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n° 18776Fiche technique8407 caractères8407
Temps de lecture estimé : 6 mn
12/01/19
Résumé:  Un soir de grève dans le métro, un homme mature met la main sur un jeune homme passif...
Critères:  hbi hh hplusag jeunes inconnu train hsoumis contrainte exhib hmast fellation hsodo init confession
Auteur : Surat le magnifique      
Émois de métro

Le métro était bondé. Encore cette putain de grève qui nous force à voyager serré les uns contre les autres. Quel terrain de jeu idéal pour certains prédateurs des rames…

Une main vient se coller contre mon sexe laissant la place à une certaine ambiguïté

Promiscuité, manque de place, nous sommes les uns sur les autres dans cette rame.

Je lève les yeux, il n’y a plus de place à l’ambiguïté. Je découvre le visage de celui qui me « colle ».


Je suis fatigué, je rentre chez moi, il n’est pas loin de 21 h, mon visage n’a pas su exprimer une émotion en particulier. Sans net refus de ma part et sans repousser sa main en tentant de changer de position, l’homme prend sans doute cela pour un acquiescement de ma part. Il bouge légèrement sa main ayant pour effet de me provoquer des caresses répétées.


Je sens mon sexe se durcir et c’est même très agréable. Je n’ai pas vingt ans et, à cet âge, on a le sang qui irrigue très vite. De simples petits mouvements se transforment en va-et-vient répétés, de plus en plus appuyés. Il m’arrive même de sentir mon sexe pris entre ses deux doigts à travers mon jean. J’en ai mal au ventre, tellement mon érection est forte… Nos regards se croisent parfois. Je sens une excitation discrète de sa part, j’essaie de rester impassible. Je n’ai aucune attirance pour cet homme de la quarantaine, tout à fait quelconque et sans charme. De toute façon, je n’ai jamais connu aucun désir pour un homme.


L’homme ne va pas se contenter de ça. Les stations défilent. Il entreprend à présent de déboutonner mon pantalon. Je lève les yeux vers lui l’air inquiet, mais sans doute toujours aussi excité. Il ne souhaitera percevoir sans doute que mon air excité, même si discrètement il me fait comprendre que tout va bien se passer…


Un bouton, deux boutons, trois, quatre… Je sens sa main fouiller dans mon pantalon. Il caresse à présent ma queue toujours aussi raide à travers mon simple caleçon. Il descend aussi pour me caresser le haut des cuisses à même la peau… Je sens une main rugueuse et calleuse, sa peau contre la mienne pour la première fois. Puis il trouve assez rapidement le bouton de mon caleçon. Il en vient à bout également assez rapidement. Ça y est, le prédateur a ma queue dans sa main. La proie que je suis se sent honteuse, mais toujours excitée. Je reste à sa merci…


Il me caresse toujours assez discrètement. Je regarde autour de nous, personne n’a l’air de faire attention à nous. On reste de toute manière tous collés les uns aux autres.

Il continue ses caresses avec ma queue dans sa main. Les soubresauts générés pas le métro qui file à vive allure, ne sont que meilleurs et permettent des caresses plus appuyées dans la même discrétion. Profitant d’un des cahots du wagon sur les voies, il sort par surprise ma queue du pantalon afin de pouvoir la branler plus facilement. Je le regarde, à nouveau inquiet du risque encouru. La peur qu’on nous voie, l’excitation aussi que cela entraîne…


Le prédateur semble être un habitué… Il avait tout prévu. Et alors que le wagon se vide un peu et que nous sommes moins les uns contre les autres, il sort un journal dont il se sert comme paravent. En effet, ma queue sortie, dans ce wagon bondé, semble bien protégée des regards, jusqu’au moment où… Je remarque dans le reflet de la glace que nous sommes entièrement à découvert. Sa main allant et venant sur ma queue se distingue très facilement dans le reflet de la vitre. Une femme assise à côté a dû jouir du spectacle… Elle ne s’en est pas émue, et si effectivement elle a observé la scène, elle a dû rapidement détourner le regard, feignent l’indifférence.


Je suis toujours très excité et j’ai le sexe très humide. Je suis en train de me dire que cette situation est juste hallucinante, je suis en train de me faire branler par un parfait inconnu à l’insu de dizaines de personnes. Et je me laisse faire ! Pourquoi ? En temps normal, j’aurais repoussé ce type d’attouchements, mais bon finalement, pourquoi pas… L’excitation est parfois plus forte que la peur ou que la honte.


Le wagon se vide soudain et une grande partie des voyageurs descend. La recréation est finie, nous ne pouvons dignement rester collés l’un à l’autre sans attirer l’attention. Profitant de l’agitation produite lors de la descente des voyageurs, je rentre mon sexe encore bien raide rapidement et me reboutonne discrètement. Je m’éloigne de lui comme tout voyageur disposant d’un peu plus d’espace pour lui l’aurait fait. Nous ne nous sommes pas adressé la parole et nous continuons d’apparaître aux yeux de tous comme deux parfaits inconnus.


L’excitation s’étant quelque peu dissipée, j’espère qu’il va quitter le wagon avant moi. Je descends au terminus. Mais au fur et à mesure que les stations défilent, je comprends qu’il ne souhaite pas en rester là. Effectivement, au terminus, je quitte la rame et je sais qu’il me suit. Je sors de la station, je marche dans la rue, il est derrière moi c’est certain. Profitant du fait que je me retrouve quasi seul, il vient à ma hauteur pour faire ma connaissance. Je suis pétrifié à l’idée de lui parler.


Il entame la conversation, il me demande mon prénom, me demande aussi si j’ai aimé ça. Comment aurais-je pu répondre par la négative ? J’ai donné un faux prénom, car le vrai moi ne devait sans doute pas assumer tout cela. Nous marchons dans les rues et les bus étant également en grève, j’ai assez long à marcher. À ce moment, je n’ai qu’une seule envie, qu’il parte, qu’il disparaisse même si, à aucun moment je n’ose lui dire.

Dans le métro j’avais un rapport avec « une main » qui me faisait du bien et ça suffisait à mon excitation. Je me trouve à présent avec un homme.


Il continue parfois de me toucher furtivement tout en marchant dès que nous nous retrouvons seuls dans la rue. Il me demande si je connais un coin tranquille.

Je rentre chez mes parents et je n’ai qu’une seule idée en tête, me débarrasser de lui avant d’arriver chez moi. Aussi, rapidement, je pense à ce terrain vague sur le chemin. Nous y serons sans aucun doute à l’abri des regards.


Nous y sommes rapidement. Personne dans les environs, il me descend mon pantalon et mon caleçon sur les chevilles. Je reste impassible et quasi inerte. J’ai l’impression d’être un objet sexuel entre ses mains et ça a un côté très excitant. Il prend d’ailleurs soin de son jouet et fait toujours preuve de douceur. J’ai à nouveau une très belle érection qu’il fait disparaître, à genoux devant moi en entrant mon sexe dans sa bouche. Il me suce longuement avec beaucoup de douceur et en faisant preuve de beaucoup de motivation. Il aime sucer.


Après de longues minutes, il me demande si je veux le sodomiser. Je réponds oui à nouveau. Impossible de lui dire non de toute façon… Il sort alors un préservatif de sa poche, me l’enfile sur mon sexe encore dur et humide. Il baisse son pantalon, se tourne et s’enfile lui-même ma verge dans l’anus. Je l’attrape quand même par les hanches pour le baiser. Je n’ai jamais sodomisé un homme c’est une grande première. Il me demande de le masturber en même temps. Je m’exécute à nouveau. Je ne dois pas y mettre beaucoup d’ardeur, car j’arrive à peine à le faire bander.


Au bout d’un moment, il se retire, enlève mon préservatif et se remet à mes genoux pour me sucer à nouveau. Il me branle en même temps, de plus en plus fort. Après de longues minutes, je finis par jouir dans sa bouche. Il semble satisfait et avale ma semence.


Plus que jamais j’ai envie qu’il disparaisse. J’ai joui et l’excitation est retombée rapidement. Il doit sentir que je ne veux, je ne peux plus le voir. En dernière demande, il souhaite m’embrasser sur la joue. Il le fait tendrement et ça me dégoûte, mais j’ai la compensation que nos chemins se séparent enfin.

Je rentre chez moi. Mes parents me demandent comment s’est passée ma journée.

Rien de spécial…