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Temps de lecture estimé : 38 mn
26/02/19
Résumé:  Julie, ma femme, déteste son boulot, ou plutôt ce qu'est devenu son boulot depuis que, pour des raisons d'économie, les différents établissements de notre région se sont mutualisés.
Critères:  fh fhhh hplusag inconnu fellation bukkake
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Service Sucette de Cinq à Sept

Quelques lointaines similitudes avec un de mes précédents textes (17984 – Idée de routier).

Bonne lecture…


Marc — Boulot et petits calculs



Julie, ma femme, déteste son boulot, ou plutôt ce qu’est devenu son boulot depuis que, pour des raisons d’économie, les différents établissements de notre région se sont mutualisés. Mais hélas, tout a été fait en dépit du bon sens dans tous les services, sauf à la Direction, comme de bien entendu.


Elle pourrait démissionner, mais à son âge (le demi-siècle légèrement dépassé), il lui sera difficile de retrouver ailleurs quelque chose de correct. Du coup, elle explore toutes les possibilités pour se dégager de ce travail qui la stresse, alors qu’avant, elle était vraiment contente d’aller bosser.


Justement, quand on parle de la louve… La porte claque, elle vient juste de rentrer :



Quand ma femme est lancée, il n’est pas souhaitable de l’interrompre, il vaut mieux attendre. Quant à jouer la pute, j’ai des doutes qu’elle le fasse un jour, même si nous faisons un peu de libertinage depuis quelques années, mais c’est très épisodique.


Je la prends dans mes bras, elle se laisse faire.



C’est un argument que je n’avais pas vu venir :



Je soupire. Ce n’est pas la première fois que ma chère moitié met ce genre de sujet sur le tapis. Entretemps, par amusement, j’ai cogité de mon côté. Peut-être que je devrais lui exposer mon idée saugrenue…


La relâchant un peu, je désigne le canapé :



Nous nous asseyons l’un à côté de l’autre, je lui déroule petit à petit le concept en question :



Elle résume à sa façon :



Ma femme me regarde d’un air soupçonneux :



Elle dit ça, mais je vois bien que ça fait son petit bonhomme de chemin dans sa tête. Je continue mon exposé, en mode « fun », volontairement pour ne pas la braquer. Trois-quatre minutes plus tard, elle et moi sommes à fond dans notre petit délire. Tout à fait logiquement, je propose :



Je souris. Et en parlant d’esprit pratique, il faut aborder à présent la partie financière car on ne vit pas que d’amour et d’eau fraîche…



Elle s’exclame :



Avec mon tableur, j’avais échafaudé diverses hypothèses dont je me souviens très bien. De plus, je ne suis pas mauvais en calcul mental. J’en soumets une parmi d’autres :



Je me penche un peu vers ma femme :



Elle reste songeuse quelques instants, semblant peser le pour et le contre, puis prenant à nouveau la parole, elle bifurque un peu :



Elle ne répond rien, elle se contente de sourire. Puis curieusement, sans nous concerter, nous sommes passés à un autre sujet.



Marc — Répétitions



N’empêche que ma petite idée a fait son chemin dans sa tête. Le truc qui la gênait le plus était l’argent. Je sais qu’elle a raison quand elle dit que le fric fausse tout. Du coup, nous avons trouvé un palliatif qui satisfait tout le monde.



De ce fait, j’ai organisé le premier essai, en le présentant comme une sorte de défi, de performance que devra exécuter ma femme, une nouvelle étape pour elle. Comme nous avons des contacts, et que ces contacts ont eux-mêmes des contacts, très vite, nous avons eu le bon nombre de personnes, et j’ai pu caler une date et une heure qui satisfaisaient tout le monde ou presque.


Puis le jour J est arrivé. Huit hommes se tiennent dans notre salon, nous connaissons la plupart d’entre eux, sauf deux nouveaux qui nous ont été chaudement recommandés. Je prends la parole :



Quelques rires fusent, Jean-François est connu pour son amour des expériences, toujours vouloir être le premier. Sans complexe, il s’avance vers ma femme, la bite à l’air. Empoignant cette queue à pleine main, Julie commence par une série de baisers bien sentis sur le gland luisant et suintant déjà un peu. Peu après, la bite bien raide est absorbée entre des lèvres mouillées et actives. Notre premier invité émet un soupir, comme s’il décollait vers le paradis. Connaissant les aptitudes à la sucette de ma femme, je comprends sa réaction. Il s’exclame :



Même s’il fait visiblement des efforts pour ne pas craquer, il finit par lâcher tout son foutre dans cette si affriolante bouche. Dans un long gémissement, il se vide, tandis que sa tentatrice avale avec un plaisir évident.


Pour ma part, je dirais : mission accomplie !


Autour de moi, j’entends un sourd murmure admiratif. Ma femme a parfaitement réussi son coup, ou plutôt sa dégustation. Lionel, mon voisin de droite, se penche vers moi, résumant l’impression globale des hommes ici présents :



En réalité, ma femme aime bien sucer, j’en sais quelque chose pour mon plus grand profit, mais c’est la première fois qu’elle va faire ça à la chaîne. Le maximum qu’elle ait fait a été trois queues dans un club, deux hommes plus moi. Avec un naturel désarmant, Julie s’attaque à la personne suivante, comme si c’était tout usuel, classique pour elle. Lionel ne lâche pas mon épouse du regard.



Durant ce temps, l’actuel sucé est arrivé au bout de sa résistance. N’y pouvant plus, il décharge à son tour entre les lèvres avides qui n’arrêtent pas leur succion infernale. Lui aussi, il se déverse dans un long gémissement ! Toujours vorace, ma femme s’active autour de cette bite qui se vide en elle. Un dernier spasme, un dernier gémissement, puis l’homme est momentanément hors service, et se retire de cette bouche si efficace.


Assez impatient, l’invité suivant se manifeste :



Quelques succions plus tard et autres massages de boules, cet autre homme se déverse à son tour entre les lèvres avides et dociles.


Puis ma femme enchaîne les fellations, comme certains enchaînent les verres sur un comptoir, sans effort, naturellement et avec un visible plaisir. Il est évident que ce premier essai est une réussite, même s’il sera rare qu’elle doive vider huit hommes à la chaîne. On va dire que c’est actuellement le torture-test, et Julie, alias Lily, l’a réussi haut la main !


Après y être retourné une autre fois, se reboutonnant après s’être vidé dans la bouche de notre putain pour de faux, Lionel s’approche de moi, un peu chancelant :



Jean-François ajoute son grain de sel :



Et ce sont sur ces belles paroles que la nouvelle carrière de ma femme commence réellement.



Marc — Nouvelle carrière



Au début, il n’y avait pas foule, mais c’était déjà largement suffisant, et nos finances ne souffraient pas de l’absence de revenus de ma femme. De plus, avec les pizzas offertes, la viande et autres aliments, nous n’avions presque plus besoin de faire des courses ! Sans parler de divers cadeaux plus ou moins utiles…


Nous avons décidé de mettre en place un club très privé dont les futurs membres doivent être cooptés par les actuels adhérents ayant un certain niveau de confiance, et aussi agréés par ma femme, car elle fonctionne au feeling. On aurait pu ratisser plus large, mais il vaut mieux la qualité que la quantité, sans oublier la sécurité.


Afin de simplifier les choses, j’ai développé une petite appli pour smartphone, une sorte de calendrier en ligne pour réserver sa place. Semaine après semaine, sur suggestion des membres de notre club très spécial, j’ajoute des options, car certains participants aimeraient un peu plus qu’une simple sucette.


Afin d’éviter d’éveiller certains soupçons, nous changions parfois de locaux, car le faire systématiquement à la maison pouvait poser problème avec nos voisins. Comment justifier un afflux soudain de voitures à une certaine heure ? De plus, il y a souvent des extras, point de vue horaire. Nous avions évoqué la création d’un club et de faire les réunions chez nous en attendant d’avoir une salle à nous.


Visiblement, ma femme aime son nouveau métier. Elle s’est mise en congés sabbatiques, car on ne sait jamais. Elle a donc maintenant devant elle plusieurs mois pour se faire une idée, si elle décide de continuer ou pas.


Bien sûr, ni elle, ni moi, nous ne nous reprochons pas cette forme d’infidélité. D’ailleurs, c’est moi qui l’y ai poussée, donc j’aurais mauvaise grâce à lui en tenir rigueur. De plus, j’y gagne…


En effet, bien que ma femme suce d’autres bonshommes, notre vie sexuelle de couple est devenue plus intense, comme pour contrebalancer les gâteries qu’elle prodigue à d’autres que moi. Je dirai même qu’elle est devenue plus dévergondée, ce qui m’arrange bien !



Julie — Aux premières loges



Aujourd’hui, c’est Gérald qui nous prête les loges du théâtre municipal, aucun spectacle n’étant monté ces prochains temps. Disons qu’il nous prête une seule loge, elle suffira amplement. Nous y entrons tous les trois, Gérard, mon mari et moi.


Aussitôt dedans, je m’exclame :



Mon interlocuteur semble hésiter sur la réponse à donner, il regarde en coin mon homme qui lui sourit. Rassuré, il se lance :



Bingo ! Les hommes sont décidément faciles à deviner. J’ai envie d’épicer un peu les choses :



En un rien de temps, Gérard est debout sur la chaise, bite bien raide à portée de ma bouche, en train de se contempler dans le grand miroir encadré de lampes. Moi aussi, je regarde l’effet que ça fait et je reconnais que c’est amusant, si je puis le dire ainsi !


Dans un coin de la loge, mon mari attend patiemment la suite, son appareil-photo en main…


Peu de temps après, il gémit, sa queue entre mes lèvres suceuses, ma langue se faisant un plaisir de le caresser sur sa partie la plus sensible de son anatomie. Du coin de l’œil, je regarde le spectacle que nous formons lui et moi. De quoi faire une belle photo publicitaire si j’avais un prospectus à diffuser. Mais comme mes affaires fonctionnent déjà très bien ainsi, ce n’est pas la peine d’attirer plus de clients.


Durant ce temps, jouant les voyeurs, Marc se fait un plaisir de prendre des photos. Curieusement, il aime me photographier en train de sucer d’autres hommes que lui, c’est un aspect que je ne lui connaissais pas. Il est vrai que, moi-même, je me surprends à aimer sucer d’autres hommes…


Soudain, un flot de sperme envahit ma bouche, Gérard est en train de tout lâcher. Il n’aura pas su résister bien longtemps. De plus, je perfectionne petit à petit mon art de la sucette. Du coup, en peu de temps, j’ai réussi à diviser par deux la durée d’une fellation, ce qui n’est pas plus mal, surtout pour ma mâchoire et ma langue, car à la longue, ça fatigue !


Une fois qu’il a récupéré, mon prêteur de loges se fend d’un compliment :



Quelques minutes plus tard, Gérard part à l’accueil pour aller ouvrir aux autres hommes, qui débarquent tous en même temps. Il me confie un double des clés, ainsi qu’une feuille indiquant les dates de disponibilité. Avant de nous quitter, après un dernier bisou, il me murmure :



Une fois qu’il est parti, tout le monde se met en place. Je regarde mon reflet dans le grand miroir, ça fait quelque chose ! Je comprends que certains artistes en viennent à s’adorer eux-mêmes ! D’ailleurs certains de mes invités lorgnent déjà vers ce miroir…



Il faut rarement répéter ce genre de chose à un homme qui sait qu’il va se faire sucer. Dans pareil cas, même les plus sourds entendent ! Le seul problème est qu’il manque de chaises ; mes participants devront faire la queue, eux aussi, si je puis m’exprimer ainsi !


En parlant de cette partie anatomique, j’avise ma première queue ; elle est bien belle, telle que je les aime, car j’ai aussi mes petites préférences en la matière. C’est avec plaisir que je donne un premier coup de langue qui fait frémir aussitôt cette somptueuse verge de chair.


J’en profite pour malaxer les deux boules pendouillantes, ce qui est à la fois l’un de mes autres plaisirs et aussi une agréable façon d’accélérer les choses. Avec tous ces frémissements que je sens en bouche, quelque chose me dit que l’arrivée des eaux ne va pas tarder !



N’y pouvant plus, cette belle verge décharge entre mes lèvres voraces qui n’arrêtent pas leur succion démoniaque. Tel un robinet ouvert, cet homme se déverse sur ma langue, se vidant dans une longue complainte, faite de petits cris, de râles et de gémissements ! Dans pareil cas, vicieuse comme je sais l’être, je m’amuse autour de cette bite qui se décharge longuement en moi, jusqu’à la dernière goutte. Le monsieur avait de sacrées réserves ; encore heureux que j’aie de la pratique pour savoir suivre ce flot !


Je retire ma sucette de chair de ma bouche, je soupire un peu, puis je lance :



Je ne vais pas décrire chacune de ces pipes, car il y a plusieurs participants aujourd’hui. Pour faire simple, la moitié de sexes que j’ai sucés ont lâché assez vite leur purée onctueuse, et l’autre moitié a bien tenté de résister un peu, histoire de faire durer le plaisir, mais comme je commence à avoir de l’expérience, ce fut peine perdue ! Et puis, j’ai aussi l’arme ultime du doigt dans le cul pour aller masser vicieusement la prostate de mon partenaire, et là, croyez-moi, le problème est vite réglé !


Par pure charité chrétienne, je m’offre le luxe d’offrir un second passage des plats à ceux qui le peuvent. Aujourd’hui, trois membres sont à la seconde fête, mais ils ne résistent pas bien longtemps, et comme ils sont déjà allègrement vidés auparavant, j’en ai moins à avaler !


À m’entendre raisonner de la sorte, je crois que je deviens un peu garce sur les bords. Mais honnêtement, le pouvoir que j’ai sur mes hommes m’amuse beaucoup. Oui, mes hommes, ils sont un peu à moi, même si la plupart sont mariés, mais s’ils souscrivent à mes bons offices, c’est parce que Madame la légitime ne leur offre pas ce genre de service.


Après l’effort, un peu de parlotte. Les hommes aiment bien deviser, discuter et me faire des compliments, ce qui me plaît beaucoup, même si l’idée générale est que je suis une bonne suceuse, pas le genre de louange qu’on peut crier sur tous les toits !


Je constate que tout mon petit monde reprend des forces. C’est Nathan, un membre assez récent qui prend l’initiative :



Je hausse les sourcils. Il continue :



À l’évocation de cette pseudothérapie, je souris :



Je m’empare d’une serviette :



Je m’installe confortablement dans un fauteuil, mettant la serviette autour du cou, pour limiter les dégâts sur mes vêtements. Aussitôt, les hommes m’entourent et commencent à se branler en même temps. Par amusement, je me demande qui jaillira le premier… Je surveille du coin de l’œil la montée en puissance, car je ne tiens pas à récupérer du sperme dans les mirettes. À la longue, j’ai un peu l’expérience de deviner quand une bite va cracher ses réserves, certains indices ne trompent pas, et justement, je détecte à droite ce type de prémices.


J’ai juste le temps de fermer les yeux qu’un jet vient s’aplatir sur l’arête de mon nez. Je sens distinctement le sperme couler vers ma joue, mais déjà un autre jet fuse, éclaboussant mon menton. Puis c’est le feu d’artifice, j’en reçois de tous les coins, des chauds, des tièdes, des liquides, des visqueux, le tout accompagné de grognements de satisfaction, de petits glapissements de jouissances, de gros soupirs épuisés !


Ah les petits salauds ! Mon visage ruisselle de sperme, c’est tout chaud, c’est gluant, visqueux, mais en même temps très excitant, voire jouissif ! Curieuse sensation pas déplaisante du tout. Sans parler du fait que mes sociétaires sont visiblement très fiers d’eux et de leur crème de beauté !


Une pratique à retenir, d’autant qu’elle soulage ma pauvre mâchoire !



Julie — Antonio



Il est l’heure, je me penche sur mon mari assis dans le fauteuil à regarder une série à la télévision, lui faisant un léger baiser sur les lèvres :



Puis je saute dans ma voiture, direction la maisonnette d’Antonio, à dix minutes d’ici. Antonio est l’un de mes clients du premier mois. Je l’aime bien, toujours poli, serviable. Il a eu le malheur de perdre son épouse, il y a maintenant six, sept ans, et depuis, il n’a jamais osé aborder une autre femme pour tenter de combler sa solitude. C’est par le biais de l’une de ses connaissances qui fut un de mes amants de passage qu’il est devenu un membre de notre petit club très fermé.


Ça fait la quatrième fois que je joue le rôle de sa femme, à raison d’une fois toutes les trois semaines environ. Nous nous comportons durant la soirée comme un vrai couple, je reste dormir avec lui puis je repars au matin. Je ne fais pas ce genre de prestation tous les jours, loin s’en faut. Et pas avec tout le monde… Antonio est pour ainsi dire mon seul régulier, si je puis m’exprimer de la sorte.


Antonio m’attend avec impatience, je peux le comprendre. Puis nous jouons au couple de longue date. Sa maison n’étant pas très grande, mais comme elle est très bien rangée, je sais m’y retrouver sans problème. Nous faisons la cuisine à deux, une spécialité italienne comme il se doit. Le repas est prêt, le plat trône au milieu de la table. Un peu fatiguée, je m’assieds. Soudain, Antonio s’agenouille devant moi et me déclare :



La main sur la bouche, je ris :



Il affiche une mine dépitée, on dirait un gosse privé de son plus beau jouet. Alors je me lève et je le serre dans mes bras, pour lui faire un gros câlin :



Il niche son nez dans mon décolleté, il ne perd pas le nord, mon petit vieux ! Il ronchonne :



Je décide d’être claire et nette :



Il ne répond rien mais la façon dont il furète dans l’échancrure de ma robe parle pour lui. Très vite, nous nous retrouvons au lit, car Antonio est excité comme une puce qui n’aurait pas vu de chien depuis des mois ! Si je veux être plus précise, avec un poil de vulgarité, je devrais plutôt dire qu’il est excité comme une puce qui n’aurait pas vu de chienne depuis trois semaines !


Même s’il a presque vingt-six ans de plus que moi, j’aime bien lutiner avec Antonio. Mais il ne faut pas que je m’en vante devant mon mari, je sens qu’il n’apprécierait pas du tout ce genre de préférence. Je dois même avouer que si j’étais célibataire, ça ne me dérangerait pas de me mettre en ménage avec cet homme plus âgé, mais tellement attendrissant et gentil.


Sans parler du fait qu’il n’est pas du tout mauvais au lit ! Et qu’il sait aussi bien se servir de ses mains toutes douces (normal pour un italien d’origine), de sa bouche très agile et aussi de sa verge vaillante ! Je reconnais qu’il me fait allégrement grimper aux rideaux, sans que j’aie à simuler. Et mine de rien, ce n’est pas négligeable !


Un quart de siècle nous sépare, mais dans sa chambre, ça ne se voit pas du tout ! D’ailleurs, comme il s’entretient, en pleine lumière, ça ne se voit pas beaucoup non plus…


Là, je me laisse faire, Antonio entre mes cuisses, sa langue qui me farfouille divinement la chatte ! Y a pas à dire, il est doué, il devrait donner des cours à bien des hommes plus jeunots, ceux qui pensent trop avec leur bite. Je me laisse aller, je flotte tandis qu’une douce chaleur monte en moi, tandis que je sens une vague qui va bientôt déferler, remplir mon ventre, ma chatte, sa bouche !


Je me raidis, Antonio s’active plus encore, je vibre, ça vient, ça arrive, ça me submerge, je gémis, je crie, je me laisse emporter !


Alors que je suis déjà au septième ciel, Antonio en profite pour s’insinuer entre mes cuisses et me pénétrer. L’entrée de son sexe en moi me procure un plaisir fou, comme si une cruelle absence était comblée avec bonheur. Il me pistonne avec ardeur, virilement, son engin d’airain entre profondément en moi, j’en sens chaque centimètre ! Il me comble, il m’occupe, il m’envahit de plaisir ! Tout éclate dans ma tête, je suis ailleurs, transportée dans une autre galaxie, dans une dimension parallèle. C’est dingue !


J’explose en mille soupirs, en mille oui de plaisir, je jouis intensément ! Possessive, je griffe son dos, tandis que je gémis, que je frémis, que je tremble. À travers une brume cotonneuse, je l’entends jouir à son tour, expulsant sa semence en moi, au plus profond ; j’adore ça, j’adore sentir le sperme d’un homme m’envahir, prendre possession de ma grotte, de mon antre ! Nourrir ma féminité tandis que je me donne complètement à lui !


Puis après ces lumières et fureurs, vient le repos… calme, tiède et doux.


Apaisant, languissant, attendrissant…


Antonio est plaqué contre mon dos, une main sur mon sein et l’autre sur mon ventre. J’entends sa respiration se ralentir lentement, apaisée. Est-ce qu’il en sera de même avec mon mari quand nous aurons tous les deux l’âge d’Antonio ? Je ne sais pas, je l’espère. En attendant ce jour très lointain, je sens que je vais suivre le même chemin…


Nous nous endormons, lui et moi. Et je sais qu’au petit matin, nous serons, lui et moi, plus ou moins restés dans la même position.



Julie — Maison de retraite



Antonio a diverses connaissances du même âge que lui ou parfois un peu plus âgées, mais toutes n’ont pas la chance d’avoir encore un logement à eux. Du coup, ces dernières sont en maison de retraite, et de ce fait, ce n’est pas forcément la joie tous les jours…


C’est Jean-François qui a eu l’idée de me brancher sur sa maison de retraite le premier. Encore largement alerte, celui-ci adore venir se faire sucer par mes bons soins, et ce, depuis le tout début. Un jour, il m’a carrément demandé :



Deux jours plus tard, il revenait avec un pensionnaire qui avait quatre-vingt-sept ans. Un petit vieux comme on dit, et je n’ai eu aucune difficulté pour le faire jouir ! Ce fut d’ailleurs extrêmement rapide ! D’après Jean-François, il a mis deux jours pour s’en remettre. Inquiète, je lui avais dit :



Et c’est comme ça que de temps à autre, je vais faire un petit tour dans cette maison de retraite. Je ne sais pas comment Jean-François a fait son compte, car même la directrice ferme les yeux sur mes activités incongrues ! Un jour, intriguée, j’ai carrément demandé à mon fidèle client :



Ce qui n’est pas faux. De plus, comme je ne réclame pas d’argent… enfin, on va le dire comme ça… Du coup, aujourd’hui, je suis en train de faire ma petite tournée de chambre en chambre. Parfois, certaines pensionnaires me regardent d’un sale œil, mais c’est rare. Si elles veulent ma place, qu’elles sucent à ma place. Et si elles ont des problèmes de moralité, qu’elles regardent ailleurs.


D’un pas alerte, mon coussin sous le bras, j’entre dans la chambre d’un pensionnaire, et je découvre cinq seniors, bites à l’air, mais pas très en forme pour l’instant. Je pensais ne trouver qu’une seule personne. Je m’adresse au locataire de la chambre :



Sous les yeux des autres seniors, après avoir posé mon coussin au sol, je ne me fais pas prier pour entamer sur mon pensionnaire une belle sucette comme je sais si bien les faire, car je commence à avoir l’expérience en la matière ! Peu après, j’ai plein de bites bien gonflées de concupiscence à ma disposition. Maintenant, ces queues ne bandent que pour moi, et en grande gourmande, j’en profite allégrement !


C’est un vrai délice que de prendre toutes ces bites en main puis en bouche, tout ça sous les regards de cinq voyeurs très attentifs ! C’est avec une grande satisfaction que je goûte leurs diverses saveurs, qui vont pour certaines du sucré à l’aigre ou l’acide, sans parler du jus bien épais au plus liquide. Il n’y a pas à dire, le foutre, c’est comme les bonshommes, il y en a trente-six variétés !


L’intérêt des hommes quand ils atteignent un certain âge, c’est qu’on les épuise vite et qu’ils ne tiennent pas longtemps la route, ce qui m’arrange. Un jeunot de vingt ans aurait pu recommencer une paire de fois, et me prendre un temps fou. Par contre, bon nombre de seniors sont limités à une seule fois, parfois deux, mais rarement trois.


Je suis en train de terminer un nouveau venu. Il a éjaculé en même pas trente secondes, mais il devait avoir de sacrées réserves car son sperme n’en finit plus d’envahir ma bouche. De plus, c’est bien l’une des premières fois que j’ai droit à un liquide si consistant ! La texture me fait penser à la pâte à gâteau que ma mère faisait quand j’étais enfant. Je me rappelle bien, malgré les années, que la pâte collait à la cuillère en bois, et s’étirait en de longs filets jaunâtres, avant de choir mollement et piteusement.


Enfin, la source est tarie, ce n’est pas trop tôt ! Après une dernière petite gâterie, car il faut savoir signer les formes et les clients, je me relève. Tout le monde me félicite. Ça me fait toujours un peu drôle, mais c’est flatteur. Celui que je viens de pomper s’extasie :



Il sourit béatement :



Toujours est-il que cette démo est un franc succès. Le souci est que mon carnet de clients et de commandes déborde et que, malheureusement, je n’ai qu’une seule bouche pour satisfaire tout ce petit monde…



Marc — Intersections



Il est indéniable que ma femme est nettement plus détendue que dans son ancien boulot. Le nouveau souci est qu’elle a trop de succès, il lui faut impérativement une aide féminine pour l’épauler. Je n’aurais jamais cru devoir en arriver au stade de devoir recruter une autre comparse. Le hic est maintenant de dénicher la bonne personne !


Des professionnelles, il y en a, mais ce n’est pas le cas de ma femme. Il s’agit d’un club très privé, géré par une femme qui s’amuse et qui fait ça surtout par plaisir. Parfois, rarement, nous avons des mauvais prospects, des hommes qui n’ont pas compris les règles du jeu, mais jusqu’à présent, nous avons toujours su gérer ce genre de cas.


Pour l’instant, afin de ne plus faire grossir nos effectifs, nous avons demandé à nos membres de ne plus coopter d’autres personnes.


Ce soir, Pauline et Claude viennent manger à la maison. Nous les connaissons depuis un certain temps, surtout que Pauline travaillait, il y a peu, avec ma femme qui l’apprécie toujours beaucoup. Souvent Julie/Lily disait qu’elle supportait son travail grâce à l’entrain de sa jeune collègue. Je soupçonne ce jeune couple de pratiquer de temps à autre le libertinage, mais je ne mettrais pas ma main au feu pour l’affirmer. Néanmoins, il est certain que Pauline parle très souvent de cul, au grand désespoir de son mari qui est nettement plus posé. Mais ce n’est pas forcément celles qui en parlent le plus qui en font le plus.


Julie et Pauline papotent :



Soins de vie, c’est l’explication officielle, c’est nettement mieux que d’avouer que ma femme gagne, entre guillemets, sa vie en suçant des queues ! Ma femme explique sereinement :



Me cherchant du regard, ma femme a un petit sourire gêné. En général, quand elle fait ça, c’est qu’elle demande mon aide. Je me mêle donc à la conversation :



Sautant sur l’occasion, ma femme prend le relais :



Avec un petit sourire, je constate du coin de l’œil que Claude s’agite un peu. Ma femme s’amuse franchement :



Assez agité, son mari intervient :



Là, ma fille, tu viens de te vendre, car je ne rangerais pas ton Claude de mari dans la catégorie des matures. Je pense que ma femme vient de se faire la même réflexion, car elle répond en souriant étrangement :



À cette évocation, Pauline en salive presque :



Ma femme éclate de rire, tandis que Claude est consterné. Parfois je me demande pourquoi il l’a épousée, mais les extrêmes s’attirent, ce qui doit être le cas de ce couple assez atypique. Julie se reprend :



Spontanément, Pauline fait la moue !



Curieusement, Pauline se trémousse sur place, comme si elle avait quelque chose à dire mais sans oser le dire. L’intérêt avec la copine de ma femme, c’est qu’elle est assez transparente. Puis après quelques instants, elle se jette à l’eau :



Rougissante, Pauline s’anime :



Aïe aïe aïe, je savais bien que ce genre de situation risquait de nous tomber dessus. On ne fait jamais attention à certains détails, d’ailleurs le diable se niche justement dans les détails. Ma chère Lily de femme ne frémit pas, elle se contente de prononcer un simple :



Agitant les mains, Pauline ajoute précipitamment :



Pétrifiée, Pauline ne répond pas ; je sens une tension dans l’air. Claude ne sait pas quoi faire, il faut dire qu’il est vite dépassé. Moi, je cherche une solution élégante, mais rien ne vient. C’est ma femme qui trouve une façon de sortir de l’impasse en demandant :



Décontractée, Julie acquiesce :



Aussitôt, Pauline pose sa main sur la bouche, comme si elle en avait trop dit. À mes côtés, Claude gémit sourdement, je crois comprendre pourquoi. Indifférente à ses tourments, sa femme réfléchit quelques instants, puis elle avoue joyeusement :



Ma femme regarde étrangement sa vis-à-vis. Je crois connaître la suite des événements. Julie pose sa main sur l’épaule de Pauline :



Dépassé, Claude s’exclame :



Ma femme reprend la main :



Étrangement, c’est son mari qui répond à sa place :



Prenant la balle au bond, Julie coupe court :



Surprise par ce revirement, mais soulagée que la conversation bifurque, l’intéressée bafouille :



C’est alors que, devant une Pauline médusée et un Claude totalement dépassé, Julie explique la teneur exacte de son nouveau métier, méthodiquement, pédagogiquement, sans trop entrer dans les détails graveleux. Puis une fois les explications données, elle demande calmement à sa copine qui la contemple toujours les yeux ronds :



Il est flagrant que Pauline est partagée entre deux sentiments contradictoires. Quant à Claude, il semble perdu dans une lointaine galaxie… Elle finit par demander :



Ma femme rigole franchement :



Après diverses hésitations et tergiversations de la part de Pauline, les deux femmes tombent d’accord sur la réalisation d’un premier bout d’essai qui aura lieu prochainement, la date restant à convenir. Le reste de la soirée s’est bien déroulé, comme si rien n’avait été dit…



Julie — La relève



Je viens juste de rentrer à la maison, mon mari est déjà là, et je suppose qu’il veut tout savoir de la première journée de Pauline, ou plutôt son bout d’essai, car hélas pour lui, il n’a pas pu être présent. Pourtant, il a fait des pieds et des mains pour se libérer, mais il n’a pas réussi, et je crois qu’il n’a pas apprécié le manque de souplesse de son employeur. Le connaissant, mon homme réserve un chien de sa chienne à son chef, et ça ne sera pas triste ! Après notre rituel petit bisou, nous nous installons tous les deux dans le canapé, et je lui explique cet étrange après-midi, ou plutôt notre après-midi à Pauline et moi :



En effet, mon mari est plutôt fidèle, même quand nous nous livrons au libertinage. Ça vous paraît paradoxal, mais c’est ainsi ! C’est moi qu’il préfère baiser avec d’autres hommes, plutôt que de faire l’amour à une autre femme. Je me permets une réflexion à voix haute :



Ce qui fait rire mon mari :



Je suis songeuse :



Je lève les yeux au ciel :



J’écarquille grand les yeux :



Ceci dit, changeant de sujet, mon homme me plaque contre lui :



Il resserre plus encore son étreinte :



De bonne grâce, je m’exécute :



M’asseyant à présent sur les genoux de mon homme, je précise :



Nous échangeons un petit bisou. Je continue :



Tandis que mon homme zieute copieusement dans mon décolleté, venant juste d’y déposer un petit baiser, je souris à ce souvenir :



Toujours assise sur les genoux de mon homme, je sens quelque chose de dur qui grossit sous mes fesses. Je vois que tout ça excite mon homme, je souris :



Marc est songeur :



Je poursuis en abordant un autre sujet :



Les yeux sombres, mon mari gronde :



À cette révélation, mon mari me regarde, étonné :



Je le taquine :



Il n’empêche que je reconnais avoir caressé l’idée d’épouser Antonio, de l’épuiser de plaisir afin d’être rapidement sa veuve, puis ensuite de vivre le restant de mes jours sans aucun souci financier ! Oui, ça me semblait un bon plan. Mais entre rêver et faire, il y a une marge, une grosse marge, et malgré l’étrange métier que je fais actuellement, il me reste quand même un semblant de morale.


Quoique la morale, ça ne remplit pas un frigo…


Mais je sens qu’en travaillant au corps à corps mon petit mari comme il le faut, il va y avoir moyen de donner corps à ce genre d’idée. Qui sait ?


D’ailleurs, je vais, de ce pas, commencer tout de suite mon travail de corps à corps avec lui !