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n° 18919Fiche technique48373 caractères48373
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Temps de lecture estimé : 28 mn
29/03/19
Résumé:  Quand une nouvelle voisine, quasi octogénaire, s'installe à côté de la maison, la vie du lotissement s'anime...
Critères:  fh ff fplusag hagé fagée extracon fellation cunnilingu
Auteur : Yan Loutort
Madeleine, ma vieille voisine

Je me trouve dans le jardin pour nettoyer un peu les plates-bandes et les rosiers, lorsqu’une voix m’interpelle :



Je me redresse et aperçois de l’autre côté de la clôture, une dame d’un certain âge.



Dans ce petit lotissement, les gens se parlent en de rares occasions. N’ayant rien de particulier à faire et étant seul à la maison, je me dis que c’est une occasion de faire connaissance avec cette nouvelle voisine.

Après quelques minutes, je sonne à la porte de la dame qui vient m’ouvrir. C’est la première fois que j’entre chez un voisin de ma femme, même si cela fait plus de dix ans qu’elle a acheté sa maison dans cette banlieue bordelaise.


La dame me fait visiter sa maison, tout heureuse de me montrer les aménagements qu’elle y a réalisés. Je m’attendais à un intérieur ancien, mais je découvre une cuisine moderne tout équipée, un salon bien lumineux avec un grand canapé d’angle. Elle me montre même brièvement sa chambre avec dressing et la salle de bain, elle aussi flambant neuve, avec une douche « à l’italienne ».


Nous nous installons autour de l’îlot de la cuisine sur des tabourets hauts et la dame prépare les cafés avec la machine à expresso.



À ce moment, quelqu’un frappe à la porte. Madeleine va ouvrir et revient avec une autre dame.



Les deux femmes ont l’air complices et, ma foi, plutôt sympathiques. Je demande d’aller aux toilettes et à mon retour, je surprends un geste de tendresse entre elles. J’ai même l’impression d’avoir interrompu une étreinte. Décidément ces deux femmes m’ont l’air assez intimes !

Je les quitte après un moment en promettant à Madeleine de passer le soir même, prendre l’apéritif avec ma femme.


Au retour de celle-ci, je l’informe de l’invitation de la voisine, ce qui la surprend, aussi je lui raconte notre entrevue. Elle n’est pas enthousiaste, mais accepte tout de même de répondre à l’invitation de notre nouvelle voisine.


Après les présentations, comme pour moi le matin, Madeleine lui fait faire le tour de sa maison. Elle est manifestement fière de la montrer. Ma femme adore la douche et m’indique que ce sera le prochain aménagement que je pourrais faire à la maison.


Madeleine a préparé beaucoup de toasts et l’apéritif se prolonge en discutant. Huguette s’est jointe à nous après avoir couché son mari. À un moment, Madeleine et elle sont dans un coin de la cuisine et nous n’entendons rien. Ayant surpris leur « connivence » le matin, j’entraîne ma femme et discrètement nous les découvrons enlacées en train de s’embrasser. Ces deux mamies sont des coquines !


Nous regagnons notre place comme si de rien n’était. À leur retour, les deux femmes ont les yeux brillants. Ayant entendu, soi-disant, un bruit sur l’interphone, Huguette nous laisse. Après un moment, nous faisons de même. Madeleine et ma femme ont sympathisé et se sont trouvé des intérêts communs. C’est assez rare de la part de ma moitié, mais le courant est bien passé.


De retour à la maison, ma femme est tout émoustillée. Quand nous allons au lit, elle enfile une nuisette sexy contrairement à son habitude de coucher en pyjama. C’est généralement le signal qu’elle a envie de faire l’amour.


Ce soir, elle est particulièrement « chaude » et réclame des caresses. Bien sûr, j’adhère immédiatement à ses désirs et me retrouve bientôt la tête entre ses jambes, pour lui prodiguer un cunnilingus qu’elle adore. Je trouve sa chatte bien humide et elle répond rapidement à mes caresses. Son bouton érigé a droit à toute mon attention et un doigt plongé dans son antre liquoreux lui procure très vite un premier orgasme.


Je monte sur elle pour la pénétrer, mais surprise, contrairement à son habitude, elle accepte mon baiser au goût de sa chatte. Auparavant, elle refusait cela et exigeait que je m’essuie les lèvres avant de l’embrasser. Tiens, tiens ! La vue des deux gouines l’aurait-elle fait changer d’idée sur la chose ? Ou bien est-elle si excitée qu’elle l’oublie ?


Nous sommes libertins, mais lors de nos rencontres, ma femme ne fait rien avec les autres femmes, se disant hétéro pure et dure. Lorsque je « m’amuse » avec des hommes, elle ne voit rien à redire, mais refuse toujours les contacts avec les autres femmes.


Pour l’instant, je ne me préoccupe pas de cela, car ce soir, bien « allumée », ma femme croise ses jambes autour de ma taille et quémande encore plus de vigueur. Elle passe également ses bras autour de mon cou et m’embrasse voracement en échangeant salive et ses fluides sans aucun recul.

Notre coït est ardent et transpirant tous les deux en cette nuit d’été, nous jouissons presque simultanément, ce qui est là aussi assez rare.

Après ce véritable assaut, nous restons enlacés un moment et ma femme sombre assez vite dans un sommeil profond.


Le lendemain, comme convenu la veille, je retrouve Madeleine chez elle pour le café après le départ de mon épouse pour son travail. Nous avions convenu d’aller à Bordeaux pour la journée. Nous allons prendre les transports en commun, d’une part pour plus de facilité et cela lui permettra de connaître les lignes à emprunter.


Nous quittons sa maison par la venelle qui donne directement sur la grande avenue où se trouve l’arrêt de bus tout proche. J’ai une carte d’abonné et je paye le ticket de Madeleine. Elle me demande comment faire pour en avoir une. Je lui dis que pour commencer, elle pourra prendre une carte de dix voyages à l’arrêt du Tram que nous allons rejoindre, elle verra ensuite si ses déplacements justifient l’achat d’un abonnement.


Dans le bus, nous sommes serrés l’un contre l’autre sur les sièges étroits et je respire son parfum très agréable. Sa cuisse collée à la mienne ne fait rien pour s’éloigner.


Au changement pour prendre le tramway, pour traverser la route, Madeleine me prend le bras. J’avais oublié qu’elle a presque quatre-vingts ans.


Le trajet est assez long, mais agréable. À cette heure-là, il y a peu de monde. La demi-heure passe vite, car nous discutons ensemble tout en découvrant le paysage, surtout à partir de la gare. Madeleine se félicite d’avoir trouvé un guide « charmant » qui veuille bien passer du temps avec une vieille femme.



Je me penche à son oreille et lui murmure :



Sa remarque faite à haute voix fait retourner quelques voyageurs hilares ou gênés et doit me rendre cramoisi. Heureusement pour moi, nous arrivons à la station où nous devons descendre. Je prends la main de Madeleine et je l’entraîne derrière moi à l’extérieur de la rame, presque en courant.

Sur le quai, Madeleine est morte de rire. Elle m’enlace et m’embrasse chastement sur les joues, mais finit par un petit baiser sur mes lèvres.



Un peu surpris, je reste bêtement les bras ballants et c’est Madeleine qui me « réveille » en questionnant :



Pour traverser la route, Madeleine me prend la main. Elle est chaude et le contact est agréable. Sur le pont, nous nous arrêtons pour que je lui présente le fameux « port de la lune » en forme de croissant. Sous nos pieds, le fleuve charrie ses eaux toujours boueuses, conséquence des marées. J’en profite pour faire des photos de la ville. Au loin, on aperçoit les piliers du pont Jacques Chaban-Delmas du nom de l’ancien maire bâtisseur de la ville et que tout le monde à Bordeaux appelle le pont Chaban, son pseudonyme dans la résistance.


Quand Madeleine s’accoude au parapet, je la prends en photo. Elle se récrie tout d’abord, puis s’amuse à prendre des poses. Je la trouve charmante et lui dis qu’elle est très belle avec ces couleurs.



Nous reprenons la balade en faisant plusieurs arrêts. Je lui montre la perspective des quais, la porte Caillaux, la place de la bourse avec le miroir d’eau et nous arrivons enfin sur la rive droite et la place Stalingrad.


Madeleine est enchantée de la promenade en découvrant la magnifique ville qu’est devenue Bordeaux. Nous tournons à gauche vers le quai qui est maintenant une promenade bucolique avec des arbres. Plus de traces des anciens bâtiments industriels qui bordaient la Garonne de chaque côté.


Arrivés face à la place de la bourse, un square avec des bancs nous fait faire une pause. On s’assoit face au magnifique panorama qui s’offre à nous. Assis l’un près de l’autre, je m’étale en écartant mes bras sur le dossier. De cet endroit, on a une vue quasi totale sur les quais et les belles façades en pierre.


L’intérêt de notre situation est qu’elle permet de découvrir les différents quartiers qui composent la capitale aquitaine. De Saint-Jean à Bacalan en passant par saint Michel, les Quinconces, et les Chartons, on a une belle perspective de Bordeaux et cela donne une bonne idée de sa géographie, du moins pour ce qui borde le fleuve. Tout en parlant, ma main droite glisse et se pose sur l’épaule de ma voisine. Elle tourne alors sa tête vers moi en souriant. Elle a l’air émue et je le suis aussi. Nous rejouons alors la fameuse scène de « Le quai des brumes », le film avec Jean Gabin et Michèle Morgan.



Nos visages se rapprochent lentement. Nos lèvres se touchent, nos bouches s’ouvrent et nos langues se cherchent. Ses lèvres sont douces et ourlées. Pas du tout les lèvres d’une vieille femme. Notre baiser se prolonge longtemps, longtemps, avec parfois de brèves interruptions pendant lesquelles nos yeux se dévorent. Mais très vite nous avons le besoin de reprendre le contact.


Ma main gauche restée libre se pose sur son sein et ma partenaire ne fait rien pour la repousser, au contraire, elle pose la sienne sur mon entrejambe où elle trouve une bonne érection. Sans lâcher mes lèvres, elle pousse un « mmmhhh » de satisfaction et frotte carrément ma queue à travers le tissu du pantalon.


Plus rien n’existe autour de nous. Comme tous les amoureux sur les bancs publics, nous n’avons que faire de ce qui se passe autour de nous, ni des regards des passants, ni du paysage que nous contemplions il y a peu de temps.

Quand enfin nous nous détachons, je vois les yeux de Madeleine qui brillent. Cette femme n’a plus quatre-vingts ans. J’ai envie d’elle et je sens qu’elle est dans les mêmes dispositions vis-à-vis de moi.



Elle tourne la tête de tous les côtés pour vérifier que nous sommes seuls et d’un coup, glisse ses mains sous la robe pour descendre sa culotte. Alors qu’elle se trousse, je remarque qu’elle porte des bas.



Pendant ce dialogue surréaliste, Madeleine s’est débarrassée de sa culotte et me la montre. Bien sûr, je m’en saisis et la porte à mon nez pour la sentir. Elle est bien humide et les effluves de son linge intime sont délicieux. Ses fragrances m’enchantent.



Je replonge sur sa bouche, alors que la mienne est encore imbibée de sa mouille et nous reprenons nos baisers enfiévrés. Je glisse une main sous sa robe et Madeleine ne fait aucun obstacle. J’ai même l’impression qu’elle écarte bien ses cuisses.

Quand mes doigts touchent sa vulve, je découvre des lèvres totalement glabres. J’arrête mon baiser et lui déclare :



J’enfonce deux doigts dans sa chatte brûlante et trempée. Je la branle ainsi sans oublier son petit bouton que je sens tout dur. Madeleine réclame : « embrasse-moi vite ». Quand je plaque mes lèvres sur les siennes, c’est pour couvrir le cri qu’elle pousse et que ma gorge atténue.

En quelques secondes, Madeleine a joui sous mes doigts et quand je me recule, je peux voir ses yeux bleus troublés de plaisir.



Je sors mon téléphone portable, je recherche la photo et lui montre.



Nous quittons notre banc et nous dirigeons vers la guinguette. En chemin, Madeleine se laisse enlacer et échange un baiser sur les lèvres avant de rentrer.

Le serveur nous place juste au bord de la terrasse, près du fleuve. Il n’y a pas grand monde pour l’instant. L’affluence arrive après la sortie des bureaux.


Ayant choisi juste des huîtres et un dessert – il faut rester léger pour la suite – je commande une bouteille de blanc que nous dégustons comme apéritif.


À table face à face, je sens bientôt le pied de Madeleine sous la table, qui me caresse la jambe. La coquine a les yeux brillants. Pendant le repas, nous continuons notre discussion un peu osée, malgré le monde aux tables voisines. En face de moi, mais dos à Madeleine un homme semble réjoui de nous entendre, surtout que je ne me gêne pas pour exciter ma compagne de table.

À un moment, elle me demande si j’ai aussi une photo de ma femme… comme l’autre.



Le mec en face n’en croit pas ses oreilles.



Quand le serveur nous apporte les cafés, je l’interroge et avec un sourire en coin, il m’indique un petit hôtel dans la rue en face. « Il n’est pas très moderne, mais confortable. » Madeleine ne sait plus où se mettre, surtout quand l’homme la regarde en souriant.

Après son départ, pour reprendre contenance, elle me réclame la photo de ma femme.



Elle fait glisser l’écran et en découvre d’autres, puis retrouve celles de l’autre maîtresse et même d’autres femmes, plus jeunes.



Nous quittons le restaurant sous l’œil égrillard du serveur. Madeleine est un peu « pompette ». Elle a abusé du vin blanc et se pend à mon bras. Arrivés à l’hôtel elle a un moment de panique et est rouge tomate quand je demande une chambre au patron.



Madeleine ne sait plus où se mettre.



L’homme se marre. Habitué à ce genre de couple qui vient se retrouver en cachette dans son établissement. Il me donne la clé.



La chambre est simple, mais propre et agréable et possède un coin toilette. Il y a même un petit balcon qui donne sur une cour intérieure. Effectivement on n’entend aucun bruit venant de l’extérieur.


Debout près du lit, on s’enlace et on s’embrasse à nouveau furieusement, mais étant à l’abri des regards, j’entreprends de déshabiller ma partenaire qui se laisse faire. Il me tarde de la découvrir dans ses dessous sexy, surtout depuis que je sais qu’elle porte des bas.


Sa veste vite enlevée, je m’attaque à la robe et trouve bientôt, aidé par Madeleine, la petite fermeture qui permet d’ôter le vêtement. Je la découvre enfin dans ses dessous. Je m’éloigne d’elle en la tenant par les mains pour l’admirer. Elle est un peu anxieuse. Pour la rassurer et parce que je le pense, je lui déclare :



Je fais glisser sa culotte et je dévoile son bas-ventre imberbe avec de jolies lèvres un peu pendantes. J’entreprends son soutien-gorge et je peux alors voir ses seins. Certes, ils tombent, mais gardent un beau galbe. Elle me dira plus tard faire du quatre-vingt-quinze E. Mais surtout ils ont de grandes aréoles presque noires avec des tétons déjà bien dressés.


Je plonge dessus et me régale de les téter. Ils sont bien durs et j’en roule un entre mes doigts. Madeleine se recule et se laisser aller sur le lit. Face à elle, je me déshabille et exhibe fièrement une belle érection.



Une fois nu, je m’agenouille entre ses jambes pour y retrouver ses effluves odorants. Je me délecte rapidement de son jus abondant – on dit que les femmes âgées ne mouillent plus, mais ce n’est pas son cas – Madeleine appuie ses mains sur ma tête alors que ma langue plonge dans ses nymphes. Je suçote ses lèvres et débusque son bouton que je cajole. Madeleine se pâme, mais en veut plus.



Nul besoin de me guider. Je m’enfonce lentement dans son antre liquoreux, en provoquant des soupirs de plaisir chez ma partenaire.


Longuement, en alternant les pénétrations profondes, les sorties et les petits coups à l’entrée de son vagin, je baise ma presque octogénaire, qui semble apprécier notre rapport. Elle noue ses jambes autour de ma taille et me donne sa bouche couverte de ses sucs.


Mon opération porte ses fruits, car Madeleine ne tarde pas à jouir une première fois. Je me déboîte, la retourne et c’est en levrette que je la reprends alors. Son beau cul encadré par le porte-jarretelles offre une vue aphrodisiaque. Je vois au-dessus de ma queue, son anus qui palpite. Je sais déjà que je pourrai la prendre par là sans qu’elle ne refuse, mais pour l’instant, je me consacre à sa chatte qui en réclame encore.


La position et la tenue suggestive de ma maîtresse font que je sens monter ma jouissance. Nous ne risquons rien, aussi je me laisse aller à éjaculer mon foutre gluant dans la chatte enfiévrée alors que Madeleine jouit à nouveau.


Après ce premier « round », nous avons besoin de récupérer. Enlacés dans les bras l’un de l’autre nous somnolons un peu pour laisser redescendre la tension, tout en continuant à nous embrasser et nous caresser.



J’ouvre la porte-fenêtre sans sortir et Madeleine à genoux devant moi, me prend la queue en main et commence à lécher mon gland tout en branlant la tige. Elle est douée, la salope et a dû en avaler souvent. Elle alterne les suçons sur le bout avec sa langue fureteuse dans le trou du méat, puis absorbe la totalité de ma verge, jusqu’aux couilles, dans une gorge profonde que ne renierait pas la plus douée des putes bordelaises.


À nouveau bien dur, je la relève et la pousse sur le balcon. D’elle-même, elle se penche sur la balustrade, m’offrant la vue de son beau cul. Ses seins pendent dans le vide. Ses jambes gainées de nylon noir offrent un magnifique écrin. Elle fait ressortir ses fesses, consciente de l’effet produit sur mon désir. Sans plus attendre, d’une seule poussée, je m’enfonce jusqu’aux couilles dans son vagin. J’agrippe ses hanches pleines et fais claquer mon bas-ventre sur ses fesses blanches.


Madeleine manifeste son plaisir sans se soucier du monde qui peut l’entendre. Je sens sa mouille couler sur ma queue alors que d’une main, elle s’astique le bouton. Encore une fois, elle jouit en poussant un râle profond qui résonne dans l’arrière-cour.


Je la retourne pour la prendre dans mes bras et on s’embrasse à nouveau goulûment. Son souffle court traduit l’intensité de son plaisir. Son corps et brûlant et exhale une bonne odeur de femme repue.

Peu à peu néanmoins le calme revient. Nous rentrons dans la chambre et j’entraîne Madeleine sous la douche pour récupérer un peu. L’inconvénient est que cela masque ses senteurs de femelle comblée, mais cela nous fait du bien. Je me rends compte un peu tard et elle aussi, qu’elle n’a pas retiré ses bas et qu’elle devra les enlever pour rentrer à la maison.


Peu importe. Pour l’instant, nous nous retrouvons sur le lit pour un échange de câlins et de baisers. La femme qui est dans mon lit a presque quatre fois vingt ans, mais fait partie des meilleures maîtresses que j’ai pu tenir dans mes bras. Il faut dire que son passé libertin avec son mari y fait pour beaucoup.


Bien sûr avec ces contacts, je rebande vite. Quand elle s’en étonne, je lui fais remarquer que sur le balcon je n’ai pas joui. « À mon âge, il faut garder des forces ! »

Elle en rigole et me traite de fou qui veut la tuer de plaisir. Qu’elle ne pourra jamais supporter autant d’assauts. Cela ne l’empêche pas de se retrouver au-dessus de moi en soixante-neuf pour une séance en règle de léchage branlage et suçage.


Quand d’un doigt elle titille mon anus et que je lui ouvre en grand le passage, elle glousse et après avoir mouillé un doigt, me l’enfile dans le cul. Bien sûr, j’agis de même avec elle. Un peu fatiguée malgré tout, alors qu’elle veut s’arrêter, je lui demande de venir s’agenouiller autour de ma tête pour la lécher et boire à sa source intime.


J’adore cette position où l’homme reçoit la mouille de sa partenaire qui coule sans effort. Sa chatte lisse est un régal. J’écarte ses grandes lèvres pour pomper son clito et glisser ma langue dans sa foufoune. Madeleine me gratifie bientôt de son bon jus que j’avale avec délectation.

Elle n’en peut plus et demande grâce.



Couchée en travers du lit, Madeleine voracement, me taille une pipe d’enfer qu’elle agrémente d’un doigt dans mon cul, ce qui provoque inévitablement la montée de sperme qu’elle avale sans retenue d’un air gourmand, après me l’avoir montré dans sa bouche ouverte.


Une dernière douche pour moi pour enlever les odeurs de sexe, uniquement avec de l’eau pour ne pas sentir le savon. Madeleine, elle, veut garder ce parfum d’homme sur sa peau. Elle ne se lavera que demain.



Je laisse la clé au patron en lui disant merci et il me répond :



En quelques minutes nous sommes à l’arrêt du tram et après le changement de ligne de l’autre côté du pont, blottie contre moi, Madeleine s’endort sur mon épaule, malgré tout fatiguée par nos exploits et l’émotion de la journée.


Il est plus de dix-neuf heures lorsque je la laisse devant sa porte. Un rapide baiser sur la bouche et je rentre chez moi, non sans lui avoir promis de refaire rapidement une vraie visite de la capitale de l’Aquitaine.


Ma femme a préparé le dîner et il faut que je lui fasse un compte rendu de la promenade, pour lequel j’invente la traversée en bateau-bus, la promenade sur les quais et la visite du grand théâtre. Ce qui remplit bien la journée.

Après le repas, je suis un peu « flapi », mais ma femme est d’humeur câline. Heureusement j’ai des ressources et je parviens facilement bander et à la faire jouir. Elle ne s’étonne pas que je n’éjacule pas, car il m’arrive souvent de ne pas le faire. Il faut dire que, généralement, elle s’endort rapidement ensuite. Pour une fois, je dois être le premier à sombrer.


Le lendemain, je vais dire un bonjour à ma voisine qui se limite à une séance de baisers et de caresses interrompue par l’arrivée d’Huguette qui nous trouve assis devant le café heureusement servi.


Trois jours plus tard, nous retournons en ville avec Madeleine pour une visite plus détaillée des vieux quartiers. Pas de séance à l’hôtel, cette fois-ci. Il faut dire que nous avions fait l’amour chez elle l’après-midi précédent après qu’Huguette soit passée et que ma tendre voisine m’ait appelée. J’ai ainsi pu profiter de sa chambre joliment aménagée avec des miroirs nous renvoyant notre image en pleins ébats.