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n° 18899Fiche technique19744 caractères19744
Temps de lecture estimé : 12 mn
19/03/19
Résumé:  Lors d'une soirée arrosée, Adrien se laisse expérimenter l'amour entre hommes.
Critères:  hh hhh copains hmast fellation 69 partouze init -hhomo
Auteur : Sucette stories            Envoi mini-message
6969 ou le Carré Parfait

Chers lecteurs,


Cette histoire, mon histoire commence il y a presque un an. Tout commence par une banale soirée d’anniversaire de Fred, un ami que je n’ai pas vu depuis la fin de nos études il y a deux ans. Si la moitié des invités étaient des gens de ma promo, dont évidemment des amis très proches que je voyais régulièrement, ma nature un peu ouverte et mon besoin de faire connaissance avec de nouvelles têtes – surtout des filles, car je venais de me séparer de ma copine, chose que mes copains racontaient à qui veut l’entendre pour me faciliter la tâche – a ouvert de nouvelles connaissances. C’est ainsi que, à la malchance de n’avoir eu de numéro de téléphone d’une demoiselle, je fis la connaissance de trois copains de Fred, nommés Ludovic, Marc et Julien, avec que je sympathisais rapidement notamment, car nous avions les mêmes goûts en jeu vidéo.


Très rapidement, nous prenons contact par Facebook pour échanger des astuces, et le samedi d’après je reçois une invitation de Marc pour pouvoir enchaîner des parties de baston sur XBOX autour de pizzas et de bières.


Je sonne à la porte de Marc, et celui-ci m’ouvre dans un superbe appartement parisien. Il me fait le tour du propriétaire et m’explique que l’immeuble appartient à la société de ses parents, et que les deux étages du dessous sont vides, car ce sont normalement des bureaux. Ainsi, ils peuvent faire la fête en montant la musique assez fort. Je dépose les deux packs de bière tandis qu’il m’invite à prendre place dans le sofa où attendent déjà Ludovic et Julien qui étaient en train de faire une partie. À peine me voilà assis qu’une assiette en carton avec une part de pizza et une bière fraîchement décapsulée m’arrivent dans les mains.


Nous enchaînons les parties de baston tout en sirotant de nombreuses bières, puis sur le coup de 23 h, nous faisons une petite pause en montant la musique.



Je ne trouvais pas à dire.



La bière m’a bien désinhibé.



Je suis étonné et la conversation vrille, mais je sens comme un climat de confiance. Et puis, il y a quelque chose de palpable, à la fois électrique et torride. Je sens que Marco – il préfère qu’on l’appelle comme ça – et Ludo attendent nerveusement et impatiemment la réponse. Et si… Et si j’étais tombé dans un guet-apens, ou plutôt un gay’t-apens ?


Une partie de moi panique, et soudainement en quelques instants je me refais toute la soirée. Je sens les accidents, les mains qui se posent amicalement sur mes genoux lorsqu’ils essaient de se rappeler, l’exiguïté du canapé qui font que nos cuisses sont appuyées, et surtout plusieurs bières pour me désinhiber. Les garçons ne m’ont au moins pas bourré la gueule, car ils veulent certainement pas être responsables d’un viol, mais maintenant ma censure s’est levée et je me sens tout échaudé par la tournure de la conversation et de la situation.



Et là, ni une ni deux, sans que l’on demande quoi que ce soit, Julien se retrouve avec le jean, puis le caleçon aux genoux ! Marco et Ludovic rigolent de bon cœur, moi plutôt nerveusement. Julien s’allonge met au bout du canapé, celui près du mur, puis pose la plante des pieds et se redresse en se mettant en chandelle. Puis il commence à s’astiquer furieusement, jusqu’à ce qu’une belle trique apparaisse, me laissant réprimer un hoquet de surprise. Il en a vraiment une immense ! Elle doit bien faire vingt centimètres !



Julien se rassit dans le canapé, mais c’est pas pour autant qu’il recouvre son entrejambe ni son érection proéminente.


À ce moment, un silence gêné et gênant s’installe dans le salon, couvert par la musique un peu forte. Je respire un peu fortement, et je sens que c’est le moment clé où tout peut changer. Je peux décider de me lever, de dire au revoir d’un ton un peu en colère et de disparaître, ou alors rester et voir ce qui va se passer.


Marco est assis à ma gauche et Ludovic à droite, et je les sens se resserrer vers moi. Puis habilement, comme dans une chorégraphie sagement définie, ils posent chacun une main sur mon torse. Ludovic caresse ma cuisse droite de sa main libre, pendant que Marco pose sur mon ventre. Je ne dis rien, puis je m’aperçois que je suis tout tendu. J’expire difficilement, puis finalement mon corps finit par se détendre. Marco descend alors sa main sur mon jean l’entrejambe et entreprend de caresser mon paquet qui commence à prendre forme.



Puis les deux commencent à m’embrasser sur les joues et me rouler des pelles à tour de rôle. Les caresses circulaires sur mon bas-ventre commencent à se préciser, à être à la fois douces et fermes, et une deuxième main vient compléter ce que fait la première.



J’acquiesce du menton silencieusement. Deux bites s’extirpent des braguettes pendant qu’ils continuent à me maintenir contre le canapé. Deux belles bites rien que pour moi ! Elles prennent rapidement forme pendant que je les saisis et commence à les masser avec vigueur. C’est la première fois que je tiens une bite (et même deux !) qui n’est pas la mienne, et je dois avouer que la texture est plutôt étrange. Je ne m’attendais pas vraiment à ça. C’est d’autant plus étrange, et même rigolo, maintenant qu’elles prennent bien forme : deux massues bien rigides, puissamment érigées vers le plafond, colonnes de chair vigoureuse et plutôt soyeuse à l’extérieur.



J’acquiesce encore. Ça n’a pas l’air de les déranger que je ne dise rien. Marco s’occupe de ma braguette et Ludovic va chercher ma bite. Je suis très nerveux, mais elle, elle semble avoir attendu ça toute sa vie. En une dizaine de secondes, elle se déplie de son format trompe d’éléphant pour devenir à son tour un pieu charnu.



Ludovic et Marco continuent à me branler tandis que je leur rends la pareille. C’est une situation plutôt étrange, et tantôt merveilleuse. Ils sont incroyablement doux et patients avec moi : je sais qu’avec eux, je pourrai aller au plus loin de mes fantasmes, et pas plus loin. Je les branle de plus en plus rapidement, mais ils me demandent de ralentir, si je veux pas qu’ils jouissent en deux-deux…



On se déplace et on va dans la dernière pièce que je n’ai pas vue. J’ai un hoquet de surprise quand je vois le lit : il s’agit d’un lit king size, ou même Emperor Napoléon Dictatorial ! Le lit est immense, combien de personnes peuvent s’y allonger ? Combien faut-il de personnes pour y mettre les draps ?


Julien, Ludovic et Marco se débarrassent de leurs vêtements. Ils sont tous carrément à poil, bien gaulés, musclés comme des statues grecques – sauf l’attribut mâle, plutôt minuscule sur les sculptures hellènes, ressemblent là à des caricatures d’acteurs de films pornos. Je fais pâle figure à côté, plutôt squelettique de bras et empoté du ventre. Ils me déshabillent à leur tour, car je tarde trop, et me poussent dans le lit.



Il faut dire que la caresse buccale et experte que me prodigue le jeune Julien a pour effet de carrément me détendre. Allongé sur le lit, je suis vite rejoins par les deux autres éphèbes. Julien me fait tellement du bien en me pompant le dard que mes mains agrippent pour attraper les doigts, comme si je tombais dans un vide et que je me rattachais à un nuage. Marco et Ludo n’hésitent pas et me saisissent les poignets pour les poser sur leur ventre. Ainsi, au lieu de récupérer des draps satinés, je me saisis de nouveau de leurs superbes bites et les enserre encore avec vigueur. Tous deux poussent des cris de satisfaction.


De nouveau je me mets à les branler, et les voilà qu’ils usent de leur bouche, à défaut de ma bite puisqu’elle est occupée par Julien, sur mes tétons, mon cou, mes oreilles. Ils viennent même me rouler des pelles et je leur rends la pareille. Je sens leur peau se rapprocher : quasiment tout mon corps est en contact de ces trois hommes.



Je veux pas qu’ils prennent l’ascendant, aussi je désigne Julien comme ma première cible. Mais celui-ci a la bouche scotchée sur ma hampe, il continue même à m’embrasser le membre, me lèche les boules et les fout dans sa bouche, et sa langue vient jouer avec mon anus, avant de revenir sur sa pompette et d’aller et venir à toute vitesse le long du manche. Alors il n’a pas le choix que de se mettre tête-bêche et voilà que sa longue et volumineuse biroute vient emplir ma cavité buccale. Ma première bite ! Délicieuse ! Un exquis cocktail de chair et de muscles, nervuré où il faut, un gland gonflé, une fente calculée, bref une barre calorique bourrée de plaisir !


Ludo et Marco, déçus de n’avoir été élus pour ma première fellation, ne restent pas en reste. Ils se mettent à genoux face à face en se roulant des pelles goulûment et se branlent mutuellement le vit. Du coin de l’œil, je vois la force de l’habitude. Ils se connaissent parfaitement, se branlent chacun à une vitesse différente, ne vont pas à la même longueur. Puis ils s’allongent à leur tour, sur le flanc, et se mettent à se sucer. Si Julien et moi, on a décidé d’être l’un sur l’autre en usant un minimum de la force de nos poignets pour se concentrer sur un pur mouvement de la mâchoire, Marco et Ludo usent abondamment de la branlette, mais je vois leurs joues se creuser sous l’aspiration. Je vois qu’il y a plein de méthodes, de manière pour satisfaire et se faire satisfaire avec son partenaire, et j’ai l’impression que ces trois instructeurs auront beaucoup à m’apprendre ! Encore faut-il qu’ils acceptent de me revoir après, mais quelque chose me dit que ça ne sera pas compliqué.


De temps à autre, je sens une main se perdre sur ma hanche, mes cheveux. Ils me caressent, m’encouragent, me donnent le rythme en m’appuyant sur la nuque et j’entends Julien grogner de plaisir. Quel plaisir, effectivement, que de pomper et se faire pomper, d’avancer la tête pendant que mon partenaire se retire, de baver, perdre du flux buccal pendant que la salive de Julien se dépose le long de mon sexe. Nous sommes comme le yin et le yang, l’un dans l’autre ; ce n’est pas comme un coït classique, entre homme et femme, où l’appendice de l’homme remplit le vide féminin, sans contrepartie que le plaisir mutuel. Non, là je donne, je reçois en même temps, plusieurs centimètres cubes disparaissent dans la cavité buccale, et comme cadeau je reçois la même. Peut-être même un peu trop.


Nous rompons tous la monotonie lorsque Marco, en maître des lieux et maître d’orchestre, nous ordonne une pause. Nous nous allongeons alors en angle droit, nos corps comme des I formant un carré, et après avoir repris nos souffles, car en apnée, nous offrons chacun notre bouche à la bite qui se présente devant nous. J’ai le droit, cette fois-ci de goûter à la bite de Ludo. Immédiatement, je sens une sensualité, une structure, et même un goût différent. Je suis excité de sentir la salive de Marco. Julien continue à m’astiquer le mandrin sans les dents. Son rythme a changé, car le plaisir de son bas-ventre aussi, puisqu’il est soumis à la pipe experte de Marco.


Mes trois partenaires se lâchent et se mettent à gémir gutturalement. Un instant, j’ai peur que les voisins nous entendent, avant de me rappeler qu’il n’y a rien dans les alentours. Alors à mon tour, je me mets à grogner comme un acteur porno, me laisse prendre de plaisir et imagine la scène vue de dessus : quatre beaux mecs, seuls, délaissés par les filles, se faisant énormément de bien, se dépannant les uns les autres pour la fièvre du samedi soir. Comment appelle-t-on cette position ? Est-ce deux 69 imbriqués ? Dit-on que c’est un 6969 ? Ou un 6996 ? Ou alors un 6699 ? Je me perds dans vocabulaire et la langue, aussi m’imaginé-je seulement avec cette vision de carré parfait, dans laquelle chaque cheville s’imbrique dans la planche précédente, pour que le cercle ne se brise pas.


Enfin, au bout de quelques minutes, je sens Ludovic accélérer, mettre la main à la hampe, me branlouiller. Le jus monte très vite. Le premier à se lâcher est Marco, qui grogne, pendant que Julien proteste en gargouillant. Cela a dû exciter parfaitement Ludovic, qui quelques instants après, pousse des râles apparents et que je reconnais immédiatement comme une jouissance. C’est Marco qui déguste. Vient mon tour, je jouis, plusieurs jets puissants de torrent de foutre jaillissent de ma poutre de chair, tellement puissants que j’en suis surpris. Je n’ai jamais joui autant avec mon ex, Louise ; et je suis reconnaissant envers Ludo, qui en bon connaisseur de bonne chose, me prodigue ses talents d’avaleur. Jamais Louise n’avait autorisé un tel privilège. En bon dernier, Julien décharge une bonne quantité de son méat d’amour, une substance gluante et visqueuse dégouline dans ma gorge, et je ne me pose même pas la question que l’on pourrait se poser dans une telle situation. J’avale amoureusement, avec force bruit de déglutition, ce divin nectar qui coule d’une goulée dans mon ventre.


Une fois tous rassasiés de cette bonne rasade de cocktail protéiné propre à chacun, nous nous allongeons tous dans le lit. Je revois encore toute la scène, le goût de la bite, le délicieux goût du sperme, donner et offrir, et je me dis que décidément des plans cul gay, y a que ça de vrai. Mes compagnons, quant à eux, sont ravis d’avoir intégré dans le cercle restreint de cette amitié à privilège, et que je sois le nouvel argument de cette équation à non plus trois, mais quatre (in)connus, multipliant maintenant les possibilités d’embriquement entre eux.


Mais ça, ce sera dans un prochain épisode pour vous, et dans quelques heures pour moi…