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n° 18762Fiche technique12700 caractères12700
Temps de lecture estimé : 8 mn
05/01/19
Résumé:  Prudence et Ben, après un premier trio avec Ali, le reçoivent à nouveau.
Critères:  fhh fellation pénétratio -couple+h
Auteur : Pedenn            Envoi mini-message
Prudence fait de la récidive

Ben est toujours hanté par le souvenir d’une soirée de débridement sexuel qui avait totalement échappé à son contrôle : non seulement son épouse, Prudence, avait baisé avec Ali sous ses yeux, mais lui-même avait aussi, largement et complaisamment, participé au plaisir de sa femme adultère, en la caressant pendant que l’autre la baisait, puis en la baisant à son tour… Le film (images et son) de la soirée va le poursuivre longtemps…


Quelques mois plus tard, Ali téléphone à Ben pour l’informer qu’il va se rendre bientôt près de chez eux pour participer à une formation professionnelle, et lui demande s’ils peuvent l’accueillir. Sans relever l’utilisation (intentionnelle ?) du pluriel dans la formulation de la requête, Ben accepte. Quand il annonce à Prudence qu’Ali arrivera, le lundi suivant, vers 17 h, celle-ci reçoit la nouvelle avec un petit sourire, qui pourrait lui demander « est-ce que ça va encore être ma fête ? », qui le trouble.


Le jour dit, Ben ne pourra pas rentrer du boulot avant 19 h, mais Prudence est à la maison. La venue d’Ali l’excite. Quand elle repense à lui, à son sexe circoncis long et dur, très dur, elle sent ses tétons pointer et sa chatte s’humidifier… Revient-il pour elle ? Devra-t-elle lui rappeler la disponibilité de son corps ? Elle hésite à prendre les devants, par exemple, en retirant son soutien-gorge ou même en l’accueillant poitrine nue ? Après hésitation, elle décide de n’en rien faire, de rester habillée et de lui laisser l’initiative, s’il en a envie…




Prudence :


Je m’assure par l’œilleton que c’est bien Ali, puis j’ouvre la porte, et lui lance un « Bonjour » mutin que j’espère… pas trop provocant (un petit peu seulement…). Il s’arrête, me regarde, je vois ses yeux glisser de mon visage vers mes seins, qui, contredisant mon regard, tendent mon tee-shirt et pointent, impudiques, vers lui. Il me sourit à son tour, pose sa valise et me regarde à nouveau, comme l’on regarde un gâteau que l’on s’apprête à déguster, avec une lubricité gourmande… Il a l’air d’être dans les meilleures dispositions : ma soirée va, à nouveau, être animée… Son regard trahit son désir. Il s’approche de moi, ses lèvres s’approchent des miennes, s’en emparent, sa langue pénètre dans ma bouche, et sa langue et la mienne s’étreignent avec fureur. Sa main m’enlace pour presser ma taille contre son ventre, contre son sexe (il bande déjà, waouh… mais tiendra-t-il comme ça jusqu’à ce soir ?), puis elle se glisse sous mon tee-shirt pour remonter vers un sein, qu’elle masse délicatement par-dessus la toile, puis elle soulève le bonnet de dentelle et masse le téton avec douceur (il n’a rien perdu de son savoir-faire !). J’enlace son cou de mes deux mains et lui caresse la nuque pour lui dire mon consentement. Son autre main rejoint la première pour s’emparer de mes deux seins, les empaumer avec une ferme délicatesse, accepter qu’ils s’y nichent, puis cruellement joueur, deux doigts en pince, il entreprend d’énerver mes tétons avant de les sucer, puis les téter avidement.



J’apprécie son baiser, mais, pour à la fois freiner son ardeur (je ne tiendrai jamais jusqu’au retour de Ben, moi !) et l’exciter un peu plus (mais est-ce nécessaire ?), je fais mine d’hésiter un petit peu, puis feins de céder à contrecœur, alors que mon sexe a une énorme envie du sien ! Mes yeux lisent dans ceux d’Ali son violent désir de moi, désir qui me flatte, moi qui ne me sens pas belle, et qui suis incapable de repousser longtemps les hommages des hommes. Mon ventre sent le sexe du mâle qui se presse contre lui, le défie ! Avec sa langue qui s’enfonce dans ma bouche, joue avec la mienne, je suis troublée, je ne peux plus parler. Et le baiser dure, dure… Mon ventre ne sait plus comment cacher son émoi, pressé contre une érection si pleine de promesses pour ma fente, je savoure les prémices de ce nouvel adultère et m’abandonne doucement, langoureusement à la lubricité.


Les mains d’Ali poursuivent leur progression en territoire conquis, se glissent sous ma jupe, sous ma culotte, atteignent mon pubis, font naître un profond soupir dans ma bouche. Ali me pousse contre le mur et ses doigts s’attardent dans ma fente, à la recherche de mon clitoris en érection, qu’ils trouvent facilement et caressent jusqu’à provoquer un premier orgasme, que je lui annonce par un petit cri, avant qu’il ne pousse plus loin et qu’il ne s’aventure dans l’oasis qui commence à s’inonder. Ali enfonce son majeur, m’arrache un nouveau cri. Puis son doigt explore consciencieusement ma chatte : je ne me retiens plus, je colle ma tête sur son épaule pour déposer mes halètements, mes gémissements et mes cris dans son oreille…


Sans attendre, Ali dégrafe sa ceinture, descend son pantalon et son slip. Dans un ricanement d’homme qui sait ce qu’il veut, il m’appuie contre le mur, descend ma culotte, ses mains sous mes fesses me soulèvent, et il me pénètre avec fermeté. J’accompagne son entrée en moi par un râle :



Ali me ramone quelques minutes, et commente à mon oreille :



Mais il veut plus. Il sort sa queue de mon vagin et me pousse vers la chambre conjugale, les mains sur mes seins et sur mes fesses, alors que ma main ne lâche pas la queue de ce baiseur démoniaque. Arrivée au seuil de ma chambre, je m’arrête et ne peux me résigner à profaner la couche conjugale, pendant que, ses lèvres collées aux miennes, il me doigte à nouveau, presse son sexe contre mon ventre nu. Ma chatte frissonne de l’envie d’accueillir à nouveau le robuste braquemart que je tiens dans la main, et je l’entraîne vers la chambre d’amis. Je l’attire vers le lit et m’y allonge, et écarte les jambes pour l’inviter à me prendre. Ali se place entre mes jambes, les relève sur ses épaules, glisse à nouveau son sexe dans mon vagin maintenant bien lubrifié et, les jambes repliées sur ma poitrine, sans cesser de gémir, devenue vulgaire, je lui dis :



Emportée par les vagues de plaisir, j’ahane au rythme des coups de boutoir de mon baiseur. Soudain, un éclair, un tonnerre, une déferlante m’envahit, remontant du fond de mon ventre jusqu’à ma poitrine, ma tête, me fait pousser un cri rauque, sauvage, et je jouis. Mon cri surprend Ali qui ne se peut se retenir davantage et conclut vigoureusement son assaut en inondant de son plaisir mon vagin qu’il vient de si bien besogner.


Entendant arriver la voiture de Ben, je me lève, enfile rapidement un peignoir et, laissant Ali se rhabiller sommairement, je vais à sa rencontre.




Ben :


En sortant de ma voiture, je vois Prudence sur le pas de la porte, en peignoir, qui semble m’attendre. Je ne vois pas Ali. Avec un large sourire, elle me dit :



Puis je vois apparaître Ali qui, tout en reboutonnant sa chemise, me salue avec, aux lèvres, un sourire d’homme qui vient de baiser. Bien qu’à moitié surpris par ce que je vois, je ne peux m’empêcher de penser : Les salauds… ils ont baisé sans moi… ils n’auraient pas pu attendre ? Lequel était impatient ? Les deux ?


J’entre, vais dans la chambre me changer, puis, après un léger apéritif, nous soupons. Après le repas, nous allons dans le salon boire un calva, Prudence, toujours vêtue de son peignoir, et moi, assis sur le canapé, une main sur son épaule. Ali est assis dans un fauteuil en face de nous. Nous discutons, de tout, de rien, comme si nous n’étions que trois amis, et pas deux complices et leur maîtresse. Néanmoins, j’intercepte le regard d’Ali qui se glisse dans l’échancrure du peignoir de Prudence.


Je l’ai un peu mauvaise de n’avoir pas été attendu, et je feins de me contenter de la situation… Mais l’érotisme sourd de la situation, ainsi que l’expression qu’a utilisée Prudence (acompte versé), et ce qu’elle suggère, commencent à m’exciter doucement. Doucement, ma main descend sur l’épaule de ma femme, pour se glisser dans l’échancrure du peignoir et se poser sur un sein. Tout en continuant de papoter, je commence à le caresser délicatement, puis écarte le pan du vêtement pour exposer aux yeux d’Ali les beaux seins de Prudence, que ma main pelote maintenant sans considération pour le désir que son regard affiche (je caresse ma femme, et il doit se contenter de regarder… ça l’excite, tant mieux… ça lui apprendra à être patient !).


J’embrasse Prudence et ma main délaisse son sein pour se glisser vers son ventre, y chercher le clitoris, le trouver et le titiller, soutirant à ma femme un soupir, un halètement, puis un petit cri rauque de plaisir. Prudence écarte les cuisses afin de faciliter mes caresses. En face de nous, Ali, semble ne pas perdre une miette du spectacle que nous lui servons.




Prudence :


Quand Ben commence à me caresser les seins, puis me doigte, je cherche le regard d’Ali pour l’inviter à entrer dans le jeu. Mais il ne bouge pas, me regarde réagir aux caresses de mon mari, puis, très vite, jouir sous ses doigts, encore toute chaude de son « acompte »… Au bout d’un instant, il ôte son pantalon et expose son beau sexe en érection. Très excité par ce qu’il me fait, par les caresses de mes mains sur sa nuque, Ben me libère complètement du peignoir, m’allonge sur le canapé, m’écarte les cuisses et s’allonge sur moi. Sa queue trouve très facilement le chemin de ma chatte encore bien lubrifiée par le sperme d’Ali et elle s’y enfonce avec facilité.


Mon mari me baise devant mon amant ! J’apprécie la dureté de sa bandaison, et je commence à haleter, à ahaner au rythme des mouvements de son sexe en moi. Emportée par le plaisir, je commence à perdre pied, ma respiration se fait plus rapide, plus sonore, j’ouvre la bouche pour chercher de l’air, pour crier, quand…




Ben :


Couché sur Prudence, bien enfoncé dans son ventre, le torse en appui sur mes bras tendus, je suis un tempo tranquille, attentif à ne pas précipiter mon plaisir, soucieux que son amant la voie jouir avec moi aussi. Je le vois retirer sa chemise et son pantalon (il n’avait pas remis son slip, le salaud !) et se diriger, nu, la queue à la main, vers nous.



Mais ? Mais… que vois-je ?

Ali approche son sexe du visage de Prudence, qui lève une main, pour le caresser délicatement. Puis il pointe son gland vers la bouche de Prudence, et l’enfonce dans sa bouche ouverte. Ébahi, je vois Prudence, sans faire la fine bouche, sucer sans aucune réticence la bite de son amant, alors qu’elle m’avait toujours dit que la pipe, c’était pas son truc ! Il faut croire que cette fellation plaît beaucoup à Ali parce que, assez vite, je l’entends grogner. Puis je vois ressortir de la bouche de mon épouse sa queue, moins arrogante certes, mais propre et luisante. Prudence, moyennant une petite grimace, avale le plaisir de son amant qui, sans insister, se retire de la scène. Elle déglutit, termine d’avaler et me sourit, apparemment ravie, en me tendant ses lèvres profanées.


Écœuré, mais terriblement excité, je jouis à mon tour, en silence, mais sans embrasser ma femme !