n° 18800 | Fiche technique | 47106 caractères | 47106Temps de lecture estimé : 28 mn | 26/01/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Nos partenaires-manipulateurs d'un soir nous recontactent. Ils ne doutent de rien ! On va leur montrer que nous ne sommes pas si naïfs. | ||||
Critères: 2couples hplusag fplusag cocus vengeance fellation 69 pénétratio hsodo échange confession -entrecoup | ||||
Auteur : Faustine |
Épisode précédent | Série : 2018-2019 Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Résumé de l’épisode précédent : « Réveillon »
Martine et Max sont tombés dans un piège lors du réveillon de Nouvel An. Surtout Martine à qui son cavalier a fait croire que son mari était dans la chambre à côté avec sa propre femme. Ce qu’elle entendait était en réalité un fichier son, tout à fait réaliste et manifestement prévu pour la berner. Elle a cédé à l’homme, pensant se venger. Pendant ce temps, Max était lui aussi tombé dans le piège, cependant plus classique, de la femme qui s’offre.
Les jours qui ont suivi m’ont paru bien étranges. Je ne cessais d’osciller entre colère et culpabilité.
Colère d’avoir été si crédule. De m’être fait mener par le bout du nez par cet homme. D’avoir cédé si facilement.
Culpabilité d’avoir trompé mon mari, mais elle a assez vite disparu lorsque nous avons convenus que lui et moi avions des excuses et que cela ne remettait pas en cause notre couple.
Non, la culpabilité d’avoir éprouvé du plaisir. Un plaisir intense, que je n’avais plus éprouvé depuis longtemps, alors que Max et moi faisions tout pour que notre sexualité soit toujours forte. Je ne cessais de lier cette jouissance à la situation particulière. Un amant ! Le premier en trente années de mariage. Peut-être aussi que j’étais excitée par tous ces cris et gémissements de la pute derrière cette cloison, même si je pensais que c’était mon mari qui la besognait. Je ne peux ignorer la force de la suggestion et la puissance érotique d’un inconscient pourtant bien habitué à des mises en scène que nous utilisions, Max et moi, pour exalter un peu nos baises.
D’ailleurs je pense que je ne suis pas la seule à être perturbée. Je sens bien que mon mari est comme moi.
Mais que pouvons-nous y faire ?
Oublier, c’est le mieux !
Oui, à condition que rien ne vienne perturber notre « cicatrisation ».
Il rit.
On dit que la nuit porte conseil surtout lorsque la soirée a été bien remplie. Et pas seulement la soirée. Notre petite conversation a servi de déclencheur. Max a été inventif. Il s’est fait aider par nos jouets pour bien me faire jouir et lorsqu’il s’est, pour la deuxième fois, vidé dans ma chatte après avoir honoré ma bouche, j’ai pris le relais. Notre gode-ceinture est mon complice. Il aime se glisser dans le petit trou de mon mari. Moi j’aime voir « Mamour » allongé face à moi, le cul envahi et limé par mes coups de reins ravageurs. Oui j’aime voir sur son visage ce voile de plaisir alors que je le branle et que son foutre jaillit si fort qu’il peut aller jusqu’à son visage.
Vous voyez, pas besoin de partenaires pour bien s’envoyer en l’air !
Jeune blanc bec, lorsque vous aurez notre âge, saurez-vous garder la flamme de l’amour et des baises qui vont avec ?
Donc je disais que la nuit porte conseil.
Journée qui défile avec une lenteur de merde. Enfin je me libère. Max est à la maison. Avant même de dire bonjour un : « Alors cette idée ? » marque mon impatience.
Max m’explique son idée. Jamais je n’aurais imaginé ce genre de situation, mais surtout :
Maw m’explique à nouveau en me donnant plus de détails.
Je lui détaille tout ce qui, de mon point de vue, rend son idée irréaliste. Mais à chaque fois, soit il me répond qu’il y a pensé, soit il réfléchit et me trouve une solution. Arrive tout de même un point qui me paraît bloquant :
Un silence, et Max me prend dans ses bras :
Je ne réponds pas. Lui comme moi, avons soudain conscience de ce que « donner un peu de nous-mêmes » peut signifier dans un moment pareil…
On sonne. IL sonne.
Max, qui a réfléchi à chaque détail, a même baissé la sonnette afin que de là-haut on n’entende pas. Lui est dans la chambre avec Armelle. Je les ai vus passer. Ils sont entrés par la porte du jardin pour éviter le risque de croiser Julien s’il arrivait trop tôt. La femme était déjà comme une sangsue. En bas de l’escalier, elle était déjà accrochée à lui et ne se gênait pas pour le peloter avec des paroles du genre : « Que je suis contente ! On va avoir plus de temps… Tu vas voir ce sera bien… Je suis impatiente… » La salope ! Si tout se passe bien, j’aurais ma revanche. Il faut que tout se passe bien.
J’ouvre. Très vite je le fais entrer, car je ne veux pas prendre le risque que de la rue on puisse me voir ainsi.
Je pense qu’une femme ne se lassera jamais des étoiles dans le regard d’un homme, de la surprise lorsqu’il nous découvre, du « oh » et que dire du « Que tu es belle ! ». C’est exactement la réaction de Julien lorsqu’il me voit. Mais il ne reste pas figé, amoureux transis, que déjà il avance pour m’enlacer. Son baiser respire le désir, ses mains sont plus que baladeuses. Je me demande si l’idée de mon mari était si bonne que cela.
Il m’avait dit :
Il avait ajouté :
J’avais répondu :
On avait conclu ainsi.
Les décider à venir avait été très facile.
Max, dans le rôle du mari fidèle qui veut goûter à nouveau au fruit défendu.
Moi, dans le rôle de la femme bafouée qui a surpris son mari en pleine conversation avec Armelle et qui propose à Julien de la rejoindre… chez moi… dans le lit conjugal. Pour reproduire ce que mon mari adore, mais avec un amant afin que lorsqu’il saura, et il saura, car je veux nous filmer, il soit vraiment cocu jusque dans ses propres fantasmes.
Inutile de dire que Julien avait sauté sur l’occasion.
Et l’occasion il l’avait sous les yeux. Il l’avait même sous la main. Déjà, il passe une main sous la jupette et découvre que mon slip lui laisse mes fesses accessibles. Deux boutons du chemisier lui donnent accès à mes seins.
J’ai bien du mal à l’attirer jusqu’à salon. J’essaie de le calmer par un :
Il obéit, manifestement prêt à tout, du moment que je passe à la casserole. D’une certaine façon, je peux être fière de produire un tel effet sur un homme plus jeune que moi.
Sous son manteau, il est en chemise. Il y a bien longtemps que je n’ai plus détaché les boutons d’une chemise d’homme.
Dire qu’il me facilite le travail est un euphémisme. Il a dix mains. Certaines m’aident à le déshabiller. D’autres enlèvent mon chemisier, détachent ma jupe pour me laisser en string.
Oh le regard !
Oh le soupir !
Oh le sourire !
Oh ! Oh ! La verge à demi dressée !
Oh, ce nouveau baiser qui me colle à lui.
Cela ne va pas être évident. Il faut que je lui rappelle pourquoi je l’ai fait venir.
Je me saisis de son mandrin dans une main caressante alors que je lui rappelle à l’oreille la raison de sa présence, vengeance de femme bafouée, scène particulière pour que le mari se sente lui aussi bafoué, punit, cocu au plus profond.
Un dernier baiser et j’ajoute :
Il me guide, m’enlace, me caresse. Je bute contre le canapé. Je me retrouve assise.
Je suis piégée. Impossible de refuser une petite gâterie. Il ne comprendrait pas.
Il est debout. Son pénis est presque en érection. Ma main a déjà contribué à le raffermir. Je ne peux qu’ouvrir les lèvres devant ce que Julien me présente. Je l’ai déjà caressé. Je me suis déjà possédée sur lui. Il m’a déjà procuré cette jouissance si forte, la nuit du jour de l’an.
Le gland est doux, tendre, avec cette petite goutte qui perle, signe de l’excitation. Je l’encercle de mes lèvres et ma langue le lèche. Je le sens grossir, palpiter et j’avance sur le mandrin, laisse l’engin avancer dans ma gorge.
Alors je fais de mon mieux. Max m’a souvent guidée dans mon approche de la fellation, pour son plaisir et le mien. Sentir une queue se gonfler par mes caresses. Entendre les gémissements de l’homme que l’on suce et qui cherche à avancer encore plus. Étaler généreusement de la salive afin que chaque mouvement déclenche des chuintements sonores. Lever la queue bien dure pour se glisser dessous et lécher les deux bourses. Les sucer, les gober, les faire rouler dans sa bouche Pousser sa langue tout en bas dans une caresse plus suggérée que faite, mais qu’une main, un doigt peut concrétiser. Je n’ose pas pour cet homme. Pour Max, il adorerait que je lui glisse un doigt dans son petit trou, caresse pleine de sous-entendus et de promesses !
Julien apprécie. Il m’encourage. Est-il sincère lorsqu’il me dit que je suis une bonne suceuse ? Que sa femme, la salope, ne ferait pas mieux. Et pourtant elle s’y connaît et Max pourrait me le dire, il ajoute !
Le salaud. Il cherche à jouer sur ma jalousie, titillant mon amour propre de femelle. Mais d’une certaine façon il n’a pas tort. Si cela se trouve, Armelle est en train de bouffer la queue de mon mari. Aurait-il poussé le sacrifice aussi loin ? Comme moi… Quel homme aussi fidèle soit il peut refuser de se faire sucer par une salope entreprenante ? Un peu comme Julien que je pompe.
Julien qui ne veut plus n’être que spectateur de mes caresses, mais qui devient acteur enserrant ma tête de ses deux mains puissantes et qui utilise maintenant ma gorge pour se baiser. Il est excité, impatient, manifestement désireux de se conduire à la jouissance. Il a sous-entendu qu’il voulait avoir un premier plaisir avant de monter afin d’assurer un spectacle que le mari cocu verra plus tard.
Je n’avais même pas pensé à cela, si peu habituée à l’obligation de se protéger.
Il me libère la tête. Est-ce un geste qui veut me laisser libre. Après tout, toutes les femmes n’acceptent pas de se faire remplir la bouche de ce liquide gluant et qui associe tant de non-dits, de craintes, même parfois de dégoût. Mais pas moi. Au début oui, mais maintenant non, au contraire. Le sperme n’est rien, tout est dans le geste.
Le recevoir tout en regardant son amant, sentir la queue qui se prépare à chaque jet, le canaliser, jouer avec la langue, refermer les lèvres lorsque la bite se retire comme pour conserver un trésor, parfois montrer dans un mouvement obscène de lèvres qui s’ouvrent pour lui laisser voir le résultat de son action, regarder encore, regarder toujours les yeux de l’amant qui suit le mouvement de son foutre, la gorge qui déglutit, la langue qui suit les lèvres pour récupérer à la commissure les quelques gouttes qui ont tenté de s’échapper.
Voilà ! C’est fait.
Julien est tout à moi, hypnotisé.
Je lui ai donné un sacré aperçu de ma volonté de me venger.
Maintenant, il me suffit juste de le guider.
Je me relève.
Il est aux anges. Il sourit. Ses yeux pétillent. Je ne sais pas si sa salope de femme le pompe aussi bien, mais en tout cas ma prestation doit lui donner un avant-goût de ce qu’il peut envisager dans la chambre. Pour un peu je regretterais presque que ce soit Armelle qui soit sur le lit, dans le noir, bâillonnée, attachée et non pas moi…
Il me faut quelques secondes pour comprendre.
Oh là là ! Comment il peut savoir ? Mais non, juste une tentative de déstabilisation.
Il sourit.
Il me prend la main. Arrivés dans le couloir du premier étage il me fait passer devant. La porte de la chambre est entrouverte comme prévu. Il fait nuit noire. Nous entrons. Julien cherche l’interrupteur. Mais il ne fonctionne pas. Max avait craint un geste réflexe et avait enlevé l’ampoule.
La voix est conciliante. Le, s’il te plaît, la preuve que l’homme n’est pas en colère.
La lampe de chevet éclaire la chambre d’une lumière diffuse, mais bien assez pour découvrir Armelle sur le lit, attachée comme prévu. Elle est étonnée de notre présence. Manifestement, elle était dans le scénario de Max.
Et tout en détachant sa femme, il lui dit :
Un silence. Il n’est pas nécessaire de préciser qu’il parle de la nuit du jour de l’an. Qu’est-ce qu’il attend ? Que Max vienne le rejoindre ? Qu’il s’excuse ? Mais il reprend :
Mine de rien, Julien vient de faire savoir à mon mari que je l’ai sucé. Est-ce que Max avait été jusqu’à imaginer cela dans ma tentative pour « motiver » l’homme.
Mais Max est-il devant l’écran ? Peut-être qu’il a eu envie de boire quelque chose ! Qu’il ne sait pas que notre piège est déjoué. Pour l’instant, c’est moi qui suis aux premières loges. Je suis totalement dépassée par ce qui arrive.
J’avais envisagé que Julien s’aperçoive qu’il baisait sa femme dans la chambre, mais pas que le subterfuge soit découvert si tôt. Que je me retrouve ici, avec le couple, surtout avec cet homme si sûr de lui, à l’aise dans une situation qui en déstabiliserait plus d’un. Je ne vais tout de même pas m’enfuir. Non, pas chez moi ! Pas devant eux ! D’ailleurs il n’y a aucune menace. Tout se passe dans le calme. C’est juste qu’on est tous les trois à poil. Enfin, moi j’ai encore mon string, mais on ne peut pas dire qu’il me protège de leurs regards. Surtout celui d’Armelle que je sens peser sur moi. Max aussi, mais lui me connaît. Je ne sais pas pourquoi, mais ce n’est pas seulement ma nudité qui semble les attirer. Non, il y a autre chose. Ils se sourient, complices, comme s’ils pensaient la même chose en me voyant. Probablement que Julien ne s’est pas privé de conter ses exploits à sa femme et comment il m’avait baisée…
Max. S’il te plaît Que fais-tu ? Pourquoi tu ne viens pas. Tu ne peux pas ne pas savoir. Même si l’écran ou la caméra est en panne, je devrais être avec toi. Tu as dû entendre monter les escaliers. Comme tu ne me vois pas te rejoindre, tu dois bien penser que quelque chose cloche.
Julien s’adresse à nouveau au travers de la caméra.
Avant même la suite de la phrase, je vois Armelle se rapprocher de moi. Depuis que j’ai allumé la lampe de chevet, je n’ai pas bougé comme hypnotisée, paralysée de cette situation.
Il n’a pas besoin de préciser. Armelle est face à moi. Je suis prise au piège, dans le coin de la chambre, sans échappatoire, si ce n’est de pousser celle qui me fait face. Elle n’est pas menaçante. Bien au contraire. Un sourire aux lèvres, elle avance une main. Une main douce, chaude qui ne fait que caresser une joue, repousser une mèche de cheveux, caresser ma nuque.
Mais pas que ! Elle est si proche que je sens sa respiration. Seulement quelques millimètres nous séparent. J’ai l’impression de sentir sa chaleur sur tout mon corps alors qu’elle ne me touche pas.
Max ! Que fais-tu ? Viens à mon secours ! Tu ne peux pas me laisser seule assumer notre erreur. Un fiasco qui, de vengeresse, me transforme en proie.
Je regarde vers la porte, mais tu n’en franchis pas le seuil. Pourquoi ? Pourquoi me laisser ainsi ? Pourtant tu peux voir ce que le couple envisage. Serait-ce que tu veuilles…
Combien de fois avons-nous regardé des vidéos avec des femmes, seules ou en couple, montrer une sexualité différente ? Nous nous étions questionnés sur nos aventures avant le mariage. Je n’avais aucune expérience féminine à avouer. Toi, de ton côté tu avais reconnu, dans ta jeunesse, quelques jeux entre garçons, mais sans aller jusqu’à te faire prendre toi-même. Tu avais goûté au petit cul d’un copain, pas plus. C’est d’ailleurs cette confidence qui m’avait incitée à aller voir de ce côté pour te « réaliser » entièrement.
Et cette main qui bloque ma tête ! Ce visage qui s’approche ! Ces lèvres qui… oui, qui effleurent les miennes. Ce goût si particulier ! Je le reconnais, comme elle doit reconnaître celui de mes propres lèvres.
Max ! Max !
Elle force ma bouche. Sa langue s’insinue. Le goût est plus fort. Ton foutre se mêle à celui de mon amant. C’est… C’est…
Ohhh… Ce corps chaud qui se colle au mien ! Armelle ressent-elle aussi cette brûlure bien au-delà d’un simple contact ?
Max ! Max ! Que dois-je faire ? Dois-je la laisser ? Viens ! Viens, me délivrer.
Oui, me délivrer. Si tu ne viens pas, dois-je penser que je peux… me laisser… que tu veux…
Mon Dieu cette caresse ! Cette paume, brûlante, qui fait que mon sein se gonfle avec le téton qui n’a pas d’état d’âme pour pointer. Et cette langue qui cherche la mienne ! Cette salive ! Ce goût si parlant !
Tu ne viens pas ! Alors c’est aussi bien. Je peux me laisser faire. Laisser ce pubis se frotter au mien. Laisser cette main qui quitte ma nuque pour descendre lentement vers mes reins, mes hanches, mes fesses.
Et en face de moi, Julien qui nous regarde. Il n’a pas l’air étonné. Cela lui paraît normal. Comme s’il avait déjà vécu cette scène.
Et je comprends que ce couple qui paraît si jeune est en fait expérimenté. Que nous ne sommes certainement pas leur première conquête. Que le jeu pervers du jour de l’an n’est qu’une flèche à leur arc. Arc de Cupidon plus terre à terre, plus moderne dont la « Carte du tendre » et « L’amour courtois » sont oubliés pour des plaisirs et pensées bien plus coquines que les pinceaux de nos peintres célèbres n’ont jamais osé montrer.
« L’origine du Monde » est bien anodin pour ces gens-là. Enfin c’est ce que j’imagine alors que cet homme me regarde. Il me regarde et je vois dans ses yeux celle qu’il observe, caressée, dominée par sa femme. Une femelle de vingt ans son aînée qui s’imagine tout connaître et avoir atteint les plus belles jouissances avec son mari. Mais cette femelle qui se dit fidèle et qui, comme son mari, se rend compte qu’elle peut trouver d’autres plaisirs.
Oh ! Elle repousse le tissu. Elle a passé la hanche après avoir longuement caressé mes fesses pour se glisser sous le triangle symbolique de ce string acheté par Max. Une main qui se plaque sur mon pubis et dont les doigts se crispent pour l’un… non deux ouvrent ma fente.
Je m’accroche à elle. C’est à moi de l’embrasser pour lui faire ressentir tout ce qu’elle me procure. Son contact est brûlant, délicat, attentif.
Mon propre lit est à côté. Elle m’y pousse. Je m’allonge. Ses lèvres m’abandonnent, mais c’est pour mieux m’explorer. Mes seins sont sur le chemin où bouche, langue, mains, doigts s’attardent. Je ne peux retenir des soupirs.
Que je suis bête ! Pourquoi me retenir ? Ce n’est pas comme l’autre fois où il ne fallait pas que les amants nous entendent dans la chambre à côté. Au contraire, pas très loin mon mari regarde et écoute. En ne venant pas me délivrer, il m’a donné son accord ! Alors, pourquoi se priver ? Pourquoi LE priver !
Aucun couple qui se respecte et qui considère que baiser est une chose naturelle qu’il faut entretenir, perfectionner, pour le plaisir des deux, ne peut ignorer la puissance de la parole. Paroles distinctes ou paroles marmonnées, criées, hurlées, susurrées de l’un comme de l’autre.
Un soupir pour chaque caresse.
Gémissements pour ce qui, dans un ensemble d’actions et de mouvements, procure du plaisir.
Comment résister à cette langue qui écarte mes lèvres pour se glisser dans mon intimité après que deux mains impatientes aient tiré sur ma culotte et la donner à celui qui regarde et qui la tend vers la caméra pour que mon mari puisse le constater.
Constate, mon cher mari ! Oui, constate que je suis devenue leur proie ! Une proie qui maintenant devient consentante. C’est si bon. Oui, regarde… Mais peut-être que la tête d’Armelle te cache ce qu’elle me fait. Sa bouche qui aspire mon bouton…
Sa langue qui pointe dans ma fente, y rassemble mon jus pour la conduire vers mon clito…
Ses doigts qui me branlent.
Mais tu peux deviner, par mes mains qui se plaquent sur la tête d’Armelle, que mon plaisir est fort. Que ma jouissance arrive. Que le regard de cet homme et le tien, que j’imagine attentif devant l’écran, sont des aphrodisiaques parfaits.
Oh ! Non ! Pas déjà. N’arrête pas. Ne me laisse pas ainsi, en lévitation entre paradis et purgatoire.
Armelle me quitte. Elle bouge. Elle monte sur le lit. Et puis ses cuisses et son pubis deviennent mon horizon alors qu’elle se penche dans un 69 de femmes.
Ahhhh. Oui, elle reprend ses caresses. Je m’ouvre encore plus. Sa fente se plaque sur mon visage. Je bouge pour mieux la recevoir. Elle aussi est humide.
C’est si facile ! Si naturel ! Les yeux fermés, je connais tout. Son clito est plus gros que le mien. Enfin de ce que je peux imaginer. Ses petites lèvres plus épaisses. Sa fente bien grasse. Je me souviens que Max l’a léchée avant de se faire pomper. Juste équilibre des choses.
Désolée, mon Chéri, mais tu ne peux pas entendre ma jouissance, sauf peut-être un grondement atténué par les chairs qui m’enveloppent. Si tu avais été dans la chambre, peut-être ! Tant pis pour toi.
Mais tu dois voir ce qui se frotte à ma chatte. Tu connais ce genre de chose ? Tu sais, ce que les hommes ont entre les cuisses, et qui pour d’obscures raisons peut se gonfler pour devenir, dur, raide, allongé et que vous n’avez de cesse de mettre au chaud, dans une bouche, dans une chatte, dans un petit cul.
Manifestement Julien n’est pas insensible au spectacle. Il frotte son gland sur ma fente et comme par moment je ne le sens plus, je l’imagine profiter de la bouche de sa femme pour se faire sucer un peu.
Désolée Max ! Si tu veux voir la suite, il va falloir venir nous rejoindre.
Le peu que je puisse deviner de la chambre me laisse apercevoir que Julien obstrue la caméra. Rien ne semble se passer si ce n’est que chaque fois que la bite se frotte à ma fente, la pression est plus forte et qu’elle m’ouvre un peu avant de retourner dans la bouche aux bruits humides.
Et puis, soudainement Armelle bouge. Elle se redresse me dégageant partiellement l’horizon. Assez pour que je voie une silhouette vers la porte. Une silhouette qui avance…
Armelle saute du lit et va vers mon mari. Elle le prend par la main pour le faire approcher. La bite avance, avance…
Max avance aussi, guidé par celle qui s’est évertuée de la plus douce des façons à me conduire au plaisir et fournir à mon mari un spectacle qu’il a dû apprécier. Il a apprécié, si j’en juge par sa queue en érection et que la salope s’approprie déjà en la caressant.
Il est si près maintenant qu’il pourrait presque me toucher.
Mon Chéri, que vas-tu faire ? Oui, tu es excité par ce que tu as vu ! Si je suis dans cette position, c’est par ta faute. Mais une faute que je te pardonne, car elle m’ouvre des horizons particuliers.
Tu sais, c’est bon de se faire prendre ainsi. D’accord cet homme m’a déjà possédée, mais c’était en « état de vengeance » alors qu’ici tout est plus fort. D’ailleurs il bouge plus vite. Maintenant qu’il a réussi à te faire venir, il a gagné. Il est pervers. Elle aussi. Ce sont des manipulateurs et ils se jouent de nous comme des enfants.
Oh ! Oh ! Tu entends mes soupirs ! Tu vois, oh oui ton regard est rivé sur ce qui se passe entre mes cuisses, oui tu vois cet homme qui me laboure maintenant se laissant emporter par son instinct de prédateur. Un prédateur qui ne tue pas sa proie. Bien au contraire ! Alors qu’il l’a pistée et acculée, c’est du plaisir qu’il lui prodigue.
Putain que c’est bon ! Je le sens si gros, si dur, si long que je dois rêver. Mais non, pas de bite énorme, ou de queue noire qui me prend comme il y en a tant dans les vidéos, mais une bite normale que l’envie gonfle. Mais c’est sous le regard de mon mari. Et ce regard change tout. Son regard et aussi sa propre bite que la main d’Armelle ne fait que flatter. Une bite en érection juste par le spectacle que nous lui offrons.
Mais Julien me quitte :
J’obéis sans réfléchir. Ses désirs sont des ordres. Il sait ce qui est bon. Bon pour moi ! Bon pour lui ! Mais j’imagine particulièrement bon et excitant pour le mari. Mari cocu, mais consentant. Pire, complice, complice involontaire, mais maintenant complice dans le fantasme.
Il s’est enfilé d’un coup, jusqu’à la garde, et si ce n’est pas douloureux c’est envahissant ? Mon « Ahhhh » détourne le regard de mon mari vers mon visage.
« Ahhhh ». Encore et encore ! « Ahhh » répété à chaque charge.
Vois-tu, mon Chéri, le plaisir sur mon visage ? Un plaisir qui n’est pas par toi, mais par un autre et d’une certaine façon pour toi.
Est-ce ce plaisir qui fait que tu laisses Armelle te guider ? Elle te mène par le bout de la queue. Tu montes sur le lit. Tu avances vers moi. La femelle te fait tendre ta queue vers moi. Elle te pousse. Tu comprends et moi aussi. J’entrouvre mes lèvres et un coup plus fort qu’un autre me pousse vers ce que la perverse Armelle guide.
Je suis prise au piège. Tu avances un peu et maintenant ta bite ne quitte plus ma gorge. Je te suce au rythme imposé par Julien. Tu ne te refuses pas. Pire, je sens que toi aussi tu avances en même temps que lui. Tu es devenu son complice. Tu te fais pomper par ta femme alors qu’elle se fait baiser par un autre.
Combien de temps, ce manège ? Ce jeu de balançoire pervers où plus cela va, plus ma course est diminuée, totalement embrochée en arrière et bloquée en avant. Même Armelle se joint aux hommes. Elle ne se prive pas de me caresser les seins et mon clitoris. Je jouis. J’enchaîne les jouissances. Je coule, je mouille, j’inonde mon propre lit. Décidément, avec Julien mes jouissances sont généreuses. Pardon de t’oublier, mon Chéri.
Ils se répandent en moi. D’abord Julien et puis quelques secondes plus tard, Max qui m’étouffe de son foutre. Je déborde de partout.
Je m’effondre. Julien reste en moi. Couché sur le côté, il m’enlace toujours comme si j’étais devenue sa chose. À moins que ce soit pour ne pas troubler ce que sa femme fait. Une Armelle qui jusque-là a été spectatrice et qui veut manifestement sa « part du gâteau ». Elle commence par nettoyer la queue de mon mari. Enfin ce qu’il n’a pas laissé dans ma bouche et que j’ai avalé sans réfléchir. Elle aussi sait comment se mettre en scène. Elle s’arrange pour pomper mon mari sous mes yeux. Elle s’arrange pour me montrer qu’il ne lui faut pas longtemps pour qu’il rebande.
Eh bien, mon Chéri, si je ne me trompe, cela fait trois fois. Une fois dans la gorge de ta maîtresse. Une fois dans la gorge de ta femme et tu repars avec juste quelques caresses. Si j’avais besoin d’une preuve comme quoi la situation te plaît et t’excite, elle est bien sous mes yeux.
Armelle s’allonge juste à côté de nous, jambes pendantes et cuisses ouvertes en attente de la saillie. Chienne tu es, jusque dans le regard de provocation que tu me jettes ! Max ne se pose pas de question. Il bande et une salope lui ouvre les cuisses. Il se place. Au bord du lit, il glisse ses cuisses sous celle de la femme, la montant vers lui, soulevant le bassin, amenant le pubis et son secret au bon niveau. Il pousse à peine que déjà il est entré. La salope doit être encore humide de son cunni de tout à l’heure et excitée par tout ce qu’elle a vu et organisé. Il entre comme on glisse un doigt dans un pot de crème.
J’entends déjà le bruit du jus que la queue brasse dès qu’il commence ses mouvements.
Nous assistons à cette baise juste à côté de nous. Julien n’est pas indifférent de ce spectacle. Pourtant il a dû en voir des mecs bourrer son épouse. J’en suis persuadée maintenant. Ce n’est pas qu’un couple moderne qui s’accorde quelques écarts pour épicer sa vie sexuelle. Ce sont des révélateurs, des éducateurs, des chasseurs qui se donnent toutes les chances de se « payer » d’autres partenaires. Des prédateurs.
Il bande. Je sens sa bite qui n’avait pas totalement ramolli et encore assez dure pour rester en moi, se tendre et m’envahir de nouveau. Il bouge doucement pour me faire sentir sa vigueur. J’apprécie. Mais j’apprécie aussi ce que Max me montre. Il possède la femelle. Les muscles de ses fesses roulent sous la peau. Des fesses douces, soyeuses, étrangement « pouponnes », comme celle des enfants.
Julien me susurre à l’oreille comme si ce qu’il propose devait rester un secret.
Je vais lui répondre et puis une idée !
Idée parfaitement perverse qui ne me serait jamais venue si deux pensées ne s’étaient rencontrées et mélangées dans ma tête de femme décidément bien plus salope que je ne pensais.
C’est à mon tour de susurrer dans l’oreille de mon amant. Il m’écoute. Se demande s’il a bien compris. Doit penser que décidément ce couple est bien plus libre qu’il ne pensait.
Max remarque à peine que nous nous levons du lit. Son envie de labourer Armelle l’emporte sur tout. Finalement Julien avait raison et cette tentative de vengeance dénotait des fantasmes inavoués.
Il se raidit lorsqu’il sent que je lui caresse les fesses.
Il s’immobilise lorsque je lui fais une feuille de rose comme il l’aime, lui écartant les fesses pour mieux le pénétrer.
Armelle doit sentir lorsque je lui glisse un doigt dans son petit trou. Je l’active quelques secondes pour bien le décontracter.
Et puis je le laisse et reviens sur le lit. Je m’approche de son visage. Il écoute lorsque je lui parle à l’oreille.
Je m’éloigne. Il me regarde dans les yeux. Que voit-il dans mon regard ? Il me sourit. Le oui de la tête n’est pas adressé qu’à moi. Julien l’entend. Je le vois se placer. Je vois Max bouger aussi, se pencher sur sa maîtresse qui l’accueille, désormais complice de ce que nous envisageons. Je ne peux me retenir de me pencher pour mieux voir. Ce n’est pas un gland de silicone qui appuie. C’est un gland de chair. Un gland qui semble fléchir, se comprimer devant la résistance. Et puis il disparaît. Il a forcé l’anus. Le muscle étouffe le mandrin, mais c’est pour mieux le sentir, le retenir. Ce cul a déjà connu de nombreuses fois une possession, mais toujours par un de mes doigts, un gode, voir un de mes plugs et plus récemment le gode-ceinture qui me transforme en un mâle entreprenant et qui abuse avec puissance du petit cul de mon homme.
Cet Ahhhh m’inquiète.
Il grimace.
Julien commence à bouger. Comme avec moi, d’abord lentement allant jusqu’à faire ressortir sa queue pour mieux la faire entrer. Comme tout enculeur, il regarde l’anus rester entrouvert, gueule ouverte sur la profondeur, muscle qui semble regretter ce qui vient de le quitter. Et au moment où il va se refermer, la bite le transperce à nouveau. Et déclenche un nouveau « Ahhhh ».
Ils sont comme soudés. Max possède Armelle d’un mandrin qui ne peut que transmettre chaque avancée de son mari dans le cul du mien.
Je me sens puissante. De cette puissance que les prédateurs doivent ressentir lorsqu’ils guident leur proie vers le plaisir, plaisir qu’ils n’auraient probablement pas connu sans eux.
C’est moi qui ai guidé Julien pour qu’il enfile mon mari.
C’est moi qui passe mes mains sur les fesses de l’enculeur pour l’encourager.
C’est moi qui cherche les couilles des hommes et qui les enveloppe de ma main, pressant délicatement la réserve de ce liquide qui va se déverser tout à l’heure, inondant pour la première fois le boyau de mon mari. Un liquide que j’imagine plus tard, se répandre dans la gorge de Max lui faisant goûter a un foutre autre que le sien après avoir pompé une belle bite.
C’est moi qui embrasse Armelle. Oui c’est moi et non pas elle qui le décide. C’est moi qui pousse ma langue dans sa bouche et qui en prends possession. C’est moi qui caresse ses seins et qui tords ses tétons pour son plaisir.
Oui, le plaisir.
Je comprends encore mieux d’en être l’ordonnatrice.
C’est moi qui me lève pour venir m’asseoir sur le visage de la femelle. Armelle qui maintenant est entre mon mari et moi.
C’est moi qui encourage Julien tout en croisant le regard de mon mari :
Pas de réponse, mais le visage de Max est un livre ouvert à qui sait regarder et entendre. Aux grimaces, il faut traduire par Ode au plaisir. Aux soupirs, gémissements, petits cris, Ohhhh, Ahhh, il faut associer chaque coup de reins de son enculeur.
Oui, car Julien m’a écoutée. Il ne se prive de rien, il prend tout, il donne tout. Même moi, je sens le flux et le reflux de son mandrin que la bite de Max et les corps soudés transmettent.
Je sens Armelle gronder sa jouissance, s’arrêtant le temps de bien en profiter avant de replonger dans ma fente et aspirer mon clito.
Je sens Max cracher sa purée.
Je vois Julien se crisper. Je vois la stupeur sur le visage de Max alors que les jets bouillants à la fois fluides et épais se répandent dans son intestin.
Enfin et c’est le rôle d’une bonne organisatrice, je me laisse aller en dernier et récompense Armelle par un jus que je n’ai jamais eu aussi abondant.
Qui a dit 69, année érotique ?
Et si pour moi, c’était 2019 ?
J’ai laissé ma chrysalide en 2018.
Je suis le papillon de 2019.
Merci, Julien. Merci, Armelle.
Merci surtout à Max, mon mari chéri, l’amour de ma vie, l’initiateur de notre sexualité, sans qui rien de ce que j’imagine déjà n’aurait été possible.
Bonne Année à toutes et à tous et que le sexe devienne cause nationale…
On pourrait peut-être en parler dans les cahiers de doléances !