n° 18923 | Fiche technique | 37743 caractères | 37743Temps de lecture estimé : 22 mn | 31/03/19 |
Résumé: Juliette, jeune étudiante, a entamé une histoire avec Paul, la quarantaine. Les rencontres s'étalent comme autant d'épisodes d'une relation mêlant fougue, paternalisme, espièglerie et plaisirs. | ||||
Critères: f fh ff ffh hplusag jeunes copains nympho voir noculotte odeurs fellation cunnilingu anulingus pénétratio | ||||
Auteur : Oscar Cemeliasis (Auteur amateur et éclectique) Envoi mini-message |
DEBUT de la série | Série : Les aventures de Juliette Chapitre 01 | Épisode suivant |
Un si doux réveil
Le soleil peine à se frayer un chemin entre les persiennes ce matin. Lorsque j’ouvre un œil, je vois Juliette couchée sur le côté, tête-bêche par rapport à moi. Elle a relevé la couette et observe mon sexe recroquevillé entre mes cuisses.
L’espièglerie et la candeur de sa question me font sourire. Malgré ses dix-neuf ans, Juliette est loin d’être une novice en matière de sexe. Elle ne m’a pas attendu pour faire son apprentissage auprès d’hommes plus âgés. Elle se met à caresser ma verge du bout du doigt. Je l’observe faire, sans bouger. Les petits cercles qu’elle dessine sur la fine peau fripée accompagnent l’érection qu’elle fait savamment naître. Elle me donne l’impression de toucher un sexe d’homme pour la première fois. En peu de temps, ma torpeur matinale s’estompe alors que ma queue est déjà au garde-à-vous entre les fines mains de la belle.
Sa réponse me désarçonne un peu, tant et si bien qu’elle perçoit un léger relâchement dans l’organe qui palpite sous ses doigts.
Et d’ajouter un tendre baiser sur le bout de mon gland qui reprend vie. Elle se met à me branler doucement, ses yeux noisette plantés dans les miens. Elle quête au fond de mon regard les variations de mon excitation. Elle joue à changer de rythme pour voir ma respiration s’accélérer ou au contraire se détendre. La fine peau couleur de lait de ses doigts tranche avec la teinte sombre de ma verge qui paraît énorme dans ses frêles mains. Mais il ne faut pas se fier aux apparences. Elle pratique cette branlette avec un art consommé, accompagnant son mouvement de va-et-vient d’une savante torsion du poignet qui ne tarde pas à me faire approcher du point de non-retour. Juliette le sent immédiatement et ralentit, proche de l’immobilité totale. Je suis sur le fil du rasoir. Une pichenette suffirait à me faire basculer vers l’orgasme. Son regard s’intensifie dans le mien. D’un coup, le rapport de domination entre cette adolescente et le presque quinquagénaire que je suis s’inverse. Elle a le pouvoir.
La terrible vérité de ses mots me foudroie. Je suis nu, la queue tendue entre ses doigts de fée, au bord de l’explosion. J’ai envie de la supplier de m’achever d’un dernier geste, de me libérer de la tension tout entière accumulée entre mes reins. Mais non. Elle reste impassible, totalement maîtresse de mon plaisir et de mon être tout entier. Elle se met à faire coulisser avec une lenteur insupportable mon prépuce sur mon gland gonflé comme une baudruche. La couronne de peau progresse millimètre après millimètre. Au moment où elle atteint la base de mon frein, je sens le plaisir exploser dans ma tête et dans mon corps. Je sens toutes les entrailles se contracter pour expulser enfin le contenu de mes couilles à l’air libre. Juliette garde ma queue serrée entre ses doigts alors que de longs jets de sperme fendent l’air sous ses yeux gourmands avant de venir maculer la toison de mon ventre. Elle se mordille la lèvre avec espièglerie alors que la dernière salve quitte mon corps.
Je bois ses paroles en tentant de retrouver mes esprits.
Ce faisant, elle trempe un doigt dans le foutre étalé sur ma peau et le porte à ses lèvres.
Et sans avoir eu le temps de protester, elle enduit à nouveau son doigt qu’elle applique sur mes lèvres. Sans comprendre, je me surprends à laisser ma langue venir tester ma semence. Je peine à retrouver la vanille, mais c’est vrai que ça n’est pas si désagréable.
Je souris en la regardant étaler mon foutre sur mon ventre de ses doigts, dessinant des arabesques.
J’acquiesce alors qu’elle tente de faire un petit tas de mon sperme et de le recueillir dans sa paume pour le lécher comme si elle dégusterait une glace au chocolat…
Un instant d’énervement
La porte claque violemment et me fait sursauter. Je m’arrache à l’écriture de mon article et pointe mon regard vers l’entrée. Juliette traverse l’appartement comme une furie.
Je l’observe, circonspect, disparaître dans le couloir. Je pense un instant à lui demander ce qui ne va pas, mais son ire est telle que je me ravise. Elle reparaît quelques instants plus tard avec un flacon à la main.
Je reste muet alors qu’elle se dirige vers la table de la salle à manger.
Je reste coi devant son injonction.
Et sans attendre ma réponse, je la vois faire descendre son jean le long de ses jambes, se pencher en avant sur la table sans même prendre la peine d’ôter son pull, et attraper le flacon ramené quelques instants auparavant et y verser ce que j’ai deviné être du lubrifiant et s’en tartiner généreusement la raie des fesses après avoir écarté le mince string rose fuchsia qui les séparait en deux splendides globes moulés.
Je me lève et viens me diriger vers elle. Elle se penche largement en avant, les jambes écartées et la croupe offerte.
À peine positionné contre son cul, j’ouvre mon pantalon qui tombe aussitôt à mes chevilles, rejoint immédiatement par mon caleçon. La vue de son postérieur cambré me met rapidement dans l’état d’excitation adéquat. Je passe la tranche de ma main entre ses fesses pour étaler le lubrifiant et en oindre l’intérieur de sa corolle encore fermée. Je sens sous mes doigts la douce toison de sa chatte qu’elle garde nature pour me faire plaisir avant que mon pouce ne prépare le terrain à l’intromission de ma queue. À peine son petit trou avale-t-il mon pouce qu’elle gémit.
Je presse mon gland contre sa petite fleur et entre en elle d’un coup sec, sans précautions. Elle se crispe et laisse échapper un gémissement trahissant sa douleur.
Je me mets à aller et venir avec retenue.
Sous le coup de l’énervement qui pointe en moi, j’agrippe ses hanches et m’enfonce jusqu’à la garde avant de reculer, prendre de l’élan et m’enfoncer à nouveau avec force.
Ses doigts accrochent la table alors que ma queue la martèle sans ménagement. Je sens son anus se serrer autour de ma bite à chacun de mes coups de reins. Elle veut me sentir bouger, entrer et sortir. Elle gémit. Je la sens accentuer mes coups de boutoir en elle pour amplifier encore ses sensations. La frénésie me gagne à mon tour et je perds le contrôle. Ma main gauche attrape sa crinière auburn et se met à tirer dessus férocement comme si j’étais en train de dompter un pur-sang sauvage. Elle se cambre davantage sous la traction de mon bras. Ma queue entre et sort d’elle en variant les angles.
Tout mon corps la presse contre la table tant et si bien que ses pieds peinent à rester en contact avec le sol. Ses gémissements ont cédé la place à de véritables hurlements bestiaux dans lesquels elle me supplie de mettre plus de vigueur encore. Je sens le feu gagner mon ventre. Mes coups de reins s’accélèrent alors que je me mets à lui tirer les cheveux si fort qu’elle doit relever le buste. Dans l’euphorie de l’instant, j’attrape sa gorge que je serre, tout en agrippant ses hanches. La belle est totalement empalée sur moi au moment où je décharge en elle de toutes mes forces. Je la maintiens contre mon buste, accrochée sur ma verge dont les spasmes de l’orgasme dilatent violemment son orifice. Le temps est suspendu jusqu’à ce qu’elle s’effondre sur la table, expulsant mon sexe luisant d’entre ses fesses.
Épuisé, je m’affale dans un des fauteuils, incapable de décoller mon regard de son cul ouvert, ruisselant de mon foutre qui coule en filet de sa toison imbibée. Toujours aplatie contre la table, je la vois glisser une main entre ses cuisses et venir plonger ses doigts dans sa luxuriante forêt. Elle porte aussitôt ses doigts nappés de foutre et de mouille à sa bouche.
Sans attendre, elle remet son string et remonte son pantalon avant de se diriger vers la porte.
Et sans ajouter un mot, la voilà repartie dans le claquement sec de la porte, comme elle est arrivée.
Café parisien
Le soleil brille et un vent chaud balaye l’avenue grouillante de vie. Attablé, j’observe en curieux les gens aller, venir, discuter ou flâner. La foule en face de moi est d’un coup fendue par la silhouette toute de rouge vêtue de Juliette qui court vers moi. Sa robe d’été virevolte alors que tous les hommes s’arrachent la tête pour entrapercevoir le secret qui orne l’intérieur de ses cuisses laiteuses que les ondulations de l’étoffe jouent malicieusement à dévoiler furtivement. Je souris intérieurement de savoir que ce corps sublime sera lové contre le mien dans une nudité aussi intime qu’obscène.
Juliette ondule des hanches pour se faufiler entre les tables et venir jusqu’à moi. Les clients attablés observent avec jalousie pour certains, désapprobation pour d’autres, la jolie étudiante venir déposer un baiser sur mes lèvres. Son air juvénile tranche avec mon apparence de pseudo-écrivain-bobo-au-look-rétro-soigneusement-travaillé.
Elle s’assoit sur la chaise à côté de la mienne et sitôt les fesses calées, elle glisse ses lèvres au creux de mon oreille.
Et de plonger la main dans son sac et d’en sortir une boule de soie rouge qu’elle porte à mon nez avant de la glisser sous le mien.
L’odeur musquée et suave de son sexe me monte immédiatement à la tête.
Mon regard s’écarte un instant pour croiser celui, réprobateur, d’un couple de petits vieux qui a dû capter une partie de notre conversation.
Je m’enfonce dans mon fauteuil, le visage et les oreilles cramoisis de gêne.
Sans même attendre que je lui réponde, la voilà repartie, jouant à faire virevolter sa robe de plus belle comme pour jouer avec le regard envieux des hommes tentant d’entrapercevoir une once de cette toison que je sais maintenant complètement nue.
Le supplice du bain
Je monte avec peine les escaliers qui me conduisent à mon appartement. Je pense déjà à ce délicieux instant qui me verra m’affaler dans mon canapé douillet à siroter un verre après cette épuisante journée. Ma main cherche mes clefs au fond de la poche de mon manteau. La serrure se met en branle lorsque je découvre avec surprise que Juliette est venue chez moi à l’improviste. Je la découvre dans l’entrée dans une tenue dont je peine à savoir si elle tire plus vers la femme de chambre ou la soubrette.
Effectivement, je goûte fort le bonheur de la retrouver ce soir plutôt que de devoir me procurer seul le réconfort dont j’ai bien besoin.
Elle se retourne et part chercher quelque chose au salon. J’en profite pour regarder son petit derrière qui me sourit dans l’entrebâillement de son tablier trop petit. Elle revient une seconde plus tard, alors que ses seins tentent à leur tour de se libérer du tablier.
Je m’exécute. Elle passe alors ses bras autour de mes épaules et passe quelque chose sur mes yeux.
Je tente d’ouvrir mes paupières, mais le bandeau est trop serré et m’empêche totalement de voir quoi que ce soit.
Je me laisse prendre au jeu et conduire à traverse l’appartement en tentant de sentir à l’avance ce qui pourrait venir me faire trébucher. En quelques pas, je devine qu’elle me conduit à la salle de bain. Elle m’arrête devant la porte qu’elle ouvre et referme aussitôt derrière nous. L’intense chaleur moite me saute au visage et devient vite insupportable encore vêtu de mon épais manteau que je suis.
Cette pensée réveille mon corps instantanément et concentre d’un coup ma circulation sanguine au niveau de mon entrecuisse.
En quelques tours de bras, elle a tôt fait de me mettre à nu, au sens le plus littéral qui soit.
Elle vient se coller contre moi en me serrant très fort dans ses bras.
Sa voix trahit un grand sourire.
Ma tension s’emballe alors que je sens une nouvelle paire de mains se poser sur mes fesses.
Elles me prennent chacune une main et me conduisent jusqu’à la grande baignoire d’angle. Je glisse un pied puis l’autre dans l’eau brûlante qui engloutit mon corps tout entier. La chaleur fait immédiatement perdre de sa vigueur à mon érection. La détente aidant, je termine de m’allonger et me laisse totalement aller.
Les deux m’aident à redresser le buste et commencent à me savonner méthodiquement le visage, les bras, les aisselles avant d’entamer mon torse.
Juliette ne répond pas. Je sais qu’elle est un rayon de soleil éphémère et qu’elle disparaîtra de ma vie aussi soudainement qu’elle y est entrée.
Je redresse ma carcasse. Me sentir nu dans la baignoire face à deux post adolescentes m’excite et me met mal à l’aise à la fois. Mais les mains vigoureuses de mes deux hôtesses ont vite fait de me tirer de mes songes. Je sens leurs doigts enduits de savon glisser sur ma peau et se frayer un chemin dans chaque recoin de mon intimité.
Jessica n’est pas en reste et décalotte mon sexe qui a tôt fait de se dresser fièrement vers le plafond.
Je commence à me laisser couler dans l’eau encore chaude de mon bain lorsque Juliette me reprend.
Ma curiosité est piquée au vif.
J’entends alors le sifflement caractéristique de ma bombe de mousse à raser, immédiatement suivi par une paire de mains qui se met à frotter ma toison pubienne.
Je tente de protester, mais déjà je sens la lame lécher ma peau. Je suis le premier surpris de l’excitation intense de sentir ses fines mains en train de raser ma queue. Elle attrape mon gland et le maintient droit avant de poser la lame au milieu de ma verge et de la faire remonter à rebrousse-poil jusqu’au bas de mon ventre. Une fois, deux fois. Chaque face de mon membre est finement épilée.
Je sens des mains plus hésitantes se poser sur moi. Instinctivement, je tends mon bassin vers l’avant comme pour offrir davantage mon érection. Le premier passage du rasoir est hésitant.
Le deuxième passage est plus assuré.
Mon corps se crispe légèrement. Je sais la zone plus délicate à raser. Mais la jeune femme s’en tire à merveille et il ne lui faut pas longtemps pour mener sa tâche à bien. Elle se met à faire couler l’eau sur la zone fraîchement rasée. Je goûte la sensation nouvelle et l’hyper sensibilité de ma peau ainsi aiguisée.
Elle ne répond pas.
Je reste interdit.
Cette fois, je suis envahi d’une franche gêne d’offrir ainsi mon trou du cul à la vue d’une inconnue. Mes fesses se crispent au premier contact des doigts qui tentent de les ouvrir.
J’obtempère, non sans ressentir une excitation grandissante… du plaisir à sentir ces mains m’ouvrir et venir chatouiller, caresser, raser cette partie si intime de moi-même.
Rinçage, séchage, coiffage, parfum. C’est un autre homme qui passe la porte de la salle de bain. Les filles me conduisent, dans la plus parfaite nudité jusqu’à la chambre. En pénétrant dans la pièce, une envoûtante odeur d’encens aux notes sucrée emplit mes narines alors que le bruit lointain des vagues berce la pièce.
Je m’exécute cette fois avec entrain. Allongé, mes oreilles scrutent chaque son pour en deviner l’origine. J’entends les deux jeunes femmes gesticuler et glousser dans un léger frottement de tissu immédiatement suivi par le bruit subtil du clapotis d’un liquide que l’on malaxe dans ses mains puis que l’on étale. Le son de quelques baisers langoureux perce la quiétude du moment. Mon sexe gonfle à l’idée des deux jeunes femmes en train d’échanger caresses et baisers.
Elles se redressent d’un coup et viennent s’allonger ensemble contre moi, noyant mon corps sous leurs peaux chaudes et, maintenant je le sens, couvertes d’huile. Elles entament alors un lent ballet en se mettant à couvrir mon corps de l’huile qui nappe le leur. Chaque parcelle de ma peau subit leurs douces caresses. Une fait rouler ses seins et ses hanches sur mes jambes pendant que l’autre joue de son pubis sur mon torse, mes bras. Une d’elles glisse une de ses cuisses à l’intérieur des miennes et se met à faire rouler mon sexe bandé entre nos deux bas-ventres. Je manque de jouir.
Les deux nymphes continuent leur ballet jusqu’à m’enduire complètement, en marquant suffisamment de pauses pour me faire redescendre. Chaque fois que j’approche de l’orgasme, je sens un doigt venir presser fortement sous mes bourses. L’effet est immédiat et telle une valve de sécurité, mon cœur ralentit un peu.
Nous échangeons nos positions respectives.
Interrogatif, je me mets en place. À mesure que j’approche l’intérieur des cuisses de la belle, je sens son parfum monter jusqu’à mes narines. Comme chaque fois que je goûte une femme nouvelle, je savoure cet instant de la découverte, où les peaux, les fluides, les odeurs se mêlent. Mes lèvres se posent sur les siennes et lui arrachent un gémissement. Elle mouille déjà abondamment. Je me cale bien à plat-ventre pour être à mon aise, bien que quelque peu encombré par l’érection massive qui trône sous moi. Je picore de petits baisers la peau glabre et parfumée de sa chatte.
Je joue avec elle comme un chat avec une souris. Mes baisers suivent son sillon, feignent de l’ouvrir puis partent se perdre sur son mont de Vénus, et de redescendre par l’intérieur de ses cuisses avant de revenir à la charge de plus belle. Le manège se répète, approchant chaque fois du but pour mieux s’en éloigner.
La belle devient folle et ses mains attrapent ma tête pour l’empêcher de dévier de la trajectoire qui doit lui permettre de fendre son sexe comme un fruit mûr. Puis sans crier gare, ma langue la pénètre telle une épée et termine d’ouvrir son con dégoulinant. Cette fois, Jessica ne peut s’empêcher de crier tant l’assaut l’a surprise.
Je me mets à la fouiller énergiquement, lapant, suçant chaque morceau de chair rougi par le désir et recueillant chaque goutte venant se mêler à la rivière de mouille qui se mue petit à petit en torrent. Ses lèvres ouvertes de manière obscène accueillent ma bouche tout entière qui vient se concentrer sur son clitoris dressé.
J’aspire son bouton devenu turgescent entre mes lèvres, alors que ma langue le bombarde de caresses. La jeune femme ondule de tout son corps au rythme de mes caresses. La pression de ses mains sur mon visage est insupportable. Elle est au bord d’exploser. Je suis si affairé que je ne prête pas immédiatement attention aux mains qui saisissent mes couilles et ma queue prisonniers sous mon propre corps.
Instinctivement, je me cambre de manière à continuer à honorer la demoiselle dont les cuisses ornent mon cou tout en ouvrant plein accès à mon entrejambe. Je sens ma queue pourtant raide tirée en arrière dans une orientation contraire à son sens d’érection naturelle. Juliette est en train de me traire ! Elle pétrit et malaxe mes couilles d’une main et fait savamment jouer ma verge de sa main libre comme pour en tirer le maximum de jus.
Je deviens fou et redouble d’ardeur entre les cuisses de ma proie. Son premier orgasme me surprend d’autan que la belle est fontaine. En une seconde, mon visage est inondé de plusieurs jets chauds qui ruissellent sur mes joues. Curieux, je lance un nouvel assaut sur son clitoris qui produit le même effet. Je prends un instant pour savourer le goût étrange mêlant mouille, urine et phéromones. Je me délecte et décide d’en reprendre une rasade en fouillant une nouvelle fois la chatte totalement ouverte devant moi. Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le geyser crache, dans ma bouche cette fois tout ouverte, son précieux nectar.
Derrière moi, Juliette s’active sur ma queue qui présente les premiers signes d’une éruption imminente. Mais la diablesse a plus d’un tour dans son sac. Sans crier gare, je la sens plonger son visage entre mes fesses et venir ficher sa langue aussi loin qu’elle le peut dans mon trou qui, à mon grand étonnement, l’accueille dans un tourbillon de plaisir. Je me cambre plus encore pour lui faciliter l’accès à mon fondement. Ses mains se déchaînent sur mon membre alors que sa langue m’encule véritablement.
Mon Dieu, comment peut-on éprouver autant de plaisir ? Mon visage s’écroule, enfoui entre les cuisses de Jessica alors qu’un ultime coup de langue dans mon cul finit de me propulser dans les cimes de l’orgasme. Je sens mes couilles se vider encore et encore, comme si tout mon corps se déversait par l’orifice de mon gland que Juliette conserve bien serré entre ses doigts, ne relâchant pas la pression sur mon cul. J’ai l’impression d’éjaculer pendant des heures avant que mon corps tout entier ne s’écroule.
Jessica s’empresse de venir s’allonger avec nous. Nous nous blottissons tous les trois ensemble lorsque Juliette vient ouvrir ses mains sur la bouche de Jessica.
La belle lape timidement d’abord la paume maculée de l’épaisse crème ivoire avant de s’y abreuver pleinement. Ôtant mon bandeau, je regarde mes deux princesses échanger un langoureux baiser chargé du jus extirpé avec art de mes couilles. Puis, elles m’invitent toutes deux à venir partager se baiser qui voit se mélanger les goûts réunis de nos jouissances. Juliette nous regarde intensément.
Pochette surprise
Il y avait un étrange petit colis au courrier reçu à mon bureau ce matin. La boîte, de forme carrée, d’une dizaine de centimètres de côté me semble toute légère. Je la secoue, mais ne parviens pas à déceler la présence de quoi que ce soit à l’intérieur. Je retourne m’isoler dans mon bureau en refermant soigneusement la porte derrière moi. Sitôt assis, je découpe soigneusement la bande adhésive qui l’enserre et accède enfin à son contenu. Une poche en plastique transparente, mais légèrement opacifiée se trouve comprimée entre les six faces du contenant. Je discerne des couleurs sous le film plastifié. Je tire la poche qui ne pèse rien et découvre une enveloppe à mon nom dessous sur laquelle il me semble reconnaître l’écriture de Juliette.
Paul chéri,
Avant de partir pour toute la semaine voir ma famille en Bretagne, j’avais envie de te faire un petit cadeau original pour que tu puisses patienter en attendant mon retour. J’ai eu l’idée de t’offrir une de mes petites culottes. Mais avant que tu n’ouvres le petit sachet dans laquelle je l’ai enfermée pour qu’elle ne perde pas mon parfum, il faut que je te raconte son histoire.
Sachant ce que je voulais faire, je suis allée la choisir avec soin dans une boutique. Je voulais qu’elle soit la plus douce possible lorsque tu la caresseras et plongeras ton visage dedans, mais qu’elle puisse d’imprégner de moi. J’ai donc choisi une discrète petite culotte de soie rouge. Je sais que tu aimes les dessous raffinés et riches en dentelles, mais, trésor, je te promets que ce petit sacrifice ne te décevra pas.
J’ai attendu que tu partes à ton travail hier matin, après que je t’ai réveillé en te chevauchant encore assoupi pour la porter. Je voulais que sa première odeur soit celle mêlée de ton foutre coulant fraîchement de ma chatte encore brûlante de toi. À peine avais-tu joui que je l’ai discrètement enfilée pour qu’elle s’imbibe.
Je l’ai gardée toute la journée. J’ai profité de ma pause de midi entre mes cours pour aller me caresser. J’ai même utilisé un vibro pour me faire jouir plus fort. Je sais que tu aimes quand je fais la fontaine et je m’y suis donnée à cœur joie plusieurs fois jusqu’à ce qu’elle soit toute trempée. J’étais tout excitée de t’imaginer la respirer profondément et de bander en sentant mon odeur que tu aimes tant.
J’ai hésité longuement avant de me dire que j’allais la garder pour aller à mon cours de fitness le soir. En plus, c’était mon cours de Body Karaté. Je me suis donnée à fond. J’étais ruisselante de sueur, comme quand tu me baises fort en levrette. Si tu savais, ma culotte était trempée. Je l’ai goûtée et elle avait vraiment de goût de ma chatte, son parfum et une pointe de sel. Tu vas adorer.
Je suis sortie de mon cours, excitée comme une puce, j’avais la chatte en feu. Mais comme je ne voulais pas gâcher ta surprise, j’ai appelé ma copine Jessica et je l’ai rejointe chez elle. Je sais que ça t’excite de nous voir ensemble et que tu aimes que je te raconte. Là, j’avais envie qu’on me baise. Je l’ai chauffée à blanc en lui dévorant le minou et je lui ai demandé de me prendre avec son gode double. Tu n’aurais pas résisté si tu avais été là. Je me suis mise à quatre pattes les cuisses et le cul bien ouverts pour qu’elle me prenne. C’était bon. J’ai joui trois ou quatre fois, je n’en pouvais plus. Du coup, j’ai gardé la culotte pendant que Jessica me baisait, pour ne rien perdre. Ça l’a fait rire d’ailleurs, cette histoire de petite culotte parfumée. Du coup, elle a fait pareil. Elle a remis la sienne et m’a demandé de la faire jouir fort. Après, elle me l’a donnée pour que je te l’offre aussi. Du coup, c’est chouette, tu vas avoir deux culottes au lieu d’une.
Après, je me suis dépêchée de les enfermer hermétiquement dans une petite poche en plastique et voilà. J’espère que tu vas beaucoup te branler en respirant les culottes, enfin surtout la mienne. N’oublie pas de la remettre dans le plastique, comme ça, elle gardera bien parfums et les goûts.
Je t’embrasse tendrement sur le bout de ta queue que j’aime tant et dont j’ai hâte de m’occuper à mon retour.
Ta Juliette.
Sans m’en rendre compte, la lecture de sa lettre m’a mis dans un état d’excitation incroyable. Je repose la lettre et décide d’ouvrir le sac. À peine fait, les effluves de femelles se libèrent et gagnent mes narines alertes. Je n’y résiste pas et plonge mon visage dans la petite culotte rouge. Le contact de la soie est un vrai délice sur ma peau rasée de frais.
Je hume l’étoffe pour en reconnaître toutes les senteurs. L’odeur forte de sa mouille imprègne tout. Cette odeur se marie à la perfection à celle de sa sueur. Je ferme les yeux et me retrouve immédiatement le visage enfoui entre ses cuisses. Je sais qu’elle a joui et rejoui dans le tissu qui est devenu un concentré de son intimité. Curieux, je me plonge dans le sous-vêtement de Jessica. J’ai déjà goûté en vrai à sa source et je reconnais immédiatement son empreinte sexuelle beaucoup plus musquée et forte que celle de Juliette.
Le parfum et le goût de Juliette semblent assortis à sa peau diaphane et son corps velouté et tout en courbes alors que ceux de Jessica siéent à sa carrure athlétique, sa peau mate d’asiatique et à sa toison de jais aux poils droits et épais.
Chaque jour Juliette me surprend davantage par sa fougue.
Mais où cela s’arrêtera-t-il ?