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n° 18843Fiche technique31560 caractères31560
Temps de lecture estimé : 18 mn
15/02/19
Résumé:  Entraide entre voisins.
Critères:  h fh ffh fagée jeunes fépilée exhib photofilm fmast hmast fellation pénétratio -totalsexe
Auteur : Katzou      Envoi mini-message
l'esprit de l'escalier

Arrivé chez Clara, j’eus une surprise : Clara, plante brune et gracile, pain d’épice clair et réglisse foncée, Clara donc, m’ouvrit sa porte. Nue.


Cela me surprit – un peu seulement – car je savais que Clara adorait se trouver nue. J’en étais responsable en partie car à chaque fois qu’elle venait chez moi, je lui demandais avec gourmandise de se dénuder afin que je la photographie.


Cela faisait partie de ma méthode : les modèles se mettaient nus tout de suite et ce, pendant toute la durée des séances qui duraient souvent la journée. Je ne les photographiais pas immédiatement, non, je les dénudais de façon qu’elles s’habituent, pour ne pas être gênées, bloquées par des réactions de timidité, de pudeur.


Elles avaient interdiction totale de revêtir quoi que ce soit avant la fin de la journée, quoi qu’il arrive. Et dieu sait ce qui arrivait… de la visite du facteur, à l’arrivée de la femme de ménage, des copains qui passaient.

Clara ne refusait jamais et une fois les photos faites, elle restait, pour mon plaisir et le sien dans le plus simple appareil.

C’était une habitude entre nous et il faut préciser que moi aussi je me mettais nu ces jours-là, allant jusqu’à la recevoir ainsi quand je savais qu’elle venait me voir…


Mes modèles appréciaient cette prévenance car nous nous trouvions sur un pied d’égalité et aussi, n’étant pas un Apollon, loin s’en faut, les questions de beauté, d’apparence étaient ainsi rapidement abordées et résolues par l’exemple… la plupart de filles que je photographiais se trouvaient moches et peu dignes d’être photographiées, jusqu’à ce que je les rassure en leur montrant ce que je savais faire et en me montrant avec mes nombreux défauts.


Me trouver ainsi devant elles les aidait de plusieurs façons. Tout d’abord, il n’y avait pas de relations de puissance, le vêtu contre le nu et ce genre de choses. Et ensuite, je ressentais tout, comme elles.


Cela facilitait énormément les choses malgré le fait que je sois nu devant elles et surtout que je leur montre l’effet qu’elles me faisaient : j’arborais presque toujours une solide érection et ne m’en cachais pas, bien au contraire, exhibant fièrement ma virilité devant elles. Je bandais donc et j’adorais cela, et j’adorais leur faire voir… j’étais donc exhibitionniste devant des exhibitionnistes.


Cela ne voulait pas dire pour autant que je leur sautais dessus et que je passais à l’acte : non, j’avais beaucoup de respect pour elles et si mon sexe s’érigeait, c’était pour leur montrer qu’elles étaient belles.

Les filles s’en trouvaient bien pour la plupart et aimaient me voir ainsi membré, acceptant l’hommage que je rendais à leur beauté.


J’avoue avoir toujours demandé à aller plus loin, demandant chaque fois si elles voyaient un inconvénient à ce que je leur caresse un sein ou une cuisse et plus si affinités. Beaucoup acceptaient, d’autres en restaient aux prémisses seulement.


J’étais déjà venu chez Clara mais à chaque fois, elle me recevait tout à fait normalement, comme on reçoit un ami, sans spécialement faire de manières, tantôt en jean, ou en jupe courte et sobrement habillée d’un haut féminin, qui mettait en valeur sa jolie poitrine.

Cette fois, rien de tout cela : la nudité la plus complète, absolument rien sur elle.


Elle me souriait, rayonnante, radieuse, son corps captait la lumière d’une fenêtre haut placée dans l’escalier et cette éclairage rendait sa peau fine comme transparente, comme une porcelaine précieuse éclairée par le soleil. Nous étions en juillet et il faisait extrêmement chaud. Cette chaleur durait depuis plusieurs jours, ce qui expliquait peut-être sa tenue.


Je me réjouis de la voir ainsi car je la trouvais très belle et agréable à regarder, appréciant un corps fin et délié, élancé, des attaches fines, des seins menus et que je trouvais attirants. Elle avait un cul de danseuse, des fesses musclées et un ventre plat où je pouvais voir jouer des muscles abdominaux que j’adorais photographier. Clara était grande, plus grande que moi et j’adorais cela.


J’eus aussi le plaisir de constater qu’elle avait cédé à une demande un peu particulière que je lui avais faite quelques jours auparavant : elle s’était totalement épilé le pubis et le sexe, révélant un mont de Vénus magnifique, orné d’une fente plantureuse, bombée et juteuse comme une pêche blanche. Elle avait habituellement une toison fine et souvent, en la photographiant, je lui faisais remarquer que cela ne cachait rien et qu’il n’y avait pas de mystère à conserver sa pilosité. Je me doutais bien qu’elle avait un mont de Vénus magnifique, sublime, et je me réjouis de voir que j’avais raison.

Clara était belle, surtout lorsqu’elle était nue et je faisais tout pour qu’elle le soit le plus souvent possible.

Ce jour-là j’étais comblé. Clara me sourit et resta là sur le palier de son appartement.

C’est alors que quelqu’un monta…


Je m’attendis à la voir s’éclipser rapidement mais elle resta là, baignée d’un rayon de lumière qui la nimbait d’une brume de soleil. Je notai la configuration de la lumière et sortit rapidement mon appareil et la photographiais plusieurs fois, appuyée sur la main courante en bois ciré, le corps courbé gracieusement. Clara savait d’instinct se placer, arrangeant son corps pour que tout soit harmonieux, qu’elle s’inscrive dans le décor et que ce décor la magnifie.


Une vieille dame montait doucement les marches de bois grinçantes, accrochée à la balustrade pour s’aider. J’eus peur de la voir s’affaler dans l’escalier en découvrant Clara toute nue, surprise de voir sa voisine s’exhibant ainsi sans honte. Je me dis que Clara exagérait à se montrer ainsi, la trouvant… culottée ! Je la saluai ainsi que Clara.


La dame s’arrêta sur le palier, puis me sourit et se tournant vers Clara lui fit un clin d’œil appuyé. C’était une vieille dame d’anthologie, parfaite, tout à fait vieille dame jusque dans les moindres recoins, mais grande, mince et distinguée, habillée avec goût. Seul détail qui m’étonna, son parfum n’était pas celui d’une vieille dame…



Je rendis son sourire à la vieille dame et avant de pouvoir réagir, Clara s’approcha d’elle, s’empara de ses sacs en macramé et les monta à l’étage. Je la suivis, donnant le bras à Gilda jusqu’à son logement, deux étages plus haut.

Clara nous précédait et je ne la quittais pas des yeux, dévorant sa silhouette érotique des yeux. La vieille dame me poussa du coude et chuchota :



Je lui confirmais son jugement. « Elle est belle, très belle, et un peu délurée, j’aime ça. » Les yeux de Gilda pétillèrent :



Elle me regarda d’un air coquin :



Les réflexions de Gilda me firent un drôle d’effet. Elle me parlait de Clara qui grimpait les escaliers devant nous, entièrement nue comme si tout cela était normal et anodin. De plus, le langage qu’elle employait était en parfait décalage avec son âge que je supposai – avec raison, je l’appris plus tard – canonique.

La vieille dame montait lentement et Clara s’arrangeait pour ne pas la distancer, c’était divin ! Le cul splendide de la jeune femme dansait devant moi et j’avais beaucoup de mal à rester de marbre.


Je regardai à la dérobée Gilda et avec surprise la trouvait belle. Elle possédait une grâce, une aura assez forte. C’était une belle femme, oui, malgré son âge, je la trouvais attirante et agréable à regarder. Cela me fit réfléchir et j’essayai d’imaginer Gilda à l’âge de Clara.

Ses yeux bleus délavés me transpercèrent et je sus qu’elle avait compris.

Clara se retourna pour demander les clefs à sa voisine. Celle-ci ouvrit la porte et laissa passer la jeune fille qui posa les sacs de commissions sur la table de la cuisine.



J’étais prêt à répondre non, un peu gêné de savoir Clara nue, l’imaginant pressée de rentrer chez elle, mais celle-ci répondit que oui, qu’elle prendrait bien quelque chose. Je réalisai alors qu’elle allait rester ainsi devant nous.


Clara s’activa dans la cuisine et je regardai avec plaisir sa silhouette gracieuse ranger les courses dans les placards de la cuisine intégrée dernier cri. La jeune femme avait une manière extrêmement agréable de se mouvoir, un peu comme une danse.


Je m’étonnai de trouver la pièce ainsi aménagée avec des appareils récents et plutôt luxueux. Gilda ne devait pas avoir des fins de mois difficiles… Je captai un regard de Gilda alors que je dévorais des yeux mon amie si belle dans les rayons du soleil couchant.


Le soleil éclairait en grand sa silhouette fine et délicate, et je la voyais avec plaisir se hausser sur la pointe des pieds, affinant ses longues jambes, dégageant ses attaches fines et faisant pointer ses superbes petits seins aux tétons délicats et bien présents. Le soleil rasant accentuait le duvet qui la couvrait des fesses à la nuque, et indiscret, révélait sa vulve dévoilée, imberbe, superbe.

Je l’aidais un peu, surtout pour être près d’elle, au contact de son corps, de son sourire, car Clara souriait tout le temps.


L’appartement de la « vieille dame » était magnifique, meublé avec recherche, dans un goût contemporain et très branché, sans pour autant être ostentatoire. Les lieux respiraient la beauté, l’harmonie. J’étais vraiment étonné car cela ne cadrait pas avec l’idée que je me faisais de la voisine de Clara.


La dame la fit asseoir dans un grand fauteuil en rotin avec un grand sourire. Clara éclata de rire et je ne compris pas tout de suite, les voyant toutes les deux hilares.

Puis cela fit tilt : Clara était assise dans un fauteuil "Emmanuelle", exactement le même que sur l’affiche du célébrissime film érotique.


Cela me fit rire aussi, puis je me rendis compte que Clara s’était assise les jambes relevées et écartées en grand de manière à me faire profiter du spectacle qu’elle offrait.

Je me souvenais vaguement du film qui allait avec le fauteuil, un film érotique, tourné avec des filles superbes et si mes souvenirs étaient exacts, l’actrice principale passait son temps à poil à se caresser dans ce fameux fauteuil en rotin…



Je rougis de sa façon directe d’aborder les choses. Toujours ce décalage avec la tenue de la jeune fille, son impudeur totale et sa façon de s’exhiber, un peu obscène et le ton badin de la conversation, enjouée et presque futile.

Clara passa sa main sur son pubis glabre, longuement.



Je dis cela comme j’aurais parlé de sa coiffure mais c’est de son sexe dont je parlais, son pubis, ses lèvres intimes, son vagin…

Clara ne dit rien et je vis avec fascination sa main se poser à nouveau entre ses jambes ouvertes en grand et commencer à caresser doucement son sexe lisse. Gilda était dans la cuisine.


Clara me fit un clin d’œil. Elle se comportait comme si nous étions seuls : elle aimait se masturber devant moi, sans se soucier de moi ou, tout au contraire, ravie de me savoir là à la regarder et à sentir mon sexe s’ériger. Je saisis mon appareil photo et la pris ainsi, superbe d’érotisme.


Elle appréciait beaucoup les photos que je prenais d’elle, surtout dans ces circonstances. Je m’étais arrangé lors d’une séance particulièrement chaude, pour la photographier pendant un orgasme. J’avais réglé mon appareil sur rafale et je la shootais à 10 images par seconde. J’y épuisai une carte 16 G, et par la suite lui offris le film ainsi réalisé… Je ne me lassais pas de me le repasser, admirant la chorégraphie érotique de Clara, ses spasmes parfaitement millimétrés lorsque la jouissance la prenait, ses muscles tendus, ses seins superbes aux tétons énormes… Seul bémol, je n’avais pas le son et c’était vraiment dommage car Clara jouissait souvent en musique, ses cris, ses gémissements me faisaient bander rien qu’à l’entendre…


Je cadrais serré son entrejambe nu et son sexe offert, lisse, doux et superbe, son ventre musclé, à peine perturbé par sa position obscène mais si belle. Elle avait de belles mains, des mains fines mais fortes, des mains faites pour les caresses.


J’étais fan de son sexe ainsi révélé et qui correspondait tellement à mes fantasmes les plus secrets.

Ce qu’elle faisait là réalisait un de mes rêves, jalousement gardé. J’attendais ce moment depuis si longtemps, rêvant de voir enfin révélé le bombement si doux qui menait à la blessure parfaite de son sexe. J’étais aux anges de voir dans mon viseur sa vulve, nette et gracieusement découpée, son mont de Vénus bombé, sa fente mouillée et déclose.

J’enviais la jeune fille de pouvoir laisser ainsi libre cours à ses envies les plus cachées.


À ce moment, un gros chat, noir comme la suie, sauta sur les genoux de mon amie qui l’accueillit avec des caresses sans pour autant arrêter de se toucher.

Gilda revint avec une tasse de thé parfumé et la tendit à Clara :



Elle me sourit et je lui rendis son sourire avec difficulté. J’étais dans un état second, n’en pouvant plus de la situation qui s’offrait à moi : Clara entièrement nue devant nous, Clara qui s’envoyait en l’air en prenant le thé, en discutant avec la vieille dame, de tout et de rien.


Je voyais avec acuité la patte gauche du chat ronronnant posé sur le sein nu de Clara, les griffes qui doucement sortaient et rentraient, piquant la peau juste sous le mamelon érigé. La main de la jeune fille bougeait doucement, martyrisant son clitoris au rythme des griffes du chat. Son sexe était ouvert et se mouillait. Je voyais tout, voyeur privilégié et Clara buvait mon regard, le recyclait en désir et en plaisir. Clara sirota son thé et je voyais toujours sa main posée entre ses jambes, pinçant son clitoris avec délicatesse. Elle posa sa tasse.


Ma verge, énorme, roide et dure comme jamais, tendait le tissu de mon pantalon d’été. J’avais chaud mais je ne transpirais pas, la tasse de thé fumant tremblait dans ma main, sur sa soucoupe. Gilda ne semblait rien remarquer, elle ne pouvait pas ne pas voir d’où elle se trouvait l’entrejambe ouverte de Clara dont la main bougeait trop régulièrement pour ne pas attirer l’attention… et puis Clara fermait les yeux, je voyais sa poitrine se soulever à un rythme rapide. Ses tétons étaient énormes.


Elle enfonçait avec décision ses doigts dans son intimité, les faisaient aller et venir et cela faisait un bruit mouillé, obsédant. Gilda ne parlait plus, je voyais ses yeux briller, et bouger, remontant du bas-ventre de Clara à son visage, puis à ses seins aux tétons sortis. Elle s’était assise presqu’en face d’elle et regardait le spectacle qu’offrait Clara, attentive, captivé comme moi par la grâce qu’elle arrivait à insuffler à ses gestes pourtant d’une obscénité totale. Je n’entendais plus que ce bruit obsédant, celui de son sexe mouillé ouvert et martyrisé par ses doigts.


Soudain, je vis le ventre de Clara se nouer, ses muscles jouèrent sous sa peau mate, elle ferma les yeux : elle jouissait. Un petit cri sortit de sa gorge et le chat enfonça ses griffes, du sang perla. Un séisme me secoua et j’éjaculai, énorme. Je sentis avec délice et consternation ma semence sourdre et colorer d’une tache mon pantalon. Cela dura, dura, mon sexe vibrait, lançait des salves redoutables de plaisir sucré salé, je sentais mon sperme chaud et épais tremper mon caleçon et me mouiller.



Clara gémissait toujours et je vis des gouttes de son miel tâcher le pelage du chat, mouiller le rotin et couler le long de ses jambes.

Il fallait créer une diversion.


Mon thé ! Je fis valser ma tasse et le thé brûlant éclaboussa mon pantalon, masquant fort à propos la tache de sperme et des gouttes mouillèrent les cuisses de Clara qui se releva en trombe, faisant cracher le chat qui se sauva, toutes griffes dehors.

Clara poussa un cri perçant et je vis distinctement la trace sanglante des griffes sur sa poitrine nue. Le félin effrayé avait planté avec force ses griffes dans la chair tendre du sein de Clara et l’avait labouré sur dix bons centimètres.

Clara serrait les dents et je vis une larme au coin de son œil.

Elle tremblait et je la vis serrer sa main, fort, sur son sexe. Clara me regarda sans me voir et je m’étonnai des conséquences d’une simple griffure de chat.


Je m’en voulus d’avoir fait cela et puis d’un autre côté, je trouvais la conclusion superbe, cette griffe sanglante allait si bien à Clara…


Gilda s’approcha d’elle et examina la griffe. « Viens à la salle de bain, nous allons nous occuper de cela ». Clara et la dame disparurent mais j’entendis distinctement Gilda :



Et Clara de répondre :



Gilda lui répondit :



Les questions se bousculèrent dans ma tête. Je regardais autour de moi, la pièce où nous étions était claire, belle, pas du tout comme je m’attendais à la trouver chez une vieille dame. Quelque chose attira mon attention et je remarquai alors que les images au mur, les lithos, les photos et les dessins étaient quasiment tous sur le même thème : un thème surprenant chez un vieille dame comme il faut… Après avoir jeté un œil sur les livres, j’en feuilletais un et fus surpris à nouveau. Gilda collectionnait les livres, les gravures, les dessins et aussi les photos érotiques. Tout tournait autour de ce thème, tout.


À ce moment, les deux femmes revinrent dans la bibliothèque. Clara était toujours aussi belle, la lumière qui baignait la pièce la rendait encore plus femme, encore plus érotique. Gilda avait simplement nettoyé la plaie et du sang en coulait encore, traçant un chemin tragique sur la peau nue de la jeune fille la rendant terriblement désirable.

Mon sexe se tendit à nouveau.


À nouveau, je me demandai ce signifiait ce « Tu aurais dû lui dire » et je revécus l’orgasme magique de Clara.

Elle s’approcha de moi et effaré, je la sentis poser sa main sur mon sexe.



La vieille dame cherchait son chat.

Clara touchait maintenant mon sexe mouillé au travers de l’étoffe et le caressait.

Elle me faisait trembler.



J’étais rouge comme une pivoine, j’avais envie d’elle depuis mon arrivée chez elle et sa démonstration érotique m’avait rendu fou. J’étais sur le fil du rasoir, à basculer d’un côté ou de l’autre, soit je lui faisais l’amour tout de suite sans me soucier de Gilda, soit je claquais la porte et je rentrais chez moi – frustré, mortifié.

Sa bouche se posa sur mes lèvres, je ne pus répondre. Ses doigts firent glisser ma ceinture.

J’avais choisi.



Sa main se saisissait de mon sexe trempé de sperme.



J’étais dans un état incroyable, ma verge était énorme entre ses mains et l’odeur de ma semence montait entre nous, m’excitant encore plus et elle aussi apparemment. Je lui disais d’arrêter mais je voulais qu’elle continue.


La vieille dame était revenue, et s’était assise sur un fauteuil (Clara lui tournait le dos) et un grand miroir me montrait ce qu’elle voyait. La scène était superbe : Clara de dos, incroyablement belle, penchée sur moi encore habillé. La lumière était magique et révélait les formes superbes de la jeune femme, son corps de liane, ses fesses superbes, entrouverte sur sa vulve glabre et brillante de miel. La vieille dame regardait, caressant son chat noir, Gustave, qui ronronnait. Clara me murmurait des mots d’amour, ses mains me masturbaient avec art. Gilda ne pouvait pas ne pas voir ce que la jeune fille me faisait…



Alors, les mains de Clara coururent sur moi et je retrouvais nu à mon tour, devant la vieille dame et son chat. Clara posa mes affaires sur le fauteuil Emmanuelle, puis me tourna de profil pour qu’elle puisse nous voir mieux. Alors elle me prit dans sa bouche, sans se soucier de la spectatrice, et commença à me sucer avec grâce et habileté.

Clara était douce et prévenante, et je sentais quelque chose passer entre nous.

Elle m’embrassa et me murmura quelques mots qui me firent trembler. Clara avouait qu’elle m’aimait, là, devant la vielle dame comme témoin. Elle prononça à nouveau les mots, forts, clairs devant elle et moi.


J’étais énorme et je ne me reconnaissais pas, jamais je n’avais été aussi bien, je crois que le regard de la vielle dame me rendait beau, me rendait fort.

Bizarrement me savoir entièrement nu et faire l’amour avec Clara devant elle ne me dérangeait plus. Au contraire, j’avais envie de lui montrer combien mon sexe était fort, combien il était dur et combien Clara aimait me prendre dans sa bouche. J’allais la prendre devant elle et j’aimais cela.


Elle nous dessinait, à grands traits. Clara était resplendissante, magique et je l’honorais plusieurs fois, éjaculant dans sa bouche, puis la prenant aux hanches. Je la fis crier, crucifiée sur le tapis, aux pieds de Gilda. Fou de désir, je frappais ses fesses musclées avec force, écrasant mes couilles entre elles. Elle cria, fort car je lui faisais mal, mais elle me demanda de recommencer, encore et encore.


Clara et moi étions comme possédés : jamais encore je n’avais ressenti cela, cette possession de mes sens, cet oubli total de tout sauf de nos sexes et de la jouissance. Je n’étais plus que mon sexe, ma verge énorme qui entrait dans le vagin de Clara et le distendait et mes couilles pendantes qui frappaient avec forces ses fesses. Clara, échevelée, trempée de sueur, de sperme, de sang, de salive, sale, dégoulinante de nos orgasmes, s’accrochait à moi comme une algue et je lui crevai le ventre, je l’empalai de sexe, je l’étripai de plaisir. Nous nous battîmes, comme des combattants, le sang coulait…


La vieille dame nous regardait avec gourmandise, sans rien dire. Clara criait sous mes coups.

Je me rassasiais de ses fesses et de son ventre de biche.

Qu’elle était belle ! Je ne pouvais détacher mes yeux de son ventre où s’engloutissait ma verge, je voyais avec gourmandise mon gland rouge sang écarter ses lèvres et plonger dans l’abîme de son sexe et s’y perdre avec volupté.

La griffure de chat saignait et lui traçait un chemin sanglant sur son sein gauche jusqu’à son sexe fendu.

Les yeux bleus de Gilda étaient deux fers rouges enfoncés en moi, elle me crucifiait, elle me sodomisait sans bouger de son fauteuil. Clara la regardait et lui offrait son désir, notre plaisir.

Clara jouit plusieurs fois et j’éjaculai en elle, fort, dur.

Gilda avait un carnet de croquis à la main et des sanguines. Elle dessinait, dessinait rouge…


Clara s’assit sur le fauteuil de rotin et remonta ses jambes, ouvrant son sexe rougi par nos ébats.



J’étais nu et je bandais toujours, Clara se roula dans le fauteuil et s’endormit. Je restai nu devant Gilda, en érection. Je sentais avec acuité ma verge mouillée de sperme se rafraîchir et ça me faisait encore plus bander. J’avais encore envie du corps parfait de Clara ; je voulais encore me perdre en elle, toucher sa peau si douce, sentir son cœur sous ma main.



J’essayais de cacher ma verge en érection, sans beaucoup de succès.



Abasourdi par les propos de Gilda, j’abandonnais et laissais ma libido me submerger. Je saisis mon sexe encore mouillé et commençai à me masturber devant elle, faisant aller et venir mes doigts serrés sur ma chair tendue, sous les yeux de Gilda qui caressait toujours son chat. Mon sexe envoyait des salves de plaisir sous mon crâne. Je fis durer mon plaisir, laissant mes doigts explorer lentement ma verge, serrant avec force ma chair pour la réduire et le laisser reprendre vigueur sous l’afflux de mon sang. Gilda ne quittait pas des yeux mon sexe.



Je croyais rêver, entendre cette vielle dame disserter ainsi sur la forme de ma queue, bander comme jamais devant elle et surtout me caresser sans culpabilité…

À ce moment Clara se réveilla et me vit :



Je rougis, conscient de ce que je faisais. Cela ne me gênait pas devant Clara qui me connaissait et me voyait souvent érigé et fier de l’être mais devant cette grand-mère lubrique, je me rendis compte de ce que je faisais… c’était obscène, amoral…


Clara se leva et vint s’agenouiller devant moi et me prit dans sa bouche. Elle écartait en grand ses jambes, elle me fit jouir à nouveau. Cette fois, elle se retira et j’éjaculai sur elle, envoyant une giclée de sperme sur sa gorge et son ventre. J’imaginais ce que Gilda devait voir, le cul superbe de Clara écartelée en grand, son anus, ouvert, ses reins offerts, ses longues jambes, belles et douces aux attaches fines, et ma verge qui entrait et sortait de sa bouche, luisante de salive, rouge de mon sang. Mes couilles qui battaient le menton mouillé de Clara et nos soupirs…

Mon sperme gicla si fort qu’il alla se perdre sur la jupe noire de Gilda.

Gilda essuya ma semence et me sourit :



La situation décuplait mon plaisir, trouble, bizarre…

Gilda se leva et posa son carnet :



Clara déclina l’offre :



Je pris mes affaires et saluai la vieille dame, lui faisant une bise sur la joue. À ma surprise, je sentis une caresse appuyée sur mon sexe toujours aussi raide, la vieille dame avait refermé ses doigts vigoureux sur ma verge glissante, les faisant courir avec douceur sur ma peau… Une goutte de sperme lui mouilla la main. Elle serra mes couilles avec force, sans me faire mal. Ses mains étaient douces. Je lui souris.

Elle me fit un clin d’œil :



Elle alla chercher son cahier de croquis et je vis ce qu’elle avait dessiné : le visage d’ange de Clara, sa bouche gourmande autour de mon sexe. Elle avait dessiné les ombres, les détails, je pouvais voir des gouttes de sueur sur le front de Clara et les veines de ma verge couraient avec réalisme.


Je restai nu dans l’escalier, mes vêtements sur le bras. Clara me précédait, gracieuse et légère dans l’escalier. Elle me fit entrer et je posai mes vêtements sur le premier fauteuil.

Je la regardai, elle se tenait devant moi, fine belle, nue et je voyais encore les traces de mon sperme sur sa poitrine, elle ne s’était pas essuyée. Je remarquais aussi que ses cuisses en étaient brillantes et cela me ficha un coup de la voir aussi lubrique et obscène. Elle se colla contre moi et je sentis sa peau mouillée et froide. Cela me fit reprendre vigueur. J’étais sale moi aussi et ça me plaisait.



Je me tus en voyant son sourire, elle ne le redirait pas.


Pas tout de suite…