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Temps de lecture estimé : 15 mn
24/02/19
Résumé:  Le Jeu se continue et se pimente, pour le plus grand plaisir des deux.
Critères:  fh couple amour fdomine
Auteur : Like a Princess  (Mariée, joueuse (si je mène le jeu) et délicatement perverse)            Envoi mini-message

Série : L'abricot magique

Chapitre 02 / 02
L'abricot magique II

Résumé de l'épisode précédent

Un couple amoureux, Lui et Elle, qui ont l’habitude de jouer à des jeux de domination soft. Lors du précédent épisode, Elle a cédé à la demande de son petit mari en acceptant de se faire épiler intégralement. Mais il ne savait pas quel risque il prenait, Elle a en effet décidé de lui faire payer la douleur de cette épilation, notamment en prenant un contrôle beaucoup plus strict du Jeu et en explorant des pratiques plus dures que celles dont ils avaient l’habitude.






Elle restait dans la pénombre sur leur lit conjugal, revenant à elle après le séisme qui avait secoué tout son corps. Il était là, attaché dans le noir total sous son bandeau qu’elle n’avait pas retiré, sans bouger ni s’exprimer. Elle savourait la quiétude après la tempête, tant dans son corps que dans son crâne. Le plaisir qu’elle avait pris était inégalé depuis des années, elle se demandant si cela tenait à sa nouvelle assurance, due à l’ascendance qu’elle avait prise sur lui dans le Jeu. Elle se sentait forte et sereine, et surtout incroyablement satisfaite, pleine de ce plaisir qui l’avait envahi, mais qu’elle avait apprivoisé. Ce plaisir, elle ressentait l’avoir mérité, ce n’était pas un plaisir usurpé qu’on lui aurait donné sans qu’elle le prenne ou le mérite, il était là parce qu’elle l’avait conquis, par elle-même, pour elle-même.


Elle lui retira son bandeau et le regarda tendrement.



Elle quitta la pièce pour aller se poser sur le canapé du salon. Lui revinrent alors rapidement les exigences du rôle qu’elle avait endossé, il ne fallait pas lui laisser reprendre complètement ses esprits, il fallait qu’elle soit forte, toujours forte. Mais pour revivre ce qu’elle venait de ressentir, cela en valait le coup. Elle rentra dans la chambre et lui lança :



Elle alluma la lumière, le libéra de ses liens, puis elle prit son petit paquet en tordant légèrement la cage et donc la queue, le faisant se tendre d’appréhension.



Il se tortilla sans répondre, se repliant sur lui-même en position fœtale. Elle lui caressa les fesses, lui faisant de petits bisous tendres sur la nuque. « Pauvre petit Doudou », lui fit-elle. Puis elle se leva, fouilla dans la boîte à jouets pour en retirer une laisse en cuir qu’elle fixa à l’extrémité de sa cage et lui tendit le tablier de cuisine qu’il passa.



Il la suivait précipitamment pour ne pas laisser se distendre son membre entraîné par la laisse qu’elle tenait fermement. Arrivés devant les toilettes, elle lui expliqua que, comme le voulait la politesse, il allait devoir attendre qu’elle-même satisfasse ses propres besoins. Il assista donc impuissant à son pipi qu’elle laissa bruyamment sonner sur la faïence. Il écarquillait ses yeux, mais ne pouvait pas vraiment voir son sexe épilé, c’est incroyable comment les femmes ont une totale maîtrise de ce qu’elles laissent voir ou pas.



Il se précipita à genoux, et accéda enfin au sanctuaire qu’Elle mit à sa disposition, gardant relevée sur sa taille sa jupe plissée. Il huma la grotte humide, savoura des lèvres la peau lisse de l’abricot de sa déesse, et passa délicatement sa langue sur les lèvres dénudées et la fente humide. Il voulait bien tous les jours être son valet de soin pour parcourir ce divin abricot.



Elle releva l’abattant, le forçant à s’asseoir sur le siège en faïence qui lui fit froid aux fesses



Il avait enfin réussi à se satisfaire et elle l’avait laissé dans la cuisine, préparant la côte de veau aux morilles qu’elle lui avait demandé de cuisiner. Elle passait régulièrement voir l’avancement des opérations, se penchant sur lui, caressant une fesse, pinçant un téton, tirant sur la laisse qui pendait maintenant entre ses jambes, mordillant une oreille. Il avait du mal à se concentrer, mais n’osait bouger et protester.


La cuisine fut finalement très réussie, malgré les conditions spéciales de sa réalisation. Ils mangèrent comme si de rien n’était, assis tous les deux l’un en face de l’autre à la même table que d’habitude, avec les mêmes couverts, aux mêmes places. Tout au plus la conversation fut-elle un peu asymétrique, il n’osait pas la contrarier et elle de son côté n’hésitait pas à le provoquer verbalement sur des sujets qui le faisaient d’habitude s’enflammer. Elle le provoquait également physiquement de temps à autre, soit en manipulant ostensiblement la clef de sa cage qu’elle ressortait pour ce faire de son corsage, soit en tendant sa jambe sous la table pour lui stimuler l’oiseau en jouant avec la cage sous le tablier. Cela le mettait dans tous ses états, son membre contrarié tentait instantanément de se déployer, ce qui le déconcentrait totalement dans la conversation.


Ils regardèrent tranquillement un film et allèrent se coucher. Elle se mit elle-même en cuillère autour de lui, tenant entre ses mains la preuve de son pouvoir, la petite cage qui renfermait la virilité vaincue de son petit mari. Elle s’endormit sans tarder dans une certaine béatitude tandis que lui, avec les sens aiguisés, la frustration accumulée, le corps saturé d’hormones, restait les yeux ouverts se demandant dans quelle galère il s’était embarqué.


Le réveil fut pour lui douloureux, son érection matinale contenue par les barreaux d’acier ne lui laissait pas de répit, ses sens déjà alertés. Il attendit une éternité dans le noir qu’elle se réveille, mais elle semblait partie avec les anges, le visage serein et la respiration régulière, à peine marquée par un très léger et gracieux ronflotement.


Lorsqu’enfin elle ouvrit les yeux, sa première action fut de tendre sa main pour attraper la cage, comme pour s’assurer qu’elle n’était plus dans un rêve. La seconde fut, en se mettant sur le côté en position fœtale, de lui demander « plein de petits bisous sur les fesses ». Il plongea sous la couette pour s’exécuter, effleurant avec ses lèvres l’ensemble de ses fesses, depuis le haut des jambes jusque dans le bas du dos, s’attardant sur la peau si douce de l’intérieur des cuisses, léchant avec la douceur d’une plume le sillon de ses fesses jusqu’à la limite de sa fente cachée entre ses jambes, humant le parfum délicat que la nuit y avait déposé. Elle savourait ses sensations en ronronnant lorsqu’il osa lui dire :



Ni la Princesse ni lui n’évoquèrent à nouveau le sujet. C’était un dimanche de soldes, tous les magasins étaient ouverts et elle le tira, lui qui est agoraphobe, dans un rallye sans répit dont les étapes étaient des échoppes bondées de clientes hystériques ou des grands magasins où la chaleur avait de quoi faire défaillir. Elle alternait entre complicité féminine et autorité arbitraire. Complicité lorsqu’elle l’entraînait dans des cabines d’essayage pour passer dix vêtements différents, lui demandant son avis, discutant de la qualité du tissu, de sa froissabilité, de sa température de lavage ou de quelle sorte de chaussures s’assortirait le mieux. Et puis soudain elle lui saisissait violemment l’entrejambes, lui promettait mille tortures pour n’avoir pas correctement suivi sa conversation ou avoir regardé une autre femme, les salons d’essayage étant, il est vrai, d’une tentation absolue, en ces périodes de forte fréquentation qui poussait chacune à se déshabiller à peu près n’importe où. Lors de ces crises d’autorité soudaine, ses yeux lançaient des éclairs, elle secouait frénétiquement la clé en lui rappelant devant tout le monde quel était son pouvoir.


Après un repas avalé sur le pouce dans la cafétéria des Galeries-Lafayette, l’après-midi fut tout autant rempli, tant et si bien qu’ils étaient tous deux épuisés en rentrant vers cinq heures. Elle monta quatre à quatre les escaliers menant à l’appartement, lui suivant avec peine en ahanant, portant six sacs de six magasins différents, outre la lourde besace qui lui tenait lieu de sac à main qu’elle lui avait collé en bandoulière en sus du reste. Elle s’effondra dans son canapé fétiche, retirant chacune de ses bottines avec l’autre pied, les laissant en vrac sur le tapis, lui demandant dans le même temps de les ramasser pour les ranger, de lui faire un massage des pieds, de préparer son thé, un Jasmin impérial infusé une minute et demie, de ranger ces sacs qui traînent partout…


Pendant qu’il s’affairait à genoux sur le tapis en lui procurant un massage de la plante des pieds qui la remplissait d’aise, elle songeait à leur relation. Le moment qu’ils vivaient ne pouvait pas durer éternellement, même si elle prenait un plaisir de plus en plus grand à ces séances, avec des jouissances parfois incroyables. D’une part, elle aurait du plaisir, à l’issue du Jeu, à retrouver son vrai mari, avec sa personnalité, son indépendance, les relations égalitaires qu’ils avaient développées. D’autre part, le maintenir sous son emprise requérait une attention de toutes les minutes : il fallait qu’il se sente sollicité et excité – intellectuellement et sexuellement – très fréquemment et régulièrement pour qu’il n’ait pas le temps de réfléchir et du coup perdre le fil du Jeu. Comme une dompteuse, beaucoup plus fragile que le tigre qu’elle a dressé, qui maintient le fauve sous son emprise par la démonstration permanente de sa puissance et de son autorité, ne le quittant pas des yeux et lui fouaillant sans cesse les flancs de son bâton.


Elle le laissa enfin aller se reposer, sombrant elle-même dans une douce somnolence, bercée par la voix suave de Madeleine Peyroux. En sortant de sa torpeur, elle avait rechargé ses batteries et se sentait d’attaque pour un nouveau petit jeu qu’elle avait imaginé et qui ne pouvait que rentrer parfaitement dans le scénario global.


Elle se rendit dans la chambre où il reposant sur le lit couché sur le ventre, la tête entre ses bras croisés, le secoua du bout du pied et lui demanda de se lever et de se déshabiller entièrement. Le cerveau embrumé, il se retrouva bien vite en tenue d’Ève, enfin une Ève avec une drôle d’excroissance entre les jambes… Elle le prit par la cage pour l’amener dans la salle de bains où un radiateur design chromé en forme de colonne occupait un coin de la vaste pièce, sensiblement détaché du mur pour trôner comme une sculpture. C’était un magnifique élément de décoration qui, à lui seul, aurait suffi à faire de leur appartement un lieu à part. Elle le poussa le dos contre la colonne, se saisit d’un rouleau de film alimentaire transparent qu’elle avait disposé dans l’armoire à linge et entreprit de le saucissonner contre le poteau, comme une caricature de poteaux de torture d’indien dans les westerns. Elle dévida une bonne vingtaine de mètres de film, un matériau professionnel très fin, élastique et résistant, ce qui fit qu’il était strictement immobilisé, les mains collées au corps, même le sommet de sa tête était bloqué contre le radiateur. Les seules parties de son anatomie laissées libres étaient son nez et sa bouche, la ligne de ses seins et une portion de bassin au niveau de son sexe.



Elle parcourut des doigts la chair enfermée dans le plastique, s’amusant du lissage de toutes les aspérités, poils, imperfections de la peau. Puis elle entreprit de l’embrasser tendrement sur les lèvres, fouillant bientôt sa bouche en un baiser profond. Sa main, pendant ce temps, s’attardait sur la chair dilatée qui sortait de la petite cage. Elle eut envie de délivrer l’oiseau qui bientôt se dressa, comme une branche sortie d’un tronc d’arbre. Elle joua un moment avec la petite queue si lisse et glabre, la léchouillant, la suçant, l’aspirant, tirant les boules qui jouaient librement sous la peau lisse des bourses. Continuer un tel traitement allait devenir dangereux. Il était près d’exploser, s’aperçut-elle en entendant le souffle de plus en plus rapide de sa victime, seul indice qui pouvait l’alerter en raison de l’immobilité totale à laquelle il était astreint. Elle délaissa donc l’oiseau, remarquant le désespoir dans ses yeux et remonta donc vers les seins. Elle s’amusait à titiller les tétins, les suçoter, les mordiller, provoquant à nouveau une accélération de sa respiration et quelques gémissements de plaisir contenu.



Elle fouilla dans le meuble sous le lavabo et se releva avec une pince à épiler avec laquelle elle entreprit de lui retirer un à un les quelques poils un peu ridicules qui les ornaient, mais dont il était bizarrement fier. Son corps totalement impuissant dans ses liens et avec l’interdiction d’émettre le moindre bruit qu’elle lui avait imposée, seul le roulement de ses yeux exprima la soudaine douleur qu’elle lui infligeait.



Ses petits tétins dégagés, elle continua à jouer avec eux, les malaxant, les étirant, les tordant, déclenchant des ondes corporelles sous le film qui l’immobilisait.



Elle songea qu’au lieu de rester sur Internet, ils pourraient aller carrément tous les deux dans la boutique Démonia qui, avait-elle noté, présentait l’avantage de se trouver isolée dans un quartier bourgeois, avenue Jean Aicart dans le 11e, loin du glauque des boutiques spécialisées de Pigalle. Cela serait une occasion également de compléter la boîte à joujoux, il y a tellement de choses à explorer.


Continuant à explorer son corps, elle lui susurra qu’elle avait une furieuse envie de lui épiler le reste du corps, particulièrement ses jambes, s’amusant de son air effrayé. Pour continuer de s’amuser, elle lui expliqua que, de son côté, elle serait bien tentée par janu-hairy et pourquoi pas febru-hairy, profitant de la période où les femmes n’exposent pas leur corps sur la plage pour laisser pousser l’intégralité de leurs poils. De multiples blogs et sites Internet montraient de jeunes et moins jeunes femmes exposant leurs jambes ou leurs aisselles avec leur pilosité naturelle, parfois très fournie. Visiblement, la perspective ne devait pas tant le dégoûter, sa bandaison avait même retrouvé quelque vigueur.


Elle entreprit donc de lui remettre sa cage, en forçant pour permettre à l’engin de rentrer dans la cage trop petite. Elle en profita pour jouer un peu, se collant à lui, la tête sur son épaule, titillant son petit minou avec l’extrémité de la cage, la passant délicatement le long de sa fente, écartant ses lèvres intimes, se pénétrant autant que la position pouvait le permettre. Elle en était toute mouillée s’aperçut-elle en voyant l’humidité de la petite cage.



Elle glissa de bas en haut une paire de ciseaux entrouverte dans le film pour le dégager d’un seul coup. Il s’ébroua retrouvant sa mobilité.



Pendant une petite heure, elle s’amusa à le déguiser avec ses habits à elle. Lui faisant porter un de ses vieux strings en dentelle blanche qui baillait sur les côtés à cause du paquet en cage et qui devait lui rentrer dans les fesses tant l’expression « tendu comme un string » prenait ici toute son illustration. Elle lui fit enfiler des collants et une jupe qu’elle raccourcit en tournant la taille pour en faire une tenue plus sexy. Ses chemisiers et soutiens-gorge n’allaient naturellement pas, mais une chemise blanche à lui qu’elle fit blouser au moyen d’une ceinture haute et élastique fit l’affaire. Pour parfaire l’illusion, elle défit les trois boutons de dessus pour former un décolleté qu’elle agrémenta d’un collier en or. Pour finir, elle dénicha des sandales d’été à elle non fermées au bout, ce qui lui permit de le percher sur des talons. Elle compléta le tableau avec une perruque fantaisie aux cheveux lisses et roses qu’elle avait achetée trois-francs-six-sous pour une ancienne soirée déguisée. Elle admira son œuvre, la peaufinant encore avec un petit coup de maquillage, juste du noir autour des yeux et du rouge à lèvres.


Elle le fit défiler devant elle dans le salon en lui apprenant à croiser ses pieds en marchant comme les mannequins, tortillant des fesses de façon amusante. Enfin plus qu’amusante… Le trouble montait en elle. Elle se leva et s’approcha de lui – d’elle ? – l’embrassa sur la bouche, lui caressa la poitrine par l’entrebâillement de la chemise, passa ses mains sous la jupe pour lui malaxer les fesses. Le crissement du collant sous ses mains accentua son émoi. Elle l’entraîna soudain dans la chambre où elle le poussa sur le lit, lui arrachant ses vêtements, jetant elle-même ses habits par terre. Elle saisit la clef entre ses seins, lui ouvrit la cage et sans autre forme de procès, le prit comme une furie.


Elle réfléchissait après cet épisode où elle s’était si totalement lâchée. Elle avait éprouvé une jouissance comme jamais elle n’en avait même approché. Mais, dans le même temps, cette sensation lui faisait peur, atteindre de tels sommets donne le vertige et l’espèce de rage avec laquelle elle l’avait pris, oui il n’y avait pas d’autres mots, elle l’avait vraiment pris, ouvrait un abîme. Que serait-elle prête à faire à nouveau pour retrouver cette sensation ? Jusqu’où pourrait-elle aller ?


Lui de son côté avait joui comme jamais, il l’avait clairement exprimé lorsque, tous les deux étendus sur le lit conjugal, ils avaient débriefé en silence – les attitudes parlent parfois mieux que les mots – la tornade dans laquelle ils avaient été emportés. Dans la pénombre de la chambre et la tiédeur du lit, ils s’étaient lentement et chastement caressés, comme pour apprendre à se re-connaître. Ce faisant, il la regardait avec de grands yeux reconnaissants et tendres, ce qui la rassura, il y avait de la béatitude dans ce regard. Puis ils s’étaient mis en position de cuillère, cette fois, lui en position de dominant, l’entourant de l’extérieur, un bras entre ses seins à elle, l’autre reposant sur ses hanches, son sexe redevenu flaccide collé contre ses fesses. Ils avaient fini par somnoler une dizaine de minutes l’un contre l’autre, elle incrustée dans ses bras protecteurs, tous les deux savourant le calme après la tempête.


Juste avant qu’ils se lèvent tous les deux, il l’avait fait se retourner vers lui, l’avait fixée dans les yeux et lui avait dit :



Elle en resta songeuse et ne sut que répondre. Imaginait-il quel sommet elle avait atteint de son côté ?


Deux semaines s’écoulèrent ainsi, ils étaient pris par la vie quotidienne, ils ne parlaient surtout pas de ce qui s’était passé, tout comme si cela n’avait jamais existé. Durant ces deux semaines, ils ne firent pas l’amour, comme s’ils avaient épuisé dans le Jeu, pour tout ce temps, les ressources sexuelles qu’ils avaient en eux, se contentant de câlins chastes dans le lit avant de s’endormir. C’est lui qui revint vers elle et c’est donc lui qui est seul responsable de ce qui advint.


C’était un samedi matin, elle était partie faire des courses, et lorsqu’elle revint, les bras chargés de sacs dont l’un laissait émerger des fanes de poireaux, il n’était pas dans l’appartement. Une lettre trônait en apparence sur le bar qui sert de frontière entre le séjour et la cuisine dont l’enveloppe portait : « À ma Princesse ».



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