n° 18745 | Fiche technique | 22012 caractères | 22012Temps de lecture estimé : 13 mn | 23/12/18 |
Résumé: Quand un homme rencontre fortuitement une belle femme dans le train et entre progressivement dans son intimité. | ||||
Critères: fh grp couple inconnu fépilée train douche noculotte fsodo humour -occasion | ||||
Auteur : Martin (Une rencontre pleine de surprises dans le train) |
Il y a beaucoup de monde dans le train. Trop de monde. Tous serrés comme des sardines. Derrière moi, un gros gars me presse. Impossible de bouger avec son énorme ventre dans mon dos. Par cette chaleur, je trouve cela particulièrement déplaisant. Mais il ne peut rien y faire non plus. Les chemins de fer ont de nouveau fait faux bond à cause des conditions caniculaires, disent-ils, et de nombreux trains ont dû être retardés ou annulés. C’est pourquoi nous sommes tous entassés dans les voitures. En sautant dans l’omnibus, je n’ai pu trouver mieux que ce minuscule espace dans le sas d’entrée tout au bout de la rame. Juste à côté de moi, tantôt debout, tantôt assis sur les marches des portes, un groupe d’étudiants débat bruyamment de leurs projets de week-end, sans se soucier de tous les autres occupants du sas.
Bien que je puisse à peine me mouvoir, mes yeux n’en restent pas moins actifs. J’aime regarder de jolies femmes et laisser libre cours à mon imagination très fertile : je fantasme sur toutes sortes de petits divertissements que je pourrais avoir avec elles. Et je ne parle évidemment pas d’un jeu de l’oie ou d’un Monopoly. Ces pensées coquines m’accompagnent même dans un train bondé après une dure journée de labeur. Je dois reconnaître qu’il y a toujours plusieurs belles femmes dans un même convoi. Mais malheureusement, ce soir, je ne peux pas bouger suffisamment pour m’imprégner de tous les aspects physiques de mes covoyageuses.
Une femme a toutefois attiré mon attention. Et croyez-le ou non : c’est principalement grâce, ou à cause, de ce gros gars derrière moi. Chaque fois qu’il bouge, j’essaie d’empêcher son ventre de me presser dans le dos. Son souffle chaud dans ma nuque n’a rien d’agréable. J’avance donc un peu. Je dois faire attention à ne pas me retrouver avec le nez dans les beaux cheveux noirs et bouclés de la jeune femme devant moi. Pas évident, car elle aussi doit reculer de temps en temps pour éviter d’être plaquée contre la paroi, ou plus exactement, contre la porte avec hublots sales et vue imprenable sur rails.
Je ne vois pas son visage, mais j’évalue son âge à environ trente-cinq printemps. L’odeur de ses cheveux fraîchement lavés pénètre profondément mes narines. Délicieux ! Et de temps en temps, je sens ses fesses caresser incidemment mon entrejambe. Supposant qu’elle trouve ça désagréable, je présente mes excuses à plusieurs reprises, expliquant que je suis moi-même poussé par le type derrière moi. Elle pivote alors légèrement la tête vers l’arrière et, sans vraiment me voir…
Je ne sais quoi penser. Comment dois-je interpréter cela ? Les mots prononcés par cette magnifique voix d’hôtesse de l’air reflètent-ils réellement ses pensées ? En d’autres termes, a-t-elle vraiment compris que je ne peux rien faire pour éviter nos effleurements furtifs ? Ou bien ces paroles sont-elles une invitation à m’accoler davantage à elle ? Bien que je n’aie pas pu vraiment voir ses yeux, je pense avoir remarqué le scintillement d’un regard aguicheur.
Au risque de me comporter comme un pervers, je décide d’effectuer un test. J’avance un peu le bas de mon corps pour que celui-ci vienne se presser contre ses fesses. En fait, je m’attends à ce que l’hôtesse de l’air se déplace machinalement de manière à ce que le contact soit immédiatement rompu. Je m’attends même à une gifle et des cris d’agacement. Mais que se passe-t-il ? Au lieu de cela, elle pousse ses fesses un peu plus en arrière pour que je ressente clairement la chaleur de son corps traverser nos vêtements légers.
Mon anatomie réagit plus promptement que mes pensées : une érection, et pas des moindres, se love dans le creux de sa raie ! Et maintenant ? Le ventripotent me vient à nouveau en aide, sans même s’en apercevoir. Le train bringuebale pendant un bon moment, poussant tout le monde à avancer un peu. J’en remercie la SNCF et la canicule. Le gros homme appuie donc légèrement en avant et elle, réflexe de survie… légèrement en arrière, de sorte que maintenant je peux discerner une pression très importante sur ma bite. Elle a des fesses bien plus fermes que le ventre de l’obèse. Je reprends lentement ma respiration. En fait, je souffle un peu dans les cheveux de la dame. Je ne sais pas comment elle s’y est prise, mais un peu plus tard, je sens une main entre mon entrejambe et ses fesses. Ses doigts suivent les contours de mon érection. Elle tourne légèrement la tête et murmure :
Impressionnant ? Certes, je n’ai pas la bite d’un nain de jardin, pas plus que celle d’un hardeur de compétition, mais jamais encore je n’ai reçu un tel compliment venant d’une partenaire. L’ivresse de l’instant, sans doute. Mais ce simple mot est aussi une incitation à aller plus loin. De ma main, je cherche le bord inférieur de sa mini-jupe et le relève jusqu’à la ceinture. La respiration de mon hôtesse accélère et sa main étreint davantage mon pénis. Je jette un coup d’œil autour de moi pour m’assurer que personne ne nous regarde : le gros type tient un livre à hauteur des yeux, les jeunes se foutent toujours de la présence des autres passagers et ces derniers tantôt regardent rêveusement par les fenêtres, tantôt sont plongés dans une lecture quelconque. Tout va merveilleusement bien !
Seul le tissu très fin d’un slip enveloppant ses fesses sépare encore ma main de sa peau, jusqu’à ce qu’elle-même tire avec sa main libre sur l’élastique et fasse glisser le tout à ses chevilles en secouant énergiquement le bas du corps tout en le pressant contre moi. Puis, elle se met à déboutonner mon pantalon, sort difficilement ma verge tendue du boxer et la branle avec précaution. De mon côté, je lui écarte quelque peu les jambes et pars avec enthousiasme à la découverte de son intimité. Ma main ne détecte pas un seul poil sur son sexe déjà bien humide, ce qui m’excite énormément. Un majeur explorateur cherche à la pénétrer.
Je ne vous cache pas mon étonnement ni ma déception. Pourtant, elle me branle toujours. Avec d’infinies précautions, mon doigt prend le chemin de son clitoris et le titille délicatement. La femme semble apprécier, elle a du mal à contenir ses gémissements et appuie le front contre la porte. Tout à coup, au bord de l’orgasme, elle enferme vigoureusement ma main entre ses cuisses. La vache ! Ça fait mal ! Et au moment où je veux retirer ma main de son entrejambe…
Je ne saisis pas tout de suite le sens exact de cette demande.
Que je l’encule ? Là, devant tout le monde ? Avec tous les risques que cela comporte ? Je ne sais même pas son nom ! Mon petit ange gardien à moi s’évertue à me faire redescendre sur terre et même plus bas si je continue.
Arrête de déconner, l’idiot de service ! Profite ! Elle ne demande que ça ! Mon petit diable veut me faire grimper au septième ciel. Allez comprendre !
Eh bien oui, j’aime l’escalade et puis, ce que femme veut… ! Je lui prépare l’anus – celui de la dame, pas celui du petit diable ! – en le massant de mon doigt encore imprégné de sa mouille.
Je présente donc sans traîner ladite bite à son anus légèrement lubrifié quand soudain un grondement sourd se fit entendre dans le sas.
Merde, le contrôleur ! C’est bien le moment ! Heureusement, l’homme s’adresse d’abord au groupe d’étudiants et l’un d’entre eux met des lustres à retrouver son abonnement. J’ai le temps de corriger ma tenue vestimentaire avant que mon tour n’arrive. La jolie inconnue, quant à elle, n’a qu’à rabattre sa jupe. Quand le contrôleur se présente devant elle, il a un petit sourire complice à mon intention car, lorsqu’elle s’accroupit pour prendre son abonnement dans le sac posé à ses pieds, une petite culotte blanche entoure sa cheville !
Ma partenaire de jeu me regarde un peu défaite, les joues et la gorge rougies. Elle a les traits fins et de magnifiques yeux très noirs. Elle est belle, vraiment belle.
Ne sachant si on poursuit ou pas nos jeux coquins, nous essayons tous deux de garder un air aussi neutre que possible. Après quelques instants, un sourire illumine son visage :
Nous serons tous les deux très déçus, si je réponds par la négative.
Ce n’est évidemment pas le cas, mais j’ai trop envie de cette beauté pour la laisser partir bêtement. La belle feint de me croire et un sourire de satisfaction découvrent ses jolies dents, banches comme sa culotte.
Quand nous arrivons à la gare, nous sommes les seuls passagers à débarquer. Elle se présente comme s’appelant Adeline. Je lui dis mon prénom. Adeline est secrétaire médicale dans un hôpital de jour et réside à portée de vélo de la gare. Nous sortons sa bicyclette du garage à cycles et elle me propose de l’accompagner chez elle. J’empoigne donc le guidon et elle saute sur le porte-bagages, se blottit contre mon dos et m’indique le chemin de son domicile. Le trajet dure à peine cinq minutes et tout au long, je sens la douce poussée de sa poitrine sur mon dos, bien plus agréable que le ventre trop rond du type dans le train. Je l’imagine déjà nue, une fois chez elle.
À la porte d’entrée de l’appartement, je la prends dans mes bras et l’embrasse à pleine bouche. Puis elle me tire en riant vers l’intérieur. Nous nous déshabillons à la hâte et sautons ensemble sous le jet rafraîchissant de la douche, une nécessité après un tel voyage.
Nous nous tenons un moment l’un contre l’autre : ma bite frotte le long de sa fente.
Elle se penche vers l’avant, se cambre en écartant les fesses de ses mains. Je m’agenouille derrière elle et introduis aussi profondément que possible la pointe de ma langue dans son petit trou serré. Très vite, elle se met à haleter et son anus se décontracte suffisamment pour accueillir mon dard.
J’enfonce ma bite jusqu’à la garde et effectue quelques va-et-vient dans son cul. Un plaisir immense m’envahit, décuplé par le tampon en elle que je sens à travers la fine paroi. Presque l’effet d’une double pénétration, tant pour elle que pour moi ! Après quelques minutes d’intense plaisir, un orgasme royal libère nos corps et nous ramène à la réalité, anéantis de plaisir.
Tandis qu’elle halète encore, je veux la positionner à quatre pattes devant moi. Elle pose sa main contre mon torse pour me retenir.
Nous nous sommes douchés, séchés puis écroulés tout nus sur un canapé du séjour. Trois minutes nous ont suffi pour nous assoupir, moi confortablement assis, elle la tête couchée sur mes genoux, avec tout près de ses lèvres, le bout de mon sexe redevenu « impressionnant ». Sortir la langue lui suffirait pour l’atteindre : je prie mon ange gardien pour qu’il déplace la tête d’Adeline dans la bonne direction. En vain. Salaud de puritain, va ! Le petit diable n’est pas plus efficace : pourtant, j’avais toute confiance en lui ! Lâcheur !
Un joyeux brouhaha suivi d’un bruit de clés venant de la porte d’entrée me ramènent sur terre. Je saisis à la hâte le premier coussin venu pour dissimuler mon intimité. Adeline émerge à son tour et se redresse vaille que vaille sur le canapé.
La voix est rapidement suivie d’une autre, féminine cette fois.
Sans faire de réflexion ou marquer le moindre étonnement, la voix féminine vient nous embrasser, Adeline et moi, encore tout nus dans le canapé. Arrive ensuite la voix masculine, qui fait de même, toujours sans poser de question.
Fantine disparaît dans la zone de nuit.
Je réponds par un sourire. Adeline vient se blottir dans mes bras, heureuse que je reste, ainsi que de la bonne impression que je fais sur ses amis. Ben pose quatre bières bien fraîches sur la table du salon et Fantine réapparaît dans le salon, allégée de tous ses vêtements ! Une belle femme de l’âge d’Adeline, blonde aux yeux verts, entièrement épilée elle aussi et avec une magnifique poitrine aux tétons pointant fièrement.
Une minute plus tard, Ben et Fantine prennent place dans le canapé en face de nous. Tous à poil.
Nous papotons et buvons depuis quelque temps quand la porte principale s’ouvre à nouveau. Deux femmes et un homme font leur entrée.
Fantine s’exécute et se dirige vers la cuisine. J’en profite pour mater discrètement son cul.
Je me rends compte que je dois absolument réviser ma discrétion !
Adeline se relève et me regarde effarouchée.
Il est bien trop tôt pour prendre une telle décision. Mais je n’écarte pas sa proposition.
Après s’être mis totalement à leur aise eux aussi, les trois nouveaux venus viennent s’asseoir avec nous et nous bavardons ainsi jusqu’au dîner. Je suis gentiment invité à me joindre au groupe pour le repas. Difficile de refuser ça !
Le repas et le vin sont de qualité. Je remarque plusieurs petits apartés entre Adeline et les autres femmes, principalement dans la cuisine ouverte sur le séjour. Chaque fois, le regard de l’une ou de l’autre se dirige vers ma personne, comme si j’étais le sujet de leurs intrigantes discussions.
Lorsque nous revenons, repus, dans le séjour, Adeline s’agrippe à mon bras comme pour me demander quelque chose.
Elle hésite un instant.
Là, c’est à mon tour d’hésiter. Non pas que la proposition me dégoûte, bien au contraire, Rosalia est très jolie et je me sens particulièrement flatté, mais la demande est tout à fait inattendue. Je prends un air de gentleman que rien ne surprend.
Quel parfait hypocrite je fais !
Et Adeline me plante là, les mains dans rien, pour annoncer la bonne nouvelle à sa colocataire. Dès que l’information arrive aux oreilles de la destinataire, celle-ci tourne la tête dans ma direction et m’envoie un doux baiser. Adeline revient vers moi, tout émoustillée.
Et elle reprend sa place dans mes bras. Nous restons un moment sans parler. Moi, rêvant d’une bonne pipe de Rosalie, Adeline préparant sa question suivante.
Je reconnais que cette situation inattendue n’est pas vraiment à mon goût et que je me sens complètement piégé.
Voilà, tu sais tout. Le reste, les partouzes et tout ça, est venu progressivement, presque par hasard, au rythme de nos envies communes.
En guise de merci, les deux mains d’Adeline s’emparent de mes joues et elle m’embrasse sur la bouche. Puis sa belle frimousse se tourne vers les autres qui se mettent à applaudir ma décision. Jamais je n’ai vu autant de monde me faire une telle ovation pour avoir accepté… de faire l’amour ! J’apprécie un max !
Je vois alors Rosalia s’approcher de moi… et donner le signal de départ de la partouze…