n° 18906 | Fiche technique | 11731 caractères | 11731Temps de lecture estimé : 8 mn | 22/03/19 |
Résumé: La découverte de mon attirance pour les beaux mecs. | ||||
Critères: hh hbi asie vacances hotel voyage douche hsoumis intermast fellation hdanus hsodo init -hhomo | ||||
Auteur : Tiger cat |
Cette histoire a commencé dans un avion sur un vol des lignes indiennes. J’étais plutôt beau mec, j’avais dans les vingt-cinq ans et je devais faire escale à Madras durant deux jours, avant de repartir vers l’Asie du Sud-Est. C’était le temps encore béni où les vols étaient parfois très peu remplis. Dans l’avion, je m’étais mis à discuter avec un steward de la compagnie, un jeune Indien aux traits fins et typés qui était particulièrement aimable et serviable. Il devait avoir à peu près mon âge. Nous avons ainsi parlé de choses et d’autres et sympathisé. Il riait souvent et m’amusait. Quand il sut que je séjournais à Madras pour 48 h sans y connaître personne, il me proposa de me servir de guide en ville, car il disposait de quelques jours de repos. L’idée me parut bonne. Nous nous sommes donné rendez-vous à l’hôtel où je descendais, pour le lendemain, à l’heure du repas de midi.
Raji arriva ponctuel. Je l’invitais à déjeuner dans un petit restau face à l’hôtel. Il était en forme et la conversation ne tarda pas à virer à la bagatelle. Aventures féminines, attirance de Raji pour les beaux mecs – j’en faisais partie… –, expériences drôles aux quatre coins du monde, puis la conversation s’éternisant avec la chaleur suffocante malgré les ventilateurs, je lui proposai d’aller se balader, mais il éclata de rire. Il me fit remarquer qu’à deux heures de l’après-midi, en mai, il faisait 40° degrés à l’ombre et qu’il était hors de question de se promener à une heure pareille. D’ailleurs, tout était fermé en début d’après-midi jusqu’en début de soirée. Que faire alors ? Raji me suggéra que nous allions plutôt dans ma chambre prendre une douche et siroter un verre en attendant que la chaleur baisse et que la ville se réveille. J’avais en effet la chemise collée au corps par la sueur. Sa proposition me parut raisonnable d’autant que ma chambre était dotée d’un énorme ventilateur au plafond qui ronronnait en brassant fortement l’air. Il s’installa nonchalamment sur le lit en me disant d’aller prendre une douche. Ce garçon avait l’art de m’amener à faire ce qu’il souhaitait. C’est peut-être cela qui m’amusait dans cette histoire.
Je me rendis donc dans la salle de bains, me déshabillai et passai sous la douche. À peine avais-je commencé à faire gicler une eau d’ailleurs pas si fraîche que je sentis une présence derrière moi. Raji était entré sans crier gare et me dévisageait en souriant, peut-être devrais-je dire me contemplait. Je n’allais quand même pas hurler comme une vierge effarouchée et lui intimer l’ordre de sortir. Il se pencha alors pour prendre le savon et m’expliqua qu’il allait m’aider à me laver, « comme on fait chez moi » ajouta-t-il.
Raji passa aussitôt ses mains savonneuses sur mes épaules. Je n’avais qu’à peine eu le temps de dire ouf. Ses mains frictionnaient déjà mon corps, s’attardant sur mes bras, sous les aisselles, puis passant sur le dos, le torse, les jambes. Je le laissais faire en restant là un peu bête. Il se baissa à genoux pour me laver les jambes avec ardeur, remonta le long de la cuisse, frôlant mon sexe de son coude et quand ses mains passèrent sur mes fesses, je sentis le désir s’emparer de moi. Je me retournai pour ne pas lui laisser voir mon érection naissante. J’aurais tout aussi bien lui dire de me laisser tranquille, mais quelque chose m’empêchait de le faire. En fait, je souhaitais qu’il continue ses gestes ambigus.
Raji se redressa, enleva son tee-shirt, fit glisser son pantalon et entra dans la douche, nu lui aussi. Je lui tournais le dos si bien que je ne le voyais pas vraiment. Ses mains recommencèrent à glisser sur mon dos, mon torse puis sur mon ventre. Mais le rythme de ses mouvements s’était fait plus lent : il n’y avait plus guère de doute sur ce qu’il cherchait. Ses gestes devenaient plus sensuels encore, il s’agissait bien de caresses. Raji me caressa les fesses lentement puis glissa ses mains savonneuses entre les deux globes qu’il écarta légèrement. Sa main cette fois me fit frissonner. Il le sentit sans doute, car l’une de ses mains savonneuses glissa entre mes cuisses pour happer mes couilles puis elle se saisit de mon sexe complètement tendu et se mit à glisser lentement sur la hampe.
Ma respiration devint haletante. Je bandais sous les caresses de Raji qui me masturbait. Je sentais son souffle sur ma nuque. Lui aussi était sans doute excité, car je ne tardais pas à sentir contre mes fesses son sexe qui se dressait contre moi. Tout cela m’affolait. C’était la première fois que je sentais le désir d’un garçon contre mon corps. Raji me branlait avec une grande habileté. Flageolant sur mes jambes, je m’appuyais contre le mur de la douche, ce qui eut pour conséquence de tendre un peu plus mes fesses en arrière. Son sexe se pressa encore un peu plus contre moi.
D’une main hésitante, je le cherchais à mon tour dans mon dos et lentement mes doigts caressèrent le sexe du garçon. Je sentais le gland de Raji heurter mes fesses de plus en plus impérieusement. Ce désir que je sentais chez lui m’émouvait. Tout en continuant à me caresser la queue doucement, de sa main libre, il écarta de nouveau mes fesses et insinua un doigt au creux de mes reins. Je frémis fortement et il s’en rendit compte. Son doigt se mit à me vriller l’entrée de l’anus et je me tendis de plus en plus en arrière comme pour aller au-devant de l’inévitable. Je sentis qu’il introduisait un deuxième doigt et écartait l’orifice. Puis il ajusta son gland contre mes fesses et je sentis sa virilité s’introduire lentement en moi. Je le désirais si fort que je remuais mon bassin pour faciliter la sodomie.
La pénétration ou plutôt la défloraison ne fut même pas vraiment douloureuse. Raji me tenait les hanches avec ses mains et me besognait maintenant comme on baise une fille. Je sentais son sexe aller et venir délicieusement en moi. J’avais le sentiment d’être totalement envahi. Je prenais un grand plaisir à me faire enculer par ce jeune Indien qui me besognait de plus en plus vite. Raji poussa soudain un grand cri. Il jouissait en moi, ce qui décupla mon plaisir. Je me caressais le sexe alors que sa queue se retirait lentement de mes fesses d’où s’écoulait son sperme chaud. Je jouis brutalement à mon tour sur les carreaux de la douche.
Nous sommes restés ainsi un long moment, appuyés l’un contre l’autre à récupérer. Ce que j’avais éprouvé était nouveau. Je n’avais jamais imaginé qu’une queue de mec puisse me procurer pareil plaisir. J’aimais ça et j’en étais troublé. Je m’étais soumis à son désir sans même y résister une seule seconde.
Je retrouvais bientôt Raji qui s’était étendu, entièrement nu, sur le lit, pour profiter de la relative fraîcheur produite par les pales du ventilateur. Incontestablement, ce garçon était beau.
Je m’allongeai sur le lit à ses côtés sans répondre. Nous sommes restés ainsi un long moment sans parler. La chaleur aidant, l’engourdissement me gagna et je dus m’assoupir. Quand je sortis de mon sommeil, j’étais placé sur le côté face à Raji qui me contemplait. Il me caressa les cheveux d’un geste quasi fraternel. Ses mains furent aussitôt sur mon sexe et l’enveloppèrent. Il se mit à me mordiller un sein. Ses caresses de nouveau m’excitaient. Sa bouche lentement descendit le long de mon ventre et finalement, il happa ma queue dans sa bouche tout en me caressant délicatement les couilles. Que c’était bon ! Je bandais de nouveau très fort. Je le laissais faire et Raji me suça longuement. Il prenait son temps, enveloppait mes couilles dans sa langue puis revenait vers ma hampe qu’il aspirait. Ce qui devait arriver arriva, j’explosai dans sa bouche. Il me suça jusqu’à ce que je sois mort. Puis il me lécha la bite consciencieusement comme pour la nettoyer.
Après avoir achevé sa toilette, Raji remonta sur le lit vers moi et me prit la bouche dans un baiser passionné. Pour la première fois, je me faisais embrasser par un garçon. J’éprouvais alors une vive excitation, car notre baiser était profond et sensuel.
Alors, c’est moi qui prenant l’initiative commençai à déposer des baisers sur le torse de mon compagnon tout en m’emparant de sa queue que je masturbais de ma main libre, puis je glissai sur son ventre et je pris finalement son sexe entre mes lèvres. C’était très doux, chaud sous ma langue. Je l’enfournai dans ma bouche et je me mis à le sucer entourant ma langue autour de son méat, descendant sur ses couilles, remontant sur la hampe. Je me souviens qu’il gémissait de plaisir. Je le caressais aussi avec ma main. Il jouit dans ma bouche sans crier gare. Je l’avalais avec passion. C’était bon, presque sucré. J’étais très fier d’avoir réussi à faire éjaculer mon compagnon rien qu’avec ma bouche et ma main. C’était pour moi une première, mais tout, aujourd’hui, avec Raji, était une première.
C’était déjà la fin de l’après-midi et le soleil commençait à décliner. Nous avons quitté l’hôtel pour une promenade en ville. Raji était un guide merveilleux et je crois qu’en quelques heures je pus en apprendre sur la ville de Madras plus qu’en lisant un guide de A à Z. Raji m’emmena visiter le Temple de Kapalishvarar avec ses dieux sculptés et le soir, nous avons grignoté un plat au curry dans une gargote en bord de mer. De retour à l’hôtel, j’avais une envie folle de recommencer nos jeux avec Raji. Je lui proposai donc assez naturellement de passer la nuit avec moi. Il accepta. J’étais de nouveau dans un état d’excitation incroyable, moi qui ne connaissais pourtant pas les amours mâles quelques heures plus tôt.
À peine étions-nous dans ma chambre que je me jetai à ses pieds, dégrafai son pantalon et m’emparai de sa queue pour la prendre dans ma bouche. À genoux, je l’ai sucé un long moment. J’étais dans un état d’excitation pas possible au point que j’en prenais l’initiative. Je voulais le déguster. Il bandait fort dans ma bouche. Raji me fit glisser sur le lit et nous nous sommes installés l’un face à l’autre, mais tête-bêche. Dans cette position, nous pouvions nous sucer et lécher mutuellement. C’était très fort. J’ai joui le premier dans sa bouche et, quelques instants plus tard, c’est lui qui s’est laissé aller sur ma langue.
Épuisés par la promenade dans la chaleur, suivie de nos ébats amoureux, nous nous sommes endormis. J’ai eu le sentiment de dormir comme une masse jusqu’au matin. La lumière commençait à traverser les persiennes de la chambre quand je me suis éveillé. J’ai senti alors son sexe dans mon dos, sur mes fesses. Raji me caressait délicatement les couilles, puis les fesses, titillant mon anus qui s’ouvrait sous la caresse.
Il m’encula. J’adorais ça.
Pour moi, cette expérience fut une vraie révélation. Elle m’a marqué pour la vie. J’ai continué bien entendu à regarder les filles et les aimer, mais j’ai toujours en secret rêvé de retrouver Raji ou un garçon lui ressemblant. Juste pour revivre de pareils moments de joie intense.