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n° 18862Fiche technique23756 caractères23756
Temps de lecture estimé : 14 mn
28/02/19
Résumé:  Femke a besoin de mes services pour la décoincer.
Critères:  f ffh jeunes fépilée fgode fdanus jouet humour -mastf
Auteur : Martin
Coincé



C’est la voix douce et suave avec son léger accent batave de Femke, la fille de l’amie d’enfance d’Adeline, ma femme néerlandaise.

Femke est une jolie blonde de bientôt vingt-et-un printemps, avec des yeux bleus qui vous font fondre au premier regard. Étudiante en français à l’université d’Utrecht, elle passe chaque été chez nous pour pratiquer la langue de Voltaire, langue qu’elle maîtrise par ailleurs presque à la perfection. Seules certaines expressions et les liaisons restent difficiles, mais lui confèrent ce menu accent qui fait tout son charme.


Pas très farouche en matière de pudeur, je la croise régulièrement paradant nonchalamment en petite culotte entre la douche et sa chambre. Même si je la connais depuis toujours, le citoyen bleu-blanc-rouge et sain de corps et d’esprit que je suis peine tout de même à rester de marbre devant tant de beauté matinale, si vous voyez ce que je veux dire.


Quelque chose dans sa voix trahit un souci. Je mets donc fin à l’arrosage de mes pensées et géraniums et me retourne : Femke se tient dans l’embrasure de la porte de la cuisine, les pieds nus et enveloppée dans son peignoir court. Étonnant à cette heure, d’autant que je ne pouvais pas la déranger car elle avait besoin de tout sa concentration pour étudier, avait-elle ajouté. C’est ça, m’étais-je dis, et sans doute aussi pour regarder quelques épisodes sur NetFlix.


Mais là, elle a les yeux rouges et gonflés et je constate qu’elle est infiniment plus proche des pleurs que des rires. Femke a manifestement un souci ou un chagrin. Je m’approche d’elle et, par sympathie, je prends ses mains dans les miennes.



Un instant, je crois avoir affaire à une gamine de six ans qui a cassé son jouet préféré. L’avenir me dira que je ne suis pas bien loin de la vérité.



Mon inquiétude grandit. Et Adeline qui n’est pas là pour voler au secours cette pauvre Femke.



Je fais l’impasse sur la question évidente de savoir comment elle sait où nos sextoys sont rangés dans l’intimité de notre chambre, mais je reste neutre.



J’ai beaucoup de mal à retenir un fou-rire et, en même temps, je me mets à imaginer le pire.



Elle fixe ses jolis pieds nus, mordille sa lèvre inférieure et demande doucement :



Je vois un sourire un peu gêné illuminer son visage d’ange.



Je suis bien un peu embarrassé, mais que voulez-vous, je ne peux vraiment pas me soustraire à mon devoir d’hôte et protecteur. On est gentleman ou on ne l’est pas !



Femke tourne aussitôt les talons et se précipite vers les escaliers avec une dégaine un peu bizarre. Arrivés dans la chambre, j’aperçois divers godes de ma femme étalés sur le lit de la jeune fille. Je dois cependant rester aussi flegmatique que possible pour ne pas effrayer Femke.



Femke me dévisage avec ses beaux yeux bleus, semblant ne pas comprendre le message.



J’affiche alors un sourire rassurant :



Pas facile de garder son calme dans de telles circonstances et je dois avouer que mon bas-ventre se manifeste de plus en plus, imaginant la suite.



Je vois l’excitation apparaître sur son visage.



Le moment est venu de regarder ça de plus près. Je fais de mon mieux pour rester impassible et continuer à respirer doucement la bouche fermée et à négliger la tension grandissante dans mon pantalon.



Elle attrape spontanément la ceinture de son peignoir, puis hésite un moment.



Elle ouvre son peignoir et le laissa tomber sur le sol. Une fois de plus, je suis frappé par la beauté de son corps : ses longues jambes fines, ses hanches bien formées, sa petite chatte parfaitement glabre, ses seins tendus vers l’avant et son visage innocent aux joues rouges d’embarras. Mon sang ne fait qu’un tour. J’espère seulement que Femke n’en a rien remarqué.

À première vue, je ne vois pas d’attribut qui ressort d’elle ni d’enflure indiquant quelque chose qui soit resté coincé dans son corps.



Femke se retourne alors, se penche légèrement en avant et écarte ses adorables fesses avec ses mains.



Je ne peux retenir un cri de surprise. Waouw. Entre ses fesses, son anus n’est plus que le bijou rouge scintillant du plug anal, profondément enfoncé, pour ne pas dire incrusté. En fait, Adeline n’avait plus utilisé ce jouet depuis un certain temps. L’anneau du bout, trop fragile, était sur le point de casser et étant donné la taille des deux sphères stimulantes et du bijou à l’extrémité, on ne peut pas le retirer sans cet anneau. Femke semble ignorer l’existence d’une télécommande permettant de faire vibrer à l’envi la première boule.


Au début, Adeline adorait me la confier quand nous sommes ensemble. Je ne manque évidemment jamais de la surprendre à des moments stratégiques, comme lorsqu’elle parle à une vendeuse ou sur la piste de danse…



Elle rougit et ses yeux brillent. L’excitation est remontée en elle.



Je lui explique alors pourquoi l’anneau s’est cassé et elle regarde droit devant elle, les yeux hagards.



La qualité de son français est sous le choc, elle aussi. Femke fond en larmes. Je me gratte la tête un instant, ça m’aide à réfléchir. Non, bien sûr, on ne fait pas ça à une jeune fille, mais ce sera oui si on ne peut pas faire autrement.



Elle me regarde avec espoir.



Je dévale aussitôt les escaliers. Dans la remise je prends deux pinces : avec l’une, je devrais être capable de saisir l’extrémité du bijou anal pour que le bouchon avance de façon à ce qu’avec la seconde, je puisse le manœuvrer plus fermement, comme une sorte de tenaille. Au passage, je prends le tube de lubrifiant dans ma chambre, tube que Femke aurait dû employer en essayant les godes. J’ai également une sorte de seringue avec un petit tuyau flexible que j’ai utilisée pour un bricolage. Il faut bien être inventif, non ?


Mon pénis est maintenant tout gonflé, je ne peux pas l’en empêcher. Malgré la pénibilité de la situation, Femke également me paraît très excitée. De retour près de la jeune fille, j’explique ce que je prévois de faire. N’ayant pas d’alternative, elle acquiesce malgré tout.



Je n’en reviens pas : je suis en train de lui faire prendre la pose la plus sexy et la plus excitante selon moi. Mais, Femke ne s’en soucie guère et prend la posture et, bon Dieu, qu’est-ce que c’est troublant ! Ces belles fesses, en l’air et écartées et ce petit trou largement dilaté, dans lequel est collée l’extrémité brillante du plug anal ! Une image inoubliable !


Le magnifique tableau devient interactif : il sollicite l’intervention de l’artiste et de ses outils. Je me mets à masser doucement l’anus endolori avec mon index lubrifié. Sensation extraordinaire que ce doigt roulant sur un petit bout de peau tendue à l’extrême. La respiration de Femke accélère, la mienne retient son souffle. Puis je remplis la seringue de lubrifiant et pousse lentement le petit tuyau entre le bouchon et le sphincter. Femke gémit discrètement. Par miracle, cela fonctionne et je peux injecter le lubrifiant à plusieurs endroits de son anus.

Ma bite est maintenant dure comme de l’acier. Par bonheur, la tête de Femke est tournée vers l’autre côté.


J’attrape la première pince et serre le bout du plug. Je tente d’abord de le faire tourner pour que le lubrifiant se répande. Lentement, l’objet se déplace. Femke gémit fortement. Elle cherche l’air. Je peux faire tourner le plug de plus en plus aisément, ce qui la fait tressaillir. Le plug anal stimule sa chatte et son clitoris par l’intérieur. La sensation doit être particulièrement excitante. Femke s’accroche au drap du lit comme pour s’empêcher de décoller vers le septième ciel.


Maintenant, je commence à tirer lentement et le plug sort doucement. J’attrape la deuxième pince et réussis à la faire tenir suffisamment entre l’extrémité et la première boule. À présent, je suis convaincu que ça va fonctionner. À l’aide de cette deuxième pince, je tourne le plug une nouvelle fois pour m’assurer qu’elle est serrée correctement. Femke n’y tient plus. Elle jouit et le fait entendre ! L’oreiller étouffe tant bien que mal ses cris et du liquide jaillit de sa chatte. Ma main, ma pince et une bonne partie des draps de lit sont trempées de son fluide intime. Je n’en mène pas large, moi non plus ! Lentement, la pression sur son sphincter diminue et elle soupire profondément.



Je ne sais pas si j’ai encore tellement envie qu’on retire ce plug… Maintenant, je peux commencer à tirer et je sais que le mieux est de faire sortir la première et plus grande boule d’un mouvement lent et régulier. Je tapote le bas du dos, comme si ça pouvait aider, mets ma main sur sa fesse et appuie sur elle. Femke hurle dans son oreiller. Je vois la balle sortir maintenant et je mets un peu plus de puissance. La première sphère a enfin glissé dehors. Son sphincter reste ouvert un instant puis se referme autour du cou entre les deux sphères. Femke halète profondément.



Je prends maintenant la boule avec ma main et exécute un va-et-vient rotatif pour bien la lubrifier. Femke est secouée dans tous les sens et gémit sans se soucier de l’effet sur moi. Son anus est maintenant un peu plus dilaté et, en souplesse, le plug se met à glisser hors de son corps. La belle suffoque presque dans l’oreiller.



Avant de quitter la chambre, je lui tends une serviette pour nettoyer ses fesses et elle s’enfuit dans la salle de bain…



De retour dans sa chambre, je vois juste en face de moi Femke assise nue et radieuse sur le lit, les jambes écartées, comme si elle voulait s’offrir à moi pour service rendu.



Je lui tends un chapelet de boules toutes lisses dont la taille varie progressivement tout en restant bien en-deçà des dimensions du plug récalcitrant. Adeline l’utilise parfois sous la douche et je sais qu’elle aime le porter pendant plusieurs heures d’affilée.


Femke regarde l’objet avec beaucoup d’intérêt et le caresse avec douceur.



Elle accompagne son regard lubrique d’un clin d’œil aguicheur.



Sans dire un mot, elle se retourne d’un bond pour se retrouver une fois de plus à quatre pattes, la croupe tournée dans ma direction.



Je prends le tube et commence à lubrifier les boules du chapelet, pour lui montrer comment procéder. Une petite leçon d’éducation sexuelle ne fait jamais de tort, n’est-ce pas ? Ça rend les choses encore plus agréables. Je m’approche d’elle, un tantinet ému tout de même.

Avec mon doigt lubrifié, je parcours sa raie anale, m’attarde un peu sur sa rose et son vagin et poursuis mon chemin jusqu’à son clitoris. Toute la chaleur du corps de Femke se focalise sur sa chatte. Je glisse mon majeur dans le trou implorant et le déplace lentement d’avant en arrière.



Femke apprécie. Je reviens sur son anus et elle frémit déjà de plaisir. Puis, je présente la première boule, la plus petite, sur sa rose. Je prends la main de Femke et la conduis vers son anus. Elle comprend vite et entame elle-même la pression. La boule glisse délicatement à l’intérieur. Un petit cri de plaisir suivi d’un court instant de repos et la seconde boule, un rien plus grosse, pénètre à son tour l’anus accueillant de la jeune fille. La troisième suit sans tarder, puis…



Adeline entre à grand fracas dans la chambre. D’un coup sec, elle m’écarte du cul de Femke. Celle-ci a juste le temps de rouler hors du lit et d’enfiler son peignoir.



La formule est sortie de ma bouche sans que j’y prenne garde.



Femke verse quelques larmes en tremblant de tout son corps, bouleversante de sincérité. Adeline se calme un peu. Femke et moi racontons toute l’histoire totalement abracadabrante, qu’Adeline a la gentillesse d’écouter jusqu’au bout et de faire au moins semblant de croire. Nous tombons dans les bras l’un de l’autre et éclatons de rire tous les trois.



Femke est très surprise et ses yeux semblent demander « pourquoi » ?



Femke rit un peu gênée, ôte son peignoir et reprend sa position sur le lit. Adeline s’assied près d’elle et lui caresse le dos et les fesses. Un coup sec s’abat sur la fesse de Femke.



Femke n’a pas le temps de réagir que déjà un second coup suit.



Un troisième, plus puissant :



Puis elle soulage la croupe de la fille par quelques baisers tendres avant de s’attaquer au chapelet dans son cul. Les boules pénètrent une à une dans son anus. À chaque fois, Femke gémit de bonheur et nous excite de plus en plus. De sa main, Femke cherche à libérer mon sexe raide. Je ne sais pas trop comment réagir. C’est Adeline qui me met sur la voie en déboutonnant elle-même mon pantalon et en enlevant tous ses vêtements.


Femke reprend son travail et se met à me branler, d’abord doucement, puis beaucoup plus énergiquement à mesure que sa propre excitation grimpe. Seule une ficelle avec un anneau, cette fois bien solide, sort du cul de Femke et Adeline lui branle le clito. En regardant le cul très excitant d’Adeline, j’y aperçois… un nouveau bijou anal que je n’ai encore jamais vu auparavant chez nous. Depuis quand le porte-t-elle ? Ce matin ? Elle a donc fait les courses avec ça en elle…


Un moment, j’ai eu envie de l’enfoncer plus profondément…