n° 18811 | Fiche technique | 12677 caractères | 12677Temps de lecture estimé : 8 mn | 30/01/19 |
Résumé: Invités chez Damien, Pierre et Alice restent dormir pour ne pas conduire après avoir un peu bu. Au matin Alice n'est plus dans le lit avec Pierre. | ||||
Critères: fh extracon cocus copains piscine exhib pénétratio -couple | ||||
Auteur : Opales complices Envoi mini-message |
Une sorte de gémissement langoureux me tire de mon sommeil. J’ouvre les yeux et, l’espace d’un instant, je suis un peu désorienté. Quelle est cette chambre ? Ce n’est pas chez nous. Ah oui, j’y suis ! Nous sommes chez Damien qui avait invité une bande de copains samedi pour un après-midi autour de la piscine et une soirée barbecue. Après les mojitos et spritz de la journée, le repas a été un peu trop arrosé et nous sommes restés dormir chez lui ainsi qu’un autre couple, Chantal et Romain, et Enzo, un ami de Damien. Les autres participants sont rentrés chez eux, mais il était plus prudent de ne pas reprendre le volant et de ne repartir que le lendemain après avoir dormi.
Le jour n’est pas encore levé et seule une pâle clarté entre par la fenêtre. Je regarde l’heure sur mon portable posé sur la table de nuit : 6 h 15. Il est tôt pour se réveiller un dimanche matin, personne n’est encore levé, d’ailleurs il n’y a pas de bruit dans la maison.
C’est un rêve érotique qui a dû m’éveiller.
Alice, ma femme, est responsable de cette chimère, en effet elle m’a émoustillé toute la journée en se baignant avec maillot de bain très mini dont le string moulait ses lèvres. Puis plus tard dans la journée, elle a revêtu une jupe très courte et un chemisier très décolleté sous lequel elle portait un soutien-gorge seins nus. Sa tenue exhibait ses seins et ses jambes bronzées. Les autres invités, hommes et femmes, ne sont pas restés insensibles à ses charmes et tout le monde l’a reluquée plus ou moins discrètement. Certains l’ont même littéralement déshabillée du regard comme Enzo, un bel italien célibataire, qui l’a ouvertement draguée. Par ses postures, Alice est bien entrée dans son jeu et n’a pas caché son attirance pour ce beau mec.
Ce badinage ne m’a évidemment pas échappé. Les agissements de ma femme ont mis à mal mes sentiments de mâle parfois un peu trop possessif.
Agacé par ses provocations un peu trop voyantes et son flirt avec Enzo, j’avais l’intention de lui en faire gentiment le reproche quand nous serions seuls et lui infliger aussi une petite correction en faisant rougir ses fesses avec un martinet.
Lorsque nous nous sommes couchés, la nuit était déjà bien avancée et Alice m’avait précédé dans les draps. Le temps que je me brosse les dents et que je la rejoigne dans le lit, elle dormait profondément. En dépit de la forte envie que j’avais de faire l’amour, je n’ai pas voulu la réveiller.
Pas étonnant dans ces conditions que je fasse des rêves érotiques et que ma raison soit troublée.
Mais, non, je n’ai pas eu la berlue, je perçois bien une discrète agitation et des chuchotements de l’autre côté de la cloison. C’est même assez net, assez caractéristique comme bruit ce qui se passe à côté. C’est la chambre de Damien, je crois ; pourtant il est célibataire et n’a pas de copine en ce moment, je fais peut-être erreur.
Mal réveillé, j’ai les idées encore embrouillées. Je tends mon bras gauche pour toucher Alice et vérifier si elle dort encore, mais il n’y a personne à côté de moi.
Où est-elle ? Je réalise alors que l’intonation du gémissement de plaisir qui a repris et provient de la chambre contiguë ne m’est pas inconnue.
Je me lève et me dirige vers la pièce d’où vient cette agitation. La porte est entrouverte. Sans bruit je m’approche et regarde ce qui se passe dans cette chambre.
C’est bien Alice, ma femme, qui est en train de se faire baiser par Damien. Elle est totalement nue, en position de levrette, le visage dans les oreillers, les fesses bien cambrées offertes à la verge de Damien.
Avec un rythme soutenu, la queue de notre hôte entre profondément dans le sexe béant d’Alice et le ventre de Damien claque en cadence contre les fesses d’Alice.
Elle jouit. Ils n’ont pas vu que je les observais.
Cette scène me déconcerte, je n’ose pas intervenir, protester et manifester mon étonnement et mon désaccord devant la liberté que se permet notre hôte avec ma femme. Nous ne sommes pas les seuls invités et si je manifestais ouvertement ma réprobation la situation serait gênante vis-à-vis des autres invités découvrant l’inconduite flagrante de mon épouse.
Je m’éclipse discrètement. Absorbés par leurs ébats, ni Damien ni Alice ne m’ont pas vu. Je laisse ma femme continuer à se faire baiser et je retourne m’allonger dans notre lit. Je suis surpris qu’elle se fasse sauter comme cela, toute seule, en me laissant sans m’avoir rien dit.
Hier soir, nous nous sommes couchés ensemble et je n’ai pas senti quand elle s’est levée. A-t-elle passé toute la nuit avec Damien ? Est-ce elle qui est allée le rejoindre pour qu’il la baise ? Est-ce lui qui, discrètement, est venu la chercher dans notre chambre pour me la dérober et l’avoir pour lui tout seul ?
Toutes ces questions attisent ma jalousie, mais en même temps m’émoustillent énormément.
Pendant que je m’interroge, j’entends le lit de la chambre voisine heurter la cloison sous les coups de reins que Damien donne en chevauchant Alice. Leur coït est de moins en moins discret. Si ça continue, tout le monde va être au courant de l’infidélité de ma femme.
Entendre les ahanements de ma femme qui jouit avec un autre homme m’excite et je bande. Tout en écoutant cette polissonne faire l’amour et prendre du plaisir, je me masturbe lentement. Je ne cherche pas à me faire jouir, j’entretiens le délice pervers de cette scène inopinée.
Damien ne semble pas vouloir s’arrêter, je l’entends de nombreuses fois prendre Alice après des moments plus calmes pendant lesquels il doit lui faire changer de position. Lors de ces accalmies, lorsque je l’entends murmurer « hummm, c’est bon », je comprends qu’il se fait sucer par ma femme, elle fait ça si bien !Plus tard, c’est Alice qui lui demande de continuer, je suis sûr qu’elle se fait lécher, qu’elle jouit de la langue de notre ami qui excite son clitoris et s’enfonce au plus profond de son intimité comme je sais qu’elle aime que je lui fasse.
Damien ne tire pas un coup en vitesse avec ma femme en la coinçant entre deux portes, c’est une véritable partie de cul qu’il lui impose ainsi dès le lever du jour. Elle est consentante et elle en redemande. Il multiplie les positions, ça fait certainement un bon moment qu’ils s’envoient en l’air tous les deux.
Alice est toujours prête pour baiser, elle ne refuse jamais une partie de jambes en l’air. Dès qu’on la tripote un peu, elle mouille et c’est un plaisir de glisser la main entre ses cuisses et remonter vers son sexe humide et accueillant pour lui enfoncer les doigts et la masturber.
Damien en profite, je me dis qu’il a raison, mais je suis aussi tourmenté par sa façon de faire. Je ne le connais pas depuis longtemps et il se permet de me chiper ma femme pour faire l’amour avec elle dès que j’ai le dos tourné. C’est vrai qu’Alice n’a pas dû lui opposer beaucoup de résistance, c’est une baiseuse, une bonne baiseuse et elle adore ça. Je me dis qu’il va vouloir lui mettre sa bite partout où il pourra, mais, même s’il en a envie, il ne pourra pas la sodomiser, Alice refusera, elle déteste se faire enculer.
C’est désormais la seule certitude que j’aie ce matin au sujet de ma femme qui ne s’est pas rebiffée devant cette proposition de fornication.
Le remue-ménage, de moins en moins discret, de la chambre d’à côté cesse finalement. Quelques instants plus tard, Alice revient précautionneusement se glisser dans notre lit. Elle est toujours totalement nue. Je n’ai pas complètement fermé les paupières pour pouvoir l’observer.
Elle s’allonge à côté de moi sans rien dire, comme si rien ne s’était passé sauf qu’elle est encore moite de ses jouissances et que ses cheveux en désordre sont humides, « elle pue le sexe».
À voix basse, je lui demande :
Je me colle alors contre elle en lui disant :
Elle sent alors l’érection de mon sexe et me répond :
Je me retrouve la queue contre ses fesses dans la position des petites cuillères, je n’ai pas besoin de forcer le passage, son sexe est encore tout ouvert, accueillant, béant et trempé, ce n’est pas surprenant avec ce que vient de lui infliger le maître de maison.
Elle ne bouge pas pendant que je la lime lentement et je jouis rapidement en elle sans qu’elle ait bougé. Elle s’endort aussitôt.
Vers les dix heures, tout le monde est réuni dans la salle à manger pour le petit déjeuner. La conversation banale tourne plus ou moins autour de la météo du jour, des limitations de vitesse et des conditions de circulation que chacun va rencontrer pour rentrer chez lui. Damien ne fait aucune allusion à ce qui s’est passé dans la matinée. Alice ne lui a pas dit que je sais qu’il l’a sautée pendant que je dormais.
Romain glisse malicieusement dans la conversation :
Personne ne relève, juste un vague sourire sur le visage de sa femme et celui de Damien.
J’ignore s’ils savent qu’Alice m’a trompé et qu’elle vient de se faire tirer.
Après le petit déjeuner tout le monde se quitte et remercie Damien pour son accueil.
Ben voyons !
Pendant le trajet de retour dans la voiture, je dis à Alice qu’elle est une sacrée salope de s’être laissée faire comme ça sans rien dire.
Elle ajoute encore :