Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18721Fiche technique39545 caractères39545
Temps de lecture estimé : 23 mn
13/12/18
Résumé:  Robin, jeune étudiant à la timidité maladive, doit se faire soigner.
Critères:  fh fplusag jeunes extracon fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo init
Auteur : Isa13450            Envoi mini-message
Robin

Ça y est, c’est aujourd’hui que les résultats sont affichés ! J’ai réussi l’examen, j’ai obtenu mon bac ! Mon premier objectif est atteint, mais la seule école supérieure qui retient ma candidature se trouve à plus de 380 km de ma ville natale où je vis avec ma famille. Dans deux mois, je logerai dans un petit studio accolé à la magnifique villa des propriétaires, une location que mes parents ont dénichée à proximité de ma nouvelle école. L’idée de quitter le cocon familial m’angoisse énormément, moi qui suis si réservé et timide. Par la force de cette nouvelle situation, je vais devoir gagner en autonomie. Il faut maintenant que je me donne l’occasion d’atteindre mon second objectif, qui n’est autre que de trouver ma moitié.


J’ai tout juste 19 ans et pour moi, les filles se résument surtout à des fantasmes. J’ai eu une relation très brève avec une copine du lycée. Je me suis fait jeter au bout de trois mois, après avoir eu la chance d’obtenir, à deux reprises, le minimum syndical me permettant d’affirmer que je ne suis plus puceau. Du coup, mon expérience se résume à pas grand-chose. J’en suis conscient et ça ne m’aide pas à vaincre ma timidité maladive.



oooOOOooo



Les deux mois de vacances d’été se sont soldés par un nouvel échec et malgré mes tentatives, je suis toujours célibataire. Ma rentrée dans cette nouvelle école se passe à merveille, les profs et les étudiants sont d’un contact agréable. Mes journées défilent les unes après les autres, je partage mon temps entre les heures de cours, mes révisions, mes sorties pour m’acheter à manger et bien sûr, je m’octroie quotidiennement un petit quart d’heure pour me masturber en rêvant à de superbes filles de magazine ou de site Internet.


Un jour, j’étais si excité que j’ai décidé de sauter le pas pour appeler un service d’amour par téléphone. La première conversation n’a pas été délirante. Je trouve ça assez vulgaire. Je te suce, je te prends, tu me sodomises, là, sauvagement tu me lèches, c’est pas trop mon truc. Des fois, je me dis que je suis vraiment stupide. Même avec les prostituées, j’ai du mal. Il m’est arrivé tant de fois de parcourir la même rue, décidé à en aborder une, et finalement je ne franchis jamais le pas. Je les regarde de loin, je m’approche, décidé, puis arrivé à quelques mètres, je fais comme si je m’étais trompé de direction.


Les semaines, les mois défilent, et toujours rien, je n’intéresse pas les filles de ma nouvelle école, je dois me faire une raison. Pour couronner le tout, je ne me suis pas réellement fait d’amis, simplement des collègues. Je me sens seul. Heureusement que Jean et Isabelle, les propriétaires du studio que je loue dans leur propriété, sont très agréables et sympathiques. Mon attention se porte d’ailleurs beaucoup sur Isabelle, brune piquante, pas encore la cinquantaine : elle n’est pas avare de ses charmes plutôt pulpeux. Combien de fois dans mes rêves, Isabelle a été ma princesse !


Évidemment, quand j’en ai la possibilité, je ne me prive pas de lorgner sur son petit cul qui déambule devant moi. C’est rafraîchissant, même si je sais que je n’y toucherai pas. Et parfois, quand elle me parle, je m’approche et elle en fait de même, ce qui me permet de plonger mon regard dans son décolleté qui m’est ainsi offert. Ça me donne l’occasion de rêver que j’y balade mes mains. Mais là aussi, c’est juste en rêve. Je collectionne les images fugaces pour m’en servir une fois rentré, tout seul dans mon lit, avec comme seule compagnie ma main droite.



oooOOOooo



Il me reste désormais moins de deux mois d’école avant de rentrer chez mes parents pour les grandes vacances. Jean étant en déplacement de longue durée, Isabelle me propose de déjeuner avec elle le midi, les jours où je le souhaite. J’imagine alors que probablement, en tant que bonne maman qui a maintenant bien cerné la timidité et les difficultés d’insertion de son jeune locataire, elle souhaite lui procurer un minimum de réconfort maternel. Bien évidemment, j’accepte sa proposition. Après deux semaines de repas pris quotidiennement le midi en tête à tête avec Isabelle, j’ai gagné en confiance et en assurance : il faut dire qu’elle sait me mettre à l’aise. Ces moments passés ensemble m’ont permis d’en savoir beaucoup plus sur elle, sur Jean, souvent en déplacements et sur son fils de 25 ans parti à l’étranger pour son emploi. Elle parle beaucoup, je l’écoute et ça me réconforte. Peu à peu, au-delà de la relation maternelle que j’entretiens avec elle, je ne peux m’empêcher d’avoir du désir charnel pour elle, un désir qui hante chaque jour un peu plus mes soirées. Désormais, tous les soirs lorsque je suis dans mon lit, je me masturbe frénétiquement en pensant à elle. Je suis sûr d’avoir franchi un cap, je suis confiant, je me sens prêt à oser l’impensable.


En attendant, à chaque occasion, je frôle son corps. Tous les prétextes sont bons pour que je la touche, ma main près de la sienne, mon bras contre le sien, pas franchement des avances, plutôt des attouchements volés. Mais elle n’est pas dupe. Hésitante elle aussi, elle ne veut ni me réprimander ni me décourager, mais pas non plus tomber dans mes bras. Elle semble ainsi dire « oui », mais il faut rester raisonnable, mais « oui » quand même, « oui » pourquoi pas ? Si je la frôle, elle se laisse faire, mais je sais qu’il ne faut pas aller plus loin pour l’instant. Et comme je désire garder toutes mes chances, je ne brusque pas les choses. Une tendre complicité naît peu à peu entre nous. Il lui arrive de poser sa main sur mon bras et je ressens un peu plus qu’un geste d’affection, déjà pratiquement une complicité. Également, quand nous nous faisons la bise, une bise de plus en plus appuyée et que nos bouches frôlent nos lèvres, ce n’est là plus tout à fait un simple bonjour, il y a un peu plus dans tout ça et nous sommes tous les deux complices de ces instants volés.


Je suis chaque jour un peu plus amoureux d’elle. Oui, c’est cela, nous sommes en train de tomber réellement amoureux, elle, tout comme moi. Derrière cet étrange ballet qui perdure maintenant depuis des semaines, il y a quelque chose de fort, de magique, d’étonnant. Une idylle naissante entre deux êtres que tout sépare… Une relation peut-être pas tout à fait sentimentale, mais, en tout cas, un désir amoureux fou et intense qui ne fait que croître au fil des jours.


Tous les midis elle m’attend. Pour ma part, je la fais souvent patienter, sachant que, quelque part, cela attise son désir. J’ai envie qu’elle soit tout entière soumise à cette folie d’être à moi et qu’elle soit prête à tout pour m’appartenir.


Et ce qui devait arriver, arrive ! Un jour, je me pointe vers une heure seulement. Elle bouillonne, pas ouvertement évidemment, mais je la vois bouillir de l’intérieur. Lorsque je pose ma main sur son épaule pour lui faire la bise comme à l’accoutumée, c’est elle qui m’embrasse carrément, c’est elle qui franchit la barrière de la décence pour se donner à moi. Et, cette barrière une fois franchie, nous savons tous les deux qu’il n’y a plus de limite. Nous nous embrassons un long moment, à pleine bouche, sans aucune retenue, une impression d’abandon total que je n’ai jusque-là jamais connue. Le don total de sa bouche, de son corps. Il n’y a plus aucun obstacle. Mes mains, mes doigts s’insinuent partout sous ses vêtements.


Mes bras se referment sur elle. Je l’attire vers moi. Je l’emprisonne. Elle se laisse faire, se colle contre moi, ses mains sur mes reins. Mes bras l’enveloppent. Mes lèvres se perdent sur son cou, dans ses cheveux. Mes mains courent sur son corps, sur ses vêtements, simples, tellement chics, légers, elles se glissent sous son corsage, sur sa peau. Mes doigts sentent sa peau frissonner. Elle s’écarte légèrement de moi, glisse ses mains sous son corsage, dans son dos, dégrafe son soutien-gorge. Ses seins sont nus sous mes mains. Une peau chaude, douce, ses seins aux pointes dressées se font effleurer par la paume de mes mains… Je les agace doucement. Mes mains se plaquent sur ses seins, je les écrase, je les masse… Quand elles descendent sur son corps, son estomac se creuse, mes doigts glissent, se heurtent à la résistance de la ceinture de son short. Elle se donne, dégrafe la ceinture, se défait de son short qui tombe à terre. Mes doigts se referment entre ses cuisses, je sens le tissu de sa culotte, chaud, trempé. Elle gémit doucement. Elle se retourne, plaque ses fesses contre mon sexe encore emprisonné dans mon jean et pose sa tête dans mon épaule :



Écartant mes mains qui la tiennent par les hanches, elle se recule, défait son corsage, laisse tomber son soutien-gorge. Puis, tout en me regardant, elle retire sa culotte. Le tissu s’attarde un peu entre ses cuisses, mes doigts l’ont collé sur les lèvres de son sexe. La culotte tombe, elle se tient nue, impudique, sans la moindre gêne. Elle prend ma main. Elle m’attire dans sa chambre vers le lit, nous tombons enlacés… Je fais tomber mes chaussures. Je l’embrasse. Je retire mes vêtements. Je la caresse. Je lance ma chemise, mes chaussettes par terre. Je la caresse. Je l’embrasse. Mes lèvres goûtent sa peau, sucent la pointe d’un sein. Isabelle m’aide à me déshabiller, embrasse mon épaule. Elle ouvre ma ceinture… Quand mon pantalon tombe par terre, je suis au bord de l’orgasme. Je me retiens, je retiens sa main…



Complètement nu, je la prends dans mes bras, essayant dans le même temps de ne pas appuyer les contacts et de satisfaire le besoin de coller mon corps contre le sien, de sentir sa peau. J’essaie de faire baisser un peu la tension. Me calmer avant la tempête… Elle se colle contre moi à la recherche de mon sexe.



Ce fut bref, violent, presque sauvage.

Je la pénètre doucement d’abord. Puis nous sommes emportés par la tempête, sans retenue, ses jambes se nouent sur mes reins. Offerte. Ses hanches lancent son ventre vers moi. Ouverte, cherchant à recevoir mon sexe au plus profond du sien. Mes reins poussent mon corps, mes cuisses frappent ses fesses. Mon sexe s’enfonce, se retire, la reprend. Tendu comme jamais, je la remplis, le gland roule sur le fond de son ventre. Rapidement, trop rapidement, l’orage soudain atteint son paroxysme. Une brutale déflagration nous emporte simultanément. Ses dents se plantent dans mon épaule, pour étouffer ses cris, la douleur renforce mon excitation ! Des éclairs violents traversent mon cerveau. Nos corps se tendent, se tordent. Je sens mon sperme monter le long de mon sexe. Je gémis, je crie presque, elle colle ma tête sur son épaule, je jouis.

Longtemps encore, nos corps se tordent, se cherchent, jambes enlacées, enchevêtrées. Des positions douloureuses qu’il faut dénouer doucement.


Je regarde mon épaule, passe mes doigts sur une morsure qui saigne. Elle regarde à son tour, effleure la lésion qui rougeoie.



Il est déjà bientôt 14 h, je dois retourner en cours sans perdre de temps, je passe un examen important dans moins d’une demi-heure. Je l’embrasse, me rhabille. Isabelle est là immobile, allongée sur son lit, elle m’observe, je peux voir que l’intérieur de ses cuisses est souillé de ma semence qui dégouline jusque sur les draps pour venir les tacher. Elle se redresse et m’accompagne jusqu’au seuil de la porte de sa chambre. Elle m’embrasse à nouveau avant de me faire une proposition qui dépasse mes fantasmes les plus fous.



Un instant, je pense rêver, je ne veux surtout pas me réveiller. Ma gorge se serre, cette proposition est tellement inattendue que j’ai du mal à répondre, mais je lâche un « oui, d’accord, à ce soir alors… » Comment vais-je pouvoir me concentrer sur cet examen de maths ? Je suis extrêmement troublé par ce que je viens de vivre, impatient que cette après-midi se termine pour pouvoir retrouver ma belle pour une nuit d’amour. Vous l’avez deviné, en fin de journée, après mes cours, je n’ai pas perdu une seule minute, un bref passage dans mon studio pour faire un brin de toilette bien mérité, et me revoilà à toquer sur la porte d’entrée, impatient de retrouver Isabelle.


Elle m’ouvre, me sourit, à mon tour, je lui fais un grand sourire. J’entre et elle referme la porte derrière nous. Elle semble être entièrement nue sous son peignoir, ses cheveux sont humides, je comprends qu’elle sort à l’instant de sa douche. Elle caresse mon visage du dos de sa main droite et se penche vers moi pour m’embrasser. Je lui rends son baiser, puis elle capture mes lèvres pour les caresser sensuellement avec sa langue. La mienne vient rejoindre la sienne et notre baiser semble durer une éternité. Je suis bouleversé, mon cœur bat la chamade et, pour être tout à fait honnête, c’est également le cas de mon entrejambe. Ma verge se redresse vigoureusement dans mon caleçon, sans que je ne puisse l’en empêcher. Je commence à avoir très chaud et je dois être rouge comme une tomate. Je reste là debout, immobile, elle déplace une chaise pour s’asseoir face à moi, devant moi, son visage à hauteur de mon sexe. Ses cuisses sont assez écartées, provoquant une ouverture assez importante du peignoir. Ses genoux se trouvent à quelques centimètres des miens et lorsque je baisse mon regard pour loucher sur ses cuisses dévoilées, Isabelle, dans un mouvement naturel écarte davantage ses jambes : vision intégrale sur son sexe m’offrant ainsi avec impudeur son abondante pilosité. Je commence à transpirer et à rougir. Extraordinairement troublé, j’ai du mal à parler et ma gorge se serre. Ma bouche est étonnamment sèche. Je suis extrêmement fébrile en m’imaginant profiter dans les minutes qui suivent d’une probable fellation. Isabelle se rend compte de mon tourment et semble prendre du plaisir à me voir dans cet état.



Comme si cet aveu avait déclenché une passion nouvelle, Isabelle se redresse, me tire contre elle. Une fois debout l’un contre l’autre, ma sensuelle hôtesse repousse les pans de son peignoir et s’empare de mes deux mains, elle les pose sur ses énormes mamelles à la peau si soyeuse.



Je m’exécute sans me faire prier, malaxant les chairs fragiles avec frénésie. Encore innocent, je demeure ébahi en découvrant combien les tétons sont durs et énormes. Nous haletons tous les deux. L’excitation est à son comble.



Soudain, alors que je viens accidentellement de pincer fortement l’un des boutons de chair durcis, Isabelle se jette sur ma bouche pour m’embrasser fougueusement. Tout en me fouillant presque rageusement l’intérieur du palais de sa langue diabolique, elle pose sa main sur la bosse que fait mon membre viril tendu. Avec beaucoup de douceur, elle me caresse par-dessus le tissu de mon jean. Nous restons un long moment ainsi, nous procurant mutuellement du plaisir. Puis abandonnant enfin son baiser, Isabelle me regarde dans les yeux :



Comment pourrais-je refuser ? Je n’ai pas lâché ses seins que je continue à presser de mes dix doigts. Se reculant pour échapper à mes attouchements, Isabelle me repousse, me forçant à m’asseoir sur la chaise. Elle fait deux pas en arrière et dénoue la ceinture de son peignoir, qu’elle retire lentement, comme pour se faire désirer un peu plus. Je ne perds pas connaissance, mais je n’en suis pas loin, à la vue de ce corps nu si proche de moi. Me faisant face, elle se caresse les seins d’une manière très sensuelle. Presque machinalement je pose une main sur ma verge gonflée pour la presser avec émotion. Me fixant, les yeux brillants, Isabelle approche sa chaise pour y déposer son pied droit. Sa cuisse largement écartée m’offre une vue parfaite sur son sexe, dont elle écarte les lèvres avec deux doigts pour me montrer sa vulve rose et luisante.


Subitement, je ne contrôle plus mes agissements, je tombe à genoux aux pieds de la femme dénudée. Devinant mon désir qu’elle a si bien provoqué, Isabelle me demande d’une voix soudain changée :



Je ne l’ai jamais pratiqué, je ne sais pas vraiment comment je dois m’y prendre. Heureusement pour moi, Isabelle, follement excitée, m’agrippe la tête et pousse mon visage contre sa vulve extrêmement poilue.



Je pose alors ma bouche contre les lèvres humides du sexe féminin. Une odeur épicée me monte aux narines. C’est la première fois que je vois une chatte de si près. Je me trouve totalement idiot, ne sachant pas vraiment comment m’y prendre. Heureusement pour moi, Isabelle me guide, prise par sa passion dévorante. Appuyant fortement mon visage contre sa longue fente, pareille à une blessure sanguinolente, elle m’encourage d’une voix rauque :



Pour le sentir, je le sens, mes lèvres baignent dans une onctuosité odorante. Fermant les yeux, je me lance à l’eau. Timidement, je commence à embrasser la vulve ruisselante, la couvrant de petits baisers appuyés.



Obéissant, je m’exécute, tachant de faire de mon mieux. Je promène ma langue à l’intérieur de cette faille humide, l’enfonçant légèrement à l’intérieur des chairs chaudes et gluantes. Aussitôt, Isabelle se met à pousser des petits gémissements. Puis je sens ses deux mains se saisir de ma tête pour l’immobiliser. Agitant son bas-ventre d’avant en arrière, elle entreprend de frotter avec fougue, son clitoris contre ma bouche et mon menton. Je ne tarde pas à m’apercevoir que son sexe est de plus en plus dégoulinant de sécrétions, j’ai un goût de liquide gluant et assez salé dans la bouche, ce qui me surprend beaucoup, sans vraiment me déplaire. Cependant, au bout d’un instant, Isabelle cesse tout mouvement, s’immobilisant brusquement, tandis qu’une douce plainte jaillit de sa gorge, brisant le silence de la cuisine. Puis au bout de quelques secondes, elle me libère.



La bouche et le menton littéralement trempés par tout le liquide qui s’est échappé de la vulve de ma sensuelle hôtesse, le sexe effroyablement bandé, je me réinstalle sur ma chaise, curieux de connaître la suite des événements.



Avec des gestes désordonnés, elle veut m’aider à enlever mes vêtements. En moins de trente secondes, je me retrouve aussi nu que mon initiatrice. Au bas de mon ventre, ma bite se dresse orgueilleusement, tandis qu’une douleur me tord les entrailles. Elle s’assoit sur la chaise devant moi, son visage à hauteur de mon sexe.



Je me trouve plutôt surpris de ce que je viens d’entendre. Au bas de mon ventre, Isabelle joint le geste à la parole et se met à lécher ma tige de haut en bas et de bas en haut avant de me prendre le plus profondément possible avec ardeur au fond de sa gorge. Si bien qu’en un rien de temps, je sens mon sperme monter avant de jaillir sur ses amygdales.


Isabelle se redresse, me saisit la main et m’entraîne jusqu’à sa chambre. Là, debout l’un en face l’un de l’autre, nous nous embrassons de nouveau passionnément. Ayant perdu toute timidité, j’en profite pour laisser courir mes doigts sur son corps si sensuel. Isabelle accrochée à mon cou, commence à s’agiter contre mon corps, frottant lascivement son bas-ventre nu contre ma verge toujours tendue. Sans un mot, Isabelle grimpe sur le lit conjugal où elle s’allonge sur le dos. Là me fixant avec intensité, elle écarte largement ses cuisses, me dévoilant son sexe abondamment poilu.



Tout en me parlant, elle écarte les longs poils qui me cachent l’entrée de son sanctuaire, et de ses deux mains, elle ouvre sa longue fente. Du fait de ma position agenouillée entre ses cuisses, je peux contempler sa vulve. Je remarque à la brillance des parois internes qu’elle est excessivement humide. À la commissure supérieure des épaisses lèvres sexuelles, je remarque une énorme excroissance rose, que je devine être ce clitoris dont chaque garçon au lycée parlait, sans l’avoir vraiment vu. Terriblement excité par le spectacle plutôt obscène que m’offre généreusement ma maîtresse, je m’approche de cette dernière avec ma bite toujours douloureusement tendue. Écartant encore plus largement l’entrée de son vagin, elle m’invite à la pénétrer d’une voix oppressée.



Je n’en crois pas mes yeux de voir ce sexe féminin pour la deuxième fois offert à mes désirs, à ma disposition. Isabelle se saisit de ma bite de ses doigts pour diriger mon gland à l’entrée de sa faille sexuelle. Alors, je me laisse aller et m’allonge sur elle, m’appuyant sur mes coudes. Avec une énorme émotion, je sens pour la seconde fois ma verge s’enfoncer progressivement dans ce conduit vaginal d’une extrême onctuosité. Je suis terriblement excité par cette situation. Une fois ma queue enfoncée entièrement dans la profonde vulve bouillante, je sens mes couilles venir heurter les fesses de ma compagne, qui, sans que je comprenne pourquoi, se met à gémir sans retenue. Prise d’une sorte de frénésie, elle avance son bassin et relève ses jambes en les écartant le plus possible, pour s’offrir sous un meilleur angle, me facilitant une pénétration plus profonde. J’entame alors ce mouvement de va-et-vient vieux comme le monde, faisant coulisser mon dard de chair dans les entrailles féminines, lentement pour mieux savourer le frottement des chairs moites et brûlantes sur ma verge, cela me plaît énormément.



Puisqu’elle le demande, j’accélère alors mon mouvement pour finir par de grands coups de boutoir qui m’enfoncent violemment dans la chatte de plus en plus ruisselante de jus chaud et onctueux. Plus mes coups de reins se font violents, plus ma compagne se cambre en poussant de véritables cris de plaisir. Haletante, elle s’accroche à mon cou pour m’embrasser avec fougue. Nos langues se caressent dans un bain de salive, alors que ses gros seins se trouvent écrasés par ma poitrine. Je suis au paradis, toute nue dans mes bras, ma langue dans sa bouche, ma bite entre ses cuisses, bien au fond de son ventre. Des gémissements de plus en plus forts sortent du fond de sa gorge, tandis que tout son corps se tend et s’offre à mon membre viril. Ses mains me griffent le dos. Encore une fois, je n’arrive pas à réaliser ce qu’il m’arrive. Je vois et sens ma queue entrer et sortir de cette forêt de poils noirs. Isabelle ferme les yeux pour mieux savourer ce moment. Entre deux gémissements langoureux, elle me marmonne entre ses dents qu’elle aime ça, que je la rends heureuse.



Elle souffle, son souffle est puissant et bruyant, elle jouit comme une folle. Au début, devant les marques évidentes de jouissance, je pense qu’elle me joue la comédie dans le but de me faire plaisir et de me motiver, mais à voir son regard dilaté, son visage en sueur et sa bouche tordue dans un rictus, je comprends que mon initiatrice ne joue en aucun cas la comédie. Sa jouissance est bien réelle, et elle m’offre son corps sans pudeur, sans retenue. Je la baise de plus en plus sauvagement, lui labourant violemment le vagin de mon soc charnel. Sa chatte dégouline d’un jus chaud et poisseux qui me trempe les cuisses, avant d’inonder les draps du lit. Subitement, je sens le plaisir monter en moi, et avant que je puisse avertir ma compagne de ce qui arrive, je décharge mon sperme au plus profond de son vagin accueillant. De longues giclées jaillissent de mon gland tuméfié, comme pour éteindre l’incendie qui ravage la vulve dans laquelle je navigue. Cet orgasme aussi violent que soudain cela me procure des douleurs dans le dos et l’arrière des jambes, je suis secoué de la tête aux pieds.


Alors que mon éjaculation arrive à sa fin, Isabelle se raidit soudainement en émettant un long râle déchirant. Tout son corps se met à trembler convulsivement, comme pris de convulsions. Je découvre là ce qu’est un véritable orgasme féminin. Ça dépasse tout ce que j’ai pu imaginer. Le fait de penser que je suis responsable de cette jouissance phénoménale me comble de joie et de fierté. Nous restons allongés l’un sur l’autre, l’un dans l’autre, sans rien dire, pendant plusieurs minutes, à reprendre notre souffle et nos esprits. J’ai laissé ma verge profondément enfouie dans la chatte devenue brûlante et dégoulinante de jus. Au bout de quelques instants, Isabelle ayant refait surface me passe tendrement la main dans les cheveux.



Isabelle se mit à rire :



Elle se retourne et je me mets derrière elle, entre ses jambes ouvertes, je prends aussi appui sur mes bras tendus de part et d’autre de ses épaules. Mon sexe est à nouveau bandé, bien raide, et bien dur. Je le pose entre ses fesses. Au contact de nos deux peaux, mon sexe se glisse entre les miches, je m’amuse à m’y frotter, sans la pénétrer, juste à me caresser avec ses fesses. Sachant le plaisir qu’elle me procure, elle agite son bassin, le tendant alternativement en arrière, me prodiguant de merveilleuses caresses avec ses globes. Je me branle entre ses deux parties charnues si chaudes et si douces…


Puis doucement, je m’allonge sur son dos, savourant la douceur et la chaleur de sa peau sur mon ventre, et celles de ses fesses sur mon sexe. Je continue de m’y frotter, mon bassin ondule effrontément, bestialement. Allongé de tout mon long sur elle, mes lèvres peuvent s’emparer de son oreille. Je continue mon mouvement obscène du bassin. Elle aussi bouge beaucoup. Et d’un coup, sans que je le veuille, mon sexe glisse et mon gland se place en buté devant son petit trou avant de la pénétrer de quelques millimètres. On s’immobilise, presque surpris. Je la sens retenir sa respiration ! Je continue doucement et à très faible amplitude mon petit va-et-vient sans parvenir à pénétrer davantage sa petite rondelle extrêmement serrée.



Alors, je m’écarte et l’invite à se mettre simplement à quatre pattes. Elle obtempère sans broncher, le cul tendu… offerte… les cuisses encore ouvertes. À genoux entre ses jambes, je saisis les fesses à pleines mains, les écarte, pose mon gland à l’entrée… Et dans ma tête, le fait d’être certain que, dans les secondes qui viennent, je vais l’enfiler par son petit trou ! Je pousse tout doucement, mais le trou est trop serré, mon gland ne parvient pas à le pénétrer.



Étonné, je la vois se diriger vers la salle de bain. Elle en revient, tenant un tube à la main. S’installant de nouveau à mes côtés, elle me précise :



Elle ouvre le tube pour s’enduire la main d’une crème translucide avec laquelle, elle me masse la verge.



Sous le prétexte de m’enduire le membre de ce gel, Isabelle me branle d’un mouvement des plus suaves, faisant grimper le désir dans mon bas-ventre. Jugeant ma virilité suffisamment lubrifiée, mon ardente initiatrice, me tend le tube, se couche sur le ventre et lance ses mains dans son dos pour écarter largement ses fesses.



Je n’en reviens toujours pas. Devant moi, à quelques centimètres de mes yeux, Isabelle m’offre avec une réelle impudeur son petit trou du cul légèrement poilu. La gorge sèche, j’approche l’embout de l’orifice anal, et je presse le tube. La crème incolore en jaillit, pénètre l’anus légèrement relâché, avant de déborder de chaque côté du minuscule cratère.



Reposant le tube, j’étale la crème à l’aide du majeur de la main droite, tout autour de la collerette fripée, massant consciencieusement les bords avec un certain plaisir. Peu à peu, cependant, comme attiré par cet orifice si tentant, mon doigt glisse jusqu’au centre du mini cratère de chair et s’y enfonce lentement. Lorsque ma première phalange est enfoncée dans le conduit anal, il me semble que celui-ci s’ouvre, s’écarte de lui-même pour accepter mon intrusion. Je continue donc à forcer, et bientôt tout mon doigt se trouve fiché dans le cul féminin, sans que cela ne me pose de problème. Il est vrai que la grosseur de mon majeur est loin d’atteindre le volume de mon sexe bandé.



Puisqu’elle me le demande avec une réelle insistance, j’active mon doigt dans l’orifice anal, éprouvant un certain plaisir à explorer ce cul féminin étonnamment resserré par rapport à la vaste vulve que j’avais fouillé de ma bite quelques instants plus tôt. Comblé, je fais coulisser mon majeur dans le mignon petit trou, sodomisant ma partenaire de mon doigt rigide.



Étonné qu’elle puisse ressentir un tel plaisir par ce trou, j’accélère mon pistonnage. Mais alors un désir pervers me vint à l’esprit. Accolant mon index à mon majeur, j’enfonce mes deux doigts dans le cul féminin copieusement lubrifié par la crème que j’y ai versée et les active fébrilement.



D’un coup de reins, elle se positionne à quatre pattes devant moi, et en passant une de ses mains entre ses cuisses, elle se saisit de ma bite qu’elle dirige entre ses fesses. Le bout arrondi de mon gland s’appuie sur son œillet rose, qui me semble extrêmement petit.



Avec émotion, je sens comme des pulsations émanant du minuscule orifice anal. Agrippant fermement les hanches de mon initiatrice, je pousse pour enfoncer mon dard dans ce cul offert. Mais contrairement à l’introduction vaginale, qui s’est déroulée dans un glissement, l’orifice anal résiste à ma poussée, faisant plier ma verge pourtant rigide. Isabelle pousse un petit gémissement, je la vois agripper des deux mains le polochon.



Doutant du résultat, j’exerce une nouvelle pression, en tirant à moi Isabelle que je tiens fermement par les hanches. Elle pousse un nouveau gémissement, suivi aussitôt par un petit cri. Sans que je me rende compte de ce qui m’arrive, je me retrouve fiché jusqu’aux couilles dans le cul féminin qui vient de s’écarteler brusquement.



Son anus est tellement serré que j’ai l’impression que mon gland est divisé en deux par un élastique trop petit. Je sens le bout de ma bite gonflé à l’intérieur des intestins de ma folle partenaire qui gémit et pousse des petits cris de douleurs. Je demeure immobile, ivre de joie. J’encule une femme. Quand je raconterai ça aux copains…



Je commence alors à m’agiter, imprimant un va-et-vient entre ces fesses tant convoitées. Isabelle a passé sa main entre ses cuisses et se caresse le clitoris en poussant des petits gémissements.



La maintenant par les hanches, qu’elle a extraordinairement rondes et douces, j’ai une vue incroyable sur son merveilleux cul que j’admire depuis des mois. Sa raie des fesses est assez large et remplie de poils noirs. Je vois ma bite entrer et sortir de l’anus dilaté par mon membre. Je suis excité comme jamais je ne l’aurais imaginé et les gémissements plaintifs de ma compagne m’encouragent à continuer. J’accélère peu à peu mon mouvement de va-et-vient, pistonnant le cul accueillant de plus en plus vite et de plus en plus profondément. Isabelle pousse de tels cris, que je me demande si elle éprouve du plaisir ou de la douleur.


Mais d’un seul coup, je sens mon sperme monter de mes couilles gonflées à ma verge frémissante. Sans que je puisse me retenir, je lâche mon sperme par saccades dans les intestins de ma belle. J’ai l’impression de me vider entièrement, tant l’éjaculation dure. Isabelle se raidit subitement et grogne comme un animal, son corps tremble comme une feuille. Étant penché sur elle, je lui caresse l’intérieur des cuisses que je trouve abondamment mouillées, tant ma complice a joui.


Épuisé par cet acte intime, je retire ma verge de l’anus inondé. Elle est extrêmement sensible. De petites plaques brunâtres témoignaient sans aucun doute de l’endroit où je l’ai plongé. Se redressant, Isabelle me serre dans ses bras, ses tendres baisers me remercient de tout ce plaisir qu’elle vient de vivre et de partager avec moi.



Toute la nuit, nous avons fait l’amour. Au petit matin, je ne suis pas allé en cours pour pouvoir dormir quelques heures dans mon studio. En milieu de journée, de la fenêtre de mon appartement, j’ai aperçu Jean dans le jardin : comme prévu, il est rentré de son déplacement. Du fait de sa présence, je n’ai malheureusement pas eu l’occasion de prendre à nouveau du plaisir avec Isabelle avant de repartir chez mes parents pour les grandes vacances.


Mais l’année prochaine, Jean et Isabelle me loueront à nouveau leur petit studio…