n° 18889 | Fiche technique | 10639 caractères | 10639Temps de lecture estimé : 7 mn | 14/03/19 |
Résumé: Alors que je retourne à la salle de sport après quelques mois, m'arrive le genre d'histoire que je pensais réserver à des films plutôt... adultes | ||||
Critères: hh gymnastiqu hsoumis facial fellation nopéné -hhomo | ||||
Auteur : Aurel1979 (Homme parisien) Envoi mini-message |
Voici le début d’une histoire commencée il y a quelques mois. J’ai trente-neuf ans, 1,75 m, blond, pas trop mal foutu, sans être canon. Je me débrouille. Après quelques mois de bons petits plats d’hiver, ma silhouette et mes fessiers n’étaient plus à mon goût et je me sentais sur la pente fatale de la prise de poids. Étant d’un naturel sportif, me voici donc remotivé, en route pour ma salle de sport favorite du 14e arrondissement à Paris. À quatre séances de cardio par semaine, je pense retrouver un beau ventre plat et des fesses sexy assez rapidement. Je suis de nouveau célibataire depuis quelques semaines, et si je veux rencontrer un beau mâle, faut aussi que j’y mette du mien.
La salle que je fréquente n’est pas une salle « gay» en particulier, et dans l’ensemble les clients sont à mon avis plutôt hétéros. Mais je m’en fiche, j’y vais pas pour draguer, mais pour me dépenser. En revanche, j’ai remarqué qu’en fonction des horaires, ce n’est pas la même clientèle. Elle est beaucoup plus jeune en soirée et le week-end. Pourquoi ne pas joindre l’utile à l’agréable et se débrouiller pour venir faire du tapis de course aux mêmes horaires que les beaux mecs du 14e ! D’autant que les murs de la salle sont recouverts de miroirs. Il n’y a qu’à tourner la tête pour se rincer l’œil.
Un samedi après-midi donc, après être passé de machines de cardio en machines de cardio, me voici sur le tapis pour terminer ma séance par quinze minutes de footing. Mon occupation est alors de mater les différents gars affairés autour de moi sur les différentes machines, de la musique dans les oreilles. C’est assez pratique, les tapis de course font face aux miroirs et via le reflet, on peut voir toute la salle en toute discrétion. J’en repère un en particulier. Un beau brun, cheveux courts, je dirais trente-cinq ans, la peau assez claire, et de très beaux yeux noirs, c’est peu courant. Le type fait de la muscu, tranquille.
J’aime les mecs musclés, mais pas genre « musclor » , ce qui me laisse froid. Non, lui, c’est un bel équilibre de formes nerveuses et de chairs. Je l’observe par moment. Je suis assez intuitif, et je sens poindre une once de timidité chez lui. Alors que la plupart des mecs faisant de la musculation font cela en groupe de copains, lui fait ses exos sans se préoccuper des autres. Bref, un beau mec dans une salle de sport, rien d’extraordinaire. Cela a agrémenté de manière bien agréable mes quinze minutes de courses. Je passe dans la salle d’étirements et de récupération.
Vingt minutes plus tard, je pars vers les vestiaires pour une douche bien méritée. Les vestiaires sont petits, mais ça va. En tout cas, on voit tout le monde entrer et sortir. Je me désape et je passe des tongs et une serviette autour de la taille. Le gel douche dans les mains, je me lève du banc et pars en direction des douches dont l’entrée est proche de l’entrée générale des vestiaires. Le beau mec que j’avais vu dans la salle entre dans les vestiaires à ce moment et me fait face. Réaction mécanique, je me décale, un peu troublé, mais content de cet heureux hasard, pour le laisser passer et me voilà reparti vers les douches. Il y a six douches individuelles en enfilade. Je rentre dans l’une d’entre elles et commence à me laver.
J’essaye d’estimer le temps que mon bel inconnu va mettre à se dévêtir pour arrêter ma douche et avoir le plaisir de le croiser torse nu. Ça ne rate pas, en sortant de la zone de douche, je lui refais face. On est tous les deux torse nu. Je ne tiens pas la comparaison, même si mon torse reste tout à fait acceptable en termes de sveltesse et de musculature. Lui est sacrément beau, tout simplement. Mes yeux balayent malgré moi ses épaules, sa nuque, ses pectoraux – il a un grain de peau que j’adore, et, je ne peux pas résister je plonge sans y penser les yeux vers son ventre. De beaux abdos, pas surgonflés, mais bien dessinés, sa peau bien tendue dessus, et un nombril à la forme si sexy. J’ai toujours trouvé le nombril d’un homme sur un torse sec hyper sexy ! Lui, de son côté, reste imperturbable. Pas un sourire, il attend pour passer.
Je me décale, mais bien sûr, perdu dans mes rêveries, je réagis une fraction de seconde plus tard que tout à l’heure pour le laisser passer. Intérieurement, je me dis rapidement : bon il a compris que je suis gay. Et alors? S’il est hétéro, y’a pas mort d’homme; mais … s’il était homo ?. Presque par acquit de conscience, je me retourne. Je le vois prêt à partir vers les douches, mais arrêté, me regardant. Je comprends le deal non verbal qui pourrait se conclure. C’est pas possible. Ça n’arrive pas dans la vraie vie. Je suis assez timide par nature. Mais l’excitation de ce qui pourrait advenir est trop grande. À ma grande surprise, je constate que je vais vers lui pour le suivre. Il n’y a personne d’autre dans les douches, mais quelques personnes dans les vestiaires. Je pense que personne ne nous voit partir ensemble vers les douches.
On va vers la douche du fond. Ce sont des douches italiennes avec simplement des cloisons en bois pour délimiter les cabines. Il ouvre la porte de la dernière cabine et m’invite du regard à y entrer. Il me suit et referme la porte. Il ôte sa serviette de la taille et la pose sur le rebord haut de la cabine de douche. J’enlève moi aussi ma serviette. Je sais ce qu’il veut, et je suis prêt à le lui donner. Je me mets à genoux. Son membre est au repos, face à mon visage. Quelques poils au-dessus de sa verge, mais ses bourses et la base de sa queue sont imberbes. Le monsieur s’entretient. Je devine qu’en érection, on atteindra les vingt centimètres sans souci. Son corps sent assez fort. Un mélange de sueur et d’odeur propre à l’entrejambe des messieurs. Ça m’excite. J’approche ma bouche de son membre. J’aime bien ce début de fellation quand on goûte une nouvelle verge pour la première fois, son odeur, son goût, sa texture; sentir ce membre prendre peu à peu de la consistance dans sa bouche. La peau, bien que douce, est sèche au début, puis la salive vient lubrifier le tout. Quel plaisir!
Il ne tarde pas à durcir en effet et je peux décalotter sa queue avec la langue. Je passe la passe sur son gland et son méat. Je salive tant que je peux pour lubrifier ce beau membre tombé du ciel. Je lèche tout le long de sa tige. Elle est chaude et pleine de vie. Il a posé les mains sur mes épaules, ce que je prends comme une forme d’encouragement. Elles sont fermes et puissantes. Je place les miennes sur ses fesses, et je le suce. Le temps est suspendu. Je ne pense qu’à m’appliquer pour donner un maximum de plaisir à ce bel inconnu. Je lève les yeux vers lui. Il est ailleurs, les yeux fermés. Il a retiré une main pour lui caresser les pectoraux. Il a de beaux tétons à l’évidence bien dressés par le plaisir. Sa queue a atteint son maximum de volume, et je me dis que les vingt centimètres sont très largement dépassés. Je regarde son gland, il est gros, gonflé de sang, et brillant de ma salive. Il domine en largeur le reste de la verge.
L’idée me traverse alors l’esprit que j’aimerais sans doute bien la sentir en moi. Et cette pensée en un instant s’empare de moi. Je sens mon sphincter anal se détendre et mes fesses s’ouvrir, adoptant instinctivement la posture des hommes gays pour signifier dans ces moments-là à leurs partenaires ce qu’ils désirent par-dessus tout, se faire prendre. Je tente de me lever pour aller l’embrasser et le lui faire comprendre par d’autres gestes plus directs, mais ses mains m’en empêchent. J’ai compris, c’est lui le dominateur et pour le moment, c’est sa queue le plus important. Je m’exécute en me rassurant sur le fait que je dois faire du bon boulot, et que je serai peut-être récompensé par la suite.
Elle a en réalité un goût exquis, un peu salé. Je vais vers ses couilles et les lèche avec avidité. Elles ont chacune la taille idéale pour le loger dans ma bouche, au contact de ma langue. Mais je reviens assez vite vers son beau gland qui commence à suinter. Je sens sa queue se raidir une ou deux fois, signes avant-coureurs de l’éjaculation proche. Il me fait me lever. On s’embrasse. Sa langue envahit ma bouche. Il me plaque ventre au mur et vient taper à plusieurs reprises. sa belle queue raide contre mes fesses. Je sens toute la masse de son gourdin de chair à chaque percussion. Il avait bien compris le changement de posture léger de mon postérieur. Et il est d’accord. Ça y est, il va me prendre. Enfin!
Mais non, ce n’est que du teasing. Il approche sa bouche de mon oreille et me chuchote :
Troublé, presque tremblant, je m’exécute. Je retourne à genoux vers sa queue toujours aussi raide. Un regret et une promesse à l’esprit. Cette fois, il met sa main droite sur ma nuque pour me limer la bouche avec constance. Encore une ou deux minutes de va-et-vient délicieux avant de sentir les contractions de tous ses muscles, de ses pectoraux, de ses abdos, de ses fessiers, et de ceux si importants qui font monter le sperme de ses profondeurs vers ma bouche.
Je compte deux ou trois jets chauds taper sur mon palais puis comme une fontaine de foutre se déverser sur ma langue. J’ai l’impression d’avoir la bouche remplie de sa semence. Son goût me plaît. Je l’avale par petites gorgées. Il me fait me relever et m’adresse un sourire, le premier, à tomber raide. Il se met derrière moi et prend ma queue dans la main. Il me branle doucement tandis que son autre bras me caresse le torse. Je ne tarde pas à jouir. Il amène mon foutre à ma bouche en me caressant doucement.
Après quelques minutes, on allume la douche pour se laver. Pour ne pas sortir à deux en même temps de la cabine, il me dit de le précéder. Si je souhaite, je n’ai qu’à l’attendre à la sortie de la salle de sport. Il est encore tôt et dit trouver mes fesses tout à fait à son goût.