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Temps de lecture estimé : 8 mn
25/01/19
Résumé:  Aurore se souvient de la soirée avec Max.
Critères:  fh hplusag collègues hépilé fellation cunnilingu init -totalsexe
Auteur : Philippe Vincent      
Les souvenirs d'Aurore

Aurore se retrouve rapidement seule, elle envoie un texto à sa mère pour que celle-ci récupère ses enfants. Elle se laisse aller au fond de son fauteuil et ses pensées la ramènent à la première soirée passée en compagnie de Max…


Il avait remarqué que quelque chose n’allait pas chez elle. Il avait tenté d’être drôle, mais l’humour n’était pas quelque chose d’inné chez lui, cela l’avait attendrie alors lorsqu’il lui avait proposé une soirée détente et découverte, elle avait accepté… il était passé la prendre chez elle à 19 h.

Il était habillé simplement d’un jean et d’une chemise aux motifs toujours originaux. Les chaussures, la ceinture et la montre étaient assorties.


Très élégant, pensa Aurore en le voyant.


Elle s’était vêtue d’une robe d’été dans différents tons de vert, la couleur de l’espoir, qui lui arrivait au-dessus du genou, de chaussures à talons compensés, assorties à son châle. Cet ensemble mettait en valeur ses grandes jambes et faisait ressortir ses épaules de nageuse, sport qu’elle pratique régulièrement.


Il l’a emmenée dans un endroit qu’il connaissait bien et qui était très festif pendant ce mois de juillet, le festival d’Avignon. Ils sont d’abord allés boire une bière en terrasse d’un pub ou un groupe jouait des reprises anglo-saxonnes plutôt sympas à écouter, bonne ambiance. Là, il a commencé à lui vanter le principe du festival avec ses théâtres improvisés et sa variété de représentations, toutes autant diverses les unes des autres.


Elle était surprise par ses connaissances culturelles et sa rhétorique sur le sujet.

Un groupe de personnes faisait la distribution de tracts pour leur pièce. Il passait de table en table pour expliquer leur pièce. Il a échangé avec eux et leur a promis qu’il irait les voir, mais un autre soir, car la jeune femme qui était assise à côté de lui avait besoin de rire et de s’évader. Et qu’avec la pièce qu’il avait prévu de voir, il était sûr de la distraire. Tout cela dans une éloquence qu’elle ne lui connaissait pas. Elle était sous le charme.


Ils se sont dirigés, en traversant la ville, vers le cinéma « Le Palace » reconverti en théâtre pour l’occasion. Ça se passe comme ça, à Avignon ! Toutes les salles pouvant accueillir des personnes sont transformées en salle de spectacle, pendant cette période. Toutes sortes de productions sont présentées, des one man shows, des pièces et des spectacles divers, le choix est très éclectique.

Max l’emmenait voir une pièce, que lui-même avait déjà vue et qu’il avait adorée. Elle était jouée par ses auteurs. Le thème était le changement de genre d’une personne, en l’occurrence un homme voulait devenir une femme, la scène se déroulait dans un appartement où vivent trois colocataires :


• Le prof, célibataire et un peu coincé

• Le supporter de foot, coureur de jupons et macho

• Le troisième, comptable, et qui se pose beaucoup de questions.


Au sortir de la salle, Aurore était hilare de toutes les facéties interprétées dans la pièce, qui avait permis de parler d’un sujet complexe avec humour. Ils ont félicité les acteurs pour leurs jeux et leurs interprétations.

Aurore était très détendue et en avait oublié ses soucis et les problèmes générés par la séparation d’avec son mari.

Ils allèrent dans un restaurant place des Carmes, où, là aussi, elle passa un agréable moment tant par la discussion avec Max que par la dégustation des plats. C’est après ce moment qu’il proposa de la raccompagner chez elle, mais elle n’avait pas l’intention de rentrer, alors elle lui proposa d’aller chez lui.


Arrivé chez lui, Max lui proposa un digestif, un rhum ramené de Cuba lors d’un de ses voyages. Elle accepta dans un premier temps. Elle ne lui laissa pas le temps de servir les boissons, elle se jeta à son cou. Leurs bouches se rencontrèrent et leurs langues ont commencé à danser l’une contre l’autre dans un baiser fougueux. Rapidement Max promena ses mains sur le corps d’Aurore pour pouvoir en découvrir les formes. Ses formes qu’il avait tant de fois enveloppées d’un regard inquisiteur. De son côté, Aurore ne perdait pas de temps, elle avait passé ses mains sous la chemise de Max, rapidement celui-ci se retrouva torse nu. En plus de les sentir et les admirer, elle pouvait palper les muscles de cet homme qui l’avait surprise toute la soirée.


Max partit à la découverte de la peau d’Aurore par de petits baisers d’abord dans le cou puis sur les épaules où il repoussa les bretelles de la robe, qui tomba aux pieds de sa partenaire. Il passa les mains dans son dos pour défaire le soutien-gorge et découvrir une poitrine ferme avec des mamelons tendus par l’excitation. Il enveloppa le sein droit de sa main, tout en refermant ses doigts sur l’extrémité qu’il compressa. Sa bouche partit à la découverte du sein gauche d’Aurore, qui laissa échapper un soupir de plaisir.


Les doux baisers qu’il déposait sur la poitrine le menèrent au mamelon qu’il aspira tout en l’enveloppant de sa langue. Aurore se tendit, elle chercha la bouche de son partenaire, pour échapper à cette attaque qui la fit tressaillir. Cette bouche qu’elle envahit de sa langue, mais cela ne fit pas retomber son excitation. La main de Max caressa les fesses fermes de sa partenaire tout en reprenant ses baisers sur la peau hâlée d’Aurore. Rapidement il se retrouva à genoux devant cette belle brune au corps pulpeux, qui l’encourageait dans son initiative. Il continua à goûter sa peau en faisant descendre le dernier rempart qui lui faisait obstacle à la découverte de ce coquillage féminin qu’il aimait tant déguster.


Il la fit s’asseoir sur le divan et commença à couvrir ses cuisses de baisers. Il descendit jusque sur les pieds de la belle, qui à ce moment-là se demandait s’il ne s’était pas trompé de chemin. Lorsqu’il remonta à l’intérieur de ses cuisses, elle sentit naître en elle quelque chose qu’elle n’avait jamais connu. Max reconnut les frissons sous la peau de la belle, ce qui le fit bander de plus belle. Par petites touches avec la langue, il partit à la découverte du sexe d’Aurore. Il le couvrit de baisers, mais aussi de petits coups de langue avant de faire connaissance avec le clitoris que l’excitation avait fait sortir de sa cachette.


À ce moment-là, Aurore ferma les cuisses et poussa un cri de jouissance, Max continua à titiller le petit bouton, mais Aurore le stoppa rapidement. Elle vint à la rencontre de sa bouche pour un baiser dévastateur. Max se couvrit d’un préservatif, allongea Aurore sur le divan et vint sur elle, la pénétra lentement, mais avec assurance jusqu’à venir masser son clitoris avec son bas-ventre. Lorsqu’il sentit Aurore partir, il l’accompagna avec des va-et-vient puissants, qui les emmenèrent tous les deux vers le septième ciel. Ils reprirent leurs esprits en s’embrassant de façon plus langoureuse.

Max de retour dans la pièce, toujours nu, trouva Aurore enveloppée dans un plaid. Il lui proposa à nouveau quelque chose à boire.



Il prépara de suite le cocktail et au bout de quelques minutes :



Aurore sourit.



Ils se retrouvaient assis sur le divan ou tout en dégustant leur boisson Max caressait le mollet d’Aurore.



Leur baiser devint une nouvelle fois torride et leurs mains repartirent à la découverte de l’autre. Max passa de la bouche d’Aurore à son cou une nouvelle fois, mais ne s’y attarda pas. Il se releva, prit Aurore par la main et l’entraîna dans sa chambre.

Là, ce fut Aurore qui prit les choses en mains. Elle poussa Max sur le lit et s’allongea sur lui. Ils s’embrassèrent avant qu’elle aille parcourir son corps avec sa bouche. Elle en profita pour palper ces muscles, caresser son torse. Il correspondait tout à fait à son type d’homme, musclé, doux, mais pas nounours.


Sa bouche, toujours en contact avec la peau de cet homme qui l’envoûtait, finit par rencontrer son sexe, libre de tout poil, une première pour elle. Elle le prit en main et se mit à le masturber tout en continuant à déposer de nombreux baisers à la base de ce sexe de belle dimension. Elle se mit à l’embrasser pour le remercier du plaisir qu’il lui avait procuré quelques instants avant. Aurore finit par prendre en bouche le gland comme une boule de glace puis donna des coups de langue le long de la verge comme elle les aurait donnés le long d’un cornet de glace.


Ses coups de langue finissaient sur la base du gland, cela plaisait beaucoup à Max qui, à force de contorsions, arrivait à caresser les fesses d’Aurore. Sa main s’aventura entre les deux globes où il effleura l’anus de la coquine qui se cambrait à chaque caresse. Ce dernier admirait sa partenaire à travers l’image que lui renvoyait le miroir de l’armoire installée au pied du lit. Cette vision l’excita encore un peu plus et, avant qu’il atteigne le point de non-retour, il lui donna un préservatif, qu’elle mit en place à l’aide de sa bouche. Aurore voulait profiter pleinement de ce sexe et n’abusa pas de sa fellation.


Telle une tigresse, elle remonta le long du corps de son partenaire, elle ne lâcha pas ce membre sur lequel elle vint se masturber avant que sa vulve ne l’engloutisse. Elle voulait garder la maîtrise de la situation. Elle lui plaqua les bras au-dessus de la tête et commença, telle une cavalière, des va-et-vient sur ce sexe qui lui procurait tant de plaisir. Du bout de sa langue, Max caressait l’extrémité de ses seins qui le provoquaient. C’est cette excitation mutuelle qui les fit décoller tous les deux. Ils se retrouvèrent, haletants, allongés l’un sur l’autre et mirent un certain temps avant de retrouver leurs esprits.


La moiteur de leur corps et la température caniculaire de ce mois de juillet les entraînèrent sous la douche, Max continua de faire découvrir à Aurore ses talents, dans les caresses sur son corps. Elle se demandait où elle était tombée. Jamais un homme n’avait pris soin d’elle comme ça, elle était charmée. Max continua de porter toute l’attention possible à ce corps magnifique pendant l’essuyage.