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07/12/18
Résumé:  À la clinique de la Cité des Plaisirs, le docteur Carole S. libère les pulsions de ses patients et... les siennes.
Critères:  ffh fdomine cunnilingu pénétratio fdanus hdanus attache fouetfesse piquepince -initiatiq
Auteur : MonsieurDE            Envoi mini-message
La rééducation à la Cité des Plaisirs



La secrétaire s’exécuta de bonne grâce. Le docteur Carole S. était en tailleur marine. Elle abhorrait le sarrau blanc qui sied si bien aux médecins et qui les distingue immanquablement du personnel dès lors qu’ils ceignent leur auguste cou du traditionnel stéthoscope. Elle préférait l’élégance au fonctionnel, même s’il pouvait lui arriver, en de rares occasions, de revêtir une blouse de protection… Ou de ne rien revêtir…


Elle observa le jeune couple qui venait d’entrer. Une petite femme brune dont la chevelure blonde frôlait à peine l’épaule du gaillard musclé qui l’accompagnait. Ils ne se connaissaient pas, du moins pas encore. Ils avaient été choisis au hasard, dans la liste dressée par l’administration. Un panel de centaines de femmes et d’hommes, âgés de 18 à 60 ans. Célibataires ou mariés, ils devaient se soumettre à l’évaluation destinée à fournir un état de la santé sexuelle de la population. On les avait informés, à force de réunions préalables, qu’il s’agissait d’une étude on ne peut plus sérieuse visant à comprendre les raisons de la déliquescence du plaisir physique dans cette cité pourtant vouée au bonheur.


Après moins d’un an, le couperet était tombé : les hommes et les femmes ne savaient plus copuler. L’administration avait donc décidé l’ouverture de centres de rééducation sexuelle. C’est dans une de ces structures qu’avaient été convoqués Lisa et Paul, respectivement 24 et 19 ans. Ils ne se connaissaient pas. De toute façon, les couples constitués n’étaient pas autorisés à participer aux séances ensemble.


Le docteur Carole S. tendit la main.



Elle lut attentivement les formulaires, puis se cala contre le dossier de son siège.



Lisa et Paul se regardèrent, intimidés. Le docteur leur sourit :



La jeune femme hésita et le docteur se fit plus pressant :



Lisa s’approcha d’un pas mal assuré. Elle défit la ceinture du jean et débarrassa Paul de son pantalon.



La jeune femme se hissa sur la pointe des pieds pour passer le vêtement par la tête de Paul, qui se retrouva en caleçon.



Celle-ci interrogea le docteur des yeux.



Lisa détailla alors la silhouette de Paul. Grand, athlétique, une longue chevelure brune, des pectoraux développés. Le docteur Carole S. laissa Lisa achever sa description avant d’intervenir



Le regard du docteur se fit sévère et sa voix péremptoire.



La jeune femme s’exécuta.



Lisa décrivait d’une voix timide.



Le docteur tendit un double décimètre.



Lisa, sans la toucher, posa l’instrument sur la verge et annonça :



Le docteur regarda la jeune femme dans les yeux :



Lisa vira écarlate.



La jeune femme ne sut que répondre. Elle savait que le docteur allait envoyer un rapport à l’administration et elle ne voulait pas risquer d’être blâmée. Malgré cela, elle était trop intimidée pour fournir d’emblée une réponse cohérente.



Lisa pressentait que le docteur lui tendait un piège. Elle répondit presque du tac au tac :



La jeune femme savait très bien que dans la cité, pourtant vouée aux plaisirs, l’homosexualité masculine, jugée sale et dégradante, était interdite. Elle ne put donc répondre qu’une seule chose :



La jeune femme laissa tomber sa robe sur ses chevilles. Elle portait des sous-vêtements en satin. Le soutien-gorge, dentelé, rehaussait l’éclat de sa modeste poitrine. Paul, qui ne la quittait pas des yeux, avala sa salive avec difficulté. Le docteur Carole S. sourit en voyant sa pomme d’Adam bouger.



La jeune femme libéra ses seins, ce qui provoqua l’érection de Paul.



À la vue de la jeune femme maintenant nue, la verge de Paul se tendit à l’horizontale. Le docteur se leva et s’approcha du couple. Elle regarda Lisa dans les yeux.



La jeune femme sentit un frisson glacé suivre la courbure de sa colonne vertébrale. Elle n’avait jamais eu d’amant. Sa seule connaissance des hommes, elle l’avait forgée à force de revues, de films, de discussions sur des forums. Elle n’était jamais passée à l’acte. C’était le premier homme qu’elle voyait nu, en chair et en os. Mais tout cela, il était préférable que le docteur l’ignorât. Dans la Cité des Plaisirs, il était fort mal vu d’être encore vierge après dix-sept ans. Alors, essayant de paraître à son aise, elle tendit la main et décalotta la verge de Paul. Elle laissa défiler dans sa tête les images des vidéos, tant et tant de fois regardées, et elle commença à masturber le jeune homme. Le docteur la laissa s’activer un moment, puis elle se pencha à son oreille.



Lisa, pour laquelle la fellation recelait tant de mystères, ne releva pas le propos et continua sa masturbation. Le docteur poussa un soupir, prit le décimètre et en assena un coup sur les fesses de Lisa.



Lisa rougit.



La jeune femme ouvrit timidement la bouche. Le docteur Carole S. posa la main sur la nuque de Lisa pour l’inciter à accueillir la queue tendue.



La jeune femme obéit, et, suivant le rythme imposé par les mains du docteur, elle pompa. Le jeune homme, trop inexpérimenté, ne fut pas long à venir, et se répandit dans la bouche de Lisa qui se retira aussitôt. Alors qu’elle tentait de s’essuyer, le docteur intervint d’une claque sur les fesses.



Lisa eut une moue de dégoût mais, à son corps défendant, elle dut goûter la semence jusqu’à la lie. Le docteur s’adressa alors au jeune homme :



Ce dernier prit un air ahuri. Le docteur saisit son poignet pour amener sa main au contact de la chatte de Lisa.



S’adressant à Lisa :



La jeune femme obéit. Le docteur Carole S. lui attrapa la cheville gauche et posa le pied sur un tabouret. La seconde jambe de Lisa étant restée au sol, cela eut pour effet d’ouvrir son entrejambe. Le docteur s’adressa à Paul :



Paul, d’un geste qu’il voulait assuré, glissa un index cependant maladroit sur la vulve qui, déjà, luisait d’excitation. Son exploration déclencha de petits cris très aigus qui firent sourire le docteur.



Celui-ci n’eut aucun mal à emporter la jeune femme aux frontières du plaisir, mais le docteur l’arrêta :



Paul, soudain très intimidé, voulut lui dire qu’il n’avait jamais fait cela :



Le docteur ne le laissa pas finir sa phrase. Elle lui saisit l’oreille et le força à s’agenouiller.



Paul s’exécuta. La tension de la jeune femme s’était un peu calmée, mais elle reprit rapidement ses gémissements. Le docteur Carole S. remarqua que, bien qu’inexpérimenté, le jeune homme se montrait plutôt doué. Elle s’accroupit et glissa une main entre les cuisses de Paul pour saisir ses bourses. Paul sursauta.



Elle les palpa et les soupesa longuement :



Elle n’eut pas le temps d’achever sa phrase que Lisa jouissait dans un cri suraigu qui laissa Paul médusé.



Le docteur partit d’un rire bref mais sonore, puis demanda aux jeunes gens de venir s’asseoir sur le banc qui prenait appui contre la cloison.



Devant l’absence de réponses, elle abattit bruyamment la main sur son bureau :



Ils répondirent de concert :



Durant tout l’interrogatoire, Lisa lorgnait fréquemment en direction de la verge de Paul. Dès qu’elle lui semblait, par trop ramollie, elle la prenait dans la main. L’effet était immédiat. De son côté, Paul gardait ses doigts en contact avec la chatte de Lisa.


Au fil de la discussion, Paul confessa qu’il n’avait quasiment aucune expérience. Le docteur les rassura, en leur promettant qu’en sortant de son cabinet, ils seraient moins bêtas. Carole S. demanda ensuite aux jeunes gens de venir s’allonger sur les tables d’examen, lesquelles trônaient au centre de la pièce, parallèles, et à un mètre de distance l’une de l’autre. Lisa dut se mettre à plat ventre et Paul sur le dos. La table sur laquelle reposait la jeune femme était pourvue d’un emplacement ouvert pour le visage et de deux orifices dans lequel venaient se loger ses mamelles. Le docteur Carole S. fixa la sangle sur la nuque de Lisa et la tête de Paul fut immobilisée dans une sorte d’étau. Le docteur bloqua ensuite les poignets et les chevilles des jeunes gens dans des bracelets métalliques. Ils étaient maintenant privés de tout mouvement.


Ni Paul ni Lisa n’osèrent manifester leur désaccord. Le docteur ajusta les liens afin que les cuisses de Lisa et de Paul s’écartent d’avantage, puis elle se positionna entre les tables. Elle posa la main droite sur le dos de Lisa et la gauche sur le buste de Paul. Elle descendit ensuite sur leurs fesses respectives, s’arrêtant sur la vulve de Lisa et passant sur la verge de Paul pour saisir ses bourses à pleine main qu’elle pressa modérément quelques secondes. Lâchant les lourdes couilles, elle entreprit d’administrer une fessée appuyée à Lisa.



Les fesses de Lisa commencèrent à rosir et la jeune femme libéra des plaintes sourdes. Le docteur Carole S. se pencha et saisit une cravache dissimulée sous la table. Elle s’en servit pour continuer à fesser Lisa dont les plaintes se muèrent en petits cris de douleur. Le docteur, d’une voix calme et sadique s’adressa à la jeune femme :



Les fesses, à présent, étaient écarlates, et le sang affleurait sous l’épiderme. La jeune femme mordit sa langue pour étouffer le cri avant qu’il ne franchisse la barrière de ses lèvres. Le docteur cessa sa flagellation. Elle passa la paume de la main sur les fesses brûlantes et ne vit pas les larmes que Lisa libéra.



Sur ces mots, elle répandit un baume sur le postérieur endolori, ce qui eut pour effet immédiat de calmer le feu. Lisa pensa que tout était terminé lorsqu’elle sentit que le docteur écartait ses fesses. Cette dernière, d’un geste sûr dilata l’anus de la jeune femme, puis y introduisit avec difficulté tant il était encore étroit, un plug en argent.



Lisa eut la sensation que son anus allait se déchirer. Le docteur avança la main et saisit un sein apparaissant par l’orifice aménagé dans la table. Elle le caressa jusqu’à faire dresser le téton où elle accrocha une pince métallique sur laquelle elle fixa une électrode reliée à un dispositif de faible intensité. Elle répéta l’opération sur l’autre sein puis manœuvra l’interrupteur. Une impulsion fit frissonner les mamelles de Lisa qui n’en éprouva aucune douleur. Bien au contraire. Elle sentit aussitôt un flux de cyprine lui inonder la chatte. Le docteur Carole S. abandonna Lisa tandis que les décharges intervenaient selon un cycle aléatoire. Elle s’approcha de la table de Paul.



Cette question n’appelant pas de réponse, le docteur entreprit, sans lubrification, d’enfoncer son majeur dans l’anus du jeune homme. Parvenue au fond, elle massa la prostate et constata aussitôt la reconnaissance que Paul affichait par une érection solide. Le sourire aux lèvres, elle retira son doigt, et le remplaça par une sonde, laquelle était reliée à un boîtier piloté par ordinateur. Elle pressa un petit bouton jaune. Paul sentit aussitôt une vive chaleur dans les fesses. Celle-ci eut pour effet d’affermir encore sa virilité. L’appareil était conçu pour un massage interne automatique.


Le docteur Carole S. déposa un baiser sur le gland rosé, puis elle ôta sa culotte. Elle se hissa sur la table et s’empala sur le sexe gonflé. Les secousses provoquées par la sonde lui parvenaient au plus profond de son ventre. Elle profita longuement de cette queue dure et docile car, lorsque la machine détectait l’éjaculation imminente, un bip se faisait entendre. Le docteur alors, ne bougeait plus, attendant le second signal qui l’informait que le danger était écarté, et qu’elle pouvait reprendre ses mouvements. Ainsi, elle put jouir trois fois.


Satisfaite, elle sauta à terre. Elle libéra les seins de Lisa puis défit une partie de ses liens. Elle la tira par les chevilles jusqu’au bord de la table, puis elle la retourna sur le dos. Elle lui remonta les jambes en veillant à les écarter au maximum, puis l’immobilisa dans cette position. Elle s’intéressa ensuite à Paul, le libéra, en lui laissant toutefois la canule masseuse dans les fesses… Il était un peu groggy. Elle lui attacha les mains dans le dos et ordonna :



Maladroit mais surexcité par les pulsions de l’objet qui délivrait une onde de plaisir toutes les trois secondes, Paul s’enfonça dans la chatte de Lisa qui, malgré la bonne volonté manifestée par le jeune homme, ne parvint pas à jouir. Elle se mit même à pleurer. Le docteur Carole S. saisit un mouchoir en papier pour lui essuyer les yeux.



Sur ces mots, le docteur congédia le jeune homme, puis saisit son téléphone.



Elle se tourna vers Lisa qu’elle avait libérée de ses entraves et du plug et lui lança un peignoir. La porte s’ouvrit à la volée.



Marc, cinquante-cinq ans, présentait un léger embonpoint. Il était follement amoureux du docteur Carole S. qui ne partageait pas son sentiment. Elle savait néanmoins, pour l’avoir souvent vérifié, que c’était un amant exceptionnel. Il n’était pas beau, il utilisait souvent un vocabulaire ordurier, il ne savait pas se comporter en société… Mais lorsqu’elle avait envie d’être baisée, très bien et très longtemps, c’est lui qu’elle appelait. Amoureux, il était constamment disponible pour elle et il ne pouvait pas concevoir qu’elle ne l’aimât pas en lui demandant de la sauter si souvent. Il allait la gratifier de quelques grivoiseries lorsqu’il aperçut Lisa.



Le docteur parla de la virginité de Lisa, de l’intervention de Paul, et de l’absence d’orgasme.



Le docteur lui coupa la parole.



Le docteur Carole S. soupira. Elle s’allongea sur le sol et releva sa robe. Marc plongea aussitôt la tête entre ses cuisses et se redressa fréquemment pour déclarer tout de go :



Le docteur n’aimait pas beaucoup ses débordements, mais sa langue était si bonne… Et ça durait si longtemps. Elle jouit deux fois avant que Marc ne l’abandonne. Carole S. se releva.



Le docteur se tourna vers Lisa.



Maintenant à quatre pattes, Lisa ferma les yeux. Elle sentit le sexe de Marc appuyer à l’entrée de son vagin. Il lui sembla plus épais que celui de Paul. Plus épais, plus volumineux, mais la sensation était meilleure. Peut-être tout à l’heure était-elle trop crispée, car à présent, le ressenti de cette queue qui la pénétrait, frottant toutes les parois de son vagin, était troublant et envoûtant. Elle sentait la chaleur envahir son ventre. Marc était à présent au bout de sa progression. Il s’arrêta, et contracta son périnée ce qui eut pour effet de transmettre à toute sa verge de micro-secousses que Lisa accueillit avec de petits cris brefs. Marc, très lentement se retira, maintint son gland quelques secondes au bord des lèvres, puis s’enfonça à nouveau jusqu’à la garde. Lisa sentait ses nerfs à vifs. Les mouvements, changeant constamment, excitaient chaque millimètre de sa peau. Son corps n’était plus que frissons. Elle essaya d’apprivoiser cette nouvelle sensation. En vain. Alors elle voulut, par des mouvements de reins, aller à la rencontre de cette queue qui la remplissait de bonheur.



Lisa obtempéra. Elle se cambra néanmoins davantage en reposant le front sur le sol. La pénétration fut encore plus profonde. Lisa se mit à gémir, de plus en plus fort. Le docteur contemplait son amant régulier et se délectait de le voir aussi concentré sur sa tâche. Elle saisit la cravache qui avait cuit les fesses de Lisa, et, debout, s’en inséra le manche entre les cuisses. Elle jouit en moins de cinq minutes et reprit ses esprits juste à temps pour entendre l’orgasme de Lisa. Marc s’était retiré. Elle s’attendait à ce qu’il éjacule sur les reins de la jeune femme, mais comme rien ne venait, elle le masturba quelques secondes vigoureusement.


Il libéra un jet puissant sur les fesses de Lisa.


Ni Marc, ni le docteur Carole S. ne virent le sourire qui éclairait le visage de la jeune femme tandis qu’elle se rhabillait.