n° 18809 | Fiche technique | 29193 caractères | 29193Temps de lecture estimé : 17 mn | 30/01/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Dans la vie, si on ne veux pas mourir idiot, il faut tout essayer. Alors, Paul a essayé... | ||||
Critères: fh asie trans fellation anulingus fsodo hsodo init -inithh | ||||
Auteur : Pericles (Épicurien marxiste, tendance Groucho) Envoi mini-message |
Depuis toujours, Paul est un sodomite convaincu ! Attention, un sodomite oui, mais hétérosexuel, actif, très actif, seulement actif. Il aime par-dessus tout se perdre jusqu’à la jouissance dans le fondement de ces dames, c’est pourquoi il ne conçoit que difficilement de baiser sans aussi déflorer la rondelle de sa partenaire.
Bien sûr, après quinze ans de Maîtrise es Sodomie, il a développé une véritable expertise pour :
1) Convaincre chaque nouvelle partenaire que, « oui, je te jure, l’orgasme anal est l’un des plus dévastateurs qui soit » et que mourir sans l’avoir connu, c’était comme avoir gagné à Euro-million et avoir égaré le ticket
2) Mais qu’il ne faut surtout pas se laisser déflorer l’œillet par n’importe quel queutard venu, sous peine de ne pouvoir atteindre le nirvana.
3) Et que justement, ça tombe bien, Paul est ceinture noire 9e dan de sodomie, Grand Maître Enculeur devant l’Éternel.
Et, mine de rien, ça marche plutôt bien pour Paul ! Il ne tient pas de liste, mais il s’est un jour vanté devant son meilleur pote, Raphaë,l être passé plus de cinq cents fois par l’entrée des artistes. Et a priori, il ne doit pas être très loin du compte…
En revanche, à part d’agréables effleurements lors de ses séances hebdomadaires de massage chinois, ou, exceptionnellement, il a parfois cédé à la proposition d’un DDLC (doigt dans le cul) susurré d’une douce voix (« ichi auchi ? ») par la praticienne es-massages, jamais au grand jamais, le sodomite ne s’est fait sodomiser.
Mais ça, c’était avant !
Un jour, lors d’une conversation agréablement sensuelle sans doute parce qu’agréablement alcoolisée, avec Patricia, la nouvelle Directrice commerciale de sa boîte, qu’il espère bien coucher sur la liste de ses conquêtes après l’avoir couchée dans son lit (quoiqu’il sodomisât aussi beaucoup debout), bref, au détour d’une phrase de Patricia lui disant que les mecs qui tiennent tant à pénétrer l’anus de leur amante, feraient bien d’être au moins une fois à la place de la sodomisée pour savoir vraiment ce que ça fait de l’être (Ouh la la, qu’est-ce qu’elle est longue cette phrase !), une idée totalement incongrue germe dans l’esprit embrumé de Paul : et s’il se faisait enculer, une fois, pour savoir vraiment ce que ça fait ! (Désolé pour le gros mot, mais moi je ne suis que le transcripteur, c’est Paul qui pense comme ça !).
Et pendant des jours et des semaines, cette pensée le hante. Il en vient même à changer ses habitudes : alors que depuis toujours, dans ses visites quasi quotidiennes sur « Pornhub », il s’était cantonné à la catégorie « Sodomie », il se met à fréquenter de plus en plus assidûment la catégorie « Transgenre », et même plus précisément « Trans avec homme ». À dire vrai, il a même testé la catégorie « Gay », mais non, décidément, ça, ça n’est pas pour lui, et il a refermé la page en frissonnant.
En revanche, la vue d’une jolie shemale en train d’enculer un homme qu’il imagine être lui, génère chez lui de puissantes émotions, et ont un effet accélérateur certain sur ses éjaculations qui, de plus, viennent maculer son bas-ventre bien plus abondamment qu’auparavant.
C’est pourquoi un jour, faisant sien l’adage de Tristan Bernard qui dit que le meilleur moyen de faire cesser la tentation c’est d’y succomber, il en vient à taper sur Google les trois mots fatidiques : « transexuel », « asiatique », « Paris ».
Il est tout d’abord effaré du nombre de site « d’escort » sur Paris et tout aussi surpris du nombre de ces sites qui ont une rubrique « trans ». Pour lui, c’est carrément une plongée dans un monde totalement inconnu. Il ne savait pas que la prostitution sur Internet était aussi répandue et aussi organisée en France.
Mais il se refuse absolument à payer pour un acte sexuel, lui qui se considère comme un Don Juan capable de faire craquer n’importe quelle femme.
Pourtant, c’est là que le bât blesse, parce que trouver sur Internet un transsexuel qui lui plaise physiquement et qui propose une relation non vénale s’avère une mission particulièrement ardue.
Cependant, à force de persévérance et de fouille dans les bas-fonds du Web, il découvre enfin un site dédié aux annonces pour les trans sur lequel il trouve une jeune transsexuelle d’origine thaïe qui stipule dans son annonce : « Je ne suis pas une escort, ma démarche est purement non vénale ».
Par principe méfiant, Paul envoie néanmoins un e-mail, qu’il essaie de rendre le plus attirant possible, à l’adresse mentionnée, tout en se demandant clairement de quelle manière il va se faire arnaquer. Aucune réponse pendant la semaine qui suit.
À n’importe quelle heure de la journée, à la maison, dans le métro, au bureau, Paul se connecte sur sa messagerie pour voir s’il a une réponse, puis retourne sur le site d’annonce pour lire et relire celle qui lui a tapé dans l’œil :
« Bonjour, je ne rencontre que des personnes libres d’esprit et qui aiment les belles transsexuelles, très féminines, d’origine asiatique. Les rencontres se font sur Paris uniquement et je ne peux pas recevoir. Je ne suis pas une escort, ma démarche est purement non vénale. Mon hygiène est parfaite, qu’il en soit de même pour vous ! Vous pouvez me contacter par mail à l’adresse suivante…
Malai ».
À vrai dire, ce qui lui a tapé dans l’œil, avant de lire le texte, c’est la photo de ladite Malai, nue dans sa douche, le visage coupé pour qu’on ne puisse pas la reconnaître. Un corps très féminin, avec des seins ronds dont on peut deviner qu’ils ont été refaits et une jolie petite queue entre les jambes. La taille de l’organe est importante aux yeux de Paul : quand il a vu les monstres que certains trans présentaient sur les sites d’escort, il s’est promis que jamais il n’assouvirait son fantasme en offrant son cul à des bites aussi longues et épaisses. Au moins, là, sur cette image, la dimension lui semble… « intromissible » !
Puis, enfin, alors qu’il n’y croyait plus, la fameuse Malai (il a vérifié, c’est un prénom thaï) lui répond. Elle a apprécié son mail et n’a pas pu répondre plus tôt parce qu’elle était en vacances chez ses parents à Krabi en Thaïlande. Elle étudie le design dans une grande école parisienne. À vingt-quatre ans, et elle se sent très seule à Paris parce qu’elle n’a jamais osé dire à ses copains de l’école de mode qu’en fait, elle n’est pas vraiment une fille. Elle serait ravie de dialoguer avec lui pour voir s’ils peuvent se trouver des affinités et devenir amis.
Paul se retrouve clairement gêné aux entournures. Il cherche une shemale pour tester la sodomie et voilà que la fille (vraiment ? une fille ?) sur laquelle il fantasme souhaite nouer des relations d’amitié. Bon, d’un autre côté, elle a quand même mis sa photo à poil sur Internet, donc il devrait y avoir moyen d’arriver à ses fins !
Comme elle a mis dans sa réponse un 06, Paul décide d’appeler cette Malai pour au moins la convaincre de se rencontrer autour d’un verre dans un café.
Il est de prime abord surpris par la voix assez grave de son interlocutrice, mais elle s’exprime dans un très bon français. L’interrogeant sur son expertise linguistique, elle lui explique qu’elle a pris des cours de français à l’Alliance Française de Bangkok depuis ses dix ans.
Surpris, il l’est encore bien plus quand elle lui propose spontanément de boire le verre proposé dans un café en bas de l’immeuble de Paul afin qu’ils puissent « s’ils se plaisent tous deux, monter à son appartement pour une découverte plus approfondie ». Apparemment, Malai a une conception de l’amitié très… ouverte !
Le jour dit, à 19 h, Paul attend assis à une table du « Café Beaugrenelle », à cent cinquante mètres de l’immeuble qu’il habite. Lui qui s’affirme blasé, vu le nombre de conquêtes qu’il a eues, se retrouve, pour la première fois depuis bien longtemps, tendu, presque angoissé à l’idée qu’il ne plaise pas à Malai.
Quand elle arrive, avec dix minutes de retard, il est presque liquéfié par le stress, comme un jouvenceau tout juste pubère attendant son premier rendez-vous. Il découvre avec bonheur une très, très jolie Asiatique, avec un visage absolument ravissant dont il n’aurait jamais pu imaginer qu’il ne soit pas celui d’une femme de naissance. Et mettant en valeur ce splendide visage, un corps tout aussi féminin, désirable, avec une taille très fine, de longues jambes affûtées, dévoilées par une jupe qui s’arrête bien au-dessus du genou. Enfin, une poitrine aguichante moulée par un pull en cachemire très ajusté.
Tel un mulot hypnotisé par le faucon qui le convoite, Paul se retrouve un instant dans un état proche de la sidération.
Heureusement, il a disposé sur la table du café une grande enveloppe jaune, signe de reconnaissance qu’ils avaient négocié ensemble, parce qu’il est incapable de bouger pour faire signe à Malai de le rejoindre. Celle-ci après avoir parcouru le café du regard, a reconnu l’enveloppe et se dirige vers Paul en souriant. Ce sourire, c’est comme un uppercut de plus au cerveau pour Paul : instantanément, il se retrouve en érection et il sait qu’il fera tout pour remonter dans son appartement avec elle, le plus vite possible.
Retrouvant un peu de maîtrise, il invite Malai à s’asseoir, et entame la conversation avec sa belle interlocutrice. Paul a du charme et du bagout, il le sait. Aussi n’est-il pas surpris de voir que Malai a l’air, elle aussi, un peu hypnotisée par son vis-à-vis. Leur dialogue est fluide, ouvert, joyeux, et c’est tout naturellement qu’après une petite demi-heure, Malai suggère qu’ils fassent plus ample connaissance au domicile de Paul. Elle accompagne cette demande d’un clin d’œil qui file directement dans le boxer de son nouvel ami.
Sa proposition ne tombe pas dans l’oreille d’un sourd. Paul paye laisse sur la table de quoi payer leurs consommations et entraîne sa nouvelle conquête jusqu’à l’entrée de son immeuble. Il habite un grand trois-pièces dans un immeuble de grande hauteur du 15e arrondissement de Paris avec une vue superbe sur la Seine, d’autant que son appartement se situe au 24e étage.
D’habitude il ronchonne contre le temps qu’il faut à l’ascenseur pour gravir les vingt-quatre étages, mais là, comme Malai se serre contre lui, les chiffres dansent, tout se mélange : en tête-à-tête avec un ange, il est en apesanteur. (Merci Calo). Enfin les voilà arrivés au bon étage. Paul déverrouille la porte et, sitôt qu’il l’a refermée, Malai le serre dans ses bras et lui roule un énorme patin.
Un peu hésitant au départ (« Merde, c’est quand même un mec, quoi… »), Paul cède rapidement et entremêle sa langue à celle de sa nouvelle amie (« M’en fous ! C’est beaucoup trop bon, et puis, de toute façon, elle a l’air d’une fille, et en plus, d’une des plus jolies filles que j’ai jamais rencontrées ! »).
Doucement, il la conduit jusqu’au grand canapé d’angle où ils s’écroulent tous deux en restant comme soudés par la bouche.
Les habitudes de Paul reprenant le dessus – qu’est-ce qu’il a pu baiser de filles sur ce canapé – il entreprend de déshabiller sa nouvelle conquête tout en lui administrant de sensuelles caresses sur tout le corps.
C’est en passant sa main sous la minijupe de Malai et en remontant vers sa cible finale que ce qu’il en train de faire le frappe comme un crochet du gauche : au contact du très net renflement dans le tanga de Malai, il ne peut que le constater, la superbe fille qu’il pelote est bien équipée du même type de service trois-pièces que lui !
Loin de freiner ses ardeurs, cela l’encourage à poursuivre au plus vite pour pouvoir la voir nue et après juste quelques secondes, il constate de visu cette incongruité : devant lui se tient une jeune femme au corps absolument splendide, visage d’ange, belle poitrine aux seins ronds, taille fine et longues jambes fuselées. Mais là ou normalement il s’attendrait à voir un vagin surmonté d’un petit buisson (ou pas, d’ailleurs, de nos jours), il constate bien la présence du petit buisson, taillé court, mais surmontant une queue, droite et légèrement gonflée qui se niche entre les jolies cuisses de Malai.
Doucement, comme pour se saisir d’un objet fragile et délicat, Paul prend dans sa main droite la verge de Malai, tandis que de sa main gauche il enveloppe ses testicules. C’est fou, à trente-cinq ans, c’est la première fois de sa vie qu’il tient en main une autre queue que la sienne. Il se sent tout hésitant, vaguement choqué. Il sait bien qu’un sexe masculin, ça n’est pas vraiment fragile, et pourtant, il ne peut s’empêcher de le caresser tout doucement, comme il le ferait avec un petit chaton. Cependant, sur Malai, l’effet est flagrant : parcourue de soubresauts, la jolie queue se met à gonfler.
Effectivement, pas forcément prêt à prendre pour la première fois de sa vie une queue dans sa bouche, Paul décide néanmoins de se jeter à l’eau et, maladroitement, il décalotte le sexe de Malai et ouvrant grand la bouche (il sait bien à quel point les dents peuvent être douloureuses sur un sexe en érection), il le place sur sa langue et se met à le sucer.
Il faut moins de trente secondes pour que la queue se déploie entièrement dans la bouche de Paul. Se reculant un instant, il constate qu’il a devant son visage un sexe bien droit, ni trop gros, ni trop long, ce qui, se l’avoue-t-il in petto est une excellente chose vu l’endroit où il envisage de l’insérer d’ici peu.
Paul s’assied sur le canapé, plaçant Malai debout devant lui, puis reprend son sexe en bouche. Il puise dans son expérience et dans ce qu’il aime le plus qu’on lui fasse, pour essayer de rendre cette première fellation agréable pour son amie thaïe. Il alterne entre léchage de la verge, puis des couilles (que Malai a soigneusement épilées), suivi d’une tentative assez ratée, il se l’avoue, de gorge profonde. Il a néanmoins le plaisir de constater qui finalement il ne se débrouille pas si mal, à entendre les petits soupirs de contentement qu’émet Malai. Ayant léché son index droit, il entreprend, tout en poursuivant sa fellation, d’aller titiller la rosette de Malai. Très vite, il sent que le sphincter s’entrouvre pour laisser passer l’intrus. Visiblement, la place a déjà été conquise auparavant ! Paul trouve cela des plus excitant.
D’ailleurs, coincée par son jean qui l’empêche de se déployer, sa propre queue commence à le faire souffrir. Il s’arrête de sucer Malai pour se déshabiller, et quelques instants plus tard, il est aussi nu que sa partenaire, son sexe à demi-érigé.
Malai s’accroupit devant lui et part à son tour à la découverte du sexe de Paul. Le prenant en bouche, elle entame une délicieuse fellation qui, en quelques instants, le mène au Nirvana. Il paraît que les mecs font les meilleures pipes ? Paul ne peut que le constater : sa partenaire, mi-homme, mi-femme, est une experte es fellation. Lui qui était si fier de ce qu’il venait de faire subir au sexe de Malai, se voit immédiatement renvoyé à son statut de novice amateur !
Alors qu’il se targue d’une maîtrise parfaite qui l’amène à ne jamais jouir lors d’une fellation, il se voit très vite obligé de dire à Malai qu’il va exploser et qu’elle devrait se retirer. Bien loin d’obéir, Malai le suce encore plus fort, encore plus profondément, jusqu’à l’irrémédiable. Accompagnant sa jouissance de sonores grognements, Paul éjacule à gros jets puissants au fond de la bouche de la jolie Thaïe. Cette dernière s’efforce de ne rien laisser s’échapper et avale jusqu’à la dernière goutte la semence de Paul. Il s’effondre sur le canapé, anéanti, éberlué, comblé.
C’est une explosion de sentiments tous plus forts les uns que les autres qui l’anime. Jamais il n’a encore connu un tel orgasme. Il pense que le fait d’être avec un trans a profondément exacerbé son plaisir.
Malai, se relève en récupérant de sa langue une petite goutte de sperme égarée à la commissure des lèvres. Elle est toujours en érection, spectacle aussi insolite que divin que cette magnifique créature, si évidemment féminine, avec cette queue, si évidemment masculine, tendue à la verticale devant son ventre.
Le prenant par la main, elle le laisse prendre les devants et la guider jusqu’à sa chambre. Celle-ci est sobrement meublée, il s’y trouve juste un grand lit King size recouvert d’une couette noire, un placard et une commode. Prenant la direction des choses, Malai entraîne Paul au bord du lit et le fait mettre à quatre pattes sur la couette, les fesses au bord du lit.
Il sent alors la langue de Malai venir s’immiscer au creux de son genou gauche, puis glisser lentement le long de sa cuisse jusqu’à ses fesses. Après avoir délicatement embrassé et léché chacune des fesses de Paul, elle vient enfin loger sa langue sur son anus. À ce simple contact, Paul, épaté, se rend compte qu’il bande à nouveau.
S’en apercevant, Malai saisit la queue de son amant entre ses doigts et le branle doucement pendant qu’elle lubrifie patiemment le petit orifice de sa salive. De haut en bas, de droite à gauche, puis en tourbillonnant telle une bille dans un entonnoir, la langue de Malai assouplit de plus en plus le sphincter de Paul.
Celui-ci bande maintenant à nouveau aussi vigoureusement que lors de la pipe effectuée par sa partenaire. C’en est presque douloureux. N’ayant jamais connu de telles sensations, lui, le super macho, ne rêve que d’une chose, qu’elle continue indéfiniment à lui procurer ces divines sensations.
Malgré lui, il gémit lorsque, jugeant son anus suffisamment assoupli, Malai force son entrée avec l’un de ses doigts. Ce doigt qui le transperce, à sa grande surprise, Paul l’accueille sans aucune douleur. Au contraire, au passage du doigt le long de sa prostate, il a comme une convulsion de plaisir.
Malai entame un doux va-et-vient entre ses fesses, massant imperceptiblement sa prostate à chaque passage, tout en veillant à assouplir par de douces pressions le sphincter de son ami.
Abandonnant temporairement les fesses de son amant, Malai récupère dans le tiroir un préservatif et un tube de lubrifiant au silicone. Paul ne tarde pas à sentir un liquide froid lui couler entre les fesses. De son doigt, Malai étale le lubrifiant entre ses fesses puis enfonce son doigt, qu’elle a copieusement couvert de gel, dans son anus. Ça glisse tout seul, aisément… Paul se sent prêt.
Aussitôt dit, aussitôt fait, et Paul se retrouve installé, les deux jambes en l’air, offert à la queue qui va le transpercer. Il observe avec impatience Malai mettre une capote sur sa queue toujours aussi raide, puis y étaler une bonne couche de lubrifiant. Puis elle se rapproche, pose le gland sur sa rosette et attend un dernier signe d’assentiment de la part de Paul.
Elle pousse donc doucement et Paul sent son anus s’écarteler. Le gland, tout d’abord, puis la queue de Malai, lentement, se frayent un passage entre les fesses un peu crispées de Paul.
Aïe, putain, ça fait mal, pense Paul. Pensée qu’il n’exprime pas, par fierté, par orgueil macho.
Il serre les dents. L’avancée du sexe de la jeune thaï entre ses fesses s’avère bien plus douloureuse qu’il ne l’avait anticipé, lui qui a sodomisé tant de femmes qui ne s’étaient jamais plaintes.
Quand la queue de Malai, heureusement ni aussi trop longue, ni aussi épaisse que celle de Paul, est enfoncée en lui en entier, il est à deux doigts de lui crier de se retirer immédiatement. Mais là encore, il se tait.
Heureusement, Malai qui se souvient de son propre dépucelage reste tranquille, sans bouger, le temps de laisser son amant s’habituer à la présence de ce corps étrange et étranger dans son cul.
Puis lentement, elle se retire, ne laissant que son gland enfoui entre les fesses de Paul. Elle tartine à nouveau copieusement sa queue de gel lubrifiant avant de s’enfoncer à nouveau entièrement en lui. Cette deuxième pénétration est sensiblement moins douloureuse et Paul se félicite d’avoir résisté à la tentation de tout arrêter. Il réalise pour la première fois que le fameux concept du mélange entre plaisir et douleur n’est pas qu’un concept, mais une réalité. Son cul lui envoie des signaux de douleur tandis que son cerveau lui crie à quel point c’est bon.
Lentement, mais résolument, Malai entame un mouvement de va-et-vient entre les fesses de Paul. Celui-ci est ébahi de voir à quelle vitesse la douleur reflue, remplacée, même entre ses fesses maintenant, par un plaisir fort, par l’envie pressante qu’elle accélère son mouvement de piston. Il le lui demande, d’ailleurs :
Obéissante, elle le pilonne maintenant brutalement, se sentant devenir de plus en plus grosse dans le cul de son amant. Elle sait qu’à ce rythme, elle ne va pas tarder à jouir, elle le lui dit, d’ailleurs.
À peine a-t-il prononcé ces mots qu’elle se laisse emporter par la jouissance et éjacule dans le préservatif à longs jets de sperme bouillant, hurlant son bonheur. Pour l’accompagner dans l’orgasme, il a envie de se masturber, mais elle lui prend la main :
À ces mots, elle se retire, enlève son préservatif en lui faisant un nœud, en prend un autre dans le tiroir, qu’elle donne à Paul, puis va s’installer à genoux sur le lit, la tête entre ses bras, cambrée pour mettre son magnifique cul en exposition.
Paul, qui bande comme un taureau s’introduit – effectivement très aisément – entre ses fesses.
Excité comme il l’est, il sait qu’il ne tiendra pas très longtemps, mais son orgueil, et aussi l’envie de donner à sa partenaire un plaisir aussi intense que celui qu’elle vient de lui procurer, l’amènent à tenir encore cinq minutes pendant lesquelles il pilonne ce superbe cul avant qu’à son tour il explose entre les fesses de son amante. Bien qu’il ait déjà joui, quelques minutes auparavant, il éprouve un deuxième orgasme tout aussi dévastateur, épuisant.
Tous deux s’écroulent sur le lit, littéralement vidés, mais passionnément heureux. Ils se câlinent l’un l’autre gentiment en laissant s’installer une douce torpeur à laquelle ils s’abandonnent enfin, tendrement enlacés.
**********
Comme ils n’ont pas pensé à fermer les volets, les premiers rayons du soleil de ce mois de juin réveillent très tôt Paul, le lendemain matin. Il constate, comme tous les matins, qu’il bande comme un âne. Et le spectacle de Malai, couchée sur le ventre, nue, à côté de lui, ne fait rien pour calmer ses ardeurs ! Elle est d’une beauté irrésistible, son corps caressé par les rayons du soleil levant. Vue comme ça, personne ne pourrait deviner qu’elle a entre les jambes ce petit plus qui l’a dépucelé la veille.
Comme il a un peu bougé pour mieux la contempler, elle ouvre un œil et lui sourit. Puis constatant la raideur de son sexe, elle se glisse jusqu’à son entrejambe et embouche la queue de son amant pour entamer une irrésistible fellation. Retirant alors la queue de sa bouche, elle lui propose :
Il ne se le fait pas dire deux fois et va chercher la capote demandée. Ayant déchiré l’emballage, il le déroule vite fait sur sa queue. Se retournant, il constate qu’elle en a profité pour se lever et se placer contre la baie vitrée, derrière laquelle on voit la Seine, surplombée de vingt-quatre étages.
Sans attendre sa réponse, elle l’attrape par la queue, écarte ses jambes, positionne le gland sur sa rondelle, puis en écrasant sa poitrine contre la baie vitrée, elle recule d’un coup son bassin, s’empalant sur la queue de Paul jusqu’à ce qu’elle sente ses poils pubiens contre ses fesses.
Alors, sans qu’il ait en quoi que ce soit besoin de bouger, elle fait aller et venir son bassin, s’empalant toujours plus fort sur le sexe de Paul. Certes, c’est très agréable d’être une simple queue dont on dispose à sa guise, mais Paul souhaite également participer un peu, à sa façon, aussi se saisit-il du sexe à demi gonflé de Malai pour le branler en simultané.
Ils baisent ainsi pendant un quart d’heure, face au soleil levant, et quand il sent qu’il ne pourra plus tenir, il accélère les mouvements de sa main, masturbant plus rapidement la queue de Malai, dans l’espoir d’une jouissance synchrone. Et, de fait, au même moment où il éjacule dans le cul de sa partenaire, il sent la queue qu’il branle tressauter dans sa main et l’éjaculation synchrone de Malai vient maculer la baie vitrée.
Repus de sexe, ils viennent tous deux s’allonger sur le lit, tendrement enlacés.