n° 18710 | Fiche technique | 33061 caractères | 33061 5790 Temps de lecture estimé : 24 mn |
08/12/18 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Je suis Ekwoos, le Dieu Cheval, et j'adore galoper sans fin dans les vastes plaines du monde ici-bas, situé entre lever et coucher du soleil. | ||||
Critères: #fantastique #conte fh hplusag grossexe campagne hdomine facial fellation pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
Voici venir une belle légende indo-européenne qu’on racontait lors des veillées en ces temps très, très anciens.
Bien avant les Grecs, les Babyloniens, les Élamites, les Égyptiens et tous ces peuples antiques.
Avant même que la mer Noire n’existe…
Je suis Ekwoos, le Dieu Cheval, et j’adore galoper sans fin dans les vastes plaines du monde ici-bas, situé entre lever et coucher du soleil. J’adore aussi saillir toutes les pouliches que le hasard met sur ma route, m’épancher en elles, les rendre pleines et grosses afin que plein de petits poulains puissent à leur tour parcourir les vastes plaines vertes et légèrement vallonnées.
Aujourd’hui, je me suis aventuré dans une petite vallée au milieu des collines, un lieu que je connais mal. Il y a tant d’endroits à explorer, mais j’ai tant de temps devant moi. Alors je trottine au gré de mon humeur, grimpant les collines, explorant les bois, sautant les ruisseaux. De façon curieuse, je ne vois pas l’ombre d’une seule pouliche. Je ne rencontre pas non plus grand monde, pas d’humain et très peu d’animaux.
Au lointain, mes yeux perçants dénichent une petite cabane. D’habitude, je préfère éviter les bipèdes, mais je sens dans l’air une bonne odeur, et une seule. Je décide d’aller voir de plus près, car, en dehors des saillies, les occasions de se divertir ne sont pas très fréquentes, surtout quand on voit défiler les siècles et les millénaires.
Devant cette cabane faite de bois et de boue séchée, je découvre de dos une jeune humaine nue en train de se laver. Elle frotte lentement son corps d’une étoffe blanche, le spectacle me semble singulier. Silencieusement, je m’approche plus encore à petits pas.
Cette jeune humaine est solidement charpentée, ses jambes bien rivées au sol, sa croupe large et accueillante, sa noire et longue crinière balaye son dos reposant ; je distingue néanmoins quelques reflets roux dans ses crins. Elle chantonne un air harmonieux, sa voix est reposante.
M’entendant approcher, elle se retourne, et je constate que l’endroit vaut l’envers. Ses yeux verts illuminent un visage à la fois poupin et averti, cette donzelle doit avoir déjà connu le loup. Ses lèvres sont pulpeuses, mais pas trop. Son nez est peut-être un peu plus long que la moyenne, mais je trouve que ça lui sied bien. Ses deux mamelles me semblent propices à allaiter et à être malaxées à souhait. Son ventre rond indique une indéniable bonne santé, et son nid velu et charnel semble fort accueillant.
Même si elle est indubitablement une humaine, elle a un air de belle pouliche. Et pour la première fois de ma longue vie, je me sens titillé par une jeune femme. Je me demande bien pourquoi je porte tant d’intérêt à une donzelle qui n’a même pas quatre pattes pour se mouvoir !
Un grand sourire irradie son visage presque enfantin. Elle s’adresse à moi :
Amusé, je m’approche de cette jeunette. Elle pose sa douce main sur mes naseaux, j’aime ce contact, je me laisse faire. Elle me parle doucement, me caresse longuement, je crois que j’ai bien fait de venir faire un petit tour par ici. Aucune autre odeur aux alentours, cette donzelle doit vivre seule, je suppose, ce qui est étonnant, car je pensais que les humains vivaient plutôt en groupe.
C’est normal que je sois un très bel étalon, ne suis-je pas un Dieu ?
Elle fait un pas puis deux, caressant à présent mes flancs, ce qui est très agréable, quand soudain elle s’arrête, murmurant :
Impudique, elle s’accroupit pour venir à la hauteur de mon long sexe bien raide. Elle le regarde bien sous toutes les coutures avant de s’exclamer :
Hésitante, elle tend quand même la main, c’est alors que je me métamorphose, me transformant en humain, sauf ma tête, ainsi qu’une longue crinière qui parcourt mon échine. Devant ses yeux hagards, je révèle alors un corps carré, massif, musclé, tout en puissance, mes attributs virils bien en évidence et en forme.
À cette vue, la jeune femme prend peur et se jette devant moi, se prosternant à mes pieds, sa croupe bien relevée, nettement plus haute que sa tête :
Elle tremble de tous ses membres, et de la croupe aussi. Décidément, cette petite femelle possède un séant très attractif. Je sens que je vais me laisser tenter par une petite expérience.
Elle se redresse un peu, restant néanmoins agenouillée, par crainte et par respect :
Nous y voilà. J’aurais pu imposer ma volonté, mais c’est plus amusant que la proie s’offre d’elle-même. D’un air détaché, je réponds :
Elle incline respectueusement de la tête, toujours agenouillée face à moi, son visage au niveau de mon vit bien massif. Je continue :
Je fais semblant de me fâcher :
Levant la tête, elle me regarde de ses grands yeux verts étonnés :
Je croise les bras, regardant cette jeune femme toujours agenouillée à mes pieds :
Elle se défend comme elle peut :
Mes oreilles s’agitent, je m’impatiente un peu :
Elle me regarde craintivement :
À ma grande surprise, elle s’empare alors à deux mains de mon vit, puis dépose un premier baiser sur mon gland. La sensation est agréable. Ensuite, elle enfourne entre ses lèvres le haut de mon sexe, et commence à le sucer. Je dois reconnaître que cette pratique a du bon ! Néanmoins, mettre en bouche ce qui d’habitude s’enfonce dans un vagin, c’est quand même un peu pervers. Mais cette perversité a du bon, et puis j’ignore des pans entiers de la vie des humains. Je reconnais que j’ai quelques lacunes en la matière.
En tout cas, cette pratique est très agréable, je le lui fais savoir :
Elle ne répond pas, car sa bouche est pleine. Elle continue ses caresses étranges du bout de ses lèvres et de sa langue, tandis qu’elle branle lentement ma verge. Il n’y a pas à dire, c’est efficace ! Tellement efficace que le résultat ne se fait pas attendre, un premier jet inonde sa bouche tandis que je hennis de plaisir !
Elle est sans doute surprise par le volume de sperme que je viens d’envoyer dans sa bouche, car elle a comme un haut-le-cœur, et elle retire précipitamment mon long sexe de sa bouche. Comme étouffée, elle tousse, du sperme ressort de ses naseaux, ou plutôt de ses narines. Mais de mon côté, j’ai d’autres jets à expulser, ce que je fais. Ceux-ci s’écrasent sur son visage, son cou et aussi plus bas. Elle ferme les yeux, attendant que les éruptions s’arrêtent. J’en ai presque fini. Je le lui signale :
Son visage est barbouillé de sperme, celui-ci dégouline sur son cou, sur ses mamelles, et aussi sur son ventre. Il faut dire qu’en tant que Dieu, je ne fais pas les choses à moitié ! Timidement, elle me demande :
Elle baisse légèrement la tête :
Surprise par ma réponse, elle lève son menton vers moi :
Elle se fend d’un sourire ambigu :
Elle sursaute :
Je fais un petit geste dédaigneux :
Elle sourit étrangement :
Le ton de sa voix est un zeste impertinent. Elle recommence son petit manège autour de mon vit bien raide. C’est vrai que c’est très agréable, et que ça vaut bien un coït classique. Sans parler du côté singulier de la chose, de nourrir une bouche avide, de la remplir, de la saturer, jusqu’à ce qu’elle soit totalement rassasiée !
Alors qu’elle vient de me faire à nouveau une belle lécherie que j’ai récompensée avec mon bon foutre chaud, je demande à cette jeune humaine :
Elle ôte ma verge de sa bouche pour répondre :
Je n’aime pas trop ce côté sombre qu’elle m’expose. Je préfère bifurquer :
Toujours sagement agenouillée à mes pieds, son nez à deux doigts de ma verge triomphante, elle développe :
Une furtive lueur de reproche éclaire ses yeux verts. Elle réplique :
Alors que je n’ai rien demandé, elle s’empare doucement de mon vit. Tout en me branlant délicatement, ce que j’apprécie beaucoup, elle argumente :
Spontanément, elle réplique, incrédule :
Puis entre ses lèvres et du bout de sa langue, elle s’applique à nouveau à me procurer tant de bien. J’en profite pour inonder sa bouche plusieurs fois, et à chaque fois, mon sperme déborde de sa petite bouche et ruisselle sur tout son corps. Un spectacle qui ne me laisse pas indifférent.
Quelques fellations plus tard, Ningal, la petite humaine, quémande un répit :
Changeant de conversation, craintivement, elle demande :
Et sans attendre sa réponse, je me transforme à nouveau en vigoureux étalon pour gagner au galop les proches fourrés.
Je vois bien, quand je suis de retour, que la petite humaine se pose bien des questions, mais comme je suis un Dieu, je n’ai pas à me justifier. Elle est à présent debout, toujours nue, mais lavée. Sous ses yeux, je me métamorphose à nouveau en presque humain, gardant toujours ma tête chevaline. Je la contemple de la tête aux pieds :
Je vois bien qu’elle est partagée entre deux sentiments. La lueur qu’elle a dans les yeux m’indique qu’elle aimerait bien essayer, mais qu’elle a peur de ce qui peut arriver, car certaines légendes, que j’ai pu entendre, racontent qu’il y a parfois des gros problèmes imprévus entre les Dieux et les humains. Par exemple, Soohul a la désagréable manie de ne pas trop se contrôler quand il jouit et sa partenaire finit illico en cendres, ce qui est très fâcheux ! Elle finit par lâcher :
Quelle question !
Elle se positionne à quatre pattes dans l’herbe. Aussitôt, je la couvre de mon large torse, et mon vit trouve sans problème l’entrée de sa grotte déjà détrempée, signe évident qu’elle n’est pas contre. La première partie, fine, s’introduit aisément dans sa fente humide. Puis arrive la suite, elle halète sous l’effort, car ce qui pénètre maintenant en elle n’est pas précisément petit.
Cet endroit est plus étroit que de coutume, mais je n’en déteste pas l’effet. Le changement de partenaire a du bon. Ses mamelles pendouillant, je vérifie ce que peut être la sensation de capturer un de ces globes laiteux et mous. J’apprécie beaucoup le moelleux de cette grosse boule de chair. Je commence à pistonner ma conquête du jour, tout en lui malaxant avidement ce sein.
Je réfrène l’envie de m’enfoncer entièrement en elle, car j’ai vite compris qu’une humaine est nettement moins profonde qu’une jument. Néanmoins, je dois reconnaître que la sensation n’est pas désagréable du tout, sans parler de cette mamelle pendouillante que je malaxe. Il y a du bon dans une humaine, même si on ne peut pas aller aussi loin que dans une jument. C’est différent.
Et je commence à la pistonner pas trop fortement, je ne tiens pas à détériorer mon nouveau jouet de chair. Et puis, c’est assez étroit, ce qui intensifie les sensations. En parlant de chair, la chair fraîche de ce corps m’excite beaucoup. Je sens que je suis en train de vivre une bonne expérience !
Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer en elle, la remplissant de flots de sperme qui ne tardent pas à s’échapper aussitôt de cette grotte trop petite. Je hennis de plaisir :
Je m’attarde un peu en elle pour bien saisir toutes ces nouvelles impressions. Puis je me retire pour contempler le spectacle d’une jeune humaine qui déborde de mon foutre, et ça me plaît. Je commence mieux à comprendre pourquoi certains autres Dieux lutinent avec les humaines. Mais encore faut-il trouver la bonne, celle qui vous excite. Néanmoins, il est vrai que le Dieu Cygne ne s’embarrasse pas trop de ce genre de considération, il saute sous tout ce qui bouge ! Et même sur ce qui ne bouge pas, y compris les souches d’arbre !
Tandis qu’elle dégouline de sperme, ma conquête du jour soupire de soulagement, je peux la comprendre, mon vit n’est pas une mince affaire. Intimidée, elle demande :
À ces mots, elle bafouille :
Elle est assez incrédule. Pourtant, ne suis-je pas un Dieu ? Elle finit par articuler :
C’est vrai que les humains ne sont pas taillés et formés comme nous. Je m’exécute :
Je regarde le résultat, il me paraît étrange, mais si c’est ainsi que sont disposés les mâles humains, faisons avec, et peut-être aurais-je droit à une nouvelle découverte. Aujourd’hui est un jour faste, profitons-en !
Je suspends ma réponse, réalisant que je suis actuellement formé comme un mâle humain et non comme un étalon. Par devant ? Les humains peuvent faire ça par-devant ? Pourquoi pas. À bien y réfléchir, c’est vrai que j’ai déjà vu des couples humains vautrés les uns sur les autres, face à face. Mais je ne pensais pas que ce fut pour copuler, cette race ayant l’habitude de se lécher les naseaux et les babines pour un oui ou pour un non.
Essayons donc ensuite par-devant, je ne risque pas grand-chose à essayer. J’en profite même pour tendre la perche à mon initiatrice des plaisirs humains :
Et en plus, ils ont d’autres positions !
Avant de changer de position, essayons classiquement avec cette nouvelle forme de sexe. Bon, c’est moins gros que le mien, c’est taillé différemment, mais rien qu’à l’entrée, ce n’est pas mal du tout : la forme du gland permet de mieux ressentir certains effets.
Quant au pistonnage que je suis en train d’expérimenter, c’est bien comme ça aussi : je tape au fond comme il faut, je sens bien l’étroitesse du conduit contre la peau de ma verge, et les sensations sont au rendez-vous. Il faut que je mémorise la forme actuelle de mon sexe, ça me servira sans doute par la suite… Car quand on goûte aux petites humaines, on veut y regoûter.
En parlant de petite humaine, on dirait que je lui fais du bien, car elle se tortille, elle gémit d’une façon très stimulante, et elle fait quelque chose avec ses doigts, juste à l’entrée de sa vulve. J’apprécie beaucoup le contact de ses doigts tandis que ma verge est plongée en elle.
Je ne sais pas ce qui lui arrive, mais on dirait qu’elle chante, tout en poussant des petits cris. Ceci déclenche en moi une irrésistible envie de tout lâcher, de noyer sa grotte intime, ce que je fais aussitôt. Je me sens aspiré par un tourbillon tandis que je me vide en elle…
Peu après, toute ruisselante, Ningal me demande :
Elle se couche sur le dos dans l’herbe, écartant un maximum les jambes. Je comprends tout de suite comment je suis censé me placer. Il est vrai que j’ai deux bras et un corps différent. Position un peu curieuse, mais quand j’entre à nouveau en elle, je me dis que c’est aussi une bonne découverte. Frotter mon pubis contre le sien, c’est jouissif, sans parler du fait que je sens ses deux mamelles écrasées contre mon torse. Je fais attention de ne pas transformer Ningal en feuille plate, il est vrai que je pèse mon poids.
Et elle commence à chanter à nouveau tandis que je la baratte copieusement. Les yeux fermés, la bouche ouverte, elle gémit, elle m’entraîne dans une longue mélopée entrecoupée d’ordres :
…
…
…
…
Et par trois fois, elle jouit, et par trois fois, je l’inonde copieusement.
Puis après un petit repos, elle se place de côté, me demandant de me plaquer contre elle. Je vais de ce pas m’offrir une nouvelle position. En effet, c’est différent, mais ça vaut l’essai ! Moi aussi, je me laisse aller, je hennis tout en la limant avec force, alternant les mouvements rectilignes avec les mouvements circulaires, ce qui la fait gémir de plaisir. Je saisis ses mamelles à pleines mains et je les malaxe, c’est très bon ! Je glisse ma longue langue sur son cou, elle soupire d’aise :
Elle est prise, capturée, comblée, remplie. Sous mes mains, ma langue et ma verge, son frêle corps exulte, puis elle jouit à nouveau, cambrée, tétanisée, puis elle se laisse aller contre moi, ahanante, trempée, ruisselante, totalement rassasiée…
Pâmée, elle soupire d’aise :
Nous recommençons, plusieurs fois, je ne fais plus le compte : elle sur le dos, sur le ventre, sur le côté, assise, debout, accroupie ; moi dessus, dessous, sur le côté. Le corps humain permet beaucoup de variantes, c’est certain. Par rapport aux chevaux, le nombre de combinaisons semble presque infini, limité seulement par l’imagination et parfois la souplesse.
Elle est vautrée sur l’herbe, ruisselante, quasiment épuisée. Je lui demande :
À cette réponse, je m’étonne :
Elle incline la tête en signe de soumission. De mon côté, je suis songeur :
Je décide mettre ma découverte en application et de passer par-devant, histoire de découvrir tout de suite une nouveauté. Je dispose Ningal sur une petite butte de terre bien herbeuse, jambes en l’air, son cul surélevé. Par acquit de conscience, je demande :
Je m’agenouille pour être à la bonne hauteur, je relève puis j’écarte ses deux belles fesses, pour dénicher un petit trou sombre qui s’évase déjà. On dirait que cette petite humaine a l’habitude qu’on passe par là. Il est vrai que c’est contraceptif, donc c’est pratique quand deux humains décident de jouir sans risquer des problèmes par la suite, comme chez nous, les équidés…
Je me positionne puis je m’introduis lentement mais sûrement, sans faiblir devant l’étroitesse du lieu. La petite humaine soupire sous mon assaut. Quand je suis enfin arrivé au fin fond de son fion, je remue délicatement en elle afin de chercher mes marques et découvrir son intérieur, les humains étant sous-dimensionnés. Ayant compris diverses choses depuis tout à l’heure, je caresse son petit bouton rose ainsi que sa fente d’une première main, tandis que l’autre s’occupe de ses masses blanches, pinçant et étirant les tétons, malaxant ses molles mamelles. Visiblement, elle apprécie le traitement.
C’est alors que je me dis qu’il faudra que j’ajoute un ou deux bras ultérieurement, ce qui m’offrirait encore plus de possibilités, mais ne brûlons pas les étapes, chaque chose en son temps.
Les yeux fermés, elle respire bruyamment, son plaisir étant plus fort que sa douleur. De mon côté, je reconnais que c’est très jouissif. J’aurais dû sauter sur les humaines depuis des siècles, que dis-je, des millénaires. Mais bon, il fallait le savoir. Néanmoins, j’aurais dû avoir la puce à l’oreille en constatant que certains Dieux faisaient une forte consommation de mortelles. C’est Ningal qui prend la parole :
J’ai failli lui demander quoi, mais je réalise où elle veut en venir. Alors je commence doucement mon pistonnage en elle. Trop bon ! Tandis que je la baise avec de plus en plus de force, allant et venant dans son fin fourreau brûlant et étroit, je hennis de plaisir. De son côté, je constate que la jouissance est proche de fondre sur elle. Alors j’accentue la masturbation de son clitoris, ainsi que le pelotage de ses mamelles. Elle se tord, balançant sans relâche la tête à droite et à gauche :
Elle est secouée de multiples spasmes, son corps est envahi de vibrations, de secousses et de sensations extrêmes… N’y tenant plus, j’éjacule au fond de son cul, râlant et grognant encore et toujours, inondant ses entrailles de mon puissant sperme. Nous restons un moment, haletants et tremblants, moi contre elle, goûtant le contact de son corps alangui et en sueur.
Et dire que j’ai loupé ça depuis tout ce temps ! J’annonce la couleur :
Bien qu’elle semble comblée et ravie, elle me répond d’une timide voix :
Un peu contrarié, je dodine de la tête. Je ne vais pas me plaindre, car aujourd’hui j’ai fait un tas de découvertes très jouissives et profitables, mais il va falloir que j’intègre ce paramètre (la faible résistance humaine), mais Ningal ne perd rien pour attendre, et sa lune aussi !
Et pas que sa lune…
Je suis Ekwoos, le Dieu Cheval, et j’adore galoper sans fin dans les vastes plaines verdoyantes du monde ici-bas. Souvent, je reviens vers une petite cabane où grandissent à présent mes trois turbulents triplés. Je sens confusément que mes enfants feront de grandes choses par la suite, mais si je suis un Dieu, je ne suis pas devin pour autant.
En attendant, je m’occupe très activement de leur mère, une belle pouliche humaine plantureuse, que j’adore saillir à tout va et dans toutes les positions. J’avoue avoir testé d’autres petites humaines, mais rien de comparable. Résultat, vaut mieux une seule Ningal comme partenaire performante que trente-six autres, mais décevantes. J’ai préféré la qualité à la quantité. Sans parler que ma petite pouliche est ingénieuse, imaginative, inventive, très inventive ! Il faudra que je parle d’elle lors de la prochaine assemblée des Dieux, je pense qu’il y aurait moyen d’en faire une petite divinité du sexe, elle y aurait sa place !
En attendant, j’exploite à fond toutes ses voluptueuses capacités et son bon vouloir. Et peut-être que dans peu de temps, elle me donnera à nouveau d’autres petits semi-humains, forgeurs de légendes qui porteront du lever au coucher du soleil la fière lignée des Ekwoos…