne vers moi. Elle jouit au même moment que Jennifer, d’après ce que j’entends.

Silence… Repos…

Puis je m’aperçois que Jennifer s’est levée, elle s’avance nue dans l’eau. Je regarde Christine. Elle m’a compris, se lève, va la rejoindre. Elles se rapprochent. C’était inévitable, le soleil, la mer, la nudité, la complicité…

Elles s’embrassent, se caressent, longuement. Hervé et moi restons seuls sur le sable, hypnotisés par le spectacle. Cela dure un long moment. Puis elles reviennent et s’allongent. L’après-midi touche à sa fin. Nous convenons de repartir. Christine et Jennifer restent nues sur le bateau, jusqu’à l’entrée dans le port.

La suite au prochain épisode…