n° 18853 | Fiche technique | 9874 caractères | 9874Temps de lecture estimé : 7 mn | 19/02/19 |
Résumé: Comment j'ai redécouvert mon assistante sous un nouvel angle. | ||||
Critères: h fh asie collègues fête travail fellation cunnilingu pénétratio -bureau | ||||
Auteur : Natsu Envoi mini-message |
La première fois que je l’avais croisée, c’était dans les couloirs de l’entreprise que je venais de rejoindre. Sans être ce que les jeunes appellent vulgairement un avion de chasse, elle avait énormément de charme, et bien que n’ayant pas des mensurations de mannequin, elle avait ce qu’il fallait où il fallait. Une jolie trentenaire, typée indienne, de longs cheveux, et un magnétisme qui vous explique pourquoi le Kamasutra est originaire d’Inde.
Elle est devenue par la suite mon assistante, ce qui coupa court à mes velléités de charme. En effet, j’ai pour principe de ne pas mélanger vie privée et professionnelle. Bien qu’elle m’attirât, elle était ma subordonnée.
Elle avait un humour certain, et n’avait pas froid aux yeux quand les collègues dérivaient sur les blagues salaces, rajoutant même son grain de sel.
Nos bureaux étaient contigus, je l’avais quasiment constamment dans mon champ de vision, et je me prenais parfois à laisser vaguer mon imagination… Il y avait entre nous, malgré un jeu de séduction subtil mais réel, beaucoup de respect et jamais nous n’avions ouvertement songé à transgresser le cadre professionnel. Ou presque…
J’ai retrouvé, une fois, sur mon copieur-imprimante, deux pages d’une histoire érotique, qui, à la lecture, m’avait fait bander comme il faut. Mais je ne les avais pas imprimées. Il s’agissait d’une histoire de collègues qui, au cours d’un voyage, s’étaient « rapprochés ». En regardant l’historique d’impression, via son adresse IP, j’ai su que c’était elle qui avait déposé ces pages. Je n’ai rien dit. Je ne savais pas si c’était intentionnel ou accidentel. Profitant de sa pause, je les ai juste mises sur son bureau, sans commenter. À son retour, je l’ai vue sourire, et elle a simplement rangé les feuillets dans son tiroir. Elle n’en a jamais fait mention par la suite.
Un jour, nous assistions ensemble à une réunion. Ennuyante. Nous étions côte à côte au fond de la salle, à faire semblant d’écouter le directeur financier exposer sa réforme de l’organisation comptable. Je jouais sur mon téléphone et elle dessinait sur son bloc-notes. Le message d’un ami est arrivé. Par réflexe, j’ai ouvert instantanément. Il s’agissait d’une vidéo de deux filles en train de s’occuper de la queue d’un mec. Une brune et une blonde. Heureusement que j’avais coupé le son, je me serais fait prendre devant tous les cadres de la boîte. Mon assistante en revanche eut le temps d’en voir quelques secondes. Je me débattais tout affolé à fermer l’application lorsqu’elle m’arrêta, posant sa main sur la mienne. Elle me dit discrètement, avec une voix suave, à l’oreille :
Elle avait les yeux brillants, sa main enserrait la mienne. J’avais ma queue super dure dans mon jean, et je m’imaginais un sexe tout dégoulinant à côté. La vidéo terminée, elle s’est éclipsée de la réunion en me disant rapidement : « C’est malin chef, je dois aller enlever mon string maintenant, il est tout trempé ».
Elle me fit un clin d’œil et partit. J’avais chaud. Elle m’avait donné chaud ! Je l’aurais bien suivie pour la prendre dans les toilettes. Mais je n’en fis rien, toujours coincé par mon sacro-saint principe de séparation des cercles privés et professionnels, et surtout de l’abus de pouvoir.
À mon retour au bureau, j’avais une enveloppe du courrier interne. En l’ouvrant, j’ai eu le plaisir d’y trouver un string rouge mouillé. Je l’ai porté à mes narines afin d’en humer son odeur de femme. Elle me regardait depuis son bureau avec un grand sourire mutin. C’était déjà la fin de journée. Elle partit peu après en me lançant un « Bonne… soirée, chef » traduisant son espièglerie.
J’avoue être parti me soulager tout de suite après, son string humide dans ma main.
Quelques mois plus tard, elle a dû changer de poste. Je l’avais proposée à la direction pour qu’elle puisse évoluer au sein de la société. Elle allait devenir chargée d’affaires, sur un autre site. C’était, en toute objectivité, largement mérité, mais je regrettais déjà de la laisser partir. On avait fait un pot pour son départ avec le service, en fin d’après-midi, et nous étions tous un peu grisés par l’alcool.
Toutefois, j’avais un dossier à terminer et essayais de me concentrer dessus. Je fus étonné de la voir dans l’embrasure de la porte, pensant qu’elle était déjà rentrée, vu qu’il était déjà tard.
Elle me proposa de m’aider à finir mon dossier et vient s’asseoir sur le bord de mon bureau. Elle avait une petite robe estivale qui lui arrivait à mi-cuisse. Tout en discutant, elle la faisait discrètement remonter et j’avais une vue sur ses jolies jambes dont j’imaginais la jonction humide. Elle prit ma main et la posa sur sa cuisse.
Elle remontait ma main de plus en plus haut, découvrant par la même occasion son intimité.
J’ai déconnecté mon cerveau. Je me suis mis à lui caresser la fente au travers de son joli string blanc. Il était déjà humide.
Je me levai et me mis entre ses jambes, l’embrassai à pleine bouche, me délectant de ses lèvres. Elle commença à gémir en même temps que je lui caressai le clitoris. De son côté, elle me malaxa le sexe à travers mon pantalon. Elle sortit ma verge rapidement, défaisant ma ceinture. Je m’étais rassis dans mon fauteuil, elle était à mes pieds, et commença à me prendre en bouche pour me faire une fellation d’experte, faisant tourner sa langue autour de mon gland et titillant le méat. Elle me prodiguait ce « soin » tout en me communiquant sa ferveur par son regard. Je sentais en moi la sève monter mais je ne voulais pas venir trop vite. Je l’ai arrêtée et l’ai mise à ma place. Ses jolis petits seins bâillaient et je me suis mis à les suçoter, à aspirer ses tétons. Ses gémissements témoignaient du bien que je lui faisais.
J’ai continué l’exploration de son corps, et me suis retrouvé entre ses cuisses. Elle était à la limite de l’indécence, les jambes écartées. Je me suis mis à la manger, écartant juste son string. Sa chatte était toute chaude et humide et je m’abreuvais à sa source. Ma langue est allée agacer son clitoris. J’adorais son goût. Elle m’imprimait le rythme en plaquant ma tête sur son entrejambe. Et elle s’est mise à trembler, serrant mon crâne dans cette prison de rêve, pour laisser exprimer sa jouissance. J’espérais qu’il ne reste personne dans le service, car elle était tout sauf discrète. Elle me releva et m’embrassa pour goûter à son jus.
Elle se débarrassa du reste de ses vêtements, je fis de même, et enfilai une protection. Elle était vraiment bandante. Elle se mit à califourchon, dos à moi et de sa main, positionna ma queue à l’entrée de son sexe. Alors qu’elle allait s’empaler, je la retins, ne faisant rentrer que mon gland. Je sortais et revenais. Elle soupirait d’aise et de frustration. Profitant d’une seconde d’attention, elle se laissa complètement retomber et sentit mon membre dans son entièreté. Elle bougeait sensuellement, prenant le contrôle des opérations. Je pouvais lui caresser les seins, l’embrasser dans le cou, et même lui caresser le clito en même temps.
Devant tant d’ardeur, ce qui devait arriver arriva, la chaise céda sous nos ébats et nous nous sommes retrouvés par terre. Nous avons rigolé un bon coup devant le caractère cocasse de la situation. Cela ne nous a pas empêchés de reprendre nos petites affaires. Elle s’est mise à quatre pattes, la croupe bien cambrée, de manière non équivoque, et me demanda de la prendre. J’ai donc exécuté les volontés de la belle, variant l’intensité de ma pénétration, alternant les séquences tendres, et la bestialité. Oui, nous pratiquions la bête à deux dos, oui nous n’étions plus que deux animaux en rut. Je me suis aventuré à lui caresser l’anus, ce à quoi elle me dit :
Je ne tenais plus, je me suis mis à accélérer au fond de sa matrice. Mon orgasme est arrivé d’un coup, j’avais l’impression de déverser des litres de foutre au fond de son utérus. Mon éjaculation a déclenché son orgasme à elle. Je sentais les parois de son vagin enserrer et masser ma tige.
Je me suis retiré et elle est venue se blottir dans mes bras. À ce moment, nous avons entendu du bruit dans le couloir. Elle s’est rhabillée à toute vitesse, tout comme moi. Avec la peur d’être surpris, elle me laissa un baiser chaste, et partit à toute vitesse en me disant « à plus tard » augurant d’autres étroites collaborations…