n° 18829 | Fiche technique | 9606 caractères | 9606 1641 Temps de lecture estimé : 7 mn |
07/02/19 corrigé 06/06/21 |
Résumé: Le lieutenant Brouzet enquête sur Maxime Vincent. | ||||
Critères: #historique #initiation fh hépilé amour fellation cunnilingu anulingus préservati fsodo | ||||
Auteur : Philippe Vincent |
Le lieutenant Brouzet se présenta au cabinet de Maître Véronique Leuleu, avocate à Avignon. L’assistante de Maître Leuleu la fit patienter dans la salle d’attente. Les quelques minutes qu’elle y passa lui permirent, grâce aux brochures, de savoir de quel type de cabinet d’avocats il s’agissait. Leurs clients étaient uniquement des sociétés et chacun des trois associés avait une spécialité, juridique, commerciale et sociale.
Maître Leuleu se présenta dans la salle d’attente. Elle était brune, les cheveux bouclés tombant sur les épaules. Elle était vêtue d’une robe aux motifs psychédéliques qui lui arrivait au-dessus du genou et portait des chaussures à talons aiguilles dont la couleur était assortie à ses yeux noirs. C’était une femme grande, charpentée, qui devait pratiquer un sport. On voyait de suite une femme de caractère, mais ses gestes prévenants et le son de sa voix douce s’opposaient à cette vision. Elle paraissait préoccupée.
La pièce était grande, bien agencée, avec d’un côté, une table très moderne qui servait de bureau et un coin salon de l’autre. La décoration et le mobilier étaient de très bon goût.
L’avocate prépara les deux boissons, puis les déposa sur la table entre le divan et le fauteuil où elle prit place.
Melody avait énoncé tout haut ce qu’elle pensait…
Surprise par les paroles de l’officier, Maître Leuleu se lâcha à son tour :
Melody s’exécuta. Elle allait enfin savoir quel était cet homme qui faisait tant d’effet aux femmes. Véronique Leuleu, après avoir fini son café, enchaîna :
Mon excitation était telle que mes seins pointaient sous la dentelle de mon sous-vêtement. Il passa ses mains dans mon dos, tout en m’embrassant. Il poursuivit ses caresses et me dévêtit. Ses lèvres, puis sa bouche, m’ont embrassée, m’ont aspiré les seins qui n’attendaient que ça. J’ai cru que j’allais jouir rien que de ses caresses. Ses mains sont parties à la découverte de mes cuisses avant de remonter sur mes fesses. J’ai relevé ma jambe sur sa hanche pour sentir sa virilité, ce qui lui a permis d’accéder à mon sexe emprisonné dans mon string. Il put en constater la moiteur !
Après quelques caresses dans cette cachette, il se recula, attrapa mon sous-vêtement de chaque côté de mes hanches et le fit descendre sur mes chevilles en se mettant à genoux. Il dégagea mon string, me tint les jambes écartées et alla déguster mon sexe. De sa langue agile, il titillait mon clitoris et ses doigts voyageaient de mon sexe à mon anus. Ce traitement m’enflamma les sens. Je jouis, laissant échapper de petits cris, mais surtout en serrant les cuisses pour lui plaquer le visage sur mon sexe ruisselant. Pendant que je reprenais mon souffle, il se couvrit d’un préservatif. Il présenta son sexe à l’entrée de ma vulve, il me pénétra de toute sa longueur : j’en fus comblée ! Je m’accrochai à son cou et serrai mes deux cuisses sur ses hanches. Il me prit contre le mur. Ces puissants coups de reins me transportèrent de nouveau vers la jouissance. Nous avons atteint le plaisir simultanément.
Nous avons eu besoin d’un long moment pour nous remettre de nos émotions. Je l’ai remercié par de nombreux baisers sur son torse, puis je l’ai entraîné vers ma chambre. Là, j’ai fini de le déshabiller et j’ai poursuivi mes baisers sur son corps jusqu’à son sexe. Je me suis attachée à lui redonner sa vigueur en le prenant en bouche, puis en le léchant sur toute la longueur jusque sous ses bourses imberbes. Là, je le sentais gonfler à chaque passage, c’était très excitant. J’ai continué ce traitement jusqu’à ce qu’il me demande d’arrêter. Je l’ai poussé sur le lit et je l’ai chevauché telle une cavalière. Il me caressait les seins, me flattait les tétons, ce qui m’excitait comme jamais. Je ralentis la cadence, il en profita pour me désarçonner et je me suis retrouvée à plat ventre. Sa bouche se posa sur mes fesses, je me suis cambrée sous l’effet de ses caresses et sa langue est venue se poser sur mon anus. Quelle sensation ! Il en fit plusieurs fois le tour et c’était terriblement excitant. Sa langue faisait des allers et retours entre mon sexe et mon anus. Chaque fois, je me cambrais un peu plus. Il me fit basculer sur le côté, présenta son sexe devant mon petit trou et poussa. Il s’enfonçait lentement, puis se retirait et recommençait. Ses mains enflammaient mes seins qui étaient durs comme jamais. À chaque poussée, je le sentais grossir. Quel plaisir intense ! Puis l’orgasme surgit sans crier gare et emporta tout sur son passage. Le retour sur terre se fit dans les bras l’un de l’autre. Vous savez maintenant, en tant que femme, pourquoi je tenais tant à cet homme.
Melody mit quelques instants à reprendre ses esprits après ce récit qui la laissa presque sans voix.