Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 18754Fiche technique7887 caractères7887
Temps de lecture estimé : 5 mn
31/12/18
Résumé:  John emmène Lise et Malika à la plage. Après des jeux coquins dans l'eau, John a le plaisir de voir les deux femmes faire l'amour sur la plage, elles l'invitent à les rejoindre...
Critères:  fh ff ffh hplusag jeunes couleurs nudisme fellation fist hdanus
Auteur : Klixx      Envoi mini-message
À la plage naturiste

Nous voici partis en voiture pour la plage des Aresquiers. Je n’ai pas choisi ce lieu par hasard : c’est une plage naturiste. Et je sais très bien que le soir s’y passent… des choses coquines !


Pendant le trajet, j’ai tout loisir d’observer mes deux ravissantes accompagnatrices. Si Lise est d’une beauté simple, européenne, peau légèrement hâlée couleur de pain au lait, Malika, elle, est une jeune asiatique, à la beauté pure et sauvage, un territoire à conquérir. Elles forment un très beau couple, complémentaire.


Nous arrivons à la plage. Les deux femmes ne semblent pas gênées de la nudité ambiante. Elles échangent même un regard plein de sous-entendus. Je crois que ma ruse n’a trompé personne. Elles se déshabillent rapidement, et se jettent à l’eau, riant et criant comme des enfants. La vision de leurs deux ravissantes paires de fesses courant sur la plage ne me laisse pas de marbre. Je me déshabille à mon tour. Je ne suis pas déçu de cette fin d’après-midi ! Je les rejoins bien vite dans la mer, la température de l’eau chauffée toute la journée est parfaite, la sensation sur ma peau nue, divine !


Nous batifolons gaiement, quelquefois nos corps se frôlent, une main effleure un sein, une fesse. Je pense même que Lise se frotte volontairement contre moi. Ce jeu me rend peu présentable, il y a des enfants sur la plage !


Après un moment, Lise annonce vouloir se reposer, un peu fatiguée. Elle regagne la plage. Malika reste avec moi, elle constate mon état, et comprend, mutine, que je ne sorte pas. Elle attrape mon sexe, le branle un instant, puis fait mine de sortir à son tour de l’eau. Je la rattrape par le bras :



Un grand sourire barre son visage. Elle ne dit rien et court rejoindre Lise en riant. Ses petits seins qui se balancent ne font rien pour me calmer. Je reste un moment dans l’eau, voyant les familles partir les unes après les autres. Restent quelques adultes, couples et hommes seuls.


Mon sexe est enfin revenu au repos. Je rejoins la plage, et là le spectacle que je vois me laisse muet. Lise est couchée sur le dos, les jambes relevées, écartées. Malika lui lèche le sexe, amoureusement. J’entends Lise gémir de plaisir. Elle me voit, sourit, elle est pâmée. Malika s’applique consciencieusement, introduit deux doigts, et Lise ne tarde pas à crier son plaisir. Cette vision enchanteresse m’excite au plus haut point, je bande instantanément. Lise le voit, et halète :



Je baisse les yeux, et je vois un mignon petit minou, presque imberbe, tout humide. Une vision de rêve, que je n’ai pas le loisir d’admirer. Visiblement, Malika est très excitée et me dit :



J’attrape ses hanches, et la pénètre d’un geste ferme. Elle pousse un cri.

Je commence à la posséder, c’est ma position préférée, un sentiment de puissance, de maîtrise m’envahit. J’ai vraiment l’impression de la déflorer. Elle ne doit pas être habituée à tel traitement. Ma pénétration est profonde, mes mouvements amples. Malika halète, lâche des mots incompréhensibles, sûrement dans sa langue maternelle. Je me régale dans son jeune sexe étroit, je sens que je ne pourrai pas tenir des heures, l’érotisme de la situation est à son apogée.


J’aperçois des voyeurs à quelque distance, qui se branlent. Lise ouvre les yeux, les voit aussi, et visiblement, ça ne la dérange pas. Il semble qu’elle apprécie la situation, elle leur fait même signe de s’approcher.


Je sens la montée du plaisir, Malika bouge en tous sens, elle aussi est proche du septième ciel. J’explose ! Malika ne tarde pas à atteindre l’orgasme, et j’entends Lise pousser un cri puissant. Quel pied, quelles partenaires de jeu ! Cette partie est mémorable. Les voyeurs nous crient des compliments, plusieurs ont pris leur pied. Lise me murmure :



Nous nous reposons un instant, nous allons nous doucher sur la plage, ce qui donne lieu à d’autres jeux de frôlements. Puis, rhabillés, nous allons dîner de quelques crustacés raffinés et de salades. Repus à tout point de vue, nous rentrons sur Nîmes. Malika demande :



Je souris, je connais bien l’endroit.


Malika s’est endormie à l’arrière, on dirait presque une jeune ingénue, et pourtant quand on la connaît, il n’en est rien…


La robe de Lise découvre ses jambes. Je caresse son genou, sa cuisse, elle écarte les jambes, prend ma main et la porte à son sexe. La coquine n’a pas remis sa culotte ! Je constate une humidité accueillante. J’entre deux doigts et commence à la masturber. Vive les voitures à boîtes automatiques ! Lise apprécie le traitement, et pousse des gémissements. De plus en plus excitée, elle empoigne ma main et s’en sert comme d’un godemiché. Elle se branle, et j’en profite pour titiller son clitoris. Après quelques mouvements, elle s’arque, pousse un cri libérateur, et retombe. Son orgasme a été si rapide ! À l’arrière, Malika ne s’est même pas réveillée, malgré les cris de sa femme.


Je me gare devant leur appartement. Lise me chuchote de porter Malika jusque dans son lit. La jeune femme pèse une plume, et quelle sensation, le contact de ses seins contre mon torse ! J’en suis tout émoustillé. Lise, fine mouche, le devine, et au moment de partir, m’entraîne vers le canapé :



Il est vrai que mon érection est visible, elle déforme mon pantalon de toile comme un chapiteau de cirque.


Lise dégrafe ma ceinture, tire le pantalon vers le bas. Mon sexe est aussitôt à l’air. Je ne porte jamais de sous-vêtements, j’aime trop le contact de la toile sur ma peau, la sensation de nudité cachée, mais montrée aux yeux de tous.


Lise embouche mon sexe, et débute une divine fellation, alternant léchage, griffures, caresses. Je dois dire que son art est consommé, son talent accompli.


Je perds pied progressivement… Comme lors de notre première étreinte, elle veut dominer, et cherche à me basculer sur l’assise du canapé. Mais je tiens bon, fier comme un mâle du Sud que je suis !


C’est sans compter sur son index inquisiteur qui vient titiller ma prostate. La décharge nerveuse m’électrocute, je m’effondre presque, et me retrouve couché sur le dos. La malicieuse Lise, loin de se retirer, continue de vriller son doigt dans mon anus, tout en pompant littéralement mon sexe.


J’ai du mal à résister, Lise le sent et me fait une gorge profonde qui m’achève. J’ai l’impression d’éjaculer des litres de sperme, que la belle avale sans broncher. La perversité se lit dans ses yeux, des yeux félins, perçants. Je suis à sa merci, mais curieusement, j’aime ça.


Vidé, calme, je reprends mes esprits quelques minutes, je suis aux anges. Lise est penchée sur moi, elle me sourit. Nous avons franchi un nouveau palier d’intimité.


Je l’embrasse, puis quitte l’appartement sans bruit, regagnant le mien.

Quelle journée !