n° 18851 | Fiche technique | 20246 caractères | 20246Temps de lecture estimé : 12 mn | 19/02/19 |
Résumé: Un service en vaut un autre. | ||||
Critères: fh fplusag couple vacances voyage bateau voir pénétratio -voyeuroca -mastf | ||||
Auteur : Lexdepenny Envoi mini-message |
Dans le vaporetto, le bateau-bus qui les transportait vers le Lido, où se trouvait leur hôtel, Gaëlle se retourna vers Jérôme et déclara :
Ils s’installèrent dans leur chambre, firent doucement l’amour et s’endormirent.
Le lendemain matin, Jérôme se prépara pour subir une journée entière de discours. Gaëlle mit une robe légère en coton, mi-mollet.
Jérôme regarda sa femme. Il ne se lassait jamais de l’examiner avec son mètre soixante-dix, ses cheveux blonds et ses yeux verts, sans parler de sa taille fine et ses petits seins mignons.
Gaëlle remonta sa robe jusqu’à la taille et révéla un mini-slip qui ne cachait rien des contours de son sexe épilé
Gaëlle releva encore plus sa robe, jusqu’au menton. Comme d’habitude elle ne portait pas de soutien-gorge et ses petits seins nus avaient les mamelons dressés. Jérôme sourit.
Gaëlle s’exécuta. Le soleil qui inondait la pièce rendit sa robe transparente.
Quand elle regagna l’hôtel après une journée hyperculturelle, Gaëlle se retrouva face à un Jérôme fatigué et grognon. Elle se déshabilla, poussa son mari sur le lit et défit son pantalon.
Bientôt elle put se mettre à cheval sur lui et se laisser pénétrer.
Elle ferma les yeux pour mieux se concentrer sur les sensations dans son sexe. Elle fit durer le plaisir et ne permit à Jérôme de jouir qu’après de longues et délicieuses minutes. Gaëlle embrassa Jérôme au front et sauta du lit. Elle fit un tour rapide à la salle de bain et revint trouver un Jérôme bien plus détendu.
Gaëlle traîna au lit le lendemain matin, se servit de ses doigts pour s’offrir un petit orgasme, se leva, se doucha et attendit le retour de Jérôme en prenant un bain de soleil à côté de la piscine de l’hôtel. Quand Jérôme revint à midi, ils se dirigèrent vers l’embarcadère pour prendre le vaporetto.
La voix grinçante venait de derrière eux parmi les gens qui attendaient le bateau. Les paroles en anglais firent tourner la tête à Gaëlle et Jérôme. La jeune femme qui avait crié était blonde et jolie avec une robe à froufrous qui renforçait son allure de poupée. Gaëlle grimaça.
Comme s’il n’avait pas ouvert la bouche, Poppy continua :
Gaëlle étouffa ses rires contre la poitrine de Jérôme, pendant que le jeune homme essayait d’expliquer que ce que Poppy avait vu était la Piazza San Marco, la grande place devant la cathédrale, plutôt qu’une pizzeria.
Ce qu’ils firent, mais dans une ville de la taille réduite de Venise, ils croisèrent inévitablement le couple de nouveau une heure plus tard. Poppy proclamait son besoin de faire les magasins sur la fameuse liste, malgré les protestations de James. Lui, l’air abattu et confus, tentait en vain de placer un mot.
Ils revinrent vers dix heures et décidèrent de prendre un dernier verre à l’hôtel. Ils y trouvèrent James, accoudé au bar et tête basse devant une bière. Gaëlle et Jérôme commandèrent une bière chacun et prirent place à côté du jeune homme.
Ils passèrent une bonne heure ensemble et apprirent que James, étudiant en architecture historique, avait reçu une bourse pour étudier certains aspects de Venise sur place. Il avait pensé en profiter pour offrir à sa nouvelle copine un petit séjour dans un lieu romantique. Malheureusement, Poppy avait conçu cette visite comme des vacances tout court, et avait traîné James aux magasins et dans des bars plutôt que de le laisser poursuivre ses études.
Il se leva et partit. Gaëlle dit :
Gaëlle resta au lit le lendemain matin pendant que Jérôme se préparait. Quand elle se leva, le temps avait changé. Il faisait très chaud et très humide. Elle fouilla dans sa valise pour trouver ce qu’elle pouvait bien porter sans être mal à l’aise. Elle opta finalement pour un t-shirt vert-pâle en guise de robe. En se regardant dans la glace elle se rendit compte que le t-shirt ne lui arrivait même pas à la mi-cuisse. Elle noua un châle blanc autour de sa taille en guise de jupe et se trouva présentable. Elle se mit en chemin pour le vaporetto, en espérant qu’elle ne rencontrerait pas Poppy, quoique retrouver James ne lui eût pas déplu. Pendant qu’elle attendait le bateau, elle entendit la voix de Poppy longtemps avant l’arrivée de la personne. Gaëlle grimaça. James lui adressa un sourire furtif en passant. Gaëlle fut sur le point de reculer et de prendre le bateau suivant quand on lui tira au bras. Surprise, Gaëlle regarda en bas et vit une petite vieille dame, habillée toute en noir, qui lui indiquait qu’elle apprécierait de l’aide pour franchir la marche et monter dans le vaporetto. Gaëlle fit le nécessaire et dut supporter la proximité de Poppy qui racontait à haute voix à James comment elle comptait se faire offrir des prix exceptionnels à Murano. Lui ne disait rien, mais sa figure en disait long sur sa souffrance.
Gaëlle passa la matinée à se balader dans les rues de la ville, en choisissant toujours de rester à l’ombre, car les nuages avaient disparu et il faisait un soleil de plomb. Vers midi, elle s’installa à la terrasse d’un petit café et regarda passer le monde. Elle avait vraiment trop chaud et finit par enlever le châle d’autour de sa taille, ce qui eut pour résultat de révéler ses cuisses aux passants. Ceux-ci avaient l’air d’apprécier la vue. Cela lui valut aussi l’attention assidue du serveur quand elle demanda s’il y avait moyen de manger.
Elle attendait l’arrivée de son risi e bisi, plat recommandé par le serveur, quand elle vit passer James, sans Poppy. Elle l’appela et l’invita à la rejoindre.
Face à une question tellement simple, James se lança. Il raconta à Gaëlle comment il avait rencontré Poppy, et combien il avait été étonné quand elle avait accepté de sortir avec lui.
Gaëlle regarda sa montre. Écoutez, James. J’avais aussi l’intention de faire le Palais des Doges cet après-midi. Ça vous intéresserait de m’accompagner comme guide ? Je n’ai pas eu le temps de faire mes recherches sur Venise. Vous voulez bien ?
Gaëlle se leva et remarqua que James resta figé un instant quand il vit la longueur de jambes que Gaëlle exhibait. Elle se sourit intérieurement. Ils visitèrent le palais, puis Gaëlle proposa de prendre un café. Ils s’installèrent à une terrasse au soleil.
Il rougit.
Gaëlle leva les bras et s’étira comme un chat, ce qui remonta son t-shirt. Sans regarder elle aurait compris que son slip était visible, rien qu’à observer la figure de James. Elle regretta de ne pas avoir mis un de ses slips transparents, mais le triangle blanc étroit qu’il devait avoir sous les yeux ne cachait que de façon aléatoire les contours du sexe de Gaëlle et comme toujours, elle sentit un raz-de-marée grisant l’envahir à se savoir ainsi exposée.
James ne répondit pas. Ils finirent leur café et flânèrent pendant un moment, en se dirigeant vers un arrêt de bateau. Le vaporetto arriva et ils montèrent. L’heure de pointe battait son plein et ils étaient serrés l’un contre l’autre au milieu de la foule. Soudain, James se raidit. Gaëlle suivit son regard et découvrit Poppy assise dans la cabine du bateau et qui les fixait, avec une haine dans les yeux qui avait presque une force physique. James frissonna, puis se reprit.
Un de ces immenses vaisseaux de croisière qui empestent et enrichissent Venise passa, à des centaines de mètres, mais en créant une vague qui fit tanguer le vaporetto. Gaëlle s’accrocha au bras de James et une idée lui vint en tête. Elle ne lâcha pas prise, mais lui serra le bras le long de son corps. Elle sentit les doigts de James qui effleuraient le coton fin de son t-shirt et s’en saisit, les pressant contre son bas-ventre. Il tressaillit. Gaëlle souffla à son oreille.
James fit oui de la tête.
Le bateau poursuivit son chemin vers le Lido. Pour se distraire, parce qu’elle devenait trop troublée, trop vite, Gaëlle jeta un coup d’œil autour d’elle. Tous ces passagers qui pensaient peut-être à leur retour chez eux, à la journée qu’ils avaient passée, ou à qui soit d’autre et qui ne se rendaient pas compte qu’une femme se faisait royalement masturber parmi eux. Tous inconscients, sauf James et elle-même, pour qui l’univers se résumait en quelques millimètres carrés de contact on-ne-peut-plus intime. Gaëlle fondait sous les caresses de James. Il prenait son temps à frôler le sexe de Gaëlle du bout des doigts. Elle se sentit mouiller. James écarta son slip et entreprit une exploration voluptueuse qui fit frissonner Gaëlle et la faisait craindre de gémir de plaisir. Un doigt glissa dans la fente humide de son sexe, et elle sentit ses genoux fléchir.
Comme toujours quand elle était excitée, son clitoris pointait fièrement. James le trouva et le titilla. Gaëlle mordit sa langue pour rester muette. Toute la sensibilité de son corps fusait au plus profond de son être, dans le fourneau de son sexe. Elle dut lutter pour retarder l’inévitable orgasme qu’elle savait aller la foudroyer. Elle ne voulait pas que le supplice de ces sensations délicieuses se termine. Au moment d’arriver à l’embarcadère, Gaëlle ne tint plus. Elle écrasa la main de James, la plaquant contre son sexe et jouit, s’efforçant de contrôler le tremblement de tout son corps de peur de s’écrouler et hurler son extase devant tout le monde.
Les gens se précipitèrent en masse pour quitter le bateau et Gaëlle perdit contact avec James. Elle était sur le point de débarquer elle-même, quand elle sentit de nouveau quelqu’un qui lui prenait la main. C’était la petite vieille du matin. Gaëlle l’aida à monter sur l’embarcadère mais la vieille dame refusa de la lâcher. Elle lui racontait quelque chose en patois Vénitien rapide. Gaëlle lui fit signe qu’elle ne comprenait pas. La vieille dame s’arrêta, réfléchit un instant, puis dit en italien :
Elle déposa un baiser sur les doigts de Gaëlle, puis se mit à rire à pleine gorge, et s’en alla en caquetant toujours. Gaëlle resta sans bouger un moment, pour déchiffrer les paroles, puis éclata en rires elle-même,
Elle releva sa chemise de nuit et révéla son sexe nu.