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n° 18887Fiche technique12870 caractères12870
Temps de lecture estimé : 8 mn
13/03/19
Résumé:  Diverses aventures, un peu borderline.
Critères:  fh extracon collègues voiture fsoumise vengeance fellation pénétratio fdanus confession -extraconj
Auteur : Angus Larson  (Je suis ouvert à toute discussion par mail. Je ne mords pas.)      
Petits coups bâtards

Le problème, sans doute, c’est que je n’avais plus de respect pour elle. J’aimais bien Lylia, d’une certaine façon : c’était une fille sympa, très souvent de bonne humeur. Elle ne m’avait jamais fait de crasse, mais elle trompait son copain (mon « copain » également, mais pas dans le même sens) de façon invétérée, lui mentait et le trahissait plus souvent qu’à son tour. J’en avais profité, bien sûr. Lylia était plutôt un bon coup, docile au lit, et j’aimais ses formes. Je n’avais jamais pris un plaisir monstrueux à coucher avec elle, mais j’avais aimé ça. Au début, tout du moins.


J’avais trahi son mec, moi aussi. Mon ami. Je ne le nierai pas. Et sans doute n’était-il pas vraiment mon « ami » , sinon je ne l’aurais pas fait.


Pour vous la faire courte, je devais partir aux États-Unis chez une cousine, pour habiter quelques mois. Bosser un peu et visiter, découvrir le pays. Mon vol était prévu le lendemain, un dimanche matin.


Le samedi, j’assistais au mariage d’un de nos amis communs. Le marié, Lylia, son copain Jimmy et moi nous avions été dans la même entreprise. Lylia et son copain travaillaient dans la même boîte, et peut-être cela joua-t-il un rôle dans le désintérêt croissant de la jeune femme envers son mec. Un désintérêt sur le plan sexuel, en tout cas. Car, pour le reste, ils habitaient ensemble et faisaient des projets. C’était un couple solide en apparence, assez complice. Mais sexuellement, de ce que m’avait dit Lylia, les pratiques étaient routinières.


J’assistais à ce mariage (en ayant prévenu que je ne partirais pas tard, car mon vol était assez tôt et qu’il fallait que je me rende à l’aéroport, enregistre mes bagages, etc.) et la soirée fut très sympa.

En entrant dans notre entreprise commune (dont j’avais donc démissionné), j’avais d’abord sympathisé avec Jimmy. J’étais en couple à cette époque, pour info. On se voyait régulièrement à quatre, avec mon ex, Lylia et lui, pour des soirées tranquilles. Un jour, j’ai rompu et on a continué à se voir en dehors du boulot.


Ce fut Lylia qui tenta réellement une approche. Au fil du temps, elle devint très intéressée par moi, me posait des questions, devenait tactile, faisait des allusions sexuelles. Tout ça, discrètement, bien sûr. Elle me donnait des détails de sa vie sexuelle, se confiait à moi et était demandeuse de détails sur mes goûts.

Petit à petit, la situation bascula et il y eut tromperie. Une bonne baise, assez sauvage, car elle aimait ça. On le fit dans les toilettes, dans la voiture, mon lit. Jamais l’hôtel, car je ne la considérais pas comme une maîtresse.


On était des genres de sexfriends, mais rapidement je voulus espacer nos moments de baise, car cette fille devenait collante. Pas amoureuse, mais excitée. Je me sentais un peu mal vis-à-vis de son mec, mais pas tant que ça. Je n’ai pas vraiment ce genre de morale. Après tout, même si je l’appréciais, Jimmy n’avait qu’à mieux baiser sa femme et à la surveiller. Il y avait sans aucun doute des indices auxquels il n’avait pas prêté assez attention.


La nouvelle de mon départ, aux USA et de la boîte, attrista Lylia.


Et, ce soir-là, au mariage, comme je l’avais redouté, elle me colla. Pas très discrète, comme d’habitude. Après avoir dîné, je sortis faire un tour en remettant ma veste et en allumant une clope. Lylia sortit ensuite pour me rejoindre, et nous avançâmes un peu ensemble pour ne pas être épiés par d’autres invités, eux aussi dehors.

Dès que nous fûmes hors de portée, Lylia se rapprocha de moi et commença à caresser mon torse, puis chercha ma bouche. Je tenais ma clope en même temps et lui dis de ne pas faire ça ici. Lylia me répondit qu’il y avait de grandes cabines de toilettes dans la salle de fêtes.

J’avais déjà pas mal bu et ne me sentais pas assez en forme d’aller tringler Lylia dans ces cabines, avec le risque en plus d’être entendu par des gens qui arriveraient sans crier gare.

Lylia insista un peu – mon refus la stimulait encore plus, visiblement. Elle me dit que j’allais lui manquer et qu’elle voulait le faire une dernière fois. Elle me chauffait, son visage contre le mien. Ses lèvres épaisses étaient charnelles, légèrement mouillées. Elle m’embrassait, me mordillait, dehors, dans ce coin sombre. Lylia n’était pas une fille extrêmement belle, mais elle me plaisait. Je trouvai qu’elle sentait bon, à ce moment, et petit à petit ma trique naquit. Elle m’assura qu’elle me ferait des tas de choses excitantes.



Elle accepta et on gagna mon véhicule. Je décidai de démarrer pour aller me garer un peu plus loin, dans un coin tranquille du parking. Une fois garés, on recommença à s’embrasser et cette fois je palpai ses seins généreux, et elle ne tarda pas à extraire ma queue de mon pantalon. J’avais pissé peu de temps avant, pour info, détail qui m’excita, mais honnêtement il n’y avait rien de vraiment sale et Lylia en avait vu d’autres ! Elle était très excitée et elle commença à pomper assez fort. Je surveillais un peu les alentours, tout en cherchant sa vulve de mes doigts, sous son string. Elle mouillait énormément, comme souvent. Je me souviens que ses bruits de succion étaient vraiment forts, presque comme si elle suçait une glace, ou lorsque quelqu’un fait l’hameçon avec son doigt dans sa joue pour faire un bruit de claquement. Ça suçait intensément, pendant que mes doigts la fouillaient, et je ne pus m’empêcher de penser à son mec, à l’intérieur de la salle, en train de picoler ou de rigoler, et se demandant peut-être où sa femme était passée. Elle était là, la bouche pleine.


Et cette pensée provoqua et entraîna chez moi le plan qui allait suivre : je sortis mon portable de ma veste, l’allumai et commençai à bidouiller les réglages de l’appareil photo. J’enlevai la fonction flash et mis le mode nuit. Elle me suçait sans rien voir, sa tête proche du volant, et j’étirai mon bras pour diriger le smartphone vers sa joue et l’avant de son visage. Je pris trois photos très vite, silencieusement, et elle n’eut aucune réaction.


Une minute plus tard environ, Lylia redressa la tête pour m’embrasser et voulut faire l’amour. J’avoue qu’à ce stade, j’aurais préféré une pipe avec finition pour ne pas me fatiguer, mais j’acceptai de prendre un préservatif dans mon portefeuille et nous passâmes à l’arrière. J’enlevai ma veste et elle ôta son string.



Je finis d’enfiler la capote et elle s’assit ainsi, son bon gros cul près de mon ventre. On trouva la position adaptée et notre rythme, et elle me chevaucha ainsi. Je giflais ses fesses par moments, elle bougeait bien. Elle twerkait presque. Mon pouce caressait sa rondelle, sans entrer à ce stade. Elle se penchait en avant comme elle le pouvait et bougeait bien. Lylia n’était pas avare d’efforts et se fatigua pas mal.

Elle entreprit de se caresser le clito pour jouir, et l’orgasme arriva vite.


Puis elle revint près de moi, haletante et un peu en sueur. On regarda par les carreaux si personne n’arrivait.



J’enlevai la capote et elle s’exécuta. Je débandais un peu. L’alcool sans doute, l’émotion de ce moment et aussi de partir le lendemain. Je fis le vide dans mon esprit, pour ne plus penser à elle ou au fait de devoir jouir vite.


Je recommençais à bander fort. Objectivement, c’était la dernière fois sans doute que je couchais avec Lylia. J’étais décidé à accomplir mon plan avec les photos et elle me haïrait après. Et de toute façon, je me cassais pour un long moment aux USA.


Sentant la jouissance arriver, je décidai donc de me faire plaisir à fond. Elle avait voulu baiser, et j’allais me défouler. J’avais déjà fait avaler Lylia plusieurs fois, mais jamais en throatpie (l’éjaculation en gorge profonde) et je commençai à donner le rythme sa pipe en appuyant sur sa tête, en la dominant, tout en doigtant son cul. Doigter le cul assez fort est une stratégie que j’utilise fréquemment pour la gorge profonde, car ça détourne l’attention de la fille.


Au moment de cracher, je me mis à insulter Lylia comme j’aime le faire parfois ; des tas de noms d’oiseaux que je ne pense pas vraiment, mais qui sont très sexuels. En appuyant de toutes mes forces sur sa tête. J’évite d’appuyer comme ça sur la tête des filles quand je jouis, sauf avec les très soumises, mais cette fois-là je profitai de cette dernière occasion et je n’avais rien à foutre de sa réaction. J’envoyai mes giclées au plus profond que je pus, en la maintenant et en grognant, en hurlant, et je sentis ses cuisses et son buste de contracter. J’entendis aussi les bruits tellement excitants de gorge, d’un genre de toux retenue, de nez qui renifle presque (difficile à décrire).


Je la lâchais progressivement, elle se retourna avec un visage un peu grimaçant, pas vraiment contente, mais sans être furieuse. Je lui dis que c’était bon, putain.



Peut-être du sperme et assurément de la salive, je n’en sus rien.



Elle se réajusta, s’essuya avec des serviettes laissées dans ma voiture. Puis elle voulut repartir, et je lui dis que je préférais m’en aller directement, ne pas retourner à la salle. J’étais fatigué, je me sentais pas super bien, lui expliquai-je en mentant un peu. J’avais surtout très envie d’aller au lit, et de ne plus faire semblant de m’éclater. Ou, pire, discuter avec son mec.

Lylia voulut me faire changer d’avis, mais y renonça finalement et accepta de dire au revoir de ma part aux mariés et à son mec. Elle me fit remarquer que, du coup, on ne se reverrait plus avant des mois et je ne pus qu’acquiescer.

Lylia voulut m’embrasser, mais je lui dis que c’était dégueulasse (c’était vrai, et ça l’humiliait un peu, ce qui me plaisait), mais je lui souris et lui fis un petit câlin.


J’allumai une clope et lui dis de filer. Elle y consentit et je la regardai s’éloigner en direction de la salle. Puis, je mis le contact.

Dès qu’elle eût disparu de mon champ de vision, j’examinai les photos de la pipe sur mon smartphone. Pas génial, mais on la reconnaissait bien quand même.

Je choisis la moins floue et l’envoyai en SMS à son copain. « Distribué » s’afficha. Puis je mis mon téléphone en mode avion, démarrai la voiture et dégageai d’ici.


Je rentrai chez moi, dormir une courte nuit. Je ne remis pas mon portable en route et espérai surtout ne pas entendre tambouriner à ma porte pendant la nuit. Mais heureusement, cela n’arriva pas. Je repartis le lendemain de chez moi et enlevai le mode avion dans le taxi.


Évidemment, une multitude d’appels et de SMS s’affichèrent sur mon téléphone, tous furieux. Je ne m’y attardai pas et me concentrai sur le voyage à venir. Je ne les écoutai et les relus qu’une fois de l’autre côté de l’Atlantique et j’y pris du plaisir. Je n’y répondis jamais, et ne m’attarderai pas sur leur contenu, que je vous laisse imaginer.


Pourquoi avais-je fait ça ? Sans doute une excitation sadique de visualiser Lylia rentrant tranquillement dans la salle, alors que son mec recevait une photo d’elle la bouche pleine d’un autre. Songer à leurs explications insensées, qui allaient suivre.

C’était vache de ma part, je le reconnais, mais jouissif, alors que je laissais tout derrière moi.


Et puis, c’était paradoxalement une bonne action : Jimmy découvrait la vérité sur sa copine, avant de la demander en mariage, ou autre. À lui, ensuite, de faire ses choix en ayant tous les éléments.


Peut-être, si vous êtes intéressés, vous raconterais-je d’autres petits coups bâtards, en Amérique notamment.