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n° 18913Fiche technique8434 caractères8434
Temps de lecture estimé : 6 mn
25/03/19
Résumé:  Je partage avec vous le récit de ma première fois, qui est je crois assez originale.
Critères:  jeunes cousins vacances campagne init -prememois
Auteur : Ac27  (Homme, la trentaine)            Envoi mini-message
Première fois

Cet été-là, comme chaque été ou presque, je passais mes vacances chez mes oncle et tante, dans le sud de l’Ardèche. Agriculteurs, ces derniers avaient trois enfants, avec lesquels je nourrissais des rapports quasi fraternels, étant fils unique. Nous étions pourtant très différents, du fait de notre éducation et de notre environnement respectif : moi plutôt urbain, introverti et couvé ; mes cousins et cousines débrouillards et habitués au grand air. Il faut dire qu’ils étaient quelque peu élevés à la dure, très souvent sollicités par leurs parents – mon oncle surtout – pour aider aux tâches sans cesse renouvelées d’une exploitation agricole : nourrir les bovins (ensilage le matin, foin le soir), mettre en place ou déplacer des tuyaux d’irrigation, arracher à la main les herbes invasives dans certaines cultures… notamment dans les champs de maïs. J’y reviendrai bientôt.


Âgé de dix-huit ans, je m’entendais particulièrement avec ma cousine Éléonore qui en avait dix-huit aussi, et avec son petit frère Antoine âgé de seize. La plus petite, Audrey, n’avait que quatorze ans et, bien qu’étant tout à fait adorable, nous ne partagions guère les mêmes activités. Car il n’y avait pas que les travaux agricoles : promenades au bord de l’Ardèche et baignades nous occupaient quotidiennement lorsque nous n’étions pas mis à contribution par mon oncle, mais la rivière étant jugée dangereuse seuls les trois « grands » pouvaient s’y rendre.


Cela faisait plusieurs étés que la puberté avait fait son œuvre, mais je ne connaissais du sexe que le plaisir que je me procurais seul, en laissant libre cours à mon imagination qui me semblait alors fertile et sans limites, mais qui avec un peu de recul me menait à des ébats imaginaires n’ayant rien de très original pour un adolescent de mon âge. À l’approche de l’été, ma cousine Éléonore faisait très souvent partie de ces scénarios nocturnes, enrichis soir après soir de détails sans cesse plus excitant, me menant de plus en plus vite à de longs orgasmes. Ma semence épaisse me collait alors aux doigts.


Ma cousine, pourtant, n’était pas belle. Des yeux légèrement exorbités, un menton fuyant et un nez en lame de couteau, elle était fortement complexée par son visage ingrat. En revanche, grande et fine, elle avait un corps répondant parfaitement aux canons de notre époque : des jambes longilignes, des fesses fermes et rebondies, un ventre plat et une paire de seins suffisamment développés depuis quelques années sans être trop gros et lourds comme certains les aiment, ce qui n’est pas mon cas. Ses tétons étaient bien souvent visibles à mon œil, discret, mais inquisiteur, à travers l’étoffe d’un pyjama, d’un maillot de bain ou d’un débardeur. Manquant de confiance en elle, il était évident qu’elle aimait sentir le regard des hommes sur elle, plus souvent orientés sur ses fesses et ses seins que sur ses vilains traits, mais qu’importe. C’était déjà ça. Elle se laissait parfois aller à se regarder dans le miroir avant une sortie pour une soirée quelconque, visiblement satisfaite de voir son cul parfaitement moulé dans un pantalon blanc très serré qui ne laissait voir aucune marque de culotte.


Parfois il m’arrivait, malgré mon naturel plutôt réservé, de l’attraper par la taille en passant derrière elle en singeant une levrette ou une sodomie de manière assez grossière et brutale, en grognant comme un ours ou autre homme des cavernes. Ça ne manquait pas de la faire rire, mais la vérité était tout autre : nous étions vierges, elle comme moi. Elle avait eu néanmoins quelques flirts, plus poussés que les miens je le dois dire, et m’avait raconté fière comme une petite fille s’être laissée doigter en fin de soirée dans la voiture d’un de ses camarades de lycée, qui devait ensuite se moquer ouvertement d’elle. Naïve, qui avait cru sur le moment à l’avenir de cette aventure sans lendemain.


Cet après-midi de juillet, le temps était superbe. Nous avions été envoyés, elle et moi, arracher des mauvaises herbes entre les rangées d’un champ de maïs, lesquels étaient plus hauts que nous. Après une première demi-heure de travail studieux, et d’innocent bavardage, ce fut un évènement inattendu qui fit basculer la journée. En effet, l’arroseur automatique toujours présent en cette période de l’année pour irriguer les grands buveurs que sont les maïs, se déclencha de façon impromptue : une pluie artificielle s’abattit sur nous, et nous nous mimes à courir droit devant nous dans la rangée, Éléonore en tête.


Nous étions trempés et riions aux éclats devant cette douche improvisée, sans ralentir notre course à travers les plants. Bientôt, le short blanc d’Éléonore devint quasi transparent : je pouvais voir ses fesses se balancer de haut en bas, à rythme régulier, au gré de sa foulée. C’est, je crois, à ce moment précis que sans même m’en rendre compte, de façon inconsciente, je me mis à pousser mes grognements de bête en rut, ce qui redoubla ses rires. À bout de souffle, elle finit par stopper sa course en tombant à quatre pattes sur le sol. Comme à mon habitude, je la saisis par les hanches et vins cogner à grands coups de reins mon pubis contre son cul, dont je devinais assez nettement les deux lobes sous son short trempé.


Pourtant, cette fois, je sentis mon sexe gonfler quasi instantanément : ce qui n’était d’habitude qu’un jeu prenait une tournure tout à fait sérieuse. Les rires avaient cessé, ne restaient que nos respirations haletantes et ma cousine à quatre pattes, qui me laissait non plus cogner, mais frotter mon sexe en érection contre ses fesses. Nous ne jouissions pas encore, mais aucun doute, on ne jouait plus. En me penchant sur elle, j’attrapai un de ses seins sans qu’elle proteste, d’abord à travers le tissu de son débardeur, puis directement par l’échancrure de son col, en l’extrayant du soutien-gorge.


Puis, assez vite, sans que la chronologie précise du détail de mes faits et gestes me revienne, ma main fit sauter le bouton de son short et ma main droite s’engouffra sans sa culotte, entre ses cuisses. Aussitôt je sentis qu’il n’y avait pas que le froid contact du tissu arrosé par l’averse : son sexe produisait de façon palpable sous mes doigts malhabiles un liquide plus consistant, de sa chatte entrouverte semblait provenir une douce et chaude humidité. Elle aussi voulait. Elle n’attendait que ça.


De façon quasiment simultanée, je fis descendre tout à la fois son short et sa culotte sur le bas de ses cuisses : cambrée, son cul était désormais nu, blanc et lisse comme je l’avais imaginé, ses lèvres épaisses et légèrement poilues me faisaient face, coiffées du petit astérisque de son anus. Je n’en pouvais plus. Je descendis ma bouche et ma langue s’introduisit de bas en haut dans sa fente au goût salé. Puis quand mes doigts s’introduisirent en elle, entrant et sortant sans effort de son sexe certes vierge, mais surtout trempé, elle gémit. D’abord doucement, comme une légère complainte, puis plus fort. De ma main droite, bien vite, j’attrapai mon sexe et me branlai avec précaution : l’excitation était déjà si forte que j’aurais pu jouir sans effort en quelques secondes.


N’y tenant plus, je présentai ma queue à l’entrée de son sexe, et sans qu’elle se retourne, sans lui demander une quelconque autorisation, je pénétrai ma cousine jusqu’à la garde. Elle geignit plus fort que précédemment, et sentant que je n’en pouvais plus, je me mis à la pilonner avec force comme j’avais coutume de le faire, cette fois pour de bon. En à peine quelques coups de reins, Éléonore cria : « Oui, oui, oh oui. Je viens, je viens ». J’éjaculai avec force au fond de sa chatte, en geignant à mon tour. Mon sperme coula de son orifice dilaté lorsque je retirai d’elle mon sexe encore raide, et il goutta en épais filets sur sa culotte restée sur ses mollets. Nous ne prononçâmes pas le moindre mot en nous relevant, remettant bien vite nos vêtements, elle frottant avec insistance ses deux genoux rouges et endoloris.