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n° 18749Fiche technique28667 caractères28667
Temps de lecture estimé : 17 mn
26/12/18
Résumé:  Marie, une assistante coincée, mais finalement, pas tant que ça !
Critères:  f fh extracon travail fellation cunnilingu anulingus pénétratio fsodo -extraconj
Auteur : Isa13450            Envoi mini-message
Marie, assistante de direction

Mais qu’est-ce qu’elles sont connes ! pensais-je


Sabrina, Valérie et Sonia, les trois quadras divorcées du service comptabilité, on peut dire qu’elles se sont bien trouvées toutes les trois. Regardez-moi ça, ça se tortille, ça expose ses nichons avec un décolleté plus que plongeant, ça rigole, et ça essaie par tous les moyens d’attirer l’attention de notre nouveau directeur. Pourtant, on ne peut pas dire que l’alliance au doigt de M. Bertrand n’est pas visible. Si j’osai, je leur crierai :



Monsieur Bertrand est un homme d’une quarantaine d’années, un visage aux traits fins, mais dégageant un sentiment de puissance, des yeux presque aussi noirs que ses cheveux courent, mains très soignées et surtout habillé décontracté avec goût. Plutôt grand, de larges épaules et des bras plutôt musclés qu’il doit à la pratique intense du sport, si l’on en croit ce que l’on entend déjà depuis trois jours dans le couloir des bureaux.


Pour ma part, je suis son assistante, mais je n’ai eu que très peu de contacts avec lui jusqu’ici, étant donné qu’il a consacré cette première semaine parmi nous à ingurgiter toutes les informations que notre futur ex-patron lui communique du matin au soir.


Puis, les semaines passant, je m’habitue aux nouvelles exigences et méthodes de travail que m’impose mon nouveau boss. Alors que son prédécesseur avait pour habitude de venir jusque dans mon bureau pour me dicter ses courriers que je tapais directement sur mon ordinateur, M. Bertrand lui, fait sonner mon téléphone pour me demander de venir jusqu’à lui. Ainsi, un jour, assise face à lui avec mon carnet appuyé sur son bureau pour prendre mes notes, il stoppe sa dictée pour me faire une remarque sur ma tenue vestimentaire :



Je reste sans voix, je fais mine de ne pas porter attention à ce qu’il vient de me dire, je garde mon stylo en main en attendant la suite de sa dictée. Constatant ma stupéfaction, il rajoute alors :



Face à mon absence de réaction à la suite de cette explication, il poursuit alors sa dictée sans s’interrompre jusqu’à ce que je quitte son bureau pour rejoindre mon poste de travail et mettre ce texte sur informatique.


Côté tenue vestimentaire, il est vrai que je suis très souvent, pour ne pas dire chaque jour, habillée de façon très classique et peu décontractée. Escarpins noirs sur talons hauts, collants ou bas noirs, jupe noire étroite et chemisier composent depuis des années ma tenue favorite qui, à mon sens, correspond parfaitement à l’image élégante et sérieuse que doit donner une assistante de direction.


Attentive à chaque remarque, je décide donc, dès le lendemain, de laisser libre les deux derniers boutons de mon chemisier comme l’a évoqué M. Bertrand la veille, mais ce jour-là, je suis à mille lieues d’imaginer où va me mener mon attitude d’employée modèle qui suit les suggestions de son patron. Comme chaque jour, en arrivant au bureau, je salue M. Bertrand avant de m’installer à mon poste pour répondre aux derniers mails, et comme chaque jour, c’est vers 9 h 30 que je suis sollicitée pour rédiger les premiers courriers. J’entre donc dans le bureau de M. Bertrand :



Je me tiens donc debout, contre le siège sur lequel est assis mon boss. Au premier abord, cette demande me paraît étrange, car je peux aussi bien lire ce texte en m’asseyant face à lui devant son bureau comme j’ai l’habitude de le faire.



Je n’ai pas le temps de lire la première phrase que sa main droite se pose sur ma cheville avant de l’enserrer. Je suis tétanisée, paralysée par ce geste inattendu, alors que lui poursuit ses explications naturellement, comme si de rien n’était, sans lâcher sa prise.


Je ne sais comment réagir, cette main qui entoure ma cheville, c’est tellement inattendu et surprenant de sa part, dois-je gifler cet homme ? Ou m’écarter pour me libérer de ce piège en lui disant poliment que je ne suis pas celle qu’il croit. Mais je ne choisis aucune de ces deux options en espérant que cette main me libère rapidement. D’un coup d’œil, j’estime le temps qui sera nécessaire à la lecture des corrections de ce paragraphe. C’est donc ça ma stratégie, oui, je ne dis rien pour ne pas donner l’image d’une employée désagréable, j’attends la fin des explications et je serai libre.


Mais sans qu’il ait fini de m’expliquer les corrections du premier paragraphe, sa main s’ouvre, libère ma cheville, pour pouvoir parcourir ma jambe en direction de mon mollet, puis sa main glisse, glisse lentement le long de ma cuisse sur la soie de mon collant avant de remonter dans la chaleur de mon entrejambe. Arrivé en haut, sous ma jupe, il reste là en butée, son index plaqué contre mon sexe cherchant à s’incruster entre mes lèvres intimes qui sont protégées par l’épaisseur de mon collant et ma culotte. Je sens la pression sur mon clitoris et sur mes grandes lèvres. À mesure qu’il me touche, mon slip et mes collants humidifiés entrent en moi, je suis toujours tétanisée par cette situation inattendue, mais sans l’avoir souhaité ni même contrôlé, une chaleur envahit mon bas-ventre.


Le contact est agréable, je suis terriblement troublée et bizarrement, une certaine excitation prend le dessus sur ma réticence. Pourquoi ai-je soudain une terrible envie de le sentir en moi, envie de recevoir ses doigts dans mon intimité. Je suis particulièrement ébranlée par cette nouvelle sensation. Alors que j’aime profondément mon mari et que je n’ai jamais imaginé lui être infidèle, je me sens soudainement attirée par le plaisir que me procure un autre homme. Une attirance tout à fait particulière, c’est comme si mon corps réclamait ce mâle dominant alors que mon esprit me l’interdit.



Sur ces mots, il retire sa main de mon entrejambe et me suggère de retourner à mon poste, m’indiquant qu’il me rappellera une autre fois pour poursuivre la lecture des corrections de ce texte.


Après cette expérience, chez moi, le soir, je passe une nuit très agitée. Les images de cette caresse m’apparaissent en flash, effrayantes tant elles étaient crues, mais elles déclenchent chaque fois des bouffées de plaisir qui me nouent le ventre. C’est comme une porte qui s’est ouverte sur un nouveau monde inconnu. La raison me dit de la refermer bien vite, cette porte, de rester dans mon monde rassurant, mais des pensées moins austères m’envahissent et m’incitent à désirer de nouveaux plaisirs, défendus, mais enivrants.


Alors que je subis une totale insomnie, Jean, mon mari, semble profondément endormi à côté de moi. Je ferme les yeux, je glisse ma main entre ma culotte et mon sexe, mes doigts viennent écraser mon clitoris avant de se noyer entre mes lèvres intimes. Étrange sensation que de sentir mon cœur cogner dans ma gorge. Ma respiration s’accélère, mais je dois rester silencieuse et discrète pour ne pas réveiller mon mari. J’enfouis deux doigts dans ma grotte, le bas de mon corps se met à trembler frénétiquement. Je me mordille la lèvre. Je pense à mon patron, je l’imagine en moi, à présent, mes doigts s’acharnent sur ma chatte, dessus, dedans, dessus et encore dedans jusqu’à ce que j’atteigne mon apogée et m’envole vers un orgasme d’une intensité rarement atteinte jusqu’ici. Je ne trouve toujours pas le sommeil, mon imagination me livre à cet homme, je cherche le sommeil dans une masturbation interminable. Mon clitoris excité devient douloureux. Sous mon poing fermé, prisonnier de mes cuisses contractées dans un va-et-vient de meule, ma vulve s’écrase, je jouis encore. M. Bertrand, si c’était vous… j’imagine notre première fois charnelle, ce moment de choc, ce moment animalement sexuel que je n’ai jamais vécu. Épuisée, au petit matin, je continue mon rêve dans un sommeil enfin accordé.


Au réveil, je me sens toujours indécise, mais je finis par prendre une décision : d’accord, aujourd’hui, je vais porter des bas que je maintiendrai avec des jarretelles, car je ne supporte pas de devoir les réajuster en permanence au cours de la journée.


En arrivant au bureau, j’ai un moment d’appréhension avant d’aller voir M. Bertrand pour le saluer, compte tenu de la journée précédente. Mais ce dernier m’accueille de manière très naturelle, comme s’il ne s’était rien passé la veille et je retourne à mon bureau. C’est vers 10 h que je reçois mon premier bip téléphonique :



Le temps de faire les quelques pas qui nous séparent et me voilà en train de franchir la porte de son bureau.



Je m’installe alors comme la veille, debout à côté de lui et j’entame la lecture de ce texte sachant pertinemment ce qui m’attend. Et tout comme la veille, sa main se pose instantanément sur ma cheville. Tout comme hier, je suis incapable de poursuivre ma lecture, je préfère me concentrer sur la caresse agréable de ces doigts qui parcourent maintenant mon mollet avant de glisser lentement sur l’intérieur de ma cuisse. J’écarte légèrement les jambes, juste de quoi laisser passer la main d’un honnête homme. Une invitation, en quelque sorte. À la manière d’une cordée d’alpinistes, ses doigts se servent de la jarretelle comme guide.


J’écarte encore un peu plus les cuisses. Toute sa main se faufile lentement sous la jupe, caresse la peau, monte de plus en plus haut pour atteindre le dernier rempart. Son auriculaire va aux nouvelles ; il touche la porte du paradis : ma petite culotte. Il tapote ma fente avec ses doigts pour faire monter mon désir. Je mouille, je suis trempée, j’ai très envie de m’offrir à ce patron si charmant. Ses doigts caressent maintenant le léger vallon qui se creuse sous la fine soie humide, il écarte un peu le tissu pour me fouiller la chatte et me branler avec des petits gestes circulaires. C’est vraiment excitant ces bouts de doigts sur ma fente et mon clito, il me rend dingue. Il continue ainsi à exciter ma petite foufoune, à la flatter et à la faire bander. Puis il retire sa main hors de ma jupe, se redresse pour aller verrouiller la porte d’entrée de son bureau.



Je saisis les bords de ma jupe, les remonte lentement. Je remue des hanches pour faciliter la manœuvre. Mes cuisses se découvrent jusqu’au blanc de la chair, à la lisière des bas. L’étroitesse de la jupe ralentit le mouvement, mais peu à peu apparaît le bord d’une fine culotte, puis la masse de mon postérieur qui étale ses rondeurs.



Je me crispe un instant (frisson de honte ? de plaisir ?), puis mes doigts aux ongles vernis glissent sous l’élastique et font descendre doucement la fine pièce de soie. Une fois les fesses nues, la culotte tombe sur les cuisses avant de finir au sol. Ma croupe est maintenant nue et offerte. Mon amant pose enfin une main sur mes reins, il glisse un doigt entre mes fesses… Je gémis.


Je lui obéis lorsqu’il me demande de me mettre à genoux sur son large fauteuil de patron, les bras sur le dossier. Il se penche sur moi pour me faire largement espacer les jambes. Ses mains se posent sur mes fesses et les écartent pour mettre plus à jour mon petit trou plissé. Il garde la pose quelques instants, je devine son regard sur cette partie très intime de mon corps. Puis je sens pour la première fois de ma vie une langue se poser sur mon anus. Je suis surprise et j’ai un mouvement de recul. Il me repositionne et recommence cette douce caresse. Il me lèche divinement bien. Je ne pensais pas pouvoir tirer tant de plaisir de ce genre de pratique, je ne pensais même pas, à dire vrai, que des hommes osent lécher cet endroit.


Je suis si bien, je le sens forcer doucement les muscles de mon anus. Il me pénètre de sa langue. Parfois, abandonnant cette partie qu’il comble alors d’un doigt, il aspire mes grosses lèvres gorgées de désir et luisantes d’excitation, fait glisser son si doux organe buccal le long de mon sillon. Il m’incite à me cambrer davantage, trouve mon bouton d’amour, y pose la langue et se met à l’agiter frénétiquement. Son doigt accélère le mouvement dans mon fondement. Il me lèche encore quelques instants, sans pour autant insister et me mener à l’orgasme. Je me rends compte qu’il a profité de ce moment de plaisir pour mettre un deuxième doigt dans mon petit trou. Il les retire lentement. Il dégrafe son pantalon. J’aperçois son sexe. Cette vue déclenche une nouvelle vague d’excitation qui lubrifie encore mon vagin. Je n’en peux plus d’attendre la délivrance, le sentir en moi est ma seule pensée. Le désir monte violemment en moi. Il s’approche le sexe tendu entre ses mains, pose le gland sur mon petit trou et me dit :



J’attends, anxieuse, mon dépucelage non avoué. Je n’ose pas lui dire qu’il va être le premier par-là. Je suis si excitée qu’il peut me demander n’importe quoi pourvu que je le sente en moi. Il pousse un peu son gland qui glisse tout seul en moi grâce à sa préparation. Il me fait terriblement mal, mais je veux le lui cacher pour qu’il prenne du plaisir. Il coulisse progressivement en moi. Je fais passer mes cris de douleurs pour de la jouissance. Je l’encourage même à aller toujours plus loin et plus fort. Il se met alors à m’enculer sauvagement. Il me pistonne l’anus. Il saisit alors mes bras et me les maintient dans le dos par les poignets avec une main. De l’autre, il tire sur mes cheveux, ce qui me fait cambrer encore plus. Je le reçois en moi très profondément. Il m’écartèle la rondelle, je souffre terriblement, mais j’ai envie de faire plaisir à cet homme que j’admire.


Soudain, alors que la douleur se fait plus vive, que je suis soumise dans cette position, je me sens possédée mentalement par lui et un orgasme dont je n’avais pas perçu l’arrivée me terrasse littéralement. Je ne peux même plus crier. Ma voix se fait rauque et sourde. Je me mets à aller au-devant de ses coups de boutoir par de grand coup de reins en arrière. Il accélère encore la cadence entre mes fesses, tire plus fort sur mes cheveux et je reçois la semence d’un homme pour la première fois à cet endroit-là. Même si ç’a été douloureux, je suis fière d’avoir donné mon dépucelage anal à mon chef. Il me donne encore quelques coups vigoureux pour se vider complètement. Je souris bêtement.


Il se retire et me demande :



C’est alors qu’il me demande de venir m’asseoir sur son bureau. Il déboutonne mon chemisier pour découvrir mes seins ronds et pleins, qui emplissent mon soutien-gorge noir à balconnets. Il les soupèse, les malaxe, puis il descend sur moi et, à nouveau, il écarte avec ses doigts ma petite chatte lisse et accueillante, tout ouverte pour lui. Il se penche sur moi et me lèche avec délectation. Sa langue se faufile dans mon trou, sur mon clito et elle le pilonne avec des petits coups précis et assurés. Les vagues de plaisir me picorent mes petites lèvres et gagnent mon vagin par de fortes montées de chaleur qui envahissent mon bas-ventre. Mon chef est un lécheur hors pair !


Sa salive se mélange à mes sécrétions odorantes, mon sexe ne cesse de suinter, mon odeur de corps vibrant d’excitation commence à envahir la pièce. S’en est trop, je suis prise de spasmes foudroyants, j’ai atteint le septième ciel, mon sexe est maintenant beaucoup trop sensible, je repousse sa tête hors de mes cuisses. Je me détends et redescends lentement sur terre. Il me demande de mettre face à lui, genoux au sol. Je sais ce qu’il attend de moi.


Il vire son pantalon et je vois de près sa bite épaisse avec un joli gland bien rose qu’il positionne à quelques centimètres de mon visage. L’odeur est forte, je le prends dans ma bouche, je le lèche, l’embrasse, le suce sur toute sa longueur. Je continue à le regarder droit dans les yeux en lui faisant mon regard de petite salope. Il a l’air d’apprécier.



Je redouble de cajoleries et je me prends son gros bâton qui envahit toute ma bouche et vient caresser ma langue, mes lèvres et tous mes sens. Je m’arrête de temps à autre pour le branler en le regardant droit dans les yeux. Je sais que ça lui plaît. Il halète en me regardant, la bouche ouverte. J’ai encore plus envie qu’il me saute et qu’il me défonce cette fois la chatte avec cette belle queue dont j’ai le contrôle. Alors, je me mets à le pomper en cadence. Je m’enfonce cette grosse queue le plus profondément possible dans le gosier. J’en bave, et plus bas, j’en mouille de plus belle. Ma petite chatte est toute mouillée. Je sens sa queue, maintenant, qui glisse parfaitement dans ma bouche. Jeu de coulisse. Je l’enfonce jusqu’à l’étouffement. Elle m’excite, ça me rend folle. Je pompe. Je pompe. Il gémit, mais ne jouit toujours pas. Il faut que je le branle activement pour le faire gicler dans ma bouche. C’est ça que je veux. Alors, je prends mes deux mains, l’une branlant sur toute la longueur de la bite, l’autre par mouvements circulaires sur le gland. Et pour recueillir son sperme, je le suce activement sur toute la surface du gland en le recouvrant complètement de mes lèvres suceuses. Je le veux dans ma bouche. Je veux tout prendre de lui. Je ne veux rien perdre de son foutre. Je m’active avec détermination et application. Je branle. Je suce. Je branle. Je suce. Il monte. Il souffle. Il gémit. Il ne résiste pas. Je sens ses petites veines palpiter sous ma langue et le bout de son gland commence à mousser sous mes caresses. Je le fais jouir avec ma bouche de coquine et il lâche un long cri sonore en déchargeant dans ma bouche.


Une giclée d’une pression inouïe m’inonde l’arrière-gorge. Je tousse. Animé de spasmes, il n’en finit pas d’inonder mon gosier par saccades. Ma bouche est pleine de ce liquide blanchâtre et visqueux. Il me brûle et m’enflamme. Il faut que j’avale tout de lui. C’est mon premier amant et je veux tout de lui. Il me regarde, stupéfait par la vision de ce spectacle, et voit disparaître peu à peu la mousse blanche de ma bouche. De ma langue, je lèche le contour de mes lèvres, sans rien laisser perdre de son sperme. Il est bon. Il est chaud. Il est en moi. Il me brûle. Hum… comme il est bon !


Je me redresse face à lui et à ma plus grande joie, ces deux éjaculations n’ont pas eu raison de son excitation : il bande à nouveau au bout de quelques secondes seulement. Je veux être sienne, me donner totalement à lui. Je recommence à le branler tendrement, affectueusement. Mes doigts montent et descendent doucement sur sa tige, puis je l’empoigne avec ferveur entre mes doigts experts. Je serre et desserre la main sur son gland puis je me remets à le branler franchement, éprouvant les contours de ce si joli et fier membre.


M. Bertrand garde le sexe à l’air libre. Je remonte à nouveau complètement ma jupe sur mes courbes, je baisse le balconnet de mon soutif pour qu’il voie mes tétons, eux aussi durcis de plaisir et qui bandent comme son bel engin. Debout, je me tourne pour lui présenter mes fesses charnues et je me mets à l’équerre en allongeant mon torse sur son bureau et en écrasant mes seins sur ce dossier à corriger. Durant la nuit, j’avais tellement imaginé ce moment, tellement fantasmé : mon patron me prend par la foufoune sur son bureau en me susurrant des mots doux pendant que j’accueille sa bite. C’est enfin en train de se produire. Il a posé son sexe à l’entrée de mon con et a joué un moment avec en le titillant, en donnant de petites gifles dessus. Ses mains s’agrippent à mes fesses et je sens cette grosse bite contre ma minette qui veut l’avaler toute entière et l’appelle de ses spasmes et de la mouille qui lubrifie ma chatte. Il m’excite beaucoup trop pour que je me retienne :



Il me pénètre et je sens cette pine dressée me traverser comme un bloc compact de plaisir et de chaleur. Sa peau glisse contre la mienne à mesure que celle-ci entre en moi et je me délecte de cette sensation de m’emplir de lui qui comble ce vide languissant qui appelle son chibre pour éteindre le feu de mes désirs.


Mon bel étalon donne ainsi des petits coups de queue dans ma chatte tout offerte. Les jambes toujours écartées, je me cambre à fond pour qu’il puisse bien me pénétrer. Il me baise comme une petite chienne, frappant mes fesses de temps à autre d’une claque bien placée qui s’accorde parfaitement à la rudesse de sa pénétration qui me laboure la chatte. Je le sens emporté par ses allers-retours en moi, haletant dans mon dos, palpant mon cul et mes hanches, s’émerveillant de leur galbe. Je cambre encore davantage les fesses pour le sentir me transpercer le plus profondément possible, renversant la tête en arrière. Je suis trop heureuse, je veux que chaque centimètre de moi, chaque geste de ma part, lui fasse tourner la tête et rende ce moment complice inoubliable. Je redresse mon torse décollant mes seins du bureau, mais M. Bertrand appuie sur ma nuque pour m’obliger à garder mon torse allongé sur son bureau pour mieux me pénétrer. Les reins offerts, je m’abandonne de plus en plus et me laisse aller à des cris étouffés. Il me besogne ainsi pendant quelques minutes, profitant de la situation pour me sauter à sa guise, au rythme endiablé dont il est le maître décisionnaire, faisant de moi sa femme-objet. Sa pénétration est tellement moite et ferme dans mon fourreau, que je ressens du plaisir jusque dans mes tétons durcis.



Le cul ainsi écartelé, je me sens encore plus à sa merci et encore plus soumise, ce que j’adore, même si je suis loin de l’être dans la vie de tous les jours. Comme il voit que j’aime, il continue à me donner de retentissantes fessées, à m’agripper les hanches en y enfonçant ses ongles. Il tire mes cheveux pour mieux me cambrer comme un animal et me tringler encore plus fort. Un pur bonheur, une vraie douleur orgasmique !


Après m’avoir encore prise un moment dans cette position, il me met face à lui, cette fois, en allongeant mon dos sur son bureau. Il me domine, je vire mon soutif et je me suis à demi allongée sur la table pour recevoir encore et encore sa belle queue dans ma petite chatte. Il me regarde de haut, avec un air autoritaire. Il a l’air d’une bête en rut, ce spectacle de mon boss d’habitude si propret et sage, me fait tourner la tête.



Il commence vraiment à se lâcher, ça me plaît et je me répands moi-même en mouille autour de sa tige de chair chaude et soyeuse. Il titille mes tétons tout en continuant à me pénétrer et je sens la chaleur du plaisir irradier ma poitrine. Il pose ensuite le bout de ses doigts sur mon clito et reprend ces petits mouvements circulaires que j’aime tant. Il me branle comme personne ne m’a jamais branlée avant. Le frétillement de sa queue en moi, allié à ces titillements délicieux, me fait frémir de joie et je commence à sentir l’appel irrépressible de l’orgasme qui me donne des frissons partout et fait que je me transforme en animal entièrement tourné vers l’objet de ma convoitise : la jouissance.


J’attends qu’il redouble ses caresses sans me quitter des yeux pour enfin larguer les amarres et me tordre dans une apothéose de plaisir. Stimulée par mon orgasme, il accélère la baise et se met à me sauter rudement, les yeux à demi-fermés, en grognant et en poussant des « ah » qui annoncent la venue de son jus. Sa queue bandée pilonne mon con encore frémissant de mon plaisir et l’extase se répercute en mille flèches de feu dans tout mon corps. Mes formes bougent sous ses coups de boutoir, mes seins et mes hanches bringuebalent, traversés de spasmes.


Mon amant se retire de moi en terminant de s’exciter en se branlant frénétiquement. Puis mon cher patron inonde mon ventre et mon entrejambe de son foutre, dégoulinant de mon nombril et tachant les poils de ma toison déjà humides de mes propres émois. J’adore avoir reçu tout ce sperme de lui sur moi, sur ma chatte.



Je me blottis contre lui, nue, avec pour seule tenue ma petite jupe qui fait maintenant office de ceinture tant elle a été malmenée.


Mon patron me remercie chaudement pour mon dévouement de secrétaire exemplaire et me confie que notre petit moment d’égarement lui a fait beaucoup de bien.


Depuis, quand je vois qu’il est stressé par le boulot, je lui propose régulièrement de remettre le couvert pour le détendre – et pour en profiter moi-même.