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n° 18815Fiche technique9116 caractères9116
Temps de lecture estimé : 6 mn
31/01/19
Résumé:  Candaulisme.
Critères:  fh cocus inconnu fsoumise noculotte pénétratio champagne -couple+h -mastf
Auteur : Lazizanie  (Jeune auteur retraité et fantasque)      Envoi mini-message
Massage tantrique

L’homme lui avait lancé un défi :



Soit. Le garçon décida de relever le gant :



Rendez-vous est pris. Bon, c’est à cent kilomètres. Banlieue chic d’une ville de Picardie. Heureusement, de l’autoroute tout le temps.

Ah, c’est là. Il vit la plaque. Rue Émile Zola. Vit la maison en brique claire. Jolie maison, se dit-il. Il stationna sa voiture soigneusement, descendit ouvrit le coffre et prit la petite mallette. Elle contenait ses produits et ses ustensiles.

Il sonna. La porte automatique s’ouvrit. Il se dirigea vers la maison en empruntant le sentier gravillonné. Un homme vint lui ouvrir. Petit, grisonnant, des lunettes qui assombrissement le visage. Il lui sourit :



Il suivit Marc qui le dirigea vers la salle à manger. Il vit la grande table rectangulaire recouverte d’un drap blanc.

Jean-Marie posa sa mallette et le sac qui contenait un matelas mince pliable.

Luc l’invita à passer au coin salon. Sur la table basse, un plateau avec des chips, des tranches de saucisson et trois flûtes.



Grande, souriante, mince, elle s’avança vers l’arrivant et lui fit la bise. Elle était déjà en tenue. C’est-à-dire un peignoir de bain. Elle était bien plus grande que son mari. Fine, cheveux courts, des yeux bleus, des petites dents étincelantes. On devinait une femme de caractère sous le sourire. Une femme habituée à inspirer le désir chez les hommes. Les femmes aussi.


Est-elle entièrement nue en dessous ? se demanda Jean.


Les trois prirent place, Marie à côté de Marc.



S’en suivirent des banalités habituelles. La maison, la météo, la crise des « gilets jaunes ». Marc servit le champagne bien frais. Il avait préparé un seau avec des glaçons.

Quelques instants plus tard, Jean se dit qu’il devait précipiter les évènements.



Et elle sortit. Jean se déshabilla entièrement, mit son peignoir mince d’un blanc immaculé. Il vit les dessous de Marie négligemment posés sur un tabouret. Il avait la réponse à la question qu’il se posait depuis tout à l’heure.


Oui, elle est à poil sous le peignoir, se dit-il.


Il les prit, les porta à son nez et renifla intensément le petit string. Il passa sa langue, lécha délicatement le tissu. Il se mit à bander. Merde, se dit-il. Faut que je me calme. Il s’enduisit copieusement les mains de savon, brossa soigneusement les doigts et les ongles. Il se lava la bite avec soin, la sécha. Puis il prit son flacon de gel hydroalcoolique et se frotta vigoureusement les mains. Il sortit.


Sylvie était assise dans le canapé à côté de son mari. Ce dernier avait profité de l’absence de l’invité pour fermer les volets, pour se déshabiller et mettre, lui aussi, un peignoir.

Le masseur regagna son fauteuil. Marc avait rempli son verre à nouveau.

Marie se leva, baissa la lumière et alluma les bougies qu’elle avait disposées çà et là. Une douce lumière dansante éclairait doucement la pièce. Jean se leva et sortit le matelas pliant qu’il disposa bien au centre de la table. Il le recouvrit d’une grande serviette de bain blanche et invita Marie à s’allonger sur le ventre.

Elle ouvrit le peignoir et vit le corps entièrement nu. Épilée.


Nom de Dieu ! se dit-il admiratif. Qu’est-ce qu’elle est bien foutue !


Marie s’allongea au centre de la table. Jean prit son flacon d’huile, le fit sentir à la belle.



Il versa délicatement le liquide huileux dans sa main, attendit quelques instants qu’il se réchauffe et commença à faire des mouvements lents et circulaires sur les épaules, insista sur le creux des clavicules, prit entre les doigts et le pouce, les trapèzes, les malaxa. Marie grogna légèrement de satisfaction. Jean reprit son flacon et versa généreusement l’huile le long de la colonne vertébrale jusqu’au sillon fessier. S’attarda sur les fesses de la femme, plongea le tranchant de sa main dans le sillon, la forçant à écarter les cuisses légèrement.


Puis il fit subir le même traitement aux cuisses, aux mollets. Il remonta vers la jointure des cuisses, frôla le petit trou qui se contracta sous la caresse. Puis descendit légèrement vers la fente du sexe. Il voyait nettement le petit bout de chair qui dépassait légèrement des lèvres. Il le toucha, le frotta avec son index enduit d’huile.

Il repartit vers les fesses, les triturant avec fermeté, le dos aussi. Revenait régulièrement vers le cul et la chatte de Marie.



Marie pourtant, n’était pas très satisfaite de son postérieur. Elle enviait les fesses rebondies de sa fille cadette. Elle s’astreignait à fréquenter une salle qui proposait de danser la rumba, avec le secret espoir d’augmenter le galbe de la région.

Jean enjoignit à Marie de se retourner. Et il vit ses seins ronds, hauts plantés, bien dessinés, la fente de son sexe épilé. Un choc ! Il s’arrêta quelques instants, le souffle court.


À caresser Marie, à toucher son petit trou, sa fente, il avait commencé à bander.

Mais là, il était raide, dur. Jusqu’à avoir mal. Sa bite dépassait de son peignoir. Il l’enleva, apparaissant nu. Marie le regardait. Marc avait fourré sa main dans le peignoir et se branlait doucement. Jean reprit de l’huile et enduisit généreusement le corps offert. Il malaxait les seins vigoureusement, pinçant le téton, presque avec violence. Marie grimaça sous la douleur. Les mains de Jean repartirent à l’assaut du ventre, du mont de Vénus. Il obligea la belle à écarter largement les cuisses. Offrant au regard des mâles, sa chatte. On voyait nettement les deux lèvres qui dépassaient du renflement. Il se mit à triturer les deux parties externes et charnues, passa un doigt dans la fente, enfila son majeur dans le conduit béant. Il sentit nettement la partie rugueuse de l’intimité de la belle, la titillant du bout du doigt.


Il quitta le trou maintenant mouillé, s’agenouilla sur la table. La tête de Marie était entre ses genoux, sa bite touchant la bouche de la massée.

Il prit les pieds de la femme et les amena vers lui, jusqu’à toucher le buste de la belle, presque les épaules. Son cul était largement surélevé, le trou de la chatte était béant, offert à la vue des garçons. Marc s’astiquait la bite vigoureusement.



Jean introduisit un doigt dans le trou du vagin, l’enfonça à fond et se mit à effectuer des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides. Il monta sur la table, maintenant le cul bien en l’air, impudiquement offert. Marc avait giclé sur les nichons de sa femme. Dans un grognement et en éructant un « putain » de satisfaction. Jean enfila sa bite dans la chatte béante et la besogna à toute vitesse.


Marie feulait, criait, hurlait « enfile-moi », « encore », « plus fort ».

Soudain Jean se retira de la chatte dégoulinante et présenta sa queue à la bouche de la belle et gueula « avale, salope ».

Elle ouvrit la bouche, regarda la queue raide, rouge du garçon qui se branlait avec force, comme si sa survie en dépendait.

Un premier jet manqua sa cible, arrosant le nez et un œil. Le deuxième directement dans la bouche. Le garçon poussa la bite dans le fond de la bouche. Elle suça, aspira, lécha toute la jute du masseur. Se barbouilla les joues du mélange de sperme et de salive qui enduisait la queue.

Ils haletaient tous les trois, reprenant leur souffle.

Jean aida Marie à se lever et à descendre de la table.

Ils regagnèrent le coin salon.