n° 18910 | Fiche technique | 24223 caractères | 24223Temps de lecture estimé : 14 mn | 24/03/19 |
Résumé: Quand un trentenaire aimant son célibat et préférant la solitude choisit de passer un week-end de détente dans un hôtel de luxe, il peut y faire de belles rencontres qui le marqueront à jamais. | ||||
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Auteur : Jeremy06 (Jeune trentenaire aimant lire et écrire des récits érotiques) Envoi mini-message |
Diriger une entreprise de vingt salariés offre beaucoup de satisfaction professionnelle malgré quelques sueurs froides régulières et une lourde charge de travail qui me laisse peu de temps libre. Ayant consacré ces dix dernières années à la création de ma boîte et à son développement, j’ai pris du retard par rapport à mes amis de fac qui ont déjà un, deux voire trois enfants et que certains considèrent comme « installés dans la vie ».
À trente-cinq ans, me voici célibataire endurci, aimant mon boulot, mes responsabilités et surtout bien décidé à ne pas imiter mes proches que je plains de mener une vie bien trop monotone à mon goût.
Contrairement à ce qu’ils croient en me branchant régulièrement à ce sujet, la solitude me plaît. J’aime pouvoir mener ma vie comme je le souhaite, sans devoir demander d’autorisation à quiconque. Ne pas avoir d’enfant, c’est aussi pouvoir s’offrir régulièrement quelques beaux week-ends sans autre organisation que la recherche au dernier moment d’un hôtel haut de gamme. Habitant Paris, il me suffit de quelques heures pour rejoindre le sud de la France où le soleil brille presque toute l’année.
C’est ainsi que j’ai jeté mon dévolu sur Nîmes pour m’y ressourcer trois jours. Départ vendredi matin, retour dimanche soir : de quoi déconnecter le temps d’un long week-end. L’hôtel-spa 4 étoiles situé à cinquante mètres de la gare, elle-même au cœur de la ville, contribuera nettement à rendre mon séjour le plus agréable possible, notamment en évitant les interminables délais de transport.
Il est 15 h lorsque je pousse les portes menant à la réception. La responsable de l’accueil est charmante et vient me rappeler, à son insu, que si j’aime la solitude, je ne suis pas contre une activité sexuelle régulière. À condition que cette dernière ne m’enferme pas dans ce qui ressemble de près ou de loin à une vie de couple. Je remarque rapidement son alliance surmontée d’une bague de fiançailles, frein immédiat à la tentative de charme que je m’apprêtais à commencer. Activité sexuelle oui, mais je n’ai aucune envie de finir avec deux balles dans le dos tirées par un mari jaloux. Je me contente donc de la regarder discrètement.
Moi qui aime les uniformes, me voilà servi : son chemisier blanc bien ajusté, portant en broderie au-dessus du sein gauche son prénom « Maÿlis » et le nom de l’établissement, laisse entrevoir une poitrine plutôt imposante. Sa jupe noire légèrement retroussée par le mouvement de son siège pivotant permet de deviner qu’elle porte des bas, petit écart au règlement du personnel qui doit certainement imposer le port de collants opaques avec cette tenue. Madame est mariée, mais est bien loin de l’épouse qui se laisse aller, croyant qu’elle n’a plus le temps de prendre soin d’elle.
Son sourire est ravageur et à son regard, je devine qu’elle sait ne pas m’être insensible. Elle se contente néanmoins de me tendre mon passe, m’indiquer que ma chambre se situe au troisième étage et m’inviter à contacter la réception si j’ai le moindre problème. Je la quitte à regret en la gratifiant seulement de remerciements chaleureux. J’emprunte l’ascenseur perdu dans mes pensées en conservant en mémoire son visage charmant.
La chambre est spacieuse et décorée avec soin, dans un style sobre, mais recherché. Je décide de profiter rapidement du spa, espérant qu’en ce milieu d’après-midi les clients du week-end ne seront pas encore tous arrivés et qu’il y aura donc peu de monde. Le temps de me changer, d’enfiler un peignoir et je peux y descendre par l’accès dédié qui évite de traverser le hall d’entrée en maillot de bain. Tant pis si cela ne me permet pas de recroiser la belle Maÿlis.
Comme je l’espérais, l’espace détente est effectivement vide. Seul un couple d’une quarantaine d’années profite d’un des jacuzzis. Ils ne semblent pas avoir fait attention à ma présence et je décide, pour ne pas les déranger, d’entrer dans le sauna situé à proximité. Je réalise à l’intérieur que, par la porte vitrée, je peux parfaitement les observer. Sans être un voyeur obsédé, j’ai toujours apprécié regarder les autres et en particulier les couples. Un psychologue y verrait sûrement un lien avec mon souhait de solitude et pourrait chercher à me convaincre de fouiller dans mes souvenirs pour que je sache quel traumatisme d’enfance me fait mener cette vie. Qu’importe ! Je ne les gêne pas et ne suis qu’un homme se relaxant, qui profite de la vue s’offrant à lui sans troubler l’intimité de ceux qu’il regarde.
Alors qu’ils étaient côte à côte lorsque je suis arrivé, elle vient de se positionner face à lui. Tous deux s’enlacent tendrement et s’embrassent. Il passe sa main dans ses cheveux blonds tout en lui massant délicatement le dos tandis qu’elle lui caresse le torse. Cette vision est divinement érotique et je sens une émotion envahir mon entrejambe. Je ne peux deviner ce qui se joue sous l’eau, mais mon imagination comprend facilement que leurs mains passent à des caresses plus osées. Leurs regards en disent long d’ailleurs, en prouvant qu’un réel plaisir les envahit. Presque machinalement ma main s’aventure à son tour vers mon intimité. La femme se redresse et je réalise qu’elle ne porte pas de maillot de bain. Ses fesses sont galbées, preuve d’une activité sportive régulière. Son dos est bronzé, sans aucune marque. J’y vois la possibilité d’une pratique du naturisme.
Elle s’est avancée vers lui et ce dernier ne se fait pas prier pour poser sa bouche sur ses lèvres intimes. Sa main continue à effectuer le travail entrepris sous l’eau. En voyant un de ses doigts la pénétrer, je n’ai plus de doute sur ledit travail. Elle apprécie en agrippant ses mains au visage de son compagnon alors que son corps est parcouru de plusieurs spasmes. Ma main a continué quelques instants ses caresses sur le tissu de mon maillot avant de venir saisir directement mon membre et de lui imprimer un mouvement de va-et-vient. Je bouge au rythme du couple et me sens près de la jouissance.
Tout à coup, la femme se retourne.
Je ne sais pas si je remarque en premier son opulente, mais ferme poitrine ou le sourire illuminant son visage. Je me sens honteux, car il est évident qu’elle a vu ma masturbation et ne peut ignorer qu’elle est à l’origine de celle-ci. Me voilà pris en faute.
Pourtant elle m’adresse un splendide clin d’œil, attrape son mari par la main et tous deux se dirigent vers le sauna. Lui a le sexe aussi dressé que le mien. Son corps est musclé, sans aucun poil. De son côté, elle arbore une fine toison, parfaitement entretenue, qui ne fait que renforcer mon excitation malgré ma gêne.
Ne sachant comment interpréter ce ton mi-amusé, mi-sérieux, je me contente d’une laconique :
Je ne peux qu’être ébahi par cette annonce. Son mari reprend :
L’échange a fait redescendre mon angoisse, mais aussi mon sexe qui ne montre plus de signe apparent de vaillance. Plus à l’aise pour discuter, je décide de reprendre le contrôle de la situation.
Je ne peux qu’accepter cette proposition.
Je renfile mon peignoir, eux remettent leur maillot. Il était temps de quitter l’endroit, plusieurs clients y entrant lorsque nous en sortons.
Nous parlons peu et je me contente de suivre le couple jusqu’à sa chambre.
Nous sommes à peine à l’intérieur que Nathalie attrape mon peignoir et me l’enlève. De son côté, Patrick a entrepris de caresser sa femme. Je pensais me diriger vers le lit, mais Nathalie me demande de m’asseoir dans le fauteuil situé près de l’entrée. Moi qui croyais avoir repris le contrôle de la situation, je réalise que je suis totalement sous leur influence.
Nathalie descend mon maillot et l’envoie de l’autre côté de la pièce tandis que Patrick s’est allongé sur le lit à quelques mètres de nous, totalement nu, le sexe en main. Elle s’empare du mien et n’a pas besoin de le flatter beaucoup pour qu’il retrouve sa vigueur de tout à l’heure. Ses lèvres se posent rapidement dessus.
Je sens que l’excitation déjà très forte du sauna est décuplée. Je ne pense pas tenir très longtemps et le fais remarquer à ma charmante partenaire.
Elle me regarde, ôte mon pénis de sa bouche et murmure :
Patrick me regarde en souriant. Il continue à se masturber alors que son épouse s’occupe de moi. Je le sens aussi heureux que le suis et comprends qu’il est un vrai libertin, prenant du plaisir en observant les autres en obtenir.
La bouche de Nathalie va-et-vient. Sa langue titille mon gland et sa salive lubrifie mon sexe qui tendu comme il ne l’avait pas été depuis longtemps. Une main caresse la base de ce dernier alors que l’autre vient se poser sur mes testicules et les effleurer délicatement. Je n’en peux plus.
Les yeux de mon amante se plantent dans les miens et je ne peux qu’observer sa bouche se remplir de ma semence tandis qu’elle continue comme si de rien était. Je remarque que Patrick lui aussi a joui. Alors que mon sexe retrouve sa taille de repos, Nathalie me sourit. Je la remercie.
Nathalie est décidément très surprenante, bien loin de la femme soumise que j’imaginais initialement. Au contraire, elle semble décidée à prendre les choses en main.
Je n’ai jamais eu d’attirance bisexuelle, mais après un tel enchaînement des événements, je n’ai aucun complexe à prendre ma douche en même temps que Patrick.
Moi qui pensais il y a quelques heures encore que la vie de couple se résumait à une existence faite d’interdits, de dissimulations et de carcans…
Notre douche est rapide. Nous revenons dans la chambre pour retrouver Nathalie allongée sur le lit. Elle a profité de notre absence pour revêtir un unique string noir en dentelle, petit morceau de tissu particulièrement sexy qui, bien loin de masquer son intimité, est plutôt une invitation à venir en découvrir plus. Comme je l’avais constaté tout à l’heure, elle possède elle aussi un corps de sportive. N’ayant plus aucun scrupule à la dévorer des yeux sans devoir me dissimuler, je ne me prive pas de la détailler des pieds à la tête. Elle me sourit.
Il est vrai qu’elle est splendide. Je peux observer de plus près ses seins, tout aussi halés que le reste du corps, dont les deux tétons pointés montrent l’excitation de leur propriétaire. Son ventre est plat, seules quelques petites rides viennent prouver que le temps a son emprise sur chacun. Ses cuisses toutes lisses et ses pieds parfaitement manucurés attestent du soin que Nathalie leur porte. Je m’approche d’elle, m’allonge à ses côtés et la caresse. Son corps tressaille.
Après quelques instants, je glisse ma main dans son string. J’accède ainsi à sa toison que j’avais découverte au sauna. Elle est aussi loin des pubis peu entretenus de certaines de mes conquêtes que des sexes glabres, mode actuelle bien trop répandue à mon goût. J’aime. Je ne résiste pas, c’est à mon tour de prouver à ma nouvelle maîtresse ce que je peux faire avec ma langue.
Après avoir ôté la fine culotte, je m’enfonce entre ses jambes tandis que son mari qui nous a rejoints lui caresse la poitrine. Je fais délicatement rouler son clitoris entre mon pouce et mon index. Sans surprise, elle est déjà très humide. Ma langue parcourt ses lèvres, s’insinue dans son vagin, goûte à son plaisir mouillé. Je la sens se contracter. Un coup d’œil me permet de voir que Patrick lui pince délicatement les tétons. Sa tête se bascule vers l’arrière, synonyme d’un orgasme proche.
Mes quelques années d’expérience m’ont appris que la frustration ne peut qu’aider à une meilleure jouissance. Je décide donc de ne pas obéir et cesse aussitôt mon entreprise.
Je me lève. Elle ne dit rien, mais semble m’interroger du regard.
Je n’ai pas réfléchi aux conséquences de cette position. Ma bouche sera à quelques centimètres du sexe d’un autre homme. Pourtant j’ai envie de terminer mon cunni tout en sentant Nathalie pénétrée.
Patrick accepte sans se laisser prier. Sa femme le prend en bouche quelques instants pour lui redonner toute sa vigueur. Il lui en faut peu pour qu’il soit pleinement apte à venir lui faire l’amour, presque comme s’ils n’étaient que tous les deux. Elle positionne ses jambes au bord du lit pour qu’il puisse la prendre en étant debout. Je m’allonge à côté d’elle, dans une position qui pourrait convenir à un 69 si nous le souhaitions.
Et je continue. Ma langue et mes lèvres jouent avec son sexe, le dévorent, le lèchent, ne lui laissent aucun répit. Son clitoris est tellement gonflé que je sens les vibrations qu’il procure au reste du corps. Patrick est en elle. Je vois son ventre faire un mouvement d’avant en arrière et son pénis entrer et sortir du sexe que je câline de ma bouche. Cela ne me dégoûte pas, bien au contraire. Nathalie aime, c’est tout ce que je souhaite. Ma seule déception est que cela ne me permet pas de la regarder jouir.
Je n’attends pas longtemps. Je sens sa main se poser sur mes fesses, les pressant fortement.
Je découvre qu’elle peut aussi être délicieusement vulgaire.
Patrick accélère. Nathalie gémit sans se contrôler. J’enfouis mon visage dans son entrejambe.
Et nous continuons. Elle n’est plus que cris. Elle n’est plus que plaisir.
Son corps qui était tendu à l’extrême se décontracte d’un coup. En levant les yeux, je réalise que Patrick a à nouveau joui. Quelques gouttes de son sperme se sont même mélangées à la cyprine de Nathalie. Mon excitation est telle que je me surprends à apprécier ce contact.
Le mari et la femme se retrouvent l’un contre l’autre et s’enlacent tendrement.
Puis elle se tourne vers moi et me donne notre premier baiser depuis notre rencontre. Sa langue se mélange à la mienne, ses mains s’agrippent à mon visage.
Avant de rajouter, en désignant mon pénis gonflé :
Tous deux me laissent étendu sur le lit pour aller sous la douche. Je les entends rire. Je crois que pour la première fois de ma vie, je suis envieux d’un mari.
Mon excitation reste intacte. Lorsque le couple revient quelques minutes après, mon sexe est toujours tendu, attendant d’être soulagé.
Contrairement à ce que j’espérais, Nathalie ne s’approche pas de moi. Elle fouille dans ses affaires et en ressort un petit vibromasseur. Elle m’explique :
Je bredouille :
Mon envie est telle que je ne peux que me laisser faire. Nathalie s’installe nue dans le fauteuil où elle m’a prodigué une fellation mémorable un peu plus tôt. Elle écarte légèrement ses cuisses pendant que ses mains viennent parcourir son corps. Après quelques instants de ces caresses, elle saisit le jouet laissé à proximité et le met en marche. Le bruit qu’il émet ne gâche en rien l’intensité de l’action. Elle l’approche de son clitoris et le fait glisser dessus, titillant son bouton d’amour.
Patrick m’invite à me redresser. Je me retrouve assis contre la tête de lit, les jambes tendues. Il approche sa bouche de mon sexe et le gobe avec la même application que son épouse lorsque nous avons rejoint leur chambre. La sensation que je ressens est pourtant très différente. Je n’avais jamais eu aucune expérience avec un autre homme jusqu’à présent. Me voici à la merci d’un couple : madame se masturbe sous mes yeux et monsieur me suce de manière très expérimentée, comment résister ?
Nathalie prend un plaisir évident, certainement autant dû à ses caresses et son sextoy que la vision de deux hommes en plein câlin face à elle.
Patrick continue. Mon membre disparaît dans sa bouche et ses mains alternent entre caresses de celui-ci et de mes bourses. Il vient par moment titiller mon anus qui se détend. Même les plus hétéros savent à quel point la prostate est une zone érogène : je l’encourage à pousser plus loin ce massage. Sa bouche délaisse quelques instants mon sexe pour venir lécher mes testicules. Elle continue plus bas et je sens sa langue contre ma partie la plus intime. Étant totalement épilé, je ressens d’autant mieux le plaisir que cette feuille de rose me procure. Elle s’insinue en moi tandis qu’une main de Patrick me masturbe le pénis.
Nathalie, voyant certainement que mon plaisir est à son comble, cesse son activité solitaire et nous rejoint.
Patrick ne dit pas un mot, mais attrape un préservatif situé dans la table de nuit et m’en revêt.
Je ne suis plus en état de réfléchir et ne peux qu’obéir.
À peine installé selon ses désirs, elle s’assied sur moi et chevauche mon sexe qui vient la pénétrer. Elle gémit.
Patrick ne reste pas inactif puisqu’il continue ses caresses précédentes. Je sens son doigt s’activer contre ma prostate pendant que sa bouche gobe mes testicules.
Tous deux accélèrent leur mouvement. Je suis dans un état second, distinguant à peine les seins de ma partenaire, pourtant presque sous mon nez.
Un frisson me parcourt entièrement. Je sens ma semence monter comme si tout mon corps contribuait à la faire sortir.
Je n’oppose aucune résistance. Un orgasme intense me parcourt. J’en ai le souffle coupé. Je reste allongé, sur le dos, essoufflé. Époustouflé même.
Patrick vient sur Nathalie et poursuit l’acte que j’ai commencé. Ils s’embrassent tandis qu’il la pénètre. Après quelques minutes, tous deux jouissent à nouveau
Je les observe. Quel beau couple !
Je commence à comprendre où elle veut en venir.
Elle poursuit :
Moi qui aimais tout contrôler et me vantais d’apprécier la solitude, me voilà désemparé. Évidemment, je n’allais pas devenir le deuxième homme d’une femme bigame. Mais la pensée de ne plus revivre une telle expérience avec eux m’attriste. Je me refuse toutefois à leur montrer la tristesse qui m’envahit.
Je ne cherche pas à obtenir un répit de quelques heures pour profiter encore d’eux. Je me lève, enfile mon maillot de bain sans même passer avant dans la salle de bain et remets mon peignoir.
Après leur avoir rapidement dit au revoir et à nouveau remercié, je retourne à ma chambre, plus seul que jamais.
Il est vendredi soir, presque 19 h. Moi qui venais passer quelques jours de relaxation dans la solitude la plus totale, je réalise, pour la première fois, que celle-ci peut être source d’une grande tristesse.
« Il suffit d’une seule rencontre pour faire basculer toute une vie », affirme le proverbe.
Et s’il était enfin temps que je trouve ma Nathalie ?