n° 18731 | Fiche technique | 7541 caractères | 7541Temps de lecture estimé : 6 mn | 18/12/18 |
Résumé: Un ascenseur à émotions fortes | ||||
Critères: fh couple parking ascenseur fellation pénétratio tutu -totalsexe | ||||
Auteur : Low Envoi mini-message |
Je me dirige vers notre appartement. Je remonte un peu plus haut mon écharpe et m’y enfonce encore un peu plus. Tu es un peu plus loin, tu marches sur le parking. Tu ne te doutes pas que je suis derrière toi. J’accélère le pas. J’arrive à ta hauteur et me saisis de ta main. Tu te retournes, me souris et tu m’embrasses sur le bas de mon front. C’est la seule partie de mon visage qui n’est pas recouverte de tissu. On est en décembre et Bon Dieu, qu’est-ce qu’il fait froid dans ce pays !
Arrivée dans le hall bien chaud de l’immeuble, je me détends un peu : je relâche mes épaules, enlève mes gants que je fourre dans ma poche, descends mon écharpe à ma nuque. Je peux enfin t’embrasser. Tu appelles l’ascenseur, t’appuies contre la rambarde des escaliers qui mènent aux sous-sols et me prends dans tes bras. Tu es un peu plus grand que moi ; tu me dépasses d’une bonne tête.
On rentre dans l’ascenseur, tu appuies sur l’étage n°4. Je déboutonne ta veste, plonge mes mains sous ton pull à la recherche de chaleur. Tu embrasses ma nuque, caresses ma joue, prends ma tête dans une de tes mains. Je ferme les yeux, j’apprécie. Je ferme ma main sur ta peau, je commence à te malaxer le dos, puis je te dirige encore plus près de moi. Je lèche ta lèvre supérieure, mords celle d’en dessous. Puis je dévie sur ta nuque via des baisers et des morsures délicates, je lèche le lobe de ton oreille. J’entends ton souffle s’accélérer. L’ascenseur est arrivé à destination. Je resserre mon étreinte, je ne veux pas te laisser partir. C’est par ce geste que je sens ton envie qui exerce une légère pression contre mon bassin. Tu te dégages de mon étreinte, mais au lieu de sortir rejoindre notre appartement, tu me plaques le dos contre cette paroi d’ascenseur. Je souris, je te dévore des yeux. Tu caresses mon sexe à travers le tissu. On s’embrasse à pleines langues. Je commence à onduler du bassin, j’ai envie de toi.
Je prends l’initiative de déboutonner ton pantalon avec mes deux mains. Toi, tu me maintiens toujours contre cette paroi métallisée, je sens tout ton poids contre moi. Tu me relèves le menton pour mieux m’embrasser. Nos respirations s’accélèrent. C’est à tâtons que j’arrive à déboutonner les trois boutons de ton jeans, j’en profite pour te caresser enfin. Tu recules, baisses mon pantalon jusqu’au genou d’un grand mouvement sec. Tu contemples mon tanga qui est déjà bien humide par ta présence. Tu te rapproches à nouveau. Je plonge ma main dans ton boxer pour saisir ta queue chaude que je branle doucement. Tu baisses mon dernier rempart de tissu. Je dirige ta queue vers ma fente déjà bien humide par l’excitation que tu me procures et par ce lieu incongru. Mais tu arrêtes mon geste pour me plaquer face à la paroi. Je râle et je tends mes fesses vers toi. Je n’ai plus envie d’attendre. Sans même me doigter au préalable, tu t’enfonces en douceur, mais rapidement. Tu sais qu’on a peu de temps. Tu commences des va-et-vient profonds et lents. Je me courbe un peu plus pour exercer une pression un peu plus grande contre ton bassin.
Tu comprends alors que je te donne l’autorisation d’accélérer. Tu jettes alors mon bonnet au sol, me tires par les cheveux et commences à accélérer. Je suis courbée, les fesses en arrière, les mains et la tête contre la paroi de l’ascenseur. Une de tes mains s’agrippe à mon ventre pour maintenir ton assaut. Je commence à gémir. La main qui était sur mes cheveux lâche son emprise pour aller sur ma bouche et me faire taire. Tout résonne ici. Je te mords. Je m’en fous qu’on nous entende. Je me mets droit comme i pour me rapprocher de ton torse, j’attrape ton visage à une main et je tourne ta tête pour t’embrasser. Je me plie brusquement pour que ta pénétration soit plus profonde. Tu as tes deux mains sur mes hanches. J’entends ton bassin claquer sur mes fesses, je sens le tissu de ton jeans m’effleurer le haut de mes cuisses.
L’ascenseur bouge. Quelqu’un est en train de l’appeler. On se rhabille. Je récupère mon bonnet lorsqu’on arrive au RDC. Une femme et son enfant entrent. Ça doit sentir le sexe dans ce petit habitacle. Je n’ose pas les regarder ni te regarder. Je les vois appuyer sur le 7. Cette attente va être interminable jusqu’au septième étage.
Avant que l’ascenseur ne se referme, je t’attrape par la manche et on sort de la cabine au RDC. Tu me regardes et tu ne comprends pas. Face à ton regard confus, je rigole et je te dirige vers les escaliers. On descend au sous-sol, je déverrouille la porte et t’y pousse.
C’est un sous-sol commun à tous les habitants de l’établissement. Il est classique : lumière qui vacille, murs froids en béton, longs couloirs qui mènent à des portes métalliques donnant accès à des réserves privées plus ou moins grandes.
Devant cette grosse et lourde porte métallique, juste devant l’entrée, je me mets à genoux. Je sors ta bite de son logement pour l’avaler. Je sens le goût de nos fluides sur ma langue. Je fais des va-et-vient rapides, m’arrête là où je t’ai le plus en bouche et fais tourner ma langue sur ton membre. Je caresse tes bourses. J’entends ton râle. Je libère la pression de ma langue, recommence des va-et-vient rapides. Je la sors, en lèche l’extrémité, puis recommence des va-et-vient. J’abandonne tes bourses pour te branler lorsque je te suce. Tu as retrouvé ta vigueur.
Cette fois-ci, c’est toi qui ne peux plus attendre. Tu me relèves, me prends la main et on s’enfonce dans ce dédale de couloirs en béton. Après deux virages, tu enlèves totalement mon pantalon et mon tanga qui n’est plus qu’un simple tissu trempé. Tu me plaques contre une des portes gelées de tôle brune. Ta main est sur ma gorge. Tu m’embrasses. J’écarte les cuisses. Tu rentres très doucement cette fois-ci. Je peux sentir mes chairs s’écarter millimètre par millimètre sur ton membre. Je glisse ma main sous ton pull à la recherche de ta peau. Une fois au fond, tu ressors à moitié pour me donner des petits coups rapides. Tu ressors entièrement pour t’enfoncer à nouveau doucement en me caressant le clitoris. Tu accélères, tu continues d’exercer ta pression sur mon clitoris. Tu réalises des petits ronds qui sont du même rythme que tes coups de reins. L’orgasme vient, je commence à trembler. Ou peut-être que c’est le froid. Je m’accroche un peu plus à toi. Maintenant je tremble de partout. Tu ralentis pour me laisser reprendre mon souffle. On se sourit, on s’embrasse tendrement. Tu te débarrasses de ton jean et de ton boxer. On reprend de plus belle. Je vois sur ton visage ton plaisir. Je me saisis d’une de tes fesses que je malaxe. Toi, tu as plongé une main sous mon pull pour y torturer gentiment un téton. Le froid et mon excitation le rendent très sensible. Je gémis, j’ai du mal à supporter ta caresse. Je me venge en te faisant un suçon dans le cou.
Ce dernier acte est l’élément déclencheur de ta jouissance. Je sens tes soubresauts en moi. On se détache. On se rhabille. Tu gardes mon sous-vêtement que tu enfournes dans ta poche. On reprend l’ascenseur, je m’écroule un peu sur toi. Tu m’embrasses le front, me caresses les cheveux pendant que ton autre main appuie sur le bouton n°4.