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n° 18726Fiche technique12361 caractères12361
Temps de lecture estimé : 8 mn
15/12/18
Résumé:  Sonia passe une bonne nuit.
Critères:  fhh fête pénétratio fsodo -couple+h
Auteur : Pedennas      Envoi mini-message
Sonia

Sonia était belle, avait une taille mince, des seins généreux, mais fermes, qui aimaient être effleurés, pelotés, sucés, et un ventre de bonne fille, accueillant, très accueillant même ; peu avare de ses charmes, elle aimait beaucoup, passionnément, donner et prendre du plaisir… Elle vivait avec Sam dans un village de la France profonde où ils louaient une petite maison, confortable, accueillante.


Au 14 juillet, ils avaient décidé d’aller au bal du village retrouver une bande d’amis. La fête populaire battait son plein, Sonia et Sam s’amusaient comme des fous.


Enfin… Sam, pas complètement. Parce dans le groupe de leurs amis, il voyait que sa chérie parlait beaucoup avec Clovis, un ancien amant. Délaissant quelque peu les autres fêtards, les deux riaient beaucoup, et Sam voyait arriver le moment où ils se retireraient dans un champ pour que leurs corps « reprennent contact ». Et ça l’énervait… Quoique… Jadis, quand Sonia, le rouge au front, avait fini par lui raconter, en détail, les turpitudes auxquelles Clovis et elle s’étaient livrés, il avait été tout remué, et puis… sa jalousie avait été reléguée au second plan par l’excitation, et la séance de baise qui avait suivi les avait régalés !


Les retrouvailles de Sonia et de Clovis le troublaient. Allaient-ils se séparer bons amis ou allaient-ils remettre « ça » ? Sam annonça à ses amis qu’il était fatigué et qu’il allait se coucher, tout en épiant les deux anciens amants du coin de l’œil. Sonia éveilla ses soupçons en lui promettant de rentrer, dès sa conversation terminée.


Bientôt ou plus tard ? Après… ?


Sonia s’aperçut que Clovis, tout en ne cessant de lui parler, la regardait avec insistance, manifestement très intéressé par les mouvements de ses seins, libres sous une robe légère, et qu’il matait ses cuisses, fermes et toniques. Moins jeune que Sam, il était également moins grand, et moins beau aussi. Mais il se dégageait de son corps robuste, de son visage, quelque chose de brut, de sauvage, qui l’avait troublée, et la troublait encore. De plus, son regard lui signifiait sans détour qu’il la désirait encore.


Clovis, feignant craindre qu’elle puisse s’ennuyer, invita Sonia à danser. Il était un bon danseur qu’elle suivit avec entrain et confiance. Il plaqua son ventre contre celui de la jeune femme, et elle en vint à se demander, moderne Mae West, s’il avait dans la poche une arme (de poing ?) ou s’il était tout simplement très content de danser avec elle… En tout cas, dans son souvenir, son arme était d’un calibre respectable !


Chauffé, excité, Clovis proposa à Sonia de sortir prendre l’air, proposition qu’elle accepta avec empressement. Ils marchèrent côte à côte dans le village ; les mains de Clovis partaient à l’aventure pour frôler, toucher, la taille et les fesses de Sonia. Quand Sonia lui dit qu’elle se sentait bien à marcher avec lui, Clovis, ne se sentant plus de joie, poussa la jeune femme dans le recoin d’une porte complaisante, la prit dans ses bras et l’embrassa fougueusement. Ses yeux étaient grand ouverts pour se repaître des yeux de la femme qui s’offrait à lui. Ses mains remontèrent la robe pour pétrir énergiquement les fesses de Sonia, à nu. Puis il lui descendit les bretelles du corsage pour se saisir de ses seins qu’il prit à pleines mains, toujours aussi énergiquement, les malaxa, les maltraita de ses mains rugueuses. Sonia était aux anges, troussée, pelotée, embrassée par un étalon enthousiaste. Elle en aurait presque joui sur place…


Mais elle ne voulait pas se faire culbuter comme ça, à la sauvette, vite fait, et elle lui proposa d’aller chez elle. Clovis hésita :



Arrivés dans la maisonnette qu’ils louaient, Sonia emmena Clovis dans la chambre d’amis. Son sexe était brûlant : il avait besoin d’être pénétré, ramoné, brossé, arrosé. Clovis se jeta sur elle, l’étouffant de son corps, de ses caresses et de ses baisers. Elle apprécia la robustesse de ses fesses velues, qui sauraient bientôt pousser en elle un sexe finalement pas si gros, mais dur comme un soc qu’elle sortit de son pantalon, prit en main et caressa, tout en le préservant de l’orgasme pour éviter de lui faire cracher sa semence avant la cérémonie d’entrée en elle.


Clovis la caressa avec ferveur, la dépoitrailla pour mieux la peloter, puis lui écarta le slip pour plonger un, puis plusieurs doigts dans un sexe qui bâillait de faim, il les remua dans l’étroit fourreau, provoquant gémissements et cris, d’abord petits, puis plus grands… Quand il la fit se retourner et se mettre à genoux, le cœur de Sonia battit encore plus vite, et elle fut prise d’un long frisson lorsqu’il frotta son gland entre ses lèvres, tant elle était impatiente de recevoir sa queue dans sa chatte. Il retroussa sa robe sur ses hanches, exposant ses fesses, puis frotta encore son gland contre les lèvres de son sexe, la faisant feuler d’impatience…


Mais quelle ne fut pas la surprise de Sonia quand Clovis éloigna sa queue de l’entrée de sa chatte pour se placer en face de son anus… Elle n’eut même pas le temps de protester qu’il s’enfonçait lentement, profondément en elle, puis, comme elle ne poussa qu’un seul cri, sourd, sans davantage se plaindre, il commença à aller et venir entre les reins de sa maîtresse.


Effectivement, passée la surprise de la prise de ses fesses, Sonia ne souffrait pas, car l’impétrant, de taille honnête sans plus, avait été bien lubrifié par sa cyprine, même si elle eût néanmoins préféré une autre entrée en sa matière…


Le bougre était vigoureux, impétueux et endurant ; il la tenait fermement par les hanches pour mieux enfoncer son vit en elle et accompagnait ses mouvements de claques sur ses fesses. Sonia finit par apprécier ses allers et retours dans son cul, et elle ne se força pas pour se mettre à ahaner au rythme des coups de boutoir de son enculeur. Et quand elle sentit les mouvements se faire plus rapides en elle et plus violents, elle accompagna le râle de l’homme par un cri, non feint, de plaisir sincère. Puis l’homme, repu, s’endormit.


Sam avait entendu Sonia rentrer et, après l’avoir vainement attendue, s’était convaincu qu’elle n’était pas rentrée seule. La garce… à la maison, et sans lui ! Il laissa au duo le temps des préliminaires, puis se leva et, silencieusement, s’approcha de la chambre d’amis. La porte était fermée. N’osant aller plus avant, il se baissa et regarda par le trou de la serrure. Il vit Sonia, à quatre pattes sur le lit, la jupe remontée sur le dos, le cul nu, et Clovis à genoux derrière elle, qui la baisait vigoureusement. Qu’est-ce qu’il lui mettait, le salaud… En voyant sa femme, troussée et si magistralement baisée, en ce qu’il pensa être une belle levrette, Sam en était bigrement excité. Il retourna dans sa chambre et se recoucha, en attendant le retour de sa femme, infidèle, mais sûrement repentante et soucieuse de se faire pardonner en lui délivrant d’enivrantes caresses.

Mais Sonia, sodomisée à la hussarde, était épuisée et s’endormit aussi.


Sam, malgré une exigeante érection, avait fini par s’endormir. Il s’éveilla tôt, se leva pour aller aux toilettes. Il repensa à ce qu’il avait entrevu la veille et, illico, recommença à bander… Bon, il avait laissé suffisamment de temps aux amants pour s’exprimer ! Maintenant, il lui fallait, sans plus attendre, faire jouer ses droits d’époux ! Il fallait y aller ! Il se dirigea vers la chambre d’amis et ouvrit silencieusement la porte. Les deux amants reposaient, nus, une main de Clovis posée, nonchalante, sur un sein de Sonia, les cuisses poisseuses du sperme de son amant qui s’était échappé de ses reins. Sam effleura le bras de Sonia, la réveilla et lui fit signe de le suivre. Elle le fit de bonne grâce, les yeux baissés telle une pécheresse repentante (ce qu’elle n’était pas !) parce qu’elle savait bien la « punition » qui l’attendait, et que sa chatte frustrée était dans l’attente et la demande, d’une pratique plus… académique.


Sam emmena Sonia dans la cuisine, s’assit sur une chaise, plaça Sonia à cheval sur ses genoux et, les yeux dans les yeux, oubliant (ou se souvenant très bien…) qu’ils avaient été pratiqués par d’autres mains, il caressa ses seins dans ses mains, de ses lèvres, et lui enfonça un doigt dans la chatte, obtenant en retour un soupir de remerciement. Mais Sonia avait passé le stade des jeux de touche-pipi : elle voulait sentir une bite remuer dans son ventre et le lui dit crûment. En voyant ses yeux implorants, Sam n’hésita plus, plaça ses mains sous les fesses pour la rapprocher de lui, la souleva au-dessus de son bas-ventre et la fit doucement descendre pour qu’elle s’enfile sur son braquemart impatient. Entre deux halètements, il s’étonna de ne pas retrouver la viscosité du sperme qui devait y avoir été déversé, mais Sonia lui avoua que Clovis avait préféré l’entrée de service et que son con avait encore très, très faim, ce qui fit sourire Sam en son for intérieur.


Avec amour et dévouement, il employa toute son ardeur amoureuse à faire jouir plusieurs fois sa belle garce d’épouse infidèle ravie de son sort, tout en lui titillant l’anus d’un doigt curieux pour lui rappeler que si tous les chemins mènent à Rome, il en est de plus agréables, et de moins douloureux que d’autres… Après avoir joui ensemble, il la renvoya rejoindre son amant pour qu’il voie qu’il existait d’autres pratiques, mais non sans lui avoir fait promettre de le retrouver pour un autre round. La coquine accepta le deal avec enthousiasme…


En regagnant la chambre d’amis, Sonia vit que Clovis se réveillait et elle lui avoua qu’elle était tombée dans un piège que son mari lui avait tendu, et qu’il lui avait fait ce qu’elle aurait voulu que lui, lui fasse. Clovis se demanda où diable il était tombé, mais la diablesse était brûlante, et peu lui importait ce qu’elle faisait avec son démon de mari. Sonia, nue, les seins arrogants, était fichtrement bandante, et elle enjamba le corps de son amant pour le chevaucher. Elle vérifia qu’il était à nouveau prêt à l’assaut. Il voulut la basculer et l’attirer sous lui pour se coucher sur elle, mais elle le chevaucha en amazone, maîtresse d’un fougueux étalon, pendant qu’il caressait ses seins, si beaux, avec frénésie. Clovis trouva le con de sa maîtresse bien lubrifié, mais il n’en apprécia pas moins la douceur et, après un très énergique ramonage, de bas en haut, il ne mit pas longtemps avant de se cabrer pour jouir de tout son saoul.


Après ses orgasmes et l’orgasme de son amant, Sonia s’attarda quelques minutes au-dessus de Clovis, le temps de savourer et de laisser tranquillement sa chatte se libérer de sa queue, puis elle se leva en s’excusant, l’œil coquin :



Et elle se rendit dans sa chambre où Sam l’attendait.



Alors Sam fit entrer son vit dans le con de sa femme, bien lubrifié par les deux précédentes éjaculations qu’il avait reçues, puis l’en ressortit et le dirigea vers son anus, dans lequel il l’enfonça lentement et, à son tour, doucement, tendrement, il encula son épouse…