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17/01/19
Résumé:  Un couple cherche dans le libertinage les épices pour leurs relations sexuelles, mais la bisexualités est parfois difficile à assumer...
Critères:  2couples fbi hbi fellation cunnilingu 69 hdanus init -fbi -hbi
Auteur : Charlie Le Franc  (Libertinage et bisexualité difficile à assumer...)            Envoi mini-message
Tout bi or not tout bi



1 - La proposition.




C’est en ces termes que Béatrice, mon épouse accueillit une petite remarque que je venais de lui faire, assez insidieusement, je dois l’avouer…

Pour que vous compreniez sans trop d’effort, laissez-moi vous présenter la situation.

Nous sommes mariés, Béatrice et moi, Charles – Charlie pour les intimes – depuis une trentaine d’années. Vous comprenez que nous ne sommes plus tout jeunes. En fait, nous approchons de la retraite. Elle est employée dans une société d’assurances et moi, électronicien. Elle, de taille moyenne brune, vive, bien faite, jolie, et moi, assez grand, blond, élancé, pas moche. Enfin, je crois.


Comme dans beaucoup de couples de notre âge, les relations intimes sont devenues plutôt routinières, pour ne pas dire que c’est toujours la même façon de faire, même si notre amour reste bien vivace. Béatrice semble accepter très bien cet état de fait, moi, beaucoup moins. Pour tout vous dire, nos relations sont toujours basées sur le même scénario : une minute de bisous, deux minutes de caresses sur ses seins – qu’elle a bien remplis, entre parenthèses – cinq minutes de titillements de son clitoris, trois minutes de léchage de l’objet sus-cité (ou suce si t’es), ensuite on inverse, je m’étends sur le dos, elle me suce trois minutes, me monte dessus et se frotte les lèvres du bas sur mon sexe, me met ses gros lolos sur le nez, tout cela pendant huit minutes, puis se couche et je la prends dans la position du missionnaire. Puis nous jouissons en un temps variable de cinq à dix minutes. Soit un total compris entre vingt-sept et trente-deux minutes.


Certes, ce n’est pas forcément désagréable, surtout quand on n’a pas fait « ça » depuis un certain temps, mais la même chose pendant plus de trente ans, environ deux fois par semaine, c’est franchement lassant. D’autant plus que les deux fois par semaine ne correspondent pas à ma libido personnelle, j’aimerais un peu plus. Je ne suis pas sûr non plus que Béatrice prenne tant de plaisir à ce rituel, je suis même certain que, parfois, elle attend juste que ça se termine et que la routine cache son manque d’envie.

Je ne dirais pas que je m’ennuie pendant l’amour, non. Mais je voudrais mettre un peu de piment dans l’ordinaire.


Ce n’est pas que Béatrice soit une « oie blanche », elle est capable d’oser et d’apprécier la sodomie, la gorge profonde et d’autres joyeusetés ! Il arrive qu’elle se jette sur moi, le souffle court, et me gratifie d’une fellation complète, ou qu’elle m’attende au retour du boulot avec talons hauts, bas résille et… pas de culotte !

Où est le problème alors ? Ça n’arrive que tous les deux ou trois ans !

Alors, j’ai essayé de doper sa libido : films pornos, mises en scènes sensuelles ou romantiques, lectures érotiques et encore d’autres « ficelles ».


Le résultat a été satisfaisant dans un premier temps. J’ai plusieurs fois retrouvé la jeune femme qu’elle était lorsque nous étions fiancés et c’était génial ! Et puis, elle n’a plus aimé les films pornos, les mises en scène l’ont lassée, les lectures n’ont plus eu aucun effet…


Il m’est arrivé de lui demander de me faire un « truc spécial », elle s’est exécutée – c’est le mot juste – sans entrain et sans zèle, ou a prétexté d’avoir mal quelque part, d’être fatiguée, de ne pas avoir envie… pour revenir à l’ordinaire. Là, c’est moi qui me suis lassé de lui quémander une faveur. C’est alors que je suis tombé sur une publicité pour un site échangiste, que je me suis empressé de consulter, vous pensez bien !


J’ai rapidement trouvé quelques couples qui correspondaient à mes critères de choix : la même tranche d’âge que nous – j’avais peur de me faire fusiller en invitant une femme plus jeune que Béatrice –, des gens pas trop gros ni trop moches, n’habitant pas trop loin… La formule « mélangisme » me plaisait bien : pas de pénétration hors couple, uniquement des bisous, des caresses manuelles ou buccales, si les couples étaient d’accord. J’aimais aussi cette exigence de respect des personnes, les femmes restant toujours maîtresses du jeu.


Un jour, mine de rien, l’air naïf, après un bon repas, j’ai glissé un mot à mon épouse :



La réponse a été plutôt claire : no, niet, que nenni, non, non et non !

J’ai eu beau lui expliquer le mélangisme, le respect, la femme maîtresse du jeu, lui dire qu’on pourrait rencontrer les gens en « terrain neutre » et qu’elle pourrait toujours refuser… Non, non et non ! C’est à ce moment de blocage que j’ai glissé mon argument-choc :



Et la réponse fusa :



Quelques précisions s’imposent. Tout d’abord ma question est due à l’intérêt, je dirais même l’espèce de fascination que Béatrice semblait avoir pour les scènes d’amour entre hommes « bi » (mais pas entre gays), ce que j’avais remarqué quand elle aimait encore les films pornos. J’ai tenté le tout pour le tout. La réponse de Béatrice, littéralement estomaquée, vient de l’attitude très distante que j’avais toujours affichée pour les rapports sexuels entre hommes, sans être homophobe ou macho.


Une fois ces paroles prononcées, je me pris à les regretter, supputant après coup tout ce à quoi je venais implicitement de m’engager. Mais la cause avait été entendue. À partir de ce moment, discussion terminée, on passe aux choses sérieuses : le choix d’un autre couple.




2 - La première rencontre.



Les recherches se révélèrent assez longues en raison, sinon d’une réticence de ma chère et tendre, mais d’un maximum d’exigences de sa part en plus des miennes. Pour elle, le physique du couple était primordial, l’homme devant être sportif, agréable à regarder, sinon très beau, soigné, à l’inverse de la femme qui ne devait être ni trop belle, ni trop jeune, la jalousie native de Béatrice refaisant surface. Je laissais faire, trop content qu’elle accepte l’aventure et même y participe franchement, j’essayais juste de limiter les dégâts en ce qui concernait l’autre épouse.


Après moult tergiversations, nous choisîmes un couple de notre âge, à quelques années près, bien présentable, dont les désirs se rapprochaient beaucoup des nôtres et qui habitait pas très loin de nous. Sur les photos du site, l’homme présentait pas mal, malgré un début de calvitie, élancé et sportif, avec un grand sourire engageant. La femme était mince, assez grande et fine, peu de poitrine et de fesses, un visage assez quelconque, mais sur certains clichés, elle semblait bien coquine… Ils s’annonçaient comme couple, les deux « bi ». J’aurais préféré que lui seul le soit, craignant que l’épouse ne se concentre un peu trop sur Béatrice et pas sur moi. Mon épouse semblait satisfaite. Sans être bi, avoir une relation sexuelle avec une personne de son sexe ne la dérangeait pas outre mesure. Moi, je me demandais toujours dans quelle galère je m’étais fourré et comment j’allais m’en tirer…


Contact fut pris, mails échangés ainsi que des photos, plus ou moins érotiques, qui confirmèrent les bonnes impressions que nous avions eues auparavant. Nous convînmes ensuite d’un rendez-vous dans un café situé à peu près entre nos domiciles. La rencontre fut des plus cordiales, Annie et Edmond se révélèrent charmants, elle souriante et plus mignonne que sur les photos, lui bavard et très gay… oh pardon : très gai. Il fut décidé de se revoir, chez eux, huit jours après, un samedi, pour un dîner, qui pourrait être suivi d’un dessert assez spécial…. Tous, nous étions d’accord pour le mélangisme, au moins en un premier temps.


La semaine qui suivit me parut très, très, très longue… Je fantasmais sans arrêt, essayant d’imaginer le déroulement de la soirée, me demandant si je serais à la hauteur, si Béatrice ne changerait pas au dernier moment ? Ou moi ? Notre couple ne serait-il pas malmené par une telle expérience ? Ne devrais-je pas tout arrêter immédiatement ? Des rêves, ou des cauchemars m’assaillaient toutes les nuits. Tantôt c’était un rêve érotique dans lequel tout se passait à merveille, tantôt c’était un cauchemar dans lequel je me retrouvais nu face à Béatrice, Annie et Edmond qui étaient en tenue de gala et me regardaient, semblant se demander si je n’étais pas devenu fou ! Dans un autre cauchemar, mon sexe était devenu comme une nouille bien cuite et j’étais la risée des autres, Edmond arborant un engin gros comme un jéroboam qu’il voulait que je suce !


Je me réveillais chaque fois en sueur et mes questions prenaient la relève pour m’empêcher de dormir jusqu’au matin. La veille du rendez-vous, je me confiai à Béatrice qui me rassura complètement. Après tout, nous étions tous, adultes consentants, nous n’avions aucune obligation et étions libres de stopper les frais à n’importe quel moment si bon nous semblait. Je m’étais répété les mêmes arguments toute la semaine, mais le fait que mon épouse me les serve me calma tout à coup. Cette nuit-là, je dormis comme un loir, ce qui fit que j’étais malgré tout en assez bonne forme le jour du dîner.


Béatrice se prépara tout l’après-midi, prenant un bain très long, puis sortant toutes les cinq minutes pour me demander comment je trouvais sa coiffure, ou son maquillage, et, quelles que fussent mes réponses, retournait dans la salle de bain en disant dans ses dents : « Non ! Ça ne va pas ! »


Le choix de la robe fut identique, presque toutes y passèrent – et sa garde-robe est bien remplie – pour aboutir finalement à la phrase traditionnelle :



J’intervins alors pour la rassurer sur ses mensurations et lui dit qu’elle avait maigri, sans mentir ! Que j’adorais sa robe rouge qui lui conviendrait parfaitement :



Elle éclata de rire et adopta la robe rouge. Elle retourna dans la chambre tandis que je profitai de ce que la salle de bain était libre pour me préparer en quinze minutes. Peu après, elle sortit de la chambre. Je restai sans voix, ma mâchoire inférieure descendit d’au moins douze centimètres et je devais ressembler au loup de Tex Avery quand il voit une superbe blonde plantureuse. La robe la moulait mieux qu’un gant, mettant en valeur ses petites fesses rondes et hautes ainsi que sa poitrine arrogante. Elle portait des bas résille et elle releva sa robe pour me faire constater qu’elle avait des porte-jarretelles. J’en profitai pour reluquer sa petite culotte en fine dentelle noire. Sa coiffure et son maquillage étaient parfaits. Elle me demanda avec un sourire coquin :



La queue eut des difficultés pour se calmer et revenir en place…

Nous fûmes accueillis comme des rois par nos nouveaux amis. Annie n’était pas en reste avec Béatrice. En robe grenat et bas résille blancs comme ses chaussures à hauts talons, son maquillage était plus sobre, mais tout aussi seyant que celui de mon épouse. Celle-ci se fit complimenter avec enthousiasme par nos hôtes.


Le dîner qui suivit fut excellent et arrosé de vins parfumés et abondants. Le champagne servi avec le dessert nous plongea dans une certaine euphorie. Quand Annie et Edmond s’embrassèrent avec fougue et qu’il souleva sa robe pour lui caresser la foufoune sous son slip, nous comprîmes que les affaires sérieuses allaient commencer…


Annie invita Béatrice à se rendre dans la salle de bain pour un petit astiquage intime. J’en profitai pour discuter avec Edmond de sa bisexualité. Il n’avait que peu d’expérience dans ce domaine et me dit qu’il ne serait pas fâché outre mesure si je ne me sentais pas l’envie de franchir le pas.


Les épouses revinrent et les hommes passèrent à leur tour dans la salle de bain, mais séparément. Quand j’en sortis le dernier, je trouvai les femmes en train de se bécoter dans le grand divan, sous l’œil amusé d’Edmond, assis à côté de son épouse. Je m’installai près de la mienne. Nous commençâmes à nous caresser, d’abord les femmes entre elles et les hommes pelotant chacun son épouse. Peu à peu les mains s’égarèrent, celles des hommes sur la femme de l’autre, les conjointes sur les hommes. Les boutons commencèrent à sauter, les vêtements à voltiger. Quand nous nous trouvâmes tous les quatre en sous-vêtements, Edmond suggéra qu’un grand lit serait plus confortable pour la suite des évènements.


Le jeu des caresses continua un certain temps dans le lit pendant lequel le terme de « mélangisme » mérita tout son sens, l’un lutinant l’autre qui en pelotait un troisième… Mais Edmond et moi ne nous touchions pas. Les derniers sous-vêtements gisaient pêle-mêle sur le plancher, les caresses se faisaient plus précises. Edmond s’allongea entre les jambes de Béatrice et se mit à la sucer tendrement, ce qui la fit onduler de plaisir, J’en fis autant avec la chatte d’Annie qui semblait ravie. Nous inversâmes ensuite les rôles et les épouses tétèrent avidement nos queues.


Rompant la fellation, Annie tira Béatrice vers elle et elles se retrouvèrent allongées tête-bêche, se léchant la chatte à qui mieux mieux. Pour m’occuper un peu je les caressais toutes les deux. Edmond en fit autant un moment puis s’arrêta, contemplant le spectacle.


Remarquant que sa verge se dégonflait un peu, j’eus soudain envie de la prendre en main pour lui rendre vigueur, ce que je fis. Il sembla apprécier et me rendit la pareille. Je donnai un petit coup de coude à Béatrice pour attirer son attention. Elle jeta un coup d’œil et me sourit en haussant les paupières.


Edmond me prit alors dans ses bras, approcha son visage du mien et colla ses lèvres sur les miennes. Malgré la douceur de ses gestes, je ne l’avais pas vu arriver et la surprise fut totale. Je sentis sa langue pénétrer dans ma bouche et s’enrouler autour de ma propre langue. Je le laissais faire sans essayer de le repousser, mais sans participer.

Puis Edmond me fit allonger et s’étendit à son tour, il inclina la tête vers mon pénis et le prit en bouche. Cela me fit tout drôle de voir, et de sentir, un homme me faire une pipe, mais ce n’était pas désagréable. Regardant vers les femmes, je surpris le regard de Béatrice. Elle avait interrompu le léchage de la chatte d’Annie et nous fixait, les yeux ronds comme des boules de billard, la bouche béante, fascinée par le spectacle.


Je pivotai afin d’être en mesure de reprendre le sexe d’Edmond en main. C’est alors que Béatrice se leva et s’assit face à moi, derrière les jambes d’Edmond. Elle saisit sa verge et la branla doucement, ce qui eut pour effet de la remettre en forme très rapidement.

Elle me dit alors avec un sourire quelque peu vicelard :



Et elle tendit la verge vers ma bouche. Alors que je tirai la tête en arrière le plus possible, je sentis deux mains la bloquer. Une bouche veloutée déposa des baisers dans mon cou et la voix suave d’Annie me susurra :



La chipie ! Au même instant, Edmond fit un mouvement des hanches qui rapprocha définitivement son sexe de mes lèvres. Traître à la cause masculine ! Trois contre un ! La lutte était inégale et vaine, je me rendis donc. Du bout des lèvres, je pris timidement le gland en bouche. Il était gros et ferme, tout englué de liquide pré-séminal. Je léchai doucement, il n’avait pas de goût, je l’enfonçai de plus en plus profond dans ma bouche et commençai des mouvements de va-et-vient sur la hampe. Curieusement, cette fellation m’était plus agréable que le baiser sur la bouche. Je me répétais en boucle dans ma tête :



Levant les yeux, j’aperçus nos chères et tendres épouses qui ne perdaient pas une miette du spectacle. Heureusement, Edmond était meilleur suceur, expérience oblige, et je déchargeai le premier. Il se contenta d’avaler ma semence comme si c’était du petit lait.


Béatrice sembla avoir pitié de moi, elle m’écarta et pris ma place et la bite d’Edmond en bouche. Elle n’eut pas beaucoup de travail, car il éjacula à son tour très rapidement. Elle cracha discrètement le contenu de sa bouche dans un mouchoir, car elle n’aimait pas avaler. Et moi, je pensais « Ouf ! C’était moins une ! »


Les femmes se remirent au broutage de minous avec application et ne tardèrent pas à jouir tant elles étaient excitées. Nous fîmes une petite pause en éclusant quelques coupes de champagne bien frais. Nous recommençâmes ensuite les « cochoncetés », Béatrice s’installant en « 69 » avec Edmond et moi faisant de même avec Annie. Nous jouîmes chacun notre tour une deuxième fois et la soirée s’acheva ainsi. Nous nous quittâmes en nous embrassant sur la bouche, tradition chez les libertins.

Le retour chez nous fut silencieux, chacun restant dans ses souvenirs de la soirée. Ce n’est qu’en se couchant que je demandai à Béatrice :



Le lendemain matin, dimanche, grasse mat’. Je somnolais en rêvant aux évènements de la veille. Nous étions tous les quatre dans le grand lit et Edmond me prenait la bite et me la branlait doucement, puis la prenait en bouche pour une délicieuse gâterie. C’était tellement bon que je me réveillai. Contre toute attente, on me suçait toujours la queue. Je soulevai le drap et aperçus Béatrice, mon pénis dans la bouche.



Elle remonta pour m’embrasser, me caresser, me câliner… Elle monta sur moi, présentant son cul sous mes yeux et ré-emboucha ma queue ! Que j’aimais cette position ! J’avais une vue imprenable sur sa chatte et son anus ! Je n’avais qu’à passer la langue et lécher en faisant des allers-retours entre les deux trous, en faisant le tour de l’un et l’autre en passant ! Béatrice se tortillait de bonheur.


Elle ne resta pas longtemps dans cette posture. Elle s’installa entre mes jambes, les releva et reprit Popaul en bouche. Ce faisant, elle caressait mon anus et mes testicules. Elle releva la tête et récupéra sur ma verge le mélange de salive et de liquide pré-séminal avec son index. Lequel doigt vint ensuite forcer mon sphincter anal. Lubrifié comme il l’était, l’index s’enfonça comme dans du beurre. Il fut bientôt rejoint par son frère majeur. Avec une expertise que je ne lui soupçonnais pas, la coquine farfouilla le colon jusqu’à trouver le renflement de la prostate, qu’elle se mit en devoir de masser doucement. Se faisant, elle me dit :



Curieusement, ce traitement eut pour effet de dégonfler complètement mon sexe. Béatrice profita de sa petite taille pour l’engloutir entièrement dans sa bouche, ce qu’elle ne peut pas faire quand mon sexe est bien bandé, tout en continuant son massage de prostate. Je finis par avoir une éjaculation mémorable et abondante, Béatrice en eut la bouche pleine et laissa tomber le sperme sur mon ventre. Elle en lécha une bonne partie qu’elle avala en se pourléchant les lèvres pour la première fois.

Je lui rendis ensuite le même service, lui léchant le clitoris, deux doigts bien lubrifiés dans son anus jusqu’à ce qu’elle se tortille sous une jouissance des plus fortes qu’elle n’ait jamais connue.

Dans la journée, je téléphonai à Annie et Edmond et nous fixâmes un nouveau rendez-vous coquin.




3 - Deuxième rencontre.



Le jour fixé, le rendez-vous était prévu chez nous cette fois. Béatrice et moi étions plus détendus que pour la première rencontre.

Mon épouse, fine cuisinière, passa moins de temps dans la salle de bain et beaucoup plus dans la cuisine. Elle fut néanmoins prête à l’heure et tout aussi resplendissante qu’au premier dîner, ayant retrouvé, « par hasard » une autre robe aussi sexy que la rouge. Avant l’arrivée de nos convives, je dus la rassurer sur ses facultés de séduction en inspectant sa tenue. Une fois que j’eus conclu par un « Parfait ! », elle se tourna et souleva le bord de sa robe jusqu’aux hanches en me disant « Ça te va ? » Je faillis m’étrangler en apercevant son cul nu !


Annie et Edmond arrivèrent à l’heure, je ne demandai pas à Annie si elle avait mis une culotte, mais la question me turlupinait. Le dîner fut excellent et la cuisinière reçut maints compliments. Après le champagne et le passage dans la salle de bain, les cochoncetés débutèrent sans traîner dans un lit où nous étions assez serrés.


Après de multiples caresses, manuelles et buccales, pratiquement toutes les combinaisons de couples ayant été testées, je me retrouvai couché au-dessus d’Annie, ma bite dans sa bouche et ma langue sur son clitoris. Béatrice, allongée tout près appréciait la langue d’Edmond qui lui léchait consciencieusement la vulve. Béatrice profita qu’elle avait les mains libres et mon derrière à leur portée pour me caresser l’anus, puis elle humecta un doigt de sa salive, le tourna autour du trou quelques secondes et l’y fit pénétrer, elle trouva vite la prostate et la massa avec application. Je sentis, en même temps que le doigt, que le spectacle excitait Annie dont les yeux se trouvaient juste en dessous. Elle s’agita de plus belle sur ma verge et se l’enfonça au plus profond de la bouche. Sucé et enculé, je ne pus résister bien longtemps et j’éjaculai avec une jouissance extrême. Mon sperme fut expédié directement dans la gorge de ma fellatrice et fut avalé instantanément. Béatrice jouit presque aussitôt.


Edmond se retrouvant le seul à ne pas avoir pris son pied, les femmes et moi nous relayâmes pour le sucer à tour de rôle, pendant une minute chacun. Je gagnai à ce jeu puisqu’il finit par éjaculer lorsque c’était mon tour, mais j’aurais préféré perdre ! Hésitant à avaler le sperme, Annie vint à mon secours, m’embrassant à pleine bouche, délayant le foutre de sa langue et m’en délestant d’une bonne moitié. Elle alla ensuite embrasser Béatrice pour lui céder un peu de jus, celle-ci boucla la boucle avec Edmond. Une fois le sperme bien mélangé avec de la salive, je le trouvai plus facile à avaler, ce que je fis, comme les autres.


Après une pause dans les activités, Béatrice vint s’allonger sur moi, frottant sa vulve sur mon pénis et me dit :



Elle ne se le fit pas répéter et entreprit de requinquer ma queue avec ses lèvres intimes, ses mains et sa bouche. Quand Popaul se fut redressé assez, il fut englouti dans un vagin chaud et mouillé. Nos amis ne tardèrent pas à nous imiter et la soirée se termina après ces derniers échanges de fluides.


Avant de nous quitter, Annie demanda qui serait d’accord pour passer à l’échangisme et donc autoriser toutes les pénétrations. Un « oui » unanime retentit, concluant nos relations mélangistes.


Le lendemain, boulot. J’avais encore l’esprit dans ces soirées et je ne fus pas très performant ce jour. Je quittai l’atelier en milieu d’après-midi, profitant de ce que le travail était au ralenti pour y mettre fin plus tôt. Béatrice était déjà rentrée chez nous et je fus étonné de la voir vêtue d’une robe extra-courte, que je ne lui avais jamais vue porter d’ailleurs. Elle portait également les bas résille des grands jours et des talons hauts. Je lui demandai :



Je ne courus pas, je volai dans la salle de bain, imaginant tout de suite de quel ordre allait être la surprise en question, pariant que ma légitime avait encore laissé tomber sa culotte. Je sortis de la salle de bain avec juste une petite serviette autour des reins.

Béatrice me prit par la main, m’amena jusqu’au lit conjugal et me dit :



J’obéis. J’entendis le bruissement de sa robe qu’elle ôtait, un autre froissement que je devinai venir de son soutien-gorge qui tombait. Attention ! Culotte ou pas ? Non !

Le sommier s’affaissa légèrement et je sentis qu’elle s’installait entre mes jambes, une sensation de froid et une main qui fouille mon anus ! La voix de ma chère et tendre retentit :



Je n’eus pas le temps de m’inquiéter de ces paroles sibyllines… un objet froid, dur et assez volumineux essaya de se frayer un chemin dans mon anus, forçant mon sphincter anal. Bien aidé par la lubrification préalable, il ne tarda pas à m’envahir le colon. La douleur que j’avais ressentie se calma un peu, comme si le plus gros avait franchi le sphincter. Le plus gros, mais pas le plus long… L’objet continuait à s’enfoncer doucement, mais sûrement. Quand il arrêta son avancée, Béatrice me dit :



Le gode était reparti, en arrière, puis revint encore plus profond. Je sentis le ventre de Béatrice sur mes fesses et supposai que j’avais les vingt-quatre centimètres dans le colon. Le va-et-vient continua et je commençai à m’habituer, la douleur disparut pour faire place à un certain plaisir, ma prostate étant excitée convenablement. Avant que je jouisse, Béatrice se retira, me fit retourner et me dit :



Elle s’allongea sur le ventre sans ôter le gode-ceinture, je m’allongeai sur elle et la sodomisai sans ménagement, mon sexe étant bien lubrifié, il s’engouffra sans forcer entre les fesses qui m’étaient offertes. Mes va-et-vient furent si intenses que Béatrice rebondissait sur le matelas. Je passai une main secourable sous elle pour titiller son clitoris. Nous atteignîmes le plaisir en même temps, longuement et intensément. Nous nous séparâmes, essoufflés, épuisés, heureux. Je reluquai ma femme avec son gros sexe et je me dis que c’était aussi la première fois que j’enculais quelqu’un qui a une grosse bite !