n° 18926 | Fiche technique | 20810 caractères | 20810Temps de lecture estimé : 13 mn | 01/04/19 |
Résumé: Comment une mère de famille transforme la corvée des courses en un petit plaisir hebdomadaire. | ||||
Critères: fhh fplusag jeunes cocus inconnu magasin cérébral revede fellation pénétratio double sandwich -couple+h | ||||
Auteur : Ellian Envoi mini-message |
Putain, mais ils sont rangés où, ces flocons d’avoine ? Dix minutes que je parcours les rayons.
La vendeuse TGV s’arrête brutalement. Elle avait pourtant très bien esquivé les deux autres clients qui voulaient aussi l’interpeller, mais moi j’ai l’habitude. Je n’ai jamais joué au rugby, mais j’ai plus de vingt ans de pratique intensive des courses du samedi à mon actif. Elle sait bien qu’elle a perdu. Maintenant, elle va devoir répondre à ma question et à toutes celles qui vont l’assaillir, des opportunistes qui vont profiter de l’arrêt.
Le « dans la semaine prochaine » pour inciter à revenir au magasin, ce que je ferai de toute façon, comme tous les samedis. Et le « normalement », parce qu’elle n’en aucune idée et ça lui permettra de se justifier si je la recroise la semaine prochaine.
Bon, c’est tout ce qu’il me manquait. Tant pis. Une heure que je suis là, allez, à la caisse. Choisir la bonne file. Loin des produits congelés pour éviter les queues saturées par les stressés de la décongélation. Pas de personne âgée qui profite de sa sortie hebdomadaire pour causer avec la caissière et qui va mettre cinq minutes à compter sa monnaie. Pas de parent seul avec des enfants qui prendront les bonbons à la caisse au dernier moment et ralentiront le re-remplissage du caddie. OK, cette file-là c’est bon.
Client suivant. Je ressors tout du caddie. Enfin… J’espère que la caissière est une rapide. Oh ! Un caissier. C’est rare. Par contre, il est très jeune, sans doute un étudiant qui se fait un peu d’argent le week-end. Mauvaise nouvelle. Je parie qu’il va devoir appeler à l’aide, mettre trois heures pour trouver le code qui passe pas… Il est beau gosse. Carrément canon, même. Quel âge peut-il avoir ? Dix-huit ? Vingt max. Bien bâti. Il doit faire pas mal de sport. Il n’a pas l’air d’hésiter, il semble sûr de lui. La petite devant moi prend son temps. Ça va, les œillades, les petits sourires ? Non, mais vas-y, roule-lui une galoche tant que tu y es. Après tout, elle doit être à peine plus âgée que lui. Comment je suis fringuée, moi ? Le premier truc que j’ai trouvé pour sortir. J’ai pas pris le temps de me maquiller, j’ai les cheveux qui partent en vrille…
Eh oui, Madame. Voilà, tout est dit.
Son regard est intense. Il commence à passer les articles, posant par intermittence les yeux sur moi : entre les cornichons et le fromage à raclette, entre le papier toilette et la bière. Arrête de me regarder, je suis pas tout le temps comme ça. Je peux mieux faire ! Si tu savais comment je peux être, si tu savais tout ce que je sais faire, tout ce que j’ai envie de faire !
Poussant mon caddie lentement dans l’allée, je me retourne une dernière fois. Il est déjà passé à une autre. Dépêche-toi, tu as le repas à préparer.
**********
Il pose sa main sur la mienne.
Son regard est si pénétrant. Après tout, il est peut-être sérieux.
Le lion fier et superbe s’est transformé en un petit cocker triste. Il est toujours aussi beau, irrésistible. Mais je vais résister.
Je retourne à ma voiture, je charge… Le lait, les concombres, le déo… Et si, juste quelques instants…
Je claque le coffre et retourne au magasin. Il n’est plus là. Sa caisse est fermée. Là-bas, dans le couloir, de dos. C’est lui. Je presse le pas. Il entre dans une pièce, je suis en retard de quelques mètres. Avant que la porte ne se referme, je parviens à la pousser de la main. Elle résiste, puis cède. La porte s’ouvre, il est surpris. Il m’attrape par la taille, referme la porte. M’enserre, m’embrasse à pleine bouche. Sa langue est fougueuse, agile, tonique, un peu trop. Essoufflée de m’être pressée, sans doute aussi stressée par l’interdit, j’ai besoin de reprendre ma respiration. Nos lèvres se séparent, s’éloignent de quelques centimètres, juste assez pour que je puisse bien le voir. Voir ses yeux me prendre, avant que son corps ne passe à son tour à l’action.
Ses mains passent sous mon haut, remontent, remontent, et agrippent enfin fermement mes seins. Respectant d’abord la barrière, mon soutien-gorge, elles les libèrent très vite de leur prison. Il tire sur mes pointes, les pince sans retenue. Il soulève mon haut pour les apaiser de sa bouche après y avoir mis le feu. Il tète comme un assoiffé. Ma main descend à l’aveugle entre ses jambes vers le trésor. Même à travers son jean, il apparaît déjà miraculeux. Il me faut mon autre main pour défaire le premier bouton, le second, avant d’ouvrir ceux restants en écartant d’un trait les pans. Elle est là, contre ma paume, cette queue, si raide, si dure, si douce, si réactive à mes caresses. Je la sors de son boxer, mais j’ai à peine le temps de la voir. Il m’arrache mon string, me soulève par les cuisses et, me plaquant contre la porte, me pénètre d’un seul trait. Je crie de surprise et de plaisir, mais parviens à retenir le son au fond de ma gorge.
Sa bite grossit encore, me remplit jusqu’à m’écarter les chairs. J’agrippe ses fesses pour garder l’équilibre lors de ses violents assauts, ressens leurs puissantes contractions précédant les coups de boutoir. Il semble vouloir aller toujours plus loin, comme s’il pouvait me posséder encore davantage.
Nos langues se mêlent, s’entremêlent, luttent, se combattent. Je sens que je suis proche. C’est juste là.
Il redouble d’intensité. Comment peut-il être si puissant ? Il défonce. Se gonfle encore en moi, et se contracte enfin. La décharge libératrice se propage dans tout mon corps, quand le flot de liquide chaud se répand à l’intérieur de moi.
J’ouvre les yeux, m’extrais difficilement des limbes, retire le gros gode rose qui se trouvait si bien entre mes cuisses, et pose le vibro sur ma table de chevet. Tu m’as fait jouir, petit cochon, et tu remettras le couvert plusieurs fois d’ici samedi prochain.
**********
Chaque samedi, j’ai cette appréhension. Sera-t-il là, ne sera-t-il pas ? Hors de question de perdre une chance de faire bonne impression, de lui montrer que je ne suis pas la mère de famille qui fait ses courses le samedi. Enfin je suis mère de famille et je fais mes courses le samedi, c’est vrai. Mais pour lui, je suis autre chose. Je ne suis pas ça, je ne suis pas que ça. Pour lui, je suis une proie. Une conquête, possible, potentielle. Je suis un désir, une envie. Un rêve, pourquoi pas. Non, un fantasme. Une femme. Une femme à prendre, à reprendre, de différentes manières, de différentes façons. De toutes les façons. Une femme que l’on baise, que l’on culbute. Non, qu’il baise.
Tout le monde ne va pas faire ses courses en jupe, bas et talons. Mais je m’en fous. Moi, je le fais, pour lui. Et depuis quelques semaines, je rajoute un décolleté. Parce que de sa caisse, c’est ça qu’il peut voir. Et il le voit. J’ai intercepté son regard, qui plonge dans mon piège. J’aimerais qu’il bande derrière sa caisse… peut-être.
Non, je n’attends pas, j’ai rendez-vous. Je suis pressée. Quoi, il faut que je prenne du chocolat, c’est ça ? C’est bon, je le sais. Il n’a qu’à aller en acheter lui.
D’habitude, il garde les enfants à la maison, c’est plus simple pour faire les courses. Mais ce week-end, ils sont chez Papy-Mamie.
Il semble surpris. Ce qui est surprenant, c’est surtout qu’il se propose pour aller faire les courses.
Il va me foirer mon petit plaisir du samedi, ce moment que j’attends toute la semaine. Il va me le foirer.
Putain, il peut pas y aller à un autre moment ? C’est perdu.
C’est tellement long. Alors que mes courses étaient devenues une longue montée d’excitation jusqu’à la rencontre finale, me revoilà dans la banalité fade du quotidien. J’espère qu’il ne sera pas là, ce sera moins dur. Même s’il est là, j’éviterai sa caisse. Je ne veux pas qu’il me voie… enfin il sait sûrement, mais… C’est mon jardin, à moi.
J’ai fini. Où il est barré encore, lui ? Je fais le tour du magasin.
C’est ça, crie plus fort…
Je trace et le rejoins, rapidement suivie par d’autres clients à qui l’info n’a pas échappé. Je LE vois, il s’approche. Il prend son service. Je suis bloquée. Quatre clients derrière, impossible de reculer. Je n’ose pas lever les yeux alors que je pose un à un mes achats sur le tapis. Mon mari discute avec lui : « oui, il fait beau. Oui, y’a plus de saisons… »
Alors que mon mari paye, je lève à peine les yeux vers mon caissier. Je suis une cliente comme les autres. Parmi tant d’autres. Quelconque.
**********
Je suis d’humeur massacrante. Faut pas me chercher. C’est tellement tendu que mon mari a pris l’air cet après-midi. Je n’ai même pas envie de me caresser. Tout est fini. Fini de rêver.
Quand mon mari revient, je m’en veux un peu. Après tout, c’est vrai, il n’a rien fait. Il n’y est pour rien. C’est moi qui me suis prise toute seule dans des fantasmes à la con.
Après tout, on passe aussi des bons moments. Un petit pétillant, un peu de saumon fumé. Je n’y pense plus. J’ai beaucoup de tenues, je ne sais jamais laquelle choisir, mais je sais que mon mari apprécie ces petits efforts. Des bas résille, talons hauts, une robe vinyle aussi échancrée que courte et c’est parti ! Je me sens aussi plus sexy, plus désirable comme ça. Mais il faut prendre le temps, avoir l’énergie…
Après le repas, je pars me préparer un peu. Rajouter un peu du rouge à lèvres qui s’estompe. Mon mari a tamisé la lumière, légèrement rosée. J’entre dans le salon. Mes talons retentissent. Un peu, pas trop. Juste pour ouvrir la scène, annoncer le début de l’acte.
Je m’assieds à côté de lui sur canapé. Il avance la main un peu vite vers mes seins. Je le connais. Je sais qu’il ne résiste pas. Ça ne me déplaît pas. Au contraire. Nos lèvres se rapprochent. Nos langues se retrouvent.
La sonnette retentit.
Je déteste ça. Quand on n’attend personne. Des gamins qui s’amusent, un voisin pour une lumière restée allumée… un peu tard pour les témoins de Jéhovah. On attend un peu.
Je m’enfonce légèrement dans le canapé. Il n’est pas visible depuis l’entrée de toute façon.
Mais qu’est-ce qu’il fout, il va pas le faire entrer. Je me cache cette fois sur le côté du canapé.
Je jette un œil, furtivement. Je vais perdre connaissance. Voilà, c’est la fin, l’arrêt cardiaque. Non mon cœur repart, s’emballe, dépasse la limite autorisée.
Il me parle, il ne dit pas Madame. Il n’a pas son uniforme de son magasin. Il est tellement beau en costume. C’est la coupe qui est très cintrée ou ses muscles qui dépassent l’entendement ?
J’ai l’impression d’être nue face à lui. Je le suis quasiment en fait. Devant mon mari, c’est une habitude, j’ai appris à oublier ma pudeur, mais devant lui…
Mon corps s’exécute. Mon cerveau est HS. Mon mari vient s’asseoir à côté de moi. Le caissier s’installe en face, un peu sur le côté, dans le siège. Mes yeux tâtonnent entre mon mari et lui. Mon chéri pose ses lèvres sur les miennes, délicatement. Je les entrouvre. Il en profite, s’avance, caresse le bout de ma langue. Sa main glisse entre mes cuisses, s’enfonce, frôle, pousse légèrement, m’invitant à les écarter. Un peu plus. Un peu plus. Encore… Il nous observe. Il m’observe. Il me voit. Il le voit. Mon sexe lisse, ma fente qui prend confiance, s’entrouvre légèrement et brille déjà en prenant les reflets rose de la lumière.
Il me voit telle que je suis, parfois, quand la nuit tombe. Comme seul mon mari me connaît. Par encore chienne, mais déjà chatte. Il ne rate aucun mouvement de cet index qui s’enduit de mon nectar et vient titiller le petit bouton durci. Il me regarde me faire caresser, il me regarde prendre du plaisir, il me regarde déjà m’offrir. Il bande. Malgré la pénombre, je le vois, il est droit. C’est pour moi qu’il s’est dressé, seulement retenu dans ses élans par un fin tissu.
Mon mari l’invite d’un geste. Il se lève, se place à ma droite. Je n’ose plus le regarder. Je me rassure dans les yeux de mon mari. Une main continue à faire monter l’excitation entre mes reins. Une autre caresse sur ma nuque et remonte dans les cheveux. Une troisième frôle ma poitrine, redécolle, tente une nouvelle approche et se pose enfin. Mon souffle se saccade. Il m’a touchée. Il joue avec mes pointes. Mes yeux partent à la recherche de la quatrième main. Tout en bas, à droite, ils la trouvent, entourant le tronc du chêne. Il est si beau, gorgé de sève, le gland bien arrondi et lisse. Elle monte, descend, lentement, comme au ralenti, sans jamais atteinte le sommet.
Mes doigts s’avancent, seuls. Je les regarde partir à l’aventure et franchir cette courte distance qui les sépare de l’interdit. Ils prennent la relèvent des soldats en place et s’emparent de la tour. Je tiens sa bite dans ma main. Je le branle. Je veux voir l’effet que ça lui fait, je veux le voir. La bouche entrouverte, il semble apprécier. J’ai envie de ses lèvres. Je me penche vers lui et enlace sa bouche. Entre mes cuisses, je sens cette langue aussi familière qu’agile, qui me goûte, me savoure. Ma petite framboise se laisse aspirer, sucer. J’en veux aussi dans ma bouche, je me penche un peu plus vers mon caissier. Centimètre par centimètre.
Enfin ma langue entre en contact avec ce petit trou d’où perlent quelques gouttes de plaisir. L’odeur, le goût du sexe décuplent ma frénésie. Je gobe son gland tout entier et m’enfonce sa tige au plus profond. La position devient compliquée pour le travail de mon mari. Il se recule et prend la place sur le siège, laissée libre par mon amant. Je suis plus libre pour tenter de bouffer toute entière la queue turgescente. Tu vas voir ce que c’est une experte de la pipe. C’est pas une de tes copines étudiantes qui te fera ce que je vais te faire. Je mouille autant que possible jusqu’à ce que ça dégouline. Je lèche, je lape sans relâche tout le bout bien ferme. J’astique le manche pour maintenir la pression. Je l’aspire entre mes joues pour lui faire ressentir ce que ma chatte pourrait lui faire subir. Je n’en peux plus, relève la tête.
Il se lève, mon mari lui tend un préservatif. Je me retourne et me positionne à genoux sur le canapé. Cuisses écartés, cambrée, je me présente, j’offre mon sexe, mon cul. Il choisira. Il se caresse contre mes lèvres, apprivoise l’entrée qui lui est déjà largement acquise. Empoignant mon bassin, il me pénètre sauvagement et claque contre mes fesses comme contre un tambour, en une danse endiablée. Devant l’intensité, je ne parviens à retenir mes cris. Je jouis de cette grosse bite juvénile à la fougue insoutenable. Il ralentit un peu. Semble reprendre la maîtrise.
Contre mes lèvres, une autre vient faire connaissance. Mais celle-là je la connais déjà et je lui ouvre avec plaisir. Mon mari n’est pas moins dur et enfourne sa baguette dans ce four où peu de temps avant, mon amant se chauffait. Je ne contrôle rien, prise en tenaille. Ils coordonnent leurs assauts, sortent et rentrent de ma bouche et de mon sexe en rythme décalé. Mon mari peine à contenir ses râles. Je le connais si bien, il ne pourra plus tenir très longtemps. Soudain, leur belle coordination part en éclat. Ils me pénètrent en même temps, s’enfonçant encore plus profondément qu’ils ne l’avaient fait jusque-là. Mon mari lâche, et inonde ma gorge de pleines lampées d’anis.
Le spectacle excite mon autre mâle et lui procure une nouvelle ardeur. Il est seul maintenant à pouvoir me ramener tout là-haut. Il n’est plus que bête en rut. Il me possède. Voilà, je suis sa chienne. Il me découvre enfin telle que je suis. Tu me fais jouir à nouveau mon bel étudiant, mon caissier. Il s’apaise, se calme, se recule.
Je me retourne. Il a tenu. Il n’est pas encore venu. Je retire le bout de latex et masturbe d’une main, tenant fermement ses grosses couilles pleines, de l’autre. Ma bouche est prêtre à le recevoir, ma langue en piste d’atterrissage. Les balles durcissent, le manche se tend. Les jets puissants visent mon visage, quelques-uns parviennent dans la cible, d’autres se perdent sur mon torse et éclaboussent mes seins.
La nuit ne s’est pas arrêtée là. Je n’ai pas beaucoup dormi. L’un, l’autre, les deux. Je ne sais plus l’ordre, je ne sais plus le nombre. Je sais juste le plaisir.