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Temps de lecture estimé : 9 mn
13/02/19
Résumé:  Depuis son hamac, Viktor surprend, bien involontairement, les caresses indécentes de sa voisine...
Critères:  f fh inconnu fépilée vacances massage anulingus 69 pénétratio fsodo hgode conte -occasion
Auteur : Christoph Oak      
Hamac

Je suis dans mon hamac, accroché entre deux chênes d’un camping du sud de la France. Nous sommes en juin, la fréquentation est très modérée et c’est tant mieux. Le ciel est d’un bleu profond et les températures sont douces. Mes pensées flottent comme un petit nuage.


Un léger bruit attire mon attention et me fait diriger le regard vers une tente en contre-bas. La porte est légèrement entrebâillée sur le haut, ce qui me donne, probablement à l’insu de son occupante, une vue plongeante sur le bas de son corps. Ses jambes, à demi repliées, sont largement ouvertes, presque parfaitement en face de mon point de vue. À cette distance, je ne distingue pas les détails de son sexe, mais je vois clairement qu’elle le frotte de sa main droite. Il me semble qu’avec l’index et le majeur, elle appuie et tourne lentement autour de son clitoris. Sa main s’aplatit et remonte vers le haut de son pubis, étirant son sexe tandis que son bassin bascule d’avant en arrière. Sa main descend, sollicitant de nouveau le clitoris, continue sa plongée et je crois voir deux doigts pénétrer son sexe.


Un mouvement de va-et-vient s’installe, puis se calme un peu. Ses jambes s’ouvrent et se relèvent encore, si bien que son anus apparaît maintenant. Sa main descend à nouveau et me semble dépasser le lieu de rencontre de ses grandes lèvres. J’imagine qu’elle ressent maintenant au bout de ses doigts cette partie musclée, résistante, lisse et sensible où il est agréable de passer sa langue avant de plonger au choix dans la large et chaude fente au goût de cyprine ou dans l’anus étroit et plus animal, qu’il faut un peu forcer d’une langue durcie.


Je prends conscience de l’indécence de la bosse que forme mon sexe gonflé sous mon bermuda, mais un rapide coup d’œil alentour me rassure, d’autant que je suis un peu caché par les rebords du hamac. Je libère discrètement mon sexe que ma main droite enserre maintenant. J’exerce une tension sur mon gland en jouant sur l’élasticité de mon frein. Je suis très excité. Je plonge ma main sous mes bourses et les caresse délicatement, du bout des doigts, pour provoquer de petites vagues de plaisir. J’appuie un peu au centre, à la base de mon sexe. Du liquide séminal coule sur mes doigts. Je les porte à ma bouche et les nettoie avec ma langue, fantasmant sur ma belle inconnue. Quelques va-et-vient de ma main me feraient rapidement jouir. Mais je m’abstiens. J’ai envie de profiter encore de ce délicieux spectacle.


Mon regard se dirige donc de nouveau vers la tente en contre-bas, vers l’intimité offerte de la jeune femme. Mais, surprise, je croise son regard. Nous restons tous deux immobiles, les yeux dans les yeux. Les siens sont verts, grands. Je la découvre. Ses cheveux châtains clairs descendent de part et d’autre de son visage ovale et ondulent jusqu’à la naissance de ses seins que je devine sous son tee-shirt. Je réalise que je tiens toujours mon sexe, qu’elle le voit et qu’elle me regarde sûrement depuis plusieurs minutes. Je ressens un mélange de honte, d’excitation et de peur de faire (ou d’avoir déjà fait !) des gestes déplacés, voire choquants. Je préfère donc reprendre une position plus convenable. Je me convaincs d’être en train de fantasmer lorsque je crois voir un air de déception passer sur son visage.


Elle croise alors ses bras, mains au niveau des cuisses. Je ne comprends ce qu’elle fait que lorsque je vois son ample tee-shirt, genre de vêtement en coton que l’on met pour dormir, commencer à découvrir le haut de son corps. Son ventre, légèrement rebondi, puis ses seins, que le mouvement des bras vers le haut rend presque semi-sphériques. Les bras redescendent enfin et les seins adoptent maintenant un galbe parfait de poires (dont j’imagine qu’elles sont fermes, juteuses et sucrées).


C’est une invitation.


En quelques pas, je suis à l’entrée de sa tente. Elle m’ouvre, me fait signe d’entrer. Le sourire qu’elle esquisse fait remonter ses pommettes et donne à ses yeux un air joueur. Son nez est peut-être un peu épais pour répondre aux critères actuels des canons de beauté, mais ses lèvres agréablement charnues découvrent une dentition légèrement imparfaite, à la Kirsten Dunst, qui me bouleverse.


Je m’assieds. Je remarque que la tente est relativement petite et que l’odeur de son sexe en a empli tout le volume.



Le contact de nos joues est électrique et nos bouches, comme animées de leurs propres volontés, glissent à la rencontre l’une de l’autre. Anna s’allonge, me laissant voir son sexe. J’enlève mon tee-shirt et m’allonge à côté d’elle, collant mon torse contre ses seins. Je plonge mon regard dans le sien et m’avance vers ses lèvres tremblantes (je crois que les miennes tremblent aussi). J’en ai presque le souffle coupé. Nos langues se touchent d’abord très délicatement puis se mêlent, s’enroulent. Nos corps ondulent et simulent déjà les mouvements d’un coït. Anna me repousse. Je comprends qu’elle me veut complètement nu et elle m’aide à retirer mon bermuda. Elle me fait m’allonger sur le dos et je ressens le contact d’un duvet moelleux. Son visage se rapproche de mon sexe qui se dresse d’excitation. Sa main délicate l’encercle à sa base tandis que sa langue fait le tour de mon gland, gluant de liquide séminal.



Sur ces mots, elle passe une jambe au-dessus de ma tête et m’offre son sexe épilé intégralement comme la mode semble l’exiger. Ses grandes lèvres sont longues, peu charnues. Elles laissent dépasser des petites lèvres au contour légèrement foncé. Celles-ci se tendent et se décollent quand Anna se penche en avant pour prendre mon sexe dans sa bouche. Je n’ai plus qu’à lever un peu la tête pour glisser ma langue entre grandes et petites lèvres, à droite et à gauche, et autour du clitoris. Les mouvements de son bassin me font comprendre qu’elle veut être baisée par ma langue. Mon visage est littéralement trempé. Ma langue va-et-vient dans son sexe quand tout à coup, elle abaisse son bassin, ne me laissant plus aucune possibilité de respirer. Au lieu de paniquer, je réalise que cette manœuvre focalise toute mon attention sur ma langue et son sexe. Après quelques secondes qui me paraissent une délicieuse éternité, son vagin se met à se contracter sur ma langue et une partie de mon visage. Elle est en train de jouir. Sa bouche se contracte aussi autour de mon sexe et déclenche l’orgasme le plus violent qu’il m’ait été donné de connaître. Mon corps entier est en train de jouir. Je suis l’orgasme. Je suis le sperme qui se projette généreusement dans la bouche d’Anna.


Je crois que j’ai perdu connaissance.


Les fesses rondes, musclées, d’Anna accueillent mon retour à la conscience. Elle est en train de passer sa langue sur mes bourses, à la recherche des quelques gouttes de sperme qu’elle a probablement laissé échapper. Mon sexe est maintenant complètement flasque.



De mes mains, je caresse le bas de son dos et ses fesses rebondies. Nos peaux sont toujours électriques. Le temps est comme suspendu.



C’est le genre d’injonction auquel il n’est pas difficile de répondre. Je me retourne et enfonce ma tête dans un oreiller bienvenu. Je respire et me laisse envahir par l’odeur de ma belle plus tout à fait inconnue.


Anna fouille dans un petit sac rouge en toile et en ressort un flacon d’huile de massage à l’arnica. Le flacon disparaît de mon champ de vision, mais le léger grincement du bouchon m’informe de la progression du processus. J’entends maintenant le frottement visqueux des mains d’Anna tiédissant l’huile avant le l’appliquer sur ma peau. Ses mains se plaquent sur le haut de mes fesses, mais au lieu de remonter vers le haut du dos comme je m’y attendais, elles descendent et entament des mouvements circulaires sur mes fesses. Pendant quelques minutes, les gestes sont un peu timides, puis la pression des doigts sur mes muscles augmente. Fesse droite, fesse gauche… Le mouvement alternatif sur mes fesses étire et relâche mon anus. Le frôlement des gestes du massage en cet endroit caché se transforme alors en caresses plus franches, pour mon plaisir. La main huilée d’Anna s’insinue jusqu’à la naissance de mes bourses et remonte, en maintenant une pression des doigts, éprouvant ainsi l’élasticité de mon petit orifice. Je sens une pression. Un doigt se présente à l’entrée. Je déplace mon bassin légèrement vers l’arrière pour indiquer à Anna qu’elle peut aller plus loin. Elle commence par enfoncer son doigt, très lentement, d’un mouvement continu, jusqu’à ce que sa main vienne buter entre mes fesses. Ce mouvement qu’elle répète est divin. À l’intérieur, je sens qu’elle frôle une zone qui déclenche un plaisir inconnu, diffus et puissant. Un deuxième doigt s’invite. Les mouvements sont de nouveau plus lents. Je sens toute résistance céder tandis que le plaisir augmente encore. Sous mon ventre, mon sexe est de nouveau dressé. Anna s’attarde sur cette zone magique, à l’intérieur de mon corps. Elle y imprime des mouvements circulaires. Le plaisir que je ressens est incroyable. Les va-et-vient de ses doigts recommencent et deviennent rapidement plus appuyés tout en restant lents. Elle écarte ses doigts. Je gémis de plaisir.



Sur ces quelques mots, elle se met à quatre pattes, pose la tête sur le sol, ce qui fait basculer son bassin et expose son sexe gonflé de désir.



Je m’avance vers elle, vers son entre-fesse ouverte et y applique une large langue, de part et d’autre de son petit trou de balle au goût légèrement amer. J’y dépose volontairement beaucoup de salive. De mes mains, j’ouvre encore ses fesses afin que ma langue s’introduise en elle. Deux doigts de ma main droite se présentent à l’entrée de son vagin. Ils y glissent aisément. De petits feulements accompagnent en rythme le mouvement de mes doigts et de ma langue. Mon excitation est à son comble, mon instinct de mâle en rut est prêt à s’exprimer. J’ai comme envie de mordre, de crier. Je m’écarte pour mieux revenir, mon sexe pointé vers le sien. Avec mon gland, j’écarte ses petites lèvres et entame une progression lente et continue à l’intérieur de son sexe trempé.


La respiration d’Anna devient bruyante. Je reste au fond de sa chatte écartelée et donne de légers coups de reins. De petits cris de souris et une ondulation synchrone me renseignent sur le plaisir de ma partenaire. J’entame un mouvement de retrait, aussi lent que possible, comme pour mieux ressentir l’étreinte gluante de son sexe. Je replonge. Mon frein se tend. Il me semble ressentir la texture annelée de l’arrière de son vagin. Je savoure ces premiers va-et-vient car je sais d’expérience à quel point ils sont précieux. J’accélère le rythme. Je saisis fermement les hanches d’Anna pour que l’étreinte soit plus profonde. J’accélère encore, puis me retire entièrement. Je la pénètre jusqu’au fond de son sexe, puis me retire encore. Je répète ce mouvement plusieurs fois, puis imprime de nouveau un rythme plus continu. J’accélère. Le plaisir monte. Mon pouce se présente à l’entrée du cul d’Anna et s’y introduit sans mal. Cette manœuvre déchaîne Anna dont les mouvements du bassin deviennent presque incontrôlés. Sa main droite vient violenter son clitoris. Le volume de ses gémissements augmente franchement.


Elle tourne la tête et m’ordonne :



Je quitte son vagin et pose mon sexe sur son anus. J’ai terriblement envie d’être un peu brutal, mais je sais qu’il faut laisser le temps à ses chairs de prendre la mesure de mon membre. Je me contente donc de faire pénétrer mon gland. Anna comprend que la suite du mouvement lui appartient, mais au lieu d’une progression lente, elle recule en un mouvement. Je comprends que son orgasme est proche. Ses gémissements se font haletants. J’accélère. Mes bourses cognent l’entrée de son vagin. Son anus est maintenant bien ouvert et le sentir s’étirer autour de mon sexe participe à mon excitation paroxysmique. Je sens mon orgasme arriver. J’encule Anna de plus en plus fort, de plus en plus profondément. Sa main s’agite, puis se fige tandis qu’elle se met à pousser des râles de bête femelle. Je résiste aux premières contractions expulsatoires de son cul, mais l’étroitesse et la résistance qui en découlent déclenchent mon orgasme. Je me laisse emporter. Mon sexe palpite tandis que j’imagine de longues giclées de sperme tapisser les entrailles d’Anna.


Après un temps indéfini, je me retire, étirant une dernière fois le cul d’Anna. Luisant et dilaté, presque béant, celui-ci laisse échapper un petit filet blanc et visqueux.


Je m’écroule à côté d’Anna qui se blottit contre moi. Je nous recouvre d’un duvet, moelleux. Nos cerveaux baignés d’endorphines et de sérotonine nous transportent vers une euphorie feutrée. Nous nous endormons.