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Temps de lecture estimé : 31 mn
14/03/19
Résumé:  "Vous êtes tout simplement parfaite pour le job, je n'osais pas espérer tant de charme". Maria ne sait que répondre... Il faut du charme pour ce job ? C'est quoi ce plan ?
Critères:  grp fbi nympho fdomine soubrette noculotte facial partouze init -groupes
Auteur : Gus-solo            Envoi mini-message
Soubrette pour un soir

Récemment divorcée, Maria avait urgemment besoin d’un emploi. Elle avait été formée à la conception de site internet, mais elle n’avait plus travaillé dans le domaine depuis son mariage. Son mari, cadre dans une grande entreprise, avait largement les moyens de les faire vivre confortablement sans qu’elle ait besoin de travailler… Dix ans étaient passés depuis ses études, dix ans durant lesquels son mariage avait irrémédiablement sombré dans l’indolence bourgeoise. Son mari, peut-être déçu de l’absence d’enfant, s’était mis à la chasse aux jeunettes…


Ils avaient pourtant couru les cabinets d’innombrables « spécialistes », et des plus chers, pour arriver à couver quelque chose dans leur nid, mais bien qu’on ne détecte rien d’anormal chez elle ou chez lui, ils n’arrivaient tout simplement pas à concevoir un enfant ensemble… À force de courir la jupette, il avait fini par compter dans son harem une donzelle assez ambitieuse pour le persuader de se débarrasser de « sa vieille »… Fataliste, Maria ne s’était même pas vraiment battue pour son mariage. Elle n’arrivait pas à se débarrasser de la sourde culpabilité de leur « stérilité » et elle avait tout simplement laissé sa place à une autre, sans doute plus fertile…


Heureusement, elle n’avait pas tout perdu, elle avait pu garder la propriété d’un hôtel particulier et d’une belle petite villa à la campagne… dans l’urgence de trouver des revenus, elle s’était résolue à louer l’hôtel et se contentait de vivre entre les bois et les champs dans une villa toute petite, mais au milieu d’un beau verger et avec une petite piscine quand même… c’est seulement après toute la procédure de divorce, en goûtant au plaisir de traîner dans un transat au bord du bassin et en se félicitant du confort de sa nouvelle situation qu’elle dut bien admettre qu’elle n’aimait de toute façon plus son ex-mari, si toutefois elle l’avait jamais vraiment aimé…


Elle avait confié la gestion de son hôtel particulier à une agence, mais avant de pouvoir le louer, il fallait l’aménager en immeuble de rapport et les travaux nécessaires pouvaient encore durer plus de six mois, période durant laquelle Maria ne pourrait compter sur ses maigres économies pour survivre… le luxe de la piscine contre la misère du frigo presque vide… il lui fallait vite un revenu.


Ses connaissances n’étaient évidemment plus du tout à jour. Dans ce domaine, dix ans c’est un millénaire, personne ne voulait l’engager pour ce genre de fonction sur base de ses compétences passées. Elle avait donc largement fait passer le message dans son entourage qu’elle était prête à accepter n’importe quel boulot, quitte même à faire des ménages ou servir dans un café ou une auberge…


C’est pour ça qu’un, jour un cousin appelle :



Après un appel et un rendez-vous pour le surlendemain, Marie sonne à la porte d’un petit manoir dans un village près de chez elle, la jeune quinqua qui lui ouvre arbore un grand sourire.



Elle referme la porte, observe Maria des pieds à la tête et termine son inspection par une espèce de compliment.



Maria ne sait que répondre… Il faut du charme pour ce job? C’est quoi ce plan ?



Maria se repasse dans la tête les caricatures de libertins vues à la télé, réfléchit quelques secondes et demande :



Maria suit la blonde jusqu’au deuxième étage. Dans l’escalier, le cul de la maîtresse des lieux oscille gracieusement et sans complexe. Très haut perché, il se balance au sommet d’une paire de fines jambes prolongées de très hauts talons… le tissu beige à fleurs rouges de sa robe est très fin et ne cache rien du mouvement du fessier de la blonde, Maria s’étonne de n’y voir aucune trace de culotte…


Elles entrent dans un dressing où pendent un bon nombre de panoplies de tous styles, quelques curieux harnais en cuir et toute sorte de lingeries… elle n’est clairement pas chez de simples amateurs.



La dame lui tend un uniforme visiblement assez court. Avant même de la saisir, Maria tourne vers son employeuse un regard plein d’interrogation…



Maria enfile le costume, serre un peu les lacets du corsage et se regarde dans la glace… la robe est courte et le décolleté est très ouvert, mais ça va encore, ce qu’elle voit dans la glace reste plus sexy que vulgaire… sauf que, quand elle se penche en avant, la jupette lui arrive au ras des fesses… heureusement qu’elle portera des bas, ça sera déjà ça de plus discret, et si elle plie les jambes au lieu de se pencher, elle pourra rester décente… dans le présentoir à chaussures, il n’y a aucun talon de moins de dix centimètres, elle en choisit une paire qui lui semble assortie à sa tenue, elle monte dedans en se disant que c’est son record de hauteur… il lui faudra peut-être un peu de temps avant de pouvoir marcher à l’aise… mais ça ira.


En la voyant arriver dans la cuisine, sa « patronne » l’inspecte d’un air très dubitatif :



Maria remonte, constate sur le trajet qu’elle s’habitue bien aux talons, entre dans le dressing et se résout à retirer son soutif… elle avise une tringle où pendent un tas d’autres soutiens-gorges et se dit qu’elle pourrait en porter un noir… mais quand elle s’approche du rayon, elle se rend compte que ce sont tous des redresse-seins ou des seins nus… autant ne rien porter… bah, ça lui rappellera sa jeunesse et puis ça n’est que pour une soirée pas très longue et surtout bien payée.


Une fois nue sous le corsage, elle serre les lacets plus fort que précédemment, ça projette tellement la poitrine qu’elle craint à un moment que ses seins s’échappent du décolleté… elle se penche autant que possible, pour voir, mais ça va, ils ne sortent pas, le seul souci c’est que le bord cache à peine ses aréoles… il va falloir louvoyer…


À la deuxième inspection, Madame est moins critique, elle se permet juste de serrer un peu plus les lacets du corsage, ce qui a pour effet d’exposer dangereusement la poitrine… La dame remarque le malaise de Maria et lui propose un tout petit tablier qui remonte un peu sur ses seins, si ceux-ci échappaient au décolleté ils seraient au moins légèrement cachés derrière le tablier… Maria remercie son habilleuse…



La dame venait de lui faire un clin d’œil que Maria avait de la peine à interpréter… Elle préférerait avoir mal compris… mais elle n’ose pas demander plus de précisions parce que justement deux hommes arrivent, un grand brun aux cheveux longs et beau noir au crâne rasé, plutôt grands, bien bâtis et aux sourires ravageurs.



Ils lui sourient et leurs yeux gourmands parcourent ses courbes sans aucune gêne… Maria est un peu mal à l’aise… le jeu de la séduction ne lui déplaît vraiment pas, mais une telle ostentation est un peu gênante quand même… Elle commence à comprendre où elle est, et tout compte fait ça serait très mal venu qu’elle se plaigne… on ne peut quand même pas aller voir une course de formule 1 et puis se plaindre du bruit des moteurs… Après tout, être regardée avec autant d’envie par de si belles pièces d’hommes n’est pas si désagréable que ça…



La camionnette du traiteur arrive et tout le monde aide au déchargement, le livreur ne peut pas s’empêcher de mater Maria qui commence à apprécier son petit costume… finalement, à part les bas, ce n’est pas vraiment différent que ce qu’elle portait avant son mariage et si elle en croit le regard du restaurateur, elle n’a pas perdu tout son charme…

Une fois tous les plats rangés ou disposés à portée de main, la Maîtresse de cérémonie et ses deux complices montent s’apprêter à l’étage, Maria achève la mise en place.


Quand les deux larrons redescendent, ils sont en livrées qui s’arrêtent à la taille, cache-sexes très bien remplis, et bottines militaires… Maria ne peut pas s’empêcher d’écarquiller les yeux devant la générosité des garçons, mais elle se reprend vite et essaye de regarder ailleurs. Clémence n’est pas moins sexy dans son déshabillé transparent, elle est en serre-taille à jarretelles, redresse-seins et bas résille rouges. Maria doit bien admettre qu’elle est très sexy, on en oublierait son âge. Maria se fait même la réflexion qu’elle aimerait beaucoup pouvoir lui ressembler dans vingt ans… Les trois complices sont très joyeux et leurs regards se teintent de plus en plus de complicité… Maria commence à se sentir à l’aise, elle se rend compte qu’elle sourit comme elle n’a plus souri depuis longtemps, elle ne peut quand même se plaindre d’être payée pour assister à une fête…



Tout le monde va dans le hall d’entrée, alignés le long du mur du côté du battant de la porte, d’abord les deux garçons et puis Maria qui ne sait pas vraiment à quoi s’attendre… ils sont en place juste à temps pour l’arrivée du premier couple, Maria admire la ponctualité des invités, ils arrivent tous pile à l’heure prévue, Maria compte cinq voitures desquelles descendent des hommes en tenue de ville et des dames dans des parures comparables à celle de sa maîtresse du soir… celle-ci est dans l’ouverture de la porte et accueille ses invités



Une rousse flamboyante entre et passe devant les « domestiques ». Elle porte une fourrure sous laquelle elle ne porte que des armatures de sous-vêtements, la forme y est, mais aucun tissu ne couvre ni ses modestes seins ni son sexe presque glabre… elle tangue sur des talons encore plus hauts que ceux de Maria… ses tétons sont très longs et manifestement très durs… Maria ne peut s’empêcher de rire intérieurement en pensant qu’elle pourrait presque éborgner quelqu’un avec de telles pointes.



Derrière elle, son mari qui vient d’entrer ajoute :



Effectivement, la brune incendiaire est déjà en train de tripoter les deux gars, elle les embrasse goulûment et leur passe la main sur le paquet…



La câlineuse avance un peu et s’arrête devant Maria.



La dame s’éloigne, mais à l’air vraiment déçu, ce qui trouble un peu Maria.


Un autre couple mixte les suit, lui-même suivi d’une paire de dames dont l’une est entièrement nue à l’exception d’une paire de mules compensées et d’un collier dont la laisse est tenue par son amante à laquelle des cheveux tirés et une mini-robe de cuir noir donnent un air sévère…


Une paire de vrais jumeaux ferme la marche, habillés tous les deux de pantalons et marcels, en treillis militaire. Ils sont tellement semblables que Maria craint de ne jamais pouvoir les distinguer.


Observant cette bande de frappadingues, Maria n’en revient pas de l’aisance des dames, elles sont toutes habillées comme les dernières des putes et semblent en être assez fières, les maris les regardent avec bienveillance et personne ne se formalise des caresses sur les cache-sexes des garçons ou d’autres sortes d’attouchements entre invités de tous sexes… Clémence ferme la porte et entraîne ses invités au salon, tout le monde s’assoit dans de confortables divans et les « domestiques » proposent quelques coupes… Maria se rend vite compte qu’elle ne pourra pas plier les jambes toute la soirée, ça n’est ni pratique ni gracieux, elle se résout à se pencher et à supporter les regards dans son décolleté et sans doute à la lisière de ses bas… bah, elle y survivra…


Et puis tout le monde passe à table, les deux garçons servent les plats et Maria remplit les verres, son regard est irrésistiblement attiré vers les caresses des dames et même de quelques messieurs sur les cache-sexes conciliants qui n’en peuvent plus de se tendre… Très vite, deux queues de compétition sortent de leur cachette, chacune les flatte, les caresse et les tâte au passage si bien qu’en quelques minutes les deux colonnes de chair sont gonflées à bloc et tendent ostensiblement vers le plafond… Maria sourit, elle doit bien admettre que cet étrange défilé ne la laisse pas de glace.


Quelques mains sont manifestement attirées par sa propre croupe, mais avant même qu’elles ne la frôlent, Clémence intervient et rappelle « l’intouchabilité » de Maria… Celle-ci ne sait plus vraiment si elle doit être déçue ou soulagée… malgré tout, elle doit reconnaître que ces « pervers » sont très respectueux et remercie intérieurement sa « patronne » de veiller au grain.


À la fin du repas tout le monde se lève et monte à l’étage, Maria les suit. Ils rentrent dans une grande pièce que Maria n’avait pas encore vue, meublée de canapés et de confortables divans et les murs sont tapissés d’œuvres érotiques. De nombreux martinets, fouets, cravaches, menottes et autres bizarreries reposent sur des présentoirs accrochés aux murs rouges et légèrement satinés. Dans une vitrine, Maria remarque une belle collection de vibromasseur et de godemichés de toutes tailles et couleurs, ainsi d’autres sortes de jouets dont elle ne connaît pas l’usage… elle sait ce qu’est un vibro, elle en a commandé un sur le net et s’en sert de temps en temps, mais jusque-là elle pensait que c’était réservé aux plaisirs solitaires, elle n’aurait jamais imaginé qu’on puisse s’en servir à plusieurs, et puis pourquoi en faudrait-il autant ? Tout ça commençait à bien la titiller


À peine entrée dans la pièce, la « nympho » rousse à longs tétons se précipite sur une grande table basse molletonnée de cuir façon Chesterfield, elle s’y installe à quatre pattes, adresse un regard mutin au beau sportif qui la suit et lui dit :



Il se dirige droit sur la croupe tendue, mais la « salope » brune intervient :



Elle intercepte la bite au vol et se l’embouche aussi sec, accroupie sur un genou, elle expose entre ses lèvres ouvertes et luisantes qu’elle parcourt d’une main pendant que l’autre s’affaire sur un solide bâton d’ébène qui se laisse goulûment pomper… Elle a l’air de la dernière des chiennes, elle regarde l’homme qui est à l’autre bout du bâton droit dans les yeux, y cherchant le moindre signe de plaisir qui évidemment ne tarde pas à se manifester… Moussa ferme les yeux, les rouvre pour encourager la suceuse et puis les referme de nouveau… après quelques minutes de ce traitement il ne peut plus rester debout et il s’affale sur un fauteuil à la forme peu courante, une sorte de « B » couché, il s’adosse à la plus grande des bosses pendant que son avaleuse, sans le lâcher, s’installe en face et continue sa sucions endiablée.

Évidemment, la rousse qui s’est fait voler son dessert râle de tout son cœur…



L’entame de la soirée échauffe vite tout le monde et les hommes sont vite nus et au garde-à-vous… Maria regarde tout ce cirque d’un air ahuri… pas vraiment choquée, mais abasourdie de si peu de pudeur et d’une telle revendication au plaisir.



Sa patronne la sort de ses pensées pour lui rappeler son rôle, mais elle lui parle avec beaucoup de douceur :



Et Maria reprend sa tournée… La flamboyante chaudasse, toujours à quatre pattes, est à présent assaillie de bites, elle chevauche la queue de Jules pendant qu’un cadra un peu chauve lui pilonne le cul sans ménagement… elle crie comme une damnée, une bite turgescente dans chaque main et les yeux fermés dans une expression de douleur intense, pourtant elle jouit manifestement d’un plaisir indicible puisqu’entre deux séries de cris, elle s’engouffre une des deux bites entre les lèvres et reprend son branle vigoureux sur l’autre.


Partout dans la pièce, ça n’est que cris, feulements, couinements et râles de plaisir… la voleuse de bonbons est toujours à genoux et la bouche fort pleine, elle se fait jouir d’une main pendant que sa langue et ses lèvres s’affairent sur la queue arquée et dégoulinante du « pauvre » domestique abusé dans l’exercice de ses fonctions…


Un peu plus loin, un homme et une femme sont attachés face à face, les bras écartés et pendus à une structure métallique accrochée au plafond par une chaîne, une barre leur écarte les chevilles et leurs orteils frôlent à peine le sol. La fille au look sévère leur administre sans ménagement une belle volée de coups de martinets… les peaux des pendus sont rosies du haut du dos à la mi-cuisse, leurs fesses pourraient presque complexer une tomate… Mais ça n’empêche manifestement pas le plaisir, il bande comme un taureau et sa queue glisse facilement entre les cuisses luisantes de la fille contre laquelle il est attaché… elle essaye d’écarter les cuisses et il essaye de la pénétrer, mais sous les coups de martinets et parfois de petits fouets, ils se tordent de douleur, si bien qu’ils n’arrivent jamais à rester très longtemps l’un dans l’autre… Assis dans un sofa, un moustachu à lunettes et un peu bedonnant commente la scène en se branlant :



Elle ne répond pas, mais on voit qu’en entendant son mari la houspiller, la fille attachée est parcourue de tremblements et c’est une raison de plus de ne pas pouvoir garder la bite de son amant dans son ventre.

La fouetteuse se touche aussi, elle balance l’instrument d’une main, envoie quelques coups et puis caresse impudiquement son entrejambe ou se pince un mamelon, elle commente aussi :



Ce qui semblait n’être qu’une seule structure est en fait un assemblage de deux structures jumelles, ce qui permet d’écarter la suppliciée, de lui faire faire un demi-tour et puis de la laisser retomber dos à son compagnon de torture… aussi tôt relâchée, elle se cambre le plus possible, essayant désespérément de placer son œillet face au gland violacé tendu dans son dos… mais c’est encore plus dur que face à face et ça fait beaucoup rire la flagelleuse et le mari moustachu… Finalement ce dernier se lève, saisit une espèce de triple fouet de cuir et commence à lézarder le ventre tendu de sa pauvre épouse… du coup, la sévère retourne le pendu aussi et le flagelle sur toute la face à l’exception du visage, le pauvre bande tout ce qu’il peut, il est tellement dur et tendu qu’on pourrait croire que sa bite veut décoller de son corps, elle a beau y projeter son martinet de toutes ses forces, la bite ne se dégonfle pas…



Elle est peut-être homo, mais à voir comment elle caresse le pauvre vit meurtri, elle n’est ni insensible ni novice avec les mâles. Pendant ce moment de tendre repos par-devant lui, il entend dans son dos son amante hurler à pleins poumons… la pièce est remplie de ses cris, mais parfois, entre deux hurlements, on peut entendre le grave vrombissement d’une tête vibrante… le sadique mari l’amène jusqu’au bord de l’orgasme et puis retire brusquement le vibro… Elle reste crispée, grimaçante, ses jambes brinquebalent dans tous les sens et elle le supplie de continuer, de la faire venir…



Alors seulement il consent à laisser la grosse tête contre le clitoris affamé et en quelques secondes la pendue repart au paradis de la luxure, elle hurle à en vriller les tympans, son corps est secoué de vagues et de tremblements jusqu’à ce qu’une giclée de plaisir éclabousse le parquet.


Quand Maria arrive enfin à détourner les yeux de ce spectacle, c’est pour contempler sa patronne affalée dans un fauteuil, les cuisses largement ouvertes et tirant sur la laisse de la fille au collier qui lui bouffe le pubis en se poussant un gode entre les fesses.


Les beuglements de la pendue ont déclenché une avalanche d’orgasmes, la chienne à quatre pattes lui répond en hurlant à son tour, les spasmes qui secouent son vagin et son rectum stimulent une fois de trop les queues qui la pistonnent, qui ne peuvent plus rien retenir et qui crachent un geyser de sperme au fond de deux capotes sur le point de fondre, ces sensations provoquent chez la pistonnée une seconde vague qui lui fait serrer les mains sur les queues jumelles qu’elle honore de sa bouche, ceux-là non plus ne peuvent plus rien retenir, ils giclent de concert une double dose de liqueur laiteuse qui éclabousse copieusement le museau de la petite chienne et indirectement, juste en dessous, le visage du pauvre Jules qui essayait de reprendre son souffle


Voyant ça, la voleuse de Moussa accélère la danse de ses doigts sur son propre clito chauffé à blanc et très vite elle doit fermer les yeux pour mieux sentir les vagues qui irradient du creux de son ventre… Ce faisant, elle enflamme un peu trop le bâton distendu qui se met à gicler lui aussi… la suceuse sort rapidement le braquemart de sa bouche, le pose au bord de ses lèvres et supplie le beau Moussa de lui en mettre plein la face.


Avec toute cette agitation, les flûtes ne se vident pas vite… Désœuvrée , Maria s’en sert une et la sirote doucement en balançant le regard d’une scène à l’autre en fonction de qui crie ou jouit le plus fort… tout ça ne la laisse clairement pas de bois… elle a de plus en plus chaud… surtout quand, de temps en temps, elle croise un regard plein de désir des deux autres domestiques. Elle peut deviner dans leurs yeux le regret qu’elle ne soit pas adepte de leurs jeux… Elle commence à le regretter aussi d’ailleurs… cette bande de cinglés semble bien s’amuser… et pourquoi pas, après tout ?

Maria se mord les lèvres, se sent toute chose et serre les cuisses… sa patronne, assoiffée d’avoir trop haleté s’assied derrière Maria et se ressert elle-même, la soubrette sort de sa contemplation, s’aperçoit qu’elle manque à son devoir et s’excuse…



Maria écarquille les yeux :



Maria passe de surprise en surprise, ses sourcils bondissent pendant qu’elle écoute son employeuse… celle-ci lui adresse un sourire mutin et un regard par en dessous, on dirait une adolescente d’un demi-siècle…


Pendant que ces deux-là devisent, les autres convives émergent doucement de leurs petites morts… les filles rajustent leurs tenues, pour celles qui en ont, et les gars étirent leurs muscles. Tout le monde se regarde en souriant, mais personne ne parle avant de longues minutes. Dans le sofa, l’ex-pendue s’est adossée à son mari, il caresse tendrement la peau rougie et marquée de sa victime qui garde les yeux fermés… Elle lui dit :



Les mains continuent leur balade sur la peau meurtrie, suivent les marques un peu plus prononcées jusqu’à leur point de recoupement, en haut des cuisses… elle garde les paupières baissées, mais entrouvre la bouche. Elle respire, s’approfondit à mesure que les mains de son homme s’attardent au bas de son ventre, que les doigts inquisiteurs insistent plus précisément sur le haut de son sourire vertical… elle ouvre doucement les cuisses et finit par se positionner de manière à ce que les doigts maritaux puissent explorer tout son entrejambe… elle redémarre déjà… Henry les regarde, la queue toujours tendue, il se branle doucement en la voyant s’échauffer à nouveau… il échange des regards complices avec le mari tripoteur qui lui répond des yeux qu’elle sera vite à point.


La sévère rejoint la rousse sur sa table basse et s’installe dans son dos. Elle la mordille dans le cou, promène ses mains sur la petite poitrine, agace les tétons hors norme et les tord doucement :



La rousse se cambre de plus en plus et projette ses deux petits canons en avant, droit entre les doigts de la gouine sans-cœur…



La sadique lui écrase les tétons…



La nympho se couche tout en gardant les cuisses ouvertes. La « Maîtresse » accompagne le mouvement sans lâcher les pics de chair et s’accroupit au-dessus du visage de la soumise… puis elle s’abaisse doucement jusqu’à ce que sa chatte rencontre la bouche haletante…



La sadique continue à triturer sans pitié les pointes distendues… En réponse, la lécheuse respire de plus en plus fort et interrompt parfois les mouvements de sa langue.



Faussement terrorisée, la petite esclave redouble d’efforts et ça doit être assez efficace puisque la maîtresse ferme régulièrement les yeux… entre deux frissons et tout en continuant sa torture mammaire, elle fait des signes de tête à la fille au collier, lui demandant une cravache courte à large boucle et un gros godemiché… La petite servante s’exécute promptement et puis s’installe aux pieds de sa maîtresse, les yeux grands ouverts et toutes les lèvres humides.

Un petit coup de cravache s’abat juste sur la commissure sensible de la lécheuse… Celle-ci essaye de pousser un cri, mais la chatte de sa tortionnaire lui couvre la bouche et étouffe le son…



Un deuxième petit coup de cravache frappe le clito de la lécheuse qui par réflexe resserre les cuisses…



La lécheuse ouvre grand son compas et lève les jambes tout en s’appliquant sur le point le plus voluptueux de sa tortionnaire…



Et la cravache retombe sur la même zone, provocant le même réflexe…



Tout en grondant sa victime, la cruelle cavalière fait signe à sa servante de lui apporter quelques bouts de cordes qui pendent sur un présentoir. Elle attache une corde à chaque genou de la lécheuse et ordonne par geste à sa servante d’attacher les autres bouts aux coins de la table du côté de la tête de la lécheuse… En quelques minutes, la victime se retrouve la chatte ouverte vers le plafond et les cuisses écartelées… son sexe palpite, il est parcouru de spasmes qui resserrent par à-coups sa vulve et son anus… son périnée n’est plus qu’une vague et tout son corps n’est que frissons…



La despote du soir accepte une paire de pinces reliée par une courte chaîne que son esclave lui propose humblement, elle saisit chaque téton et l’enserre dans une pince… et puis tout doucement elle remonte les petites bagues et les mâchoires se resserrent sur les pauvres pointes sensibles…



La cavalière ondule du bassin sur la bouche captive en tenant la chaîne d’une main comme on tient les rênes d’une jument tout en abattant quelques petits coups de cravache sur la chatte écartelée à sa merci.



Et la cravache frappe de plus belle, quelques filets de mouille s’étirent entre les lèvres meurtries et la boucle en cuir, le bruit des petites tapes devient spongieux.


Maria est complètement hallucinée… écartelée entre sa compassion pour la victime et son envie d’être à sa place… si elle l’avait vu en image, elle aurait certainement plaint la pauvre fille, mais à l’entendre respirer si fort et déborder de mouille, elle commence à comprendre qu’il s’agit de sensations hors normes…


Elle n’est pas la seule à se régaler du spectacle, dans leur sofa le tri-couple que forment Henry, la pendue et son mari s’activent de moins en moins calmement sans pour autant rater une miette du rodéo sur chatte sauvage… les regards focalisés sur la scène de la table basse, le mari pilonne la chatte de sa petite femme pendant que celle-ci suce religieusement Henry le bienheureux.


Un peu plus loin, dans un grand divan, les jumeaux enfilent en cœur la patronne de Maria, la scène a incendié la blonde employeuse qui n’a pas pu résister à se mettre un jumeau par-devant et un autre par derrière… elle a les yeux fermés et miaule comme une chatte en chaleur… adossée contre son enculeur, elle tire de toutes ses forces son vis-à-vis pour qu’il s’enfonce le plus loin possible entre ses cuisses… les jumeaux ont l’air aux anges… ils se parlent comme pour accorder leurs mouvements…



L’abdomen de la patronne se contracte et la plie en deux, certaines convulsions sont si fortes que le jumeau de devant évite de justesse un dangereux coup de boule…


Toujours sur le fauteuil en « B », la brune incendiaire et Moussa sont rejoints par un Jules en pleine forme, elle se frotte comme une chatte contre les deux athlètes, une queue dans chaque main, elle les branle en douceur tout en les embrassant à tour de rôle… fière de les avoir « volés » à sa rivale, on sent qu’elle compte bien en profiter à son aise… de toute façon l’autre goulafre est occupée, elle n’en a pas besoin…


Maria bout, elle coule dans son coin et ses cuisses se serrent à chaque soupir qu’elle entend. Elle a vraiment trop chaud dans son petit uniforme, son dos est un peu moite et sa culotte est détrempée… Elle commence vraiment à regretter de s’être mise hors-jeu… maintenant c’est trop tard, tout le monde est « en mains » et il ne reste plus personne de disponible… si ça continue, ça sera la soirée la plus frustrante de sa vie… Elle se dit qu’après tout, même si elle est tenue à un certain rôle, elle n’est sûrement pas prisonnière de son costume… elle prend une grande respiration, retire son tablier, tombe la robe et remet vite en place le mini tablier blanc qui tout seul, ne peut plus cacher grand-chose de sa poitrine, et sûrement pas la tumescence de ses mamelons… Si elle reste bien droite, ils arrivent juste sous les coins supérieurs du tablier, mais alors le bas du tablier ne cache plus rien de l’auréole qui grandit à l’avant de sa culotte bleu ciel derrière… et bleu marine devant. Si elle tire dessus pour cacher sa culotte, ses tétons surgissent à découvert… un vrai dilemme… cela dit, sa culotte « Petit Bateau » bleu ciel fait vraiment tache dans l’ensemble… pas du tout assortie à son porte-jarretelles et ses bas blancs… Alors Maria vide sa flûte d’un trait, la dépose et tombe la culotte aussi… elle se regarde dans la vitrine et se rend compte que positionné comme ça, le mini tablier ne cache ni ses tétons tout tendus, ni ses quelques poils pubiens… mais elle sourit, fait un clin d’œil à la vitrine et se remplit une flûte à ras bord… au pire, si elle le regrette demain, elle pourra toujours invoquer l’excuse de l’ivresse.


Pendant la résolution de Maria, la température de la pièce a encore augmenté, la sévère a lâché la chaîne pour pistonner la vulve béante de sa monture avec le gros godemiché pendant que la cravache rebondit sans pitié sur le clitoris martyr prêt à éclater… En face de sa maîtresse, la soumise fait aller et venir un chapelet de petites boules dans l’anus distendu de la lécheuse, celle-ci a passé les mains par-devant le pubis de la maîtresse pour masser son clitoris pendant qu’elle plante son nez au creux de l’anus qui l’étouffe et que sa langue fouille le plus large des orifices accessibles… La cavalière ne peut plus masquer son plaisir, elle respire fort en insultant copieusement les deux exaltées qui jouissent avec elle… quand enfin son orgasme éclate, celui de sa lécheuse lui répond avec passion, le godemiché saute en l’air, expulsé par un jet de plaisir liquide qui asperge la soumise en plein enfoncement spasmodique des doigts dans le ventre, et qui part en folie avec elles…


Maria est debout, le plateau qu’elle tient d’une main cache l’autre main qui s’affaire en haut de ses cuisses… elle pense que personne ne la regarde et se permet une impudeur inconnue jusque-là… Si on lui avait dit qu’elle se masturberait un jour debout et devant tout le monde, elle ne l’aurait jamais cru.


Comme lors du premier round, les hurlements des unes répondent aux gémissements des autres… en réaction à la cavalcade déchaînée, Henry, la moustache et les jumeaux se répandent copieusement sur la patronne et la pendue accroupies qui s’embrassent à toutes langues et se doigtent mutuellement… de son côté, la « collectionneuse » de queues hurle tout son bonheur de jouer au yo-yo, un mandrin par-devant et un autre dans le cul, maintenue entre les deux athlètes debout qui la soutiennent en vol planant… après un bon moment, essoufflée et repue, elle demande grâce et supplie les sportifs de la déposer et de l’asperger de leurs jus…


Maria est toujours debout, mais dans un état second, elle regarde toutes ces scènes et agite ses doigts de plus en plus fort, les jambes et l’abdomen un peu pliés, elle affiche un visage crispé avant d’être elle-même prise de vagues irrésistibles qui la secouent si fort qu’elle en perd l’équilibre… elle titube, essaye de se reprendre, mais doit se résoudre à lâcher son plateau pour pouvoir se rattraper d’une main libre… le plateau cogne une chaise et puis le sol et tourne un peu sur le plancher avant de retomber à plat. Le boucan a attiré l’attention de tout le monde et en une seconde chaque paire d’yeux contemple une Maria rouge et toutes pointes dehors, la main coincée entre ses jambes en « X » et en équilibre instable contre le dossier d’un fauteuil… tout le monde lui sourit… quelques-uns applaudissent… et dans un coin, sa patronne toute dégoulinante chante à tue-tête :